Ecrit par Sechy,
le 09-09-2015 23:53
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Le Roi la Reine n’est pas un Chef
du moins chez les peuples originels
Dans les civilisations originelles ou premières : PAS DE CHEF, le Roi ou la Reine n’avait nul besoin de gouverner quand les êtres humains étaient naturellement bons, justes, et en pleine conscience. Dans ces civilisations premières le Roi ou la Reine n’était que des POTICHES DÉCORATIVES ; et quand par la suite de début de cancérisation du pouvoir apparurent des « rois-druides » en Irlande, c’était en souvenir des Rois et Reines Potiches des Anciens.
Les Rois et Reines des Anciens n’étaient que de la décoration, DES SYMBOLES (AXES) pour rappeler qu’une civilisation ne peut être harmonieuse que si elle est en accord avec le Cosmos. Sinon, commencent à apparaître l’étatisme et les lois humaines, donc le chaos !
Par exemple en Chine le hiéroglyphe wang désigne le roi et est formé de trois traits horizontaux parallèles : le Ciel, l’Homme au milieu, et la Terre, reliés en leur milieu par un trait vertical. En principe son rôle doit rester symbolique. En Gaules le roi ou chef n’a pas le droit de sortir de la cité et de s’engager dans une guerre, toutefois son symbolisme est nécessaire (« On ne gagne pas une bataille sans roi » dit un aphorisme irlandais) ; toutes précautions pour éviter la chefferie et son cancer du pouvoir ; un bon roi est celui qui assure la prospérité de son pays. Donc les Gaulois n’étaient nullement des « sauvages ».
Le Roi en forme de symbole est traduit dans le MANDALA : roue ou carré avec une roue à huit rayons au centre desquels s’établit un Bouddha à l’effigie du Roi.
Le Roi ne combat pas parce qu’il est là comme axe : JUSTICE ET ÉQUILIBRE DU MONDE.
Quand le cancer du pouvoir corrode le Roi, il s’installe sept preuves de son cancer : déplacer le synode (assemblée) hors de son siège, être hypocrite, être sans lois véritables, être dans l’illégalité (sauf si les demandes des parties n’outrepasse le droit), résultat d’une défaite en bataille, une famine pendant son règne (quasiment le crime suprême), sécheresse des vaches, manque de fruits et légumes, disette des grains. Ce sont sept chandelles brillantes qui établissent la fausseté de tout roi (réf. Ancient Laws of Ireland IV, cité par F. Le Roux et C.J. Guyonvarc’h, dans : Les Druides).
Dans cette même loi irlandaise quatre dignitaires peuvent être dégradés : un roi aux faux jugements, un évêque scandaleux, un poète frauduleux et un chef qui ne remplit pas ses fonctions. « Il ne leur est dû aucun prix de composition ».
Ne pas oublier que sous les Gaulois le Druide est considéré comme supérieur au Roi. Mais attention, pas de caste sacerdotale cancérisée par le pouvoir, sinon on tombe dans une théocratie. Chez les Gaulois « le Roi est élu par ses pairs guerriers, amis et ennemis, et les Druides veillent avant out à la régularité, à la conformité, au bien-fondé du choix et de l’élection.
PARALLÈLE ENTRE SETH-ROI-ORIGINEL et SETH-ROI-ÉTATIQUE.
Chez les peuples originels le Roi Seth n’était pas cancérisé par le pouvoir : SETH = GRANDE VAILLANCE. Puis il eut le cancer et se métastasa en Seth-Typhon ou vil démon ennemi de Rê le Soleil. À l’origine Seth ne pouvait que représenter le BIEN (le côté positif d’Osiris). Mais une légende-opinion en a fait le meurtrier d’Osiris. En fait Seth est l’équivalent TANTÔT DU YIN, OU TANTÔT DU YANG : IL EST UN DES POLES, c’est pour cela qu’on l’a aussi péjorativement appelé « Dieu de la confusion ». Ainsi il ne peut pas être l’équivalent du Diable qui ne fait qu’illusionner en permanence, du moins depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture !…
Seth fut honoré aux premières dynasties de l’Égypte ancienne, donc proches des peuples premiers juste derrière les peuples de l’Atlantide. Seth fut très lié aux régions désertiques de la chaîne arabique.
Dans La Doctrine Secrète H.P. Blavatsky place Seth comme attenant à la première sous-race (sous-vague) de la Race Racine : première sous-race douée de la parole, donc qui a perdu la connaissance de la Vraie Télépathie.
Seth est bien un DIEU PRIMITIF DE PEUPLES ORIGINELS, DONC DES PAÏENS, ET PAR LA MÊME DES PREMIER HÉBREUX.
ADAM EST UNE SORTE DE SETH À LA POLARITÉ YIN-YANG, un super moteur.
Comme l’écrit justement H.P. Blavatsky dans La Doctrine Secrète, Seth représente la première Race ou Ronde née, suivant le mode usuel et naturel d’un homme et d’une femme. Avant Seth l’humanité était non duel : HERMAPHRODITE.
« Seth, tout en étant le premier résultat (physiologique) qui suivit la "Chute", est aussi le premier homme ; aussi appelle-t-on son fils Enos le "Fils de l'Homme". Seth représente la partie tardive de la Troisième Race » (La Doctrine Secrète).
« Seth est le "Progéniteur" des premiers hommes de la Troisième Race dans lesquels les Anges Planétaires s'étaient incarnés ; il était lui-même un Dhyân-Chohan et faisait partie des Dieux formateurs et l'on disait qu'Enos (Hanoch ou Enoch), ou Hermès, était son fils – Enoch était un nom générique pour désigner tous les "Voyants" (Enoïchion) des premiers temps. De là vint le culte. L'auteur arabe Soyouti dit que les annales les plus reculées font mention de Seth, ou Set, comme du fondateur du Sabéïsme et que les pyramides qui personnifient le système planétaire, étaient considérées comme le lieu de sépulture de Seth et d'Idrus (Hermès ou Enoch) ; que les Sabéens s'y rendaient en pèlerinage et y chantaient des prières sept fois par jour, en se tournant vers le Nord (Mont Mérou, Kaph, Olympe, etc.) ». (La Doctrine Secrète).
Agathodémon n'était autre que Seth, selon H.P. Blavatsky.
Je ne serais pas étonné que le mot du moyen breton, Setance (sentence) provienne indirectement de Seth, car comme indiqué ci-dessus Seth est une forme d’Adam. Et Sentence amène à juge, opinion, mesurer, analyser, raison, réfléchir, balance, messie, pouvoir, fléau, pan, etc… Seth est évidemment un symbole du monde des accidents, le spatio-temporel : SATURNE - ÇA-TOURNE.
Dans la lignée de Seth nous avons Mathusalem… un bon client du transhumanisme de l’époque…
Le roi c’est le Soi-Instant intérieur de chacun, donc pas besoin de gouvernement ni d’État. LE ROI C’EST LA VRAI VALEUR et non la chose publique de la Rê-publique (le Soleil publique). LE ROI C’EST LA CONNAISSANCE, LE CŒUR, LE CENTRUM CENTRI, LA VÉRITÉ. Et dès qu’il est cancérisé par le pouvoir, il devient un dictateur ou un président de ceci ou cela ; il devient UNE GRANDE GUEULE OU UN MIROIR AUX ALOUETTES : chez les Indiens d’Amérique du Nord le roitelet a le même symbole que l’alouette : oiseau rieur et très heureux. L’expression « miroir aux alouettes » exprime l’illusion de cet oiseau sacré chez les Gaulois, illusion de bonheur et de paix que veulent nous faire croire ceux qui sont atteint du pouvoir. Le pouvoir par la symbolique de l’alouette veut nous piéger comme les pièges que posent les chasseurs pour attirer quelques oiseaux, dont les alouettes. Le miroir aux alouettes est identique au pouvoir : UN ÉTEIGNOIR DE L’ÂME.
Pour retrouver un pays, un JARDIN, sans lois, sans gouvernement ni étatisme, il faut MARIER PAÏENS ET CHRÉTIENS (qui englobe également le judaïsme et l’islamisme), soit marier « la loi de Nature » ou loi Cosmique d’avant le christianisme et de Vraie Télépathie, puis de langue parlée, avec la langue écrite (religions du Livre) ou « loi de la lettre » (Moïse et ses tables de pierre). Au lieu de transmettre directement par télépathie, puis plus tard par la parole, on transmettait désormais par l’écriture (et de nos jours par informatique). LE MARIAGE EST DONC TRINITAIRE. Par exemple en Irlande il y a l’Irlande d’avant Saint Patrick, de tradition orale et qui n’a jamais écrit ; « l’Irlande après Saint Patrick, qui a possédé une riche littérature parce qu’elle s’est adonnée avec zèle et passion à l’étude des Écritures, du latin et du grec, puis en dernier lieu du gaélique. il suffit de comprendre que ces deux Irlandes, si différentes, ne sont pas incompatibles en dépit du changement de religion [quasi mariage Païens-Chrétiens]. Elles sont deux états successifs du même fond et l’Irlande chrétienne n’a jamais été l’abolition de l’Irlande païenne : elle a voulu en être l’épanouissement conforme à la parabole évangélique : elle a tout pour la justifier », écrivent ce fait d’une importance extrême, F. Le Roux et C.J. Guyonvarc’h dans Les Druides.
Oui, le monde sans étatisme ni gouvernement ne pouvait fonctionner dans l’absolu que par la Vraie Télépathie, le moindre mal sera l’utilisation de la langue parlé ; quand arrive l’écriture c’est la dictature étatique et ses lois liberticides, c’est la dictature de la croissance matérialiste en inverse par rapport à celle de l’éveil de la Conscience réduite à consommer des « biens » des usines des Couilles en Or. La Vraie Croissance ne peut être que spirituelle : retrouver cette Télépathie, CETTE TRANSPARENCE, et cet état édénique sans gouvernement. Nous avons simplement perdu, oublié cet état. Le bonheur, c’est cette vie sans gouvernement, sans État.
Bien avoir conscience de notre ère au combien passionnante : à la Renaissance : invention de l’imprimerie et utilisation populaire de l’écriture et du livre ; et depuis l’ère de l’informatique, depuis environ 45 ans, passage au digitale du dualisme du binaire zéro et un. Avec entre les deux cette importance essentielle : LA FÉE ÉLECTRICITÉ.
La « croissance » du temps de la Renaissance et jusqu’au milieu du début du 20è siècle (jusqu’à l’électricité dans les foyers) était totale et fournissait du travail à presque tous. Le tout digital informatique n’a pas du tout la même force attractive bénéfique pour les humains : comme déjà écrit, le digital ROBOTISE L’HUMAIN. Et cela ça date de 1789, comme d’ailleurs l’établit aussi Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : le culte du mental ou raison, donc le culte de l’EGO. La raison des perruques poudrées des « lumières » s’est fait robot. Avec 1789 nous sommes entré en compétition, en guerre, entre l’humanité et la machine ; et on le sent bien, cette oligarchie du Nouvel Ordre Mondial aspire à détruire l’humanité pour la remplacer par son transhumanisme.
Ne jamais oublier que depuis la Renaissance et jusqu’à l’électrique ça a permis LA PRODUCTION : société d’abondance ou de consommation déjà commencée dans la seconde moitié du 19è siècle avec la prolifération des banques et du capitalisme.
Le numérique est en train de numériser l’humain, de « sataniser » l’humain.
Peut d’année avant sa mort, en 1991 quand je prévoyais d’acheter un ordinateur Bull pour fabriquer un dessin anim é, ma mère disait que « j’allais m’amuser avec ça ». Elle avait tout compris : A-muser : privation de muses, donc privation de l’inspiration ; et amuser = âme-usée, âme détruire. Alors il n’est pas étonnant que notre époque fasse naître tant de « culture » et d’entertainment, de musées ou culture en conserve, tant de psychiatres et de médecine de Big Pharma pour « corriger » les travers démentiels de notre civilisation.
L’informatique c’est LA MENACE PERMANENTE DE SUBSTITUTION : en prenant le métro hier à Paris (je ne le prend plus qu’une fois par mois), je me souvenait du temps des portillons automatiques (installés en 1921) qui empêchaient d’accéder à la station quand une rame de métro arrivait. Tout cela a disparu, comme a disparu les poinçonneurs à l’entrée des quais avec qui on pouvait glisser un petit mot. Maintenant, allez parler à une machine ! La RATP des années 1950 avait quelque chose de conviviale (je voulais même y travailler… ).
Comme déjà écrit, nous en sommes arrivé à ceci : les Anciens disaient que « L’homme est la mesure de toute chose », mais aujourd’hui et surtout avec l’informatique l’homme doit être mesuré par elle, notamment par les nanomachins et autre grossssss datas ou MONDE NUMÉRISÉ ! Malheureusement on ne cultive pas son jardin avec un ordinateur, tout au plus on peut programmer un système d’arrosage automatique, avec de joyeuses fuites sans qu’on y prenne garde !
Bref, nous vivons au-dessus de nos moyens mentaux, nous sommes menacé dès que l’on fait deux fois la même chose, alors qu’il n’existe JAMAIS deux fois la même chose, sinon on tombe dans le mortifère évolutionnisme à la Yahviste, on tombe dans l’HISTOIRE, on tombe dans la robotisation où la machine n’en a rien à foutre de reproduire un million de fois la même chose, qui sera toujours, ou presque, identique (le « zéro défaut » n’existe pas ici-bas, une machine peut s'emballer, dérailler).
La numérisation du monde (société post-industrielle) installe une insécurité économique permanente, donc une violence permanente. Le « progrès » qui devait nous conduire au « paradis » nous conduit directe en enfer.
Cette société post-industrielle dégomme la hiérarchie pyramidale du 19è siècle et jusqu’en 1975, pour installer ce que certains appellent « la créativité » (entendre nouvelle production) : plus de chefferie, tout le monde est son ‘chef’, il n’y a plus d’employés mais des « collaborateurs » ; selon le rêve des perruques poudrées chacun devenait autonome, selon le principe du libéralisme et de sa démocratie, il n'y avait plus l’autorité de l’Église et des méchants patrons.
Tout le monde devenant créatif, il n’y a plus d’emploi, de « croissance », et on revient en arrière comme il y a 180 ans !
Bref, société infernale, il faut à nouveau produire, et qui dit technologies galopantes dit FORMATION GALOPANTE DES CHOMEURS, ET EN LES PAYANTS ; là encore course en forme d’évolutionnisme. Société de malades, mourante, uniquement dirigée vers l’extérieur. Nous ne sommes pas prêt de retrouver la civilisation édénique sans étatisme où le chômage était un mot inconnu ! Chez les Chrétiens le chômage c’était pour aller à la messe les dimanches et jours de fêtes ; donc aller au chômage c’était aller se reposer, se réunir en famille. Mais depuis 1789 et la laïcité, place aux robots humains.
Dos de carte à jouer du magasin Samy Tailor
Dernière mise à jour : 10-09-2015 00:20
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