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Arg (Argent) Uinda (Vendée) Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 17-08-2015 23:42

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Arg (Argent) Uinda (Vendée)

Page dédiée aux Sénones.
 
 
Les Gaules sont nos ancêtres et leur histoire est le début de la nôtre : la France actuelle n’est pas « Fille aînée de l’Église », ni celle de l’Empire romain. Non, les peuples Gaulois ne sont pas les imitateurs des Romains ; ils ne s’habillent pas comme les Romains… Ne pas oublier qu’au 19è siècle, sous l’impulsion des banques juives commence le mondialisme, le capitalisme et son impérialisme déjà symbolisé par un Napoléon III et une reine Victoria en Angleterre. Un Jules Ferry voulait « civiliser les races inférieures ». Ce n’est pas une opinion jolie-jolie pour un judéo-maçon spéculatif du 19è siècle qui se croyait « élu » et devait se prendre pour Dieu ! Pour Jules Ferry les « races inférieures » c’étaient bien-sûr les Gaulois, il fallait désormais foutre en l’air les paysans et faire place aux CITOYENS OU HABITANTS DES CITÉS, LES BOURGEOIS HABITANTS DES BOURGS. Louis XVI c’était les PAYSANS, 1789 ce sera les BOURGEOIS-CITOYENS-SOCIÉTÉ-DE-CONSOMMATION.
Pour la coterie judéo-maçonnique spéculative du 19è et du début du 20è siècle jusqu’à l’horreur du colonialisme, qui dure encore, les Gaulois, c’étaient des sauvages comme les NÈGRES ! Les Gaulois devient obéir à l’étatisme romain comme les Arabes d’Algérie devaient obéir au colonialisme français ! Et comme le monde actuel obéit à l’Empire USionistan et à sa « démocratie ». Imbécilité colonialiste et raciste : « Les Français connaissent plus de choses que les Nègres d’Afrique, de même nos Ancêtres Français connaissaient plus de choses que les Gaulois ».
 
Le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence de celle-ci est la racine de tout le mal (Ramana Maharshi, entretien 80).

En langue gauloise Blanc se dit Arg qui donnera Uinda (la Vendée si maltraitée par la république en 1792).
BLANC = INSTANT, ARGIO, qui donnera Ariège, comparable au viel irlandais arg (goutte); au gallois eiry, au vieux cornique irch, au breton erc’h (neige). Racine arg (blanc brillant), du sanskrit arjunah, du thrace arzos (blanc brillant).
Dans le même thème : BALAROS ; qui donnera Balleray (Nièvre), Belleray (Meuse), Balleroy (Calvados). Remonte à la racine bhal (blanc), du grec phalos, phalios (blanc), proche de l’anglais bald (chauve), etc.
Même thème avec Uidos : la Blanche Uinda La Vende, la Vendée, Vendèze. Remonte à la racine weid (voir, savoir)… sueid (briller) ; voir le latin sidus (étoile), le lituanien svidéti (briller).
En fin : LEUCOS (clair), qui donnera Liédoux (Haute-Garonne), Lioux (Vaucluse)… Remonte à la racine leuk (brillant, clair) ; voir le sanskrit rocate (il brille)…

Selon l’opinion des Anciens Égyptiens, l’Argent ou Blanc c’est les os des Dieux, alors que leurs chairs sont d’Or.
Bien-sûr le Blanc c’est la pureté. Argent = Lune.
Hélas l’Argent sur le plan matériel et mercantile est la porte ouverte à la cupidité, l’avilissement de la conscience, le crime. Sa valeur devient perversion en son aspect négatif.
 
Le Soi est comparable au Blanc de l’Instant : « Il faut détruire le ‘je’ [ou le dompter puisqu’il contient le ‘Je’]. Le Soi n’a pas à être atteint. Y a-t-il un seul Instant où le Soi [Instant] n’existe pas ? Il n’est pas nouveau. Soyez ce que vous êtes. Ce qui est nouveau ne peut pas être permanent. Ce qui est réel doit exister » (Ramana Maharshi, entretien 41).

Nos efforts ne vise qu’à éliminer, dompter l’ignorance. « Ensuite, ils cessent et l’on découvre que le vrai Soi était là depuis toujours. Aucun effort est nécessaire pour rester le vrai Soi » (entr. 66).

Les Gaulois étaient proche de l’Instant : « ils ne voyaient guère au-delà de leur besogne présente, de leur intérêt immédiat et de leur petit coin de sol », écrit Albert Grenier dans : Les Gaulois. Gaulois qui étaient essentiellement CULTIVATEURS-FERMIERS. Un espace agricole gaulois immense découvert depuis les débuts de l’aviation. Les traces sont essentiellement des trous de poteaux de bois et des fossés et des haies qui entouraient les fermes.
Les Gaulois élevaient des bœufs et des chevaux. 500 ans avant notre ère les Gaulois semaient plusieurs graines dans les zones d’un même champ, pour être sûr d’avoir au moins une récolte. Les Gaulois semblent manger beaucoup de légumes et de la viandes d’élevage ; le sanglier censé être chassé par les Gaulois selon la légende est pratiquement inexistant. Ils élevaient chèvres, moutons, vaches, veaux, bœufs, taureaux, oies, poules, canards.

Je remet ici en refrain ce qu’est l’histoire : une pure opinion. Ainsi il faut se méfier de ceux qui font des peuples Anciens leur outil afin de satisfaire la politique et l’opinion publique du moment :

L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !

L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l’histoire).
J’en dirais autant de l’ARCHÉOLOGIE, équivalant de l’époque de la Renaissance jusqu’à nos jours de vouloir TOUT VOIR, TOUT MESURER, comme pour se CONFORTER, le « Je pense donc je suis »

NON, les Gaulois ne vivaient pas en permanence « au fond des bois », comme dit la ritournelle usinant l’âme des enfants des écoles judéo-maçonnisées de Jules Ferry. Déjà bien avant notre ère les forêts avaient reculées pour être remplacées par des champs de céréales. Je dirais que les Gaulois construisent tout en bois, et très peu en pierres, contrairement aux Égyptiens qui ne disposaient pas de bois et étaient obligé de construire en pierres, et en briques.
PIERRE = DURÉE ou TEMPS LONG.
BOIS = MOU ou TEMPS COURT, sauf si le bois est longtemps baigné dans une solution salée qui le rend dure comme de l’acier.
Les « villes » gauloises ne sont pas comparables avec par exemples les villes des Romains : URBA, qui donnera URBAIN et CITOYEN !

Les Gaulois ont été déformé par l’époque de Napoléon III qui copia l’Empire romain et fut inspiré par les écrits attribués à Jules César. De ce fait il mit « au jour » et à la mode la civilisation gauloise.

Évidemment que la Gaule à proprement parler, selon notre époque étatisée, n’avait pas d’État et était un ensemble de tribus, comme une centaine de petits pays vivant plus ou moins en harmonie les uns avec les autres. Petit pays en trois grands blocs : Aquitain, Belgica (au Nord de la Seine), Gallia ou bloc celtique (au Sud de la Seine). Jules César étatisera ça pour l’incorporer facilement à son Empire.

Bref, le Gaulois avaient de nombreux tracés de communication : des routes ; donc ce ne sont pas les Romains qui ont construit les routes en « Gaule ». « Toutes les routes ne mènent pas à Rome » ! Les routes étaient surtout celles des AMPHORES.

À la différence des religions des Grecs et des Romains, celle des tribus gauloises comportaient une morale, ou opinion, il reconnaissaient cette trinité : Honore les Dieux, Sois brave, Ne fais rien de mal. Les Gaulois connaissaient le SOI puisqu’ils croyaient à l’immortalité l’âme, une forme de TRANSFORMATION où les âmes ne meurent pas puisqu’après la mort elles passent dans d’autres corps, donnant ainsi une sorte de réincarnation. « Les Gaulois croyaient à l’immortalité de l’âme ; leurs usages funéraires l’indiquent assez ; cette croyance leur était commune avec beaucoup d’autres peuples », écrit Albert Grenier.
D’ailleurs nombre de leurs casques portaient au-dessus UN CYGNE, symbole de la blancheur de l’Instant, donc de la puissance de la Lumière mariant Jour et Nuit et devenant sacré. Un cygne noir sera l’équivalent de la magie noire. Le Cygne blanc incarne la lumière mâle, fécondatrice. Des textes celtiques décrivent des êtres de l’Autre Monde, qui pour une raison ou pour une autre, empruntent la forme du Cygne et voyagent le plus souvent par deux, reliés par une chaîne d’Or ou d’Argent.
Cygne = symbole alchimique : le Mercure ; en tant que Blanc il exprime l’Union des contraires et est l’ANDROGYNE…

On a du mal à notre époque « moderne » à imaginer la VALEUR DU SEL, qui donnera son nom au SALAIRE (Or Blanc comparable à l’Argent cité plus haut), car avant l’invention de la technique de la réfrigération artificielle, le sel servait à conserver les aliments comme les viandes. Charles Tellier est proprement l’inventeur du frigorifique moderne.

Les Gaules c’est aussi la FORGE et le travail du FER/FAIRE : départ de l’industrie gauloise qui sera leur deuxième force après l’Agriculture ! Les Gaulois feront même dans l’acier et tous types de fer, du bronze, et de l’Or. Évidemment Fer/Faire c’est aussi et hélas la GUERRE.
Le travail des mines d’Or était important, et il y avait un important travail pour extraire les petites pépites dans les quartz.

Concernant le Druides :
Dru = racine grecque qui désigne le Chêne comme l’archétype de tous les arbres.
Deru = racine Celte qui veut dire Chêne et aussi force.
Vid = racine latine signifiant le Gui.
Wissen = en Allemand désigne le savoir.
Widu = racine Celtique qui désigne le bois.
Pour les Celtes c’est dans la forêt que se trouve la Connaissance. L’Association du Chêne et du Gui est donc la représentation végétale du druide, qui incarne comme elle Force et Connaissance. Le Chêne, arbre cosmique des Celtes mais aussi image de l’incarnation terrestre de l’homme, porte le Gui, plante céleste, symbole de l’intuition spirituelle. Le druide est l’homme qui porte la Connaissance divine, il est le médiateur du Ciel et de la Terre. Certes, les Druides devaient avoir des sanctuaires, des « Temples » ailleurs que la « Forêt-Temple ». Si on fait le rapprochement avec la forme des futures cathédrales du Moyen-Âge imitant les troncs des arbres et leurs voutes, Agriculture ou Forêt : les deux devaient avoir leur importance.
Voir la page : Croyances de chez-nous : la sacralité gauloise.

RAPPEL : Voici un exemple donné à l’article « Rythme », du Dictionnaire homéopathique, de Louis Pommier :
« Il existe une tradition ancienne d’après quoi on peut préparer à partir du Gui un remède contre le cancer, mais que son efficacité dépend entièrement du moment où la plante est cueillie.
Un institut suisse de recherche sur le cancer en a récemment fait l’épreuve en effectuant 70 000 expériences sur des parties de la plante, cueillie à une heure d’intervalle, de jour et de nuit. « On a mesuré le degré d’acidité, analysé les éléments constitutifs, essayé l’effet de toutes les préparations sur les souris blanches. On a pas encore découvert de traitement, mais ce que l’on a constaté c’est que les propriétés de la plante étaient radicalement affectées, non seulement par l’heure locale et les conditions météorologiques, mais par des facteurs extra-terrestres, comme les phases de la Lune et la survenue d’une éclipse ».
Rien n’est pareil d’un instant à l’autre, Tout est Mouvement.

Rama et la plante sacrée des Druides.
« Ram ou Rama dans les récits hindous, est un initié, un conquérant et le législateur qui va créer au cœur de l’Asie, de l’Iran jusqu’en Inde, un centre rayonnant, une impulsion spirituelle d’où vont partir plusieurs traditions.
C’est dans l’Antique Scythie qui va de l’Océan Atlantique aux mers polaires, que Rama voit le jour. A cette époque, les fils des hyperboréens dressent de gigantesques pierres dans la nature et les druidesses visionnaires prophétisent sous les arbres. C’est au cœur de la forêt, à l’ombre des chênes millénaires que l’antique race blanche a reconnu l’expression du Divin.
Les druidesses d’abord noblement inspirées sont devenues cruelles et ambitieuses. Les dieux réclament des sacrifices humains et le peuple s’enferme dans les superstitions.
Rama est alors un jeune prêtre plein de douceur et de sagesse qui aspire à la Science du Divin. Il connaît les secrets des plantes et le pouvoir des astres. Il voit aussi le devenir des choses, les druides l’appellent « Celui qui sait ». Rama s’insurge et s’inquiète de ces cultes fanatiques, quand un autre fléau s’abat sur la population. Les hommes meurent par milliers, atteints par la peste. Le jeune druide y voit le signe du châtiment céleste et tremble pour l’avenir de sa race.
Un soir, après avoir longuement médité sur les malheurs de son peuple, il s’endort sous un chêne, dans une clairière. Il entend dans son sommeil une voix forte l’appeler par son nom. En ouvrant les yeux il aperçoit devant lui un homme vêtu comme lui de la robe blanche des druides et qui tient à la main une baguette autour de laquelle s’entrelace un serpent. L’inconnu sans un mot le prend par la main, le fait lever et lui montre dans l’arbre sous lequel il était couché une très belle branche de Gui, et le lui désigne comme le remède recherché. Avant de disparaître il lui confie les différentes façons de préparer le Gui. A son réveil, Rama s’empresse de cueillir et de préparer le Gui suivant les indications de l’inconnu. Mêlé à une liqueur fermentée il fit boire ce nouveau breuvage à un malade qui guérit, puis à un deuxième, un troisième et il obtient ainsi des centaines de guérisons qui le rendirent célèbre dans toute la Scythie.
Rama confia sa découverte aux druides de sa peuplade en ajoutant qu’elle devait rester le secret de la caste sacerdotale. Cet événement fut l’origine d’un culte nouveau : le Gui devint une plante sacrée. Par la suite Rama partit à la conquête de l’Inde, entraînant avec lui l’élite de sa race. Il sera le fondateur d’un nouvel ordre social et spirituel. De ce centre rayonnant différentes colonies partiront essaimer à travers l’Asie et l’Europe. Seuls les Celtes d’Europe conservèrent le Gui de Chêne comme plante sacrée.

Autre fait singulier chez le Gui, il ne change pas d’apparence. Mis à part la formation des fleurs et des baies, le Gui ne jaunit pas, ne flétrit pas, ne fane pas. Tout au long de l’année il verdoie dans toutes ses parties, de ce vert doré qui lui est propre. Le temps parait glisser sur lui, il reste étranger au rythme des saisons. Il perd bien ses feuilles tous les deux ans mais encore, feuille par feuille, si bien que cela ne se voit même pas…
Les processus morbides ne semblent pas avoir d’effet sur lui. N’oublions pas que dans l’Ancienne Lune, la vie se développait de façon entièrement fluide, donc plus vivante. La mort et la substance morte n’apparaissent qu’avec la densification terrestre. En se matérialisant la vie s’est incorporée des forces de mort. Le Gui a si peu d’affinité avec les processus de densification qu’il ne parvient pas, même à un âge avancé, à se lignifier. On observera tout juste un épaississement de ses tissus à la base, là où il « s’enracine ».
On remarquera également que pour se distinguer des autres végétaux, le Gui échappe totalement à la pesanteur terrestre qui règne sur le monde végétal. Pour le Gui, excentrique au possible, ces notions de haut et de bas n’ont aucun sens. Hors la loi des énergies terrestres, il peut pousser à l’horizontal si la graine s’est fixée sur le côté de l’arbre ou bien alors la tête en bas si la graine a germé au-dessous de la branche ». (Référence : Claire Bonnet, Le Lotus Bleu, revue théosophique, décembre 2004, extraits)
 
 

Dernière mise à jour : 18-08-2015 00:04

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