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La TRINITÉ Langue universelle Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 28-08-2015 21:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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La TRINITÉ Langue universelle
et atemporel
Avec la Trinité
on échappe au temps qui coule
ou évolution


Page dédiée aux Minéraux et à leur monde.
 
 
Trinité pour vaincre la société de consommation rapportée par un superman de la consommation à la radio, et qui résume admirablement tout notre « civilisation » du capitalisme : « Nous ne sommes pas là pour rendre les gens heureux, parce que les gens heureux ne consomment pas ». Idem pour les « médicaments », qui ne doivent pas soigner, car s’il n’y a plus de malades Big Pharma est ruiné et disparaît ! Idem pour les fabricants et marchands d’armes et de drogues, s’il n’y a que de la paix, leurs industries s’écroulent !
Le confort ou « bien-être matériel » ce n’est pas la course au transhumanisme recherchant « l’immortalité » qui serait considéré comme « bien matériel suprême » ! On peut être momentanément en « paix » en un pays, mais sans connaître pour autant la félicité, car la paix est autre chose, et plus qu’une absence de guerre et de confort à tous les prix et toutes les richesses ! La Félicité ce n’est pas des « moments tristes » ou de l’ennui. Comme la Pyrite de Fer a un « besoin » insondable par l’humain, cet humain a lui aussi un « besoin ». Je l’appel Amour, et Cela est sans limite et n’a rien à voir avec une quelconque sexualité ou sentimentalité, soit une opinion dans le temporel.
Autant la Pyrite de Fer que l’humain « cherchent le bonheur ». Et l’Alchimiste en un sens « aide » la matière sur laquelle il laboure au Laboratoire à trouver ce bonheur, cette délivrance : C'EST UN ÉCHANGE.
 
La Pyrite de Fer connaît la Trinité : elle commence sa construction par un Triangle équilatéral. Le Maître de la Géométrie ce sont les Minéraux, qui composent aussi les humains et les végétaux. Je ne m’aventurerais jamais à parler de « Grand Architecte » façon anthropomorphisme judéo-maçonnique ! et probablement jusqu’à chez les transhumanistes et monde virtuel de l’imprimante 3D : du pur matérialisme de chez matériel.

Ramana Maharshi dans l’entretien 90 explique la Trinité chrétienne ainsi :
Dieu le Père représente Ishvara (Dieu).
Dieu le Saint-Esprit représente l’Atman (le Soi et soi).
Dieu le Fils représente le guru.

Ishvaro gurur atmeti murti bheda vibhagina vyomavad vyapta dehaya dakshinamurtaye namah
(À Lui qui s’est manifesté sous différentes formes : Ishavara, le guru, le Soi ; à Lui qui est tout-pénétrant tel l’éther ; à Shri Dakshinamurti cette prosternation) signifie que Dieu apparaît à son adorateur sous la forme d’un guru (Fils de Dieu) afin de lui indiquer l’immanence du Saint-Esprit, c’est-à-dire lui révéler que Dieu est esprit, que cet esprit est immanent en tous lieux et que le Soi doit être réalisé, ce qui est la même chose que réaliser Dieu.

Nous avons la triade : sujet-objet-balance entre les deux ; le connaisseur-le connu-la connaissance, etc. Les triades qui découlent du Soi (Triade pure ou Triade non différenciée).

Cette Trinité se retrouve absolument partout ici sur Terre. Elle est universelle. Par exemple en Égypte nous avons Amon-Rê-Ptah formant l’Un (l’Un en Trois). Djed est le Verbe d’Amon-Rê-Ptah (Djed : stabilité, prospérité, durer dans le temps qui coule).

Cette Trinité est particulièrement obsédante chez les Celtes et les Druides.
Les Druides vont souvent par trois. D’après le Livre des Conquêtes, les Tuatha Dé Danann ont tout en trois exemplaires :
« Rabb, Brott, Robb, leurs trois fous,
Fiss, Fochmarc, Eolas, leurs trois Druides,
Dub, Dobur, Doirche, leurs trois échansons,
Seith, Seor, linad, leurs trois serveurs,
Feic, Rusc, radarc, leurs trois veilleurs,
Talc, Tren, Tres, leurs trois serviteurs,
Attach, Gaeth, Sidhe, leurs trois chevaux,
Aig, Taig, Tairchell, leurs trois chiens,
Ceol, Taig, Tetbinn, leurs trois harpistes,
Gle, Glan, Gleo, leurs trois sources,
Buaid, Ordan, Togad, leurs trois pères adoptifs,
Sid, Saime, Suba, leurs trois mères adoptives,
Cumma, Set, Samail, leurs trois coupes,
Meall, tete, Rochain, leurs trois terrains de jeu,
Aine, Indmas, Brugna, leurs trois tranchants,
Cain, Alaig, Rochain, leurs trois forteresses ».

Ces triades correspondent à la manifestation de la multiplicité en tant que découlant et subordonnées à l’Unité, comme le Triangle naissant formant la construction de la Pyrite de Fer.
« Le triplement est, en mode celtique, l’expression numérique et métaphysique de la totalité et il va sans dire que la totalité de la manifestation est incluse, sur le plan spatial, dans les trois mondes de la cosmologie celtique et, sur le plan temporel… dans les trois aspects de l’éternité que sont le passé, le présent et l’avenir », écrivent très justement F. Le Roux et C.J. Guyonvarc’h dans : Les Druides.

Les trois Druides des Tuatha Dé Danann : Brian, Luchar et Lucharba sont comme toute Trinité, ils sont trois Dieux qui ne font qu’UN. Et il ne faut pas oublier que ces données s’attachent à la chronologie irlandaise : « Cian, par exemple, est le père de Lug. Mais Lug, Dagda, Ogme, Diancecht, sont frères et Diancecht est aussi le père de Cian. Le Dagda est le père de sa propre mère, l’oncle de son fils, l’amant et le fils de sa propre fille qui est l’épouse de son frère ».
Bref, les Dieux se moquent du monde des accidents ou spatio-temporel et sont Un et Multiples comme il se doit. « Ils sont pères ou mères, fils ou filles, frères ou sœurs, mais ils sont éternels et ils n’ont pas eu besoin de naître suivant les normes temporelles ». Leur généalogie ne sert qu’à les situer les uns par rapport aux autres, comme en Égypte.
Ainsi, les triades des Druides sont un moyen universel pour relier le sacerdoce à ses origines divines.

Strabon, qui distingue : les Druides, les Bardes, les Vates (encore la Trinité), précise que les Druides enseignent l’immortalité de l’âme, et professent qu’un jour régneront seuls l’Eau et le Feu. C’est très pertinent et très moderne ! (Vates : du latin vatis, pluriel vates, d’origine gauloise : uatis (devin) comparable à l’irlandais fâith (voyant, devin). Remonte à une forme uotis, d’une racine uet (dire) que l’on retrouve dans le vieux gallois guetid (dire), du latin uetare (interdire), uotare (voter), du gotique wods (possédé); de l’anglo-saxon wod à l’origine du nom du Dieu Wotan (l’Inspiré), de l’allemand wut (souffle). Uatis est l’héritier de la pratique divinatoire issu du chamanisme le plus ancien, qui observe et interprète les signes du monde naturel en une consultation extatique.


Extrait du Mundaka Upanishad, deuxième Mundaka (en rapport avec la Bougie et son âme qui voyage après son extinction)


II-1 : Ceci est la vérité : de même que d’un feu en plein flamboiement s’envolent des étincelles par milliers, de même essence que le feu, de même, mon ami, de l’Éternel surgissent les diverses créatures, qui en sortent et y retournent.
II-2 : Céleste et sans forme, tel est l’ÊTRE suprême. Il se trouve à l’extérieur comme à l’intérieur, il est non-né, sans souffle de vie, sans mental ; il est pur et transcendant, au-delà de l’Éternel.
II-3 : C’est de lui que tirent leur origine le souffle de vie, le mental et tous les sens, l’espace, l’air et le feu, l’eau et la terre, qui porte toute chose.
II-4 : Le feu est sa tête, al lune et le soleil sont ses yeux, les directions sont ces oreilles, les Védas révélés sont sa voix, le vent est son souffle, le monde est son cœur, et la terre est son repose-pied. Il est l’Atman [Soi et soi] à l’intérieur de toutes les créatures.

II-5 : C’est de lui que provient le feu, dont le combustible est le soleil. De la lune proviennent les nuages, et de la terre naissent les végétaux. Le mâle répand se semence dans la femelle, mais les diverses créatures ont leur origine en l’Être suprême.
II-6 : C’est de lui que proviennent les hymnes (du Rig Véda), les chants (du Sama Véda) et les mantras (du Yajur Véda), ainsi que les rites de consécration, tous les sacrifices, les cérémonies et les offrandes. C’est de lui que proviennent l’année, le sacrificateur, et les mondes où brillent la lune et le soleil.
II-7 : C’est de lui que proviennent les divers Dieux et les êtres célestes (Sadhyas), les humains, le bétail et les oiseaux, l’inspir et l’expir, le riz et l’orge, ainsi que l’ascèse, la foi, la vérité, l’étude spirituelle et la loi.
II-8 : C’est de lui que proviennent les sept souffles, avec les sept flammes et leurs sept combustibles, les sept oblations, et ces sept mondes où se meuvent ces sept souffles dont le siège se trouve dans la grotte du cœur, déposés là (par le Créateur) par groupes de sept.

II-9 : C’est de lui que proviennent les océans et les montagnes ; de lui s’écoulent les rivières aux tracés variés. Et de lui naissent toutes les céréales, et le suc nutritif des plantes, en vertu duquel le soi intérieur peut exister dans un corps, au sein des éléments.
II-10 : Oui, l’Être suprême est tout cet univers, il est l’action et l’ascèse, il est Brahman, suprême et immortel. Ô mon ami, celui qui connaît cet Être suprême, occulté dans la cavité du cœur, détruit le nœud de l’ignorance (avidya granthi).
II-11 : Il est manifeste, et pourtant occulté, il se meut dans la grotte du cœur, cette auguste demeure. Tout ce qui meut, respire et cligne des yeux, est fixé à lui (comme les rayons à la roue). Connais-le comme étant le plus haut, à la fois être et non-être, transcendant la compréhension, suprême, au-dessus de tout.
II-12 : Il s’élance comme une flamme brillante, il est plus subtil que l’infiniment subtil, et tous les mondes ainsi que leurs habitants sont fixés à lui. Cela est l’Éternel, Brahman ; c’est le souffle de vie, la parole et le mental. Cela est le réel et l’Immortel. C’est Cela qu’il te faut atteindre, ô mon ami.

II-13 : Saisis comme un arc cette arme majestueuse qu’est l’Upanishad, ajustes-y une flèche affutée par la méditation. Pince la corde, ô mon ami, dirige ton esprit sur l’essence de Brahman et vise cette cible qu’est l’Éternel.
II-14 : Om est l’arc, l’âme est la flèche et Brahman est la cible. Il ne peut être atteint que par un viseur infaillible. Et on pénètre en lui, comme la flèche pénètre dans la cible.
II-15 : En lui sont tissés (telle une étoffe) les cieux, la terre et l’espace intermédiaire, ainsi que le mental, avec toutes les étoffes. Connais-le comme étant l’Atman et abandonne tout autre discours, car il est le pont menant à l’immortalité.
II-16 : À lui sont fixées les artères subtiles du cœur, comme les rayons au moyeu de la roue ; il réside au plus profond du cœur et renaît de nombreuses fois. Om ! Prononçant ce mot, médite sur l’Atman. Victoire à toi ! traverse (l’océan) jusqu’à l’autre rive, par delà les ténèbres.

II-17 : Il est omniscient et conscient de tout ce qui existe, et le monde est sa grandeur manifestée. Il est l’Atman dans la cité de Brahman [le corps humain, le Royaume intérieur], résidant dans la cavité du cœur. Il prend la forme du mental et transporte des divers souffles à ravers le corps, enraciné dans la nourriture mais celé dans la grotte du cœur. C’est là que le sage le découvre et le connaît comme étant la forme de la félicité (ananda), l’Immortel et le Resplendissant.
II-18 : Quand est réalisé cet Atman, qui est tout à la fois le haut et le bas [allusion alchimique : Tout ce qui est en Haut est comme tout ce qui est en bas, et l’inverse], les nœuds du cœur se délient, tous les doutes se dissipent, et toutes les actions (avec leurs conséquences karmiques) se dissolvent.
II-19 : Derrière un suprême voile d’or, est assis sur un trône Brahman, immaculé et indivisible. Il est pur, il est la Lumière des lumières, et seul le connaît le connaisseur de l’Atman.
II-20 : Là le soleil ne brille pas, ni la lune, ni les étoiles ; ces éclairs d’orage n’y parviennent pas, non plus que le feu terrestre. Lui seul brille, et toute chose tire son éclat de lui. Oui, le monde entier brille d’un éclat emprunté à sa splendeur.

II-21 : Face à toi, il n’y a que Brahman, l’immortel. Brahman est derrière toi, Brahman est à ta droite et à ta gauche. Il s’étend au-dessus de toi et en dessous. Ce vaste univers est Brahman, le Suprême, et rien d’autre que Brahman.

[En référence à : Les Druides, de Françoise Le Roux et Christian-J. Guyonvarc’h ; Dictionnaire Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac ; Upanishads, traduction de Martine Buttex ; Les Juifs, le monde et l’argent, de Jacques Attali ; L’ignorance étoilée, de Gustave Thibon]

[En haut de page : face supérieure d’une Pyrite de Fer montrant ses Cristaux flottants sur une « Mer » avec naissance d’un petit Triangle équilatéral, qui donnera d’abord deux frères, puis trois, puis quatre, et enfin le volume.
On a vraiment à faire à de la Création pure et extra-ordinaire. Voilà un bon Guru et authentique]


Les traquenards de la démocratie étatique pour vendre les armes et empêcher la paix, comme indiqué en début de page. Le propre d’une armée secrète est qu’elle n’est pas contrôlable par l’étatisme… ni par les peuples… et qu’en plus elle est secrète !
Ne jamais oublier le mythe de Superman survenu après le krach de 1929 et la construction de l’oligarchie anglo-américaine depuis la fin du 19è siècle avec l’aide des banques juives et autres : LES ÉTATS-UNIS C’EST LA GUERRE PERMANENTE PARCE QUE C’EST SUPERMAN ET ÇA FAIT VIRIL : « Superman and STUPIDITY for these big boys with big toys, and with big black wallets ». USA = grosse bite ou gros révolver et gros blouson de cuir ; USA = MORT-TERRORISTES technologiques (il s’entend le pouvoir US, pas tous les Américains bien-sûr). Voir la page sur la Talmudisation du monde : Hollywood.
Comme déjà écrit sur le site, ce qui perdra les États-Unis, ce sera l’inattendu, la surprise.

RAPPEL : L’argent n’a pas d’odeur, il est bien partout : vous n’avez pas d’émeute, de cambriolage ou de racisme dans des riches banlieues parisiennes, comme le Vésinet que je connais un peu, avec ses pavillons cossus situés dans de grands espaces verts et boisés, où habitent Juifs, Arabes, Blancs, etc. parce que l’argent n’a pas d’odeur : IL REMPLACE LES SACRIFICES, DONC LA VIOLENCE comme l’écrit très bien Jacques Attali dans son livre : Les Juifs, le monde et l’argent : Les Hébreux-Juifs achètent la violence, versent une indemnité que c’est tout confort, si pratique, surtout si on est riche comme au Vésinet. Comme l’écrit Attali en bon diviseur winners-losers : « la richesse n’a de sens que parce qu’elle permet d’être utile aux autres », ce qui exactement le même argument que le personnage décrit en haut de page, « qui parle dans le poste » et qui se vante de ne pouvoir rendre les gens heureux, parce que sans cela il mettrait la clé sous la porte !
Donc les Hébreux-Juifs remplacent le sacrifice du sang, animal ou humain, par de l’argent ; et, écrit Attali de façon criminel parce qu’il assimile l’Amour à du marchandage : « l’amour du désir ne peut décréter que du désir », c’est la définition même de l’actuelle civilisation de consommation. Attali poursuit en écrivant que l’argent se substitut au sang : « on asperge l’autel avec le sang de l’animal sacrifié, acheté avec l’argent de celui qui offre le sacrifice ». L’argent détruit tout puisque Attali écrit même que « l’argent oblige à calculer ses actes »… donc travail du chapeau… de l'ego... même, et surtout chez une Couille en Or genre Rockefeller-Rothschild ! Économie de marché ou pas = langage de l’écrit et donc LOIS ET DESTRUCTION DE L’HUMAIN.
 
Pas d’évolution à la Yahviste :
« L’homonymie entre arriver (au sens atteindre son but) et arriver (au sens de survenir, avoir lieu) désigne par le même mot deux idées qui, creusées à fond, s’excluent l’une l’autre : tant qu’il arrive quelque chose, on n’est pas arrivé, et quand on est arrivé, il n’arrive plus rien [voir en haut de page à propos de « paix » et d’ennui, parce qu’il n’arrive plus rien]. L’espagnol pasar, qui ne se confond pas avec llegar, souligne au contraire le caractère transitoire de l’événement.

Mais nous refusons cette unité [de Dieu et la loi de la mort naturelle], soit en désirant l’éternité sans passer par la mort (tous les messianismes temporels, toutes les religions de l’avenir [donc de la carotte] procèdent de cet appétit sacrilège), soit en désespérant de l’éternité à cause de la mort ».
(Gustave Thibon)

 
 
 

Dernière mise à jour : 28-08-2015 22:46

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