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Et le Paradis devint Enfer Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 23-12-2015 22:53

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Et le Paradis devint Enfer
 
 
Les rois des Dieux genre Zeus ou Yahvé sont tous de grands malades : DES DIVISEURS DE PREMIÈRE CLASSE. De plus, ils sont tous assis sur des trônes, et vous ne voyez jamais ce qu’il sort par en dessous ! Ils digèrent mal la lumière (intestinale), ça les rends jaloux et ils en produisent la thermodynamique.

Les archontes maîtres de la contrefaçon qui donnera Cain et Abel et la thermodynamique. Pas besoin de l’Internet, rien de nouveau sous le Soleil !

EDEN - PARADIS : eden, dein : steppe, plaine herbue ; dos, épine dorsale ; contre, en sumérien.
Ainsi le Paradis renvoie essentiellement à l’HERBE.
HERBE : symbole identique à la Fontaine de Vie. L’Herbe renvoie à la fécondité et à l’Arbre de Vie. La médecine celtique se servait beaucoup des Herbes médicinales.
Grâce à Yahvé et à ses archontes (les pervers), le Paradis devint un Enfer : le Paradis devient la prison dans laquelle les archontes (ou des formes de vie extraterrestre) tentent de bloquer le spirituel, tentent de bloquer l’accès aux Essences. Exactement ce qu’il se passe de nos jours où tout est réduit à la possession, au ‘je’.
« Ils prirent alors Adam, et le placèrent dans le Paradis, pour qu’il le travaille et pour qu’il le garde. [Pourquoi Adam devrait « travailler le Paradis » ? et pourquoi devrait-il le garder ? Il y a donc un problème !!!] Et les archontes lui donnèrent un ordre en disant : « De tous les arbres qui sont dans le Paradis, tu mangeras, mais de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, n’en mange pas et n’y touche pas non plus, car le jour où vous en mangerez vous mourrez ». (NH II, 4 L’Hypostase des archontes, 88,24-30).
Là encore, problème de division entre bien-mal ! Pourquoi ? Si ce n’est pour inventer l’opinion ! Donc LA PIRE FORME D’ESCLAVAGE, plus terrible que l’esclave des riches Romains et Romaines.

RAPPEL : les Essences sont l’équivalent en Taoïcité de la Lumière de l’Essence, DONC AU-DELÀ DE L’INCONSCIENT COLLECTIF de C.G. Jung et de la Noosphère de T. de Chardin ; la Lumière de l’Essence est en dehors de l’ego. Car si le mental commence à se fixer sur cette lumière, il commence son travail du chapeau, il conceptualise et tombe dans « la lumière de la conscience » ou inconscient collectif, forme du grégarisme de l’ego.
Être soumis aux Essences ou à la Lumière de l’Essence C’EST CELA LA LIBERTÉ. Sinon, nous sommes tous des fabriqués par d’autres, par leurs opinions, et donc par les cinq sens et le mental, l’ego.

Yahvé et ses archontes souillent tout ce qui touche. Et ça donne le monde des accidents ou spatio-temporel ; là où nous sommes des fabriqués, où on nous colle un adjectif, une étiquette, un « isme », une couleur particulière, mais non la lumière de l’Essence.
Le catholicisme depuis ses origines n’est qu’une opinion comme toutes autres religions, et il n’a aucun droit, pas même le judaïsme, à se présenter comme une transcendance par-dessus toutes les opinions possibles. Car il y a autant d’opinion possibles que d’individus parce que par nature temporelle il n’y a pas deux individus qui aient vécu la même série d’événements dans ce temporel, donc dans le monde des cinq sens humains. Et si deux individus ont vécu le même événement historique par exemple, ils ne l’ont pas interprété de la même façon, n’en ont pas tiré la même leçon. Et c’est naturel. C’est le domaine des accidents, et non pas des Essences ou Lumière de l’Essence.

Le catholicisme depuis ses origines, avec son « isme » qui est la marque du système (éducatif, sentimental et scolaire), qui fabrique, comme le régime républicain, les individus dans un moule imaginé par une dictature oligarchique et n’est rien de plus qu’un complexe social d’opinion (pensée unique transformée en « liberté d’expression »).

PARADIS DES ARCHONTES = PIÈGE À CONS, COMME LES ÉLECTIONS AU SUFFRAGE « UNIVERSEL ». Et comme par définition LES CONS SONT LA MAJORITÉ (cons ou ignorants), ils sont la matière première de l’oligarchie anglo-américaine et de son Empire. Le pire des impérialisme est celui des CUISTRES, en religion, en politique, en science et en philosophie.
Oui, la culture, quelle glu pour les âmes ! Comme écrit si justement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux.
Comme le font les archontes actuels en leur Jérusalem, et en sa ‘sainte laïcité’, la tyrannie de l’opinion arrivée à maturité depuis 1789 prend maintenant le masque de l’universel en renversant les rôles : Ce sont les accidents et son Super Grégarisme qui engendrent la Lumière de l’Essence ! Ce qui est la marque archontique absolue. La laïcité et le capitalo-socialisme sont une spiritualité à l’envers, comme l’envers d’un cuivre repoussé.

Vaincre l’ignorance ou se réveiller c’est vivre la Lumière de l’Essence, soit vivre ce qui est DIRECT : c’est la Lumière de l’Essence qui jugent de ce qui est direct et de la justification des accidents, et non l’inverse, comme le font les philosophismes de tous temps qui comptent sur le circulus logique et la dialectique pour se faire une idée de ce que sont les Essences.
Mais ils sont tous dans l’ignorance, car tout système logique et de dialectique ou verbiage, en se clôturant sur lui-même, se vit comme vérité en rejetant comme faux tout ce qui ne trouve pas place dans son cadre (genre : vous êtes avec nous ou contre nous, ou division actuelle winner-loser).
Tout constructeur d’un système philosophique ne peut avoir vécu et expérimenté, avec ses cinq sens et dans le spatio-temporel et son mental, son ego, qu’une part infime de tous les accidents possibles, mais, de cette expérience des choses nécessairement limitée, il prétend extraire une vision de l’absolu qui ne sera qu’une illusion de plus.
Les accidents dans le spatio-temporel, dans le mental, sont en quantité in-définie (et non pas in-finie), et donc inépuisable comme une fontaine alchimique. Par conséquence, une construction logique, si parfaite qu’elle puisse paraître, ou à la mode comme la république actuelle, ne peut prétendre exprimer l’absolu ; et ça s'applique à tous les ismes philosophiques qu’ils soient vrais par ce qu’ils postulent et faux par ce qu’ils nient, ce qui fait qu’ils sont tous sectaires, non par intention consciente MAIS PAR NATURE. « Ils sont tous nécessairement atteints d’un scotome de l’intellect dont le champ visuel global ne peut être réalisé qu’à partir des Essences, ce qui implique un renversement des rôles : non plus chercher à répondre aux énigmes du Sphinx, deviner au travers des accidents ce que sont les Essences mais juger des accidents à la Lumière de l’Essence » écrit Jean Coulonval.

Le renversement des rôles c’est par exemple l’initiation judéo-maçonnique spéculative ou autres : devenir soi-même un Sphinx, non plus pour dévorer ceux qui ne savent pas répondre, mais pour les sauver de leur ignorance. Ce sont les « sauveurs du monde », ceux qui ne songe qu’à leur ego, car pour changer les rôles il y a un pont à franchir pour changer de rive, mais l’appétit du savoir ne peut pas y aider. Le savoir n’engendre qu’opinion à n’en plus finir, opinion : soit toute idée que l’on se fait de l’absolu à partir des accidents ou du mental, de l’ego. L’opinion sera alors vécu comme un « savoir possédé » comme on possède une voiture, bien dans la mode de la société de consommation où chacun possède sa petite opinion, sa « petite vérité », qui le fait fonctionner dans ce monde des accidents.

La Conscience c’est le jugement de la rectitude ou du directe des accidents à partir de la Lumière de l’Essence, alors que l’opinion ne peut être vécue que comme une possession du mental (la perversion), donc du ‘je’ ou ego. La Conscience à travers la lumière de l’Essence est pureté, elle n’est pas possession ou perversion, elle ne peut affecter le sentiment au sens où l’on parle de bons ou de mauvais sentiments dans le cadre des accidents vécus. Ces colorations sentimentales sont de chair, archontiques, et non de l’Essence. Cette coloration sentimental peut être seulement joie, ou douleur dans l’amour. Or le Vrai Amour ne peut se situer que dans le Soi ou Tout, l’Instant, et cela ne se possède pas, NOUS Y SOMMES INTÉGRÉS. Dans le Soi ou Instant il n’existe plus ni sujet ni objet, on est au-delà des mots/maux et de la grammaire et de l’opinion. Toute opinion est close sur elle-même, sur son ego, donc imperméable à ce qui n’est pas elle, d’où d’ailleurs depuis le killer Louis Pasteur cette folie du microbes et du tout sécuritaire avec son complexe militaro-industriel, auquel il faut bien-sûr ajouter Big Pharma et Big Agribusines. Ce monde de l’opinion est une prison du mental ou ego, là où se situe le républicanisme et son « vivre ensemble » : chacun aime sa prison, aime ce qu’il possède et qui est bien à soi ; la prison est une Super Sécurité quand on a peur des grands espaces. Il est vrai que depuis les 10MVAG (10.000 ans de la voie de l’Agriculture), les Terriens sont de plus en plus sédentaires, soit « civilisés » et habitent de plus en plus dans les cités puisqu’ils sont étiquetés depuis 1789 : « Citoyens ». Maintenant les Terriens deviennent « nomades » seulement pour affaires, ou pour leurs vacances…

OUI, IL EST DURE ET PANIQUANT DE QUITTER SON SAVOIR POUR L’INCONNU.    
Il est dure de ne pas se conformer au monde et à son Super Grégarisme qui est tellement confortable, comme une MATRICE. Il est dure de s’évader de la MATRICE. Jésus-Christ a dit : « Le Royaume des Cieux est en vous », donc dans l’ésotérique : AU-DEDANS (de chacun), le monde étant exotérique.
Posséder ses petites vérités qui sont l'actuel moteur de l’existence sont les opinions qui rendent conforme au Super Grégarisme de ce monde. Renouveler son mental, c’est se placer du côté de la Lumière de l’Essence, c’est se placer au CENTRE qui engendre la circonférence et avoir ainsi accès sans danger d’égarement à tous les points de cette circonférence : ÊTRE LE PANOPTIQUE DE SOI en non celui de l’oligarchie de l’Empire et son Big Brother.

Celui qui part de ses opinions, excentriques par nature, s’égare dans la recherche du centre qu’il ne parvient pas à situer pour la simple raison que ce n’est pas l’excentrique qui engendre le centre. « Le centre n’est ni une surface ni un volume et pourtant il engendre la circonférence qui est une surface, et la sphère qui est un volume » écrit Jean Coulonval. Bien-sûr le Centre c’est le Soi-Instant, qu’on peut aussi appeler Dieu, Foi, Vérité, Conscience, Centrum Centri, et d’une foule d’autres noms selon le point de vue de chacun.

L’actuelle judéo-maçonnerie à la base du républicanisme et de sa laïcité se veut posséder la vérité, soit concilier les opinions à la mode par des concessions, en les accrochant l’une à l’autre par des goupillages plus ou moins réussit, soit arriver à un syncrétisme, mais pas à une synthèse. Recopier un tableau d’un artiste peintre en recomposant toutes les parties et détails jusqu’aux pigments ne sera jamais comme l’original, tout comme reconstituer un tarte en recollant les morceaux ce n’est pas refaire la tarte. Le Tout n’est pas la somme des parties comme la Paix n’est pas l’absence de guerre !
La lumière de l’Essence ne peut remplir que ce qui est VIDE ; il ne faut pas se présenter, par exemple dans une loge du GODF, avec la tête déjà pleine, parce qu’on pourrait être utile au réseau maçonnique ; il faut se présenter la tête vide, donc sans travail du chapeau, ou en renonçant au « savoir » mental, au ‘je’. Évidemment c’est dur quand on POSSÈDE de l’instruction ou travail du chapeau (bourrage de crâne). Ce qui en dit long sur le genre « d’initiation » qui peut se fourguer au GODF pépinière du régime républicain français !

Les archontes sont ceux qui ont fabriqué ce monde des accidents, donc ses soucis de l’existence. « Ils jetèrent alors les hommes dans de grandes tribulations [dans des opinions] et dans les soucis de l’existence, afin que leurs hommes soient accaparés par la vie matérielle et n’aient pas le loisir de s’attacher à l’Esprit Saint [ou Lumière de l’Essence] ». C’est notre monde actuel décrit dans NH II, 4 L’Hypostase des archontes 91,8-10).
RAPPEL : le NH II, 4 ou L’Hypostase des archontes est DÉJÀ CONTRE LES PAÏENS puisque les archontes sont carrément assimilés aux Païens ! Ce NH II, 4 fait de Caïn un Païen ! « Après cela, la femme charnelle enfanta Caïn, leur fils ; et Caïn cultivait la terre. Ensuite l’Archonte [Yahvé ou archonte psychique] connut sa femme, elle enfanta Abel ; et Abel était berger de bétail.
Or Caïn présenta des fruits de son champ, alors qu’Abel présenta un sacrifice de ses agneaux [le salaud !] Dieu se pencha sur les offrandes d’Abel mais n’accepta pas les offrandes de Caïn [pas étonnant de la part du Yahvé !] Et Caïn le charnel poursuivit Abel, son frère. Dieu dit alors à Caïn : « Où est Abel ton frère ? » Il répondit et dit : « Suis-je le gardien de mon frère ? » Dieu dit à Caïn : « Voici que la voix du sang de ton frère crie vers moi. Tu as péché par ta bouche, elle se tournera vers toi. Quiconque tuera Caïn déchaînera sept vengeances [celles des sept archontes de Yahvé]. Tu seras donc soupirant et tremblant sur terre ».
(NH II, 4 L’Hypostase des archontes, 91,11-30).

Salaud de Yahvé ou d’auteur qui divise à qui mieux entre Païen et Juif : Caïn le Païen et matérialiste et Abel le Juif qui templiste sur l’autel par son sacrifice sanglant sur des animaux innocents. Ainsi avec cette division nous avons un Caïn qui ne peut pas tuer Abel parce que le matérialisme n’a point pouvoir sur l’Esprit ; et on retrouvera cette horrible division chez les Chrétiens avec la division entre laïcité ou non baptisé et Chrétiens.
Pour le fou et jaloux Yahvé le sacrifice de sang offert par Abel le Juif intercède en sa faveur !!! On retrouvera ce sang par la circoncision au huitième jours et la transmission du culte juif par le sang de la mère.
Caïn le Païen est ravalé plus bas que terre, si je puis écrire ! Et par la suite ça va s’aggraver en division de plus belle, puisque la femme est aussi ravalé plus bas que terre.
EN RÉSUMÉ : dans le NH II, 4 Caïn est fait Païen et le méchant, et Abel est fait Juif et le gentil tout confort dans le système. Caïn peut aussi représenter Lucifer ou l’Étoile Vénus qui veut éclairer les humains mais se fourvoie complètement. Mais ce n’est pas si simple, on ne doit pas tomber dans la division Abel-Caïn du NH II, 4, et jusqu’à l’actuelle division winner-loser.

Naissance de Seth et Nuréa.
« Alors Adam connut sa coressemblance Ève. Elle conçut et enfanta Seth à Adam. Elle dit : « J’ai enfanté un autre homme, de Dieu, à la place d’Abel  . Ensuite Ève conçut, elle enfanta Nuréa et dit : « Il m’a engendré une vierge comme aide pour les générations de la race des hommes. C’est la vierge que les puissances [archontes] n’ont pas souillée ».
(NH II, 4 L’Hypostase des archontes, 91,30-34 et 92)

Noé fondateur de la religion juive.
« Les hommes commencèrent alors à se multiplier et à devenir beaux. Les archontes tinrent conseils les uns avec les autres et dirent : « Allons ! provoquons un déluge de nos propres mains et anéantissons toute chair, de l’homme jusqu’à l’animal ». Mais lorsque l’Archonte [Yahvé] des puissances [les archontes] eut connaissance de leur délibération, il dit à Noé : « Fais-toi une arche d’un bois imputrescible et cache-toi en elle, toi, tes fils, les animaux [Païens] et les oiseaux du ciel [Juifs et spirituels ou les vertueux], du plus petit au plus grand, et dresse-la sur la montagne de Sir ». (NH II, 4 L’Hypostase des archontes, 92,5-13).
Arche ou symbole de la Loi par excellence ! L’Archonte des puissances est une variation de Yahvé : Sabaôth ou fils de Yaldabaôth qui, après le blasphème de ce dernier, s’est repenti et a été bombardé Dieu comme le Yahvé de l’Ancien Testament par Sophia la Sagesse (sa grande erreur de création). Par la suite le Yaldabaôth sera précipité dans le Tartare (machine à laver antique où l’on se lave de ses péchés en une super réchauffement climatique… ).
Par « bois imputrescible » l’auteur du NH II, 4 assimile ensemble l’Arche de Noé avec l’Arche d’Alliance ; que nous retrouverons aujourd’hui avec le noachisme et sa variation depuis 1789 : LES DROITS DE L’HOMME et le « vivre ensemble » du républicanisme et de sa religion de laïcité.
Par rapport à l’Arche de la Bible qui permettait l’accès à l’Arche aux femmes, seul Noé et ses fils y sont admis ; les femmes et surtout Nuréa sont exclues de cette alliance.
La montagne de Sir est une allusion possible à la montagne de Seir, au pays de Sodome, où des hommes auraient dressé sur cette montagne une double colonne sur laquelle ils auraient consigné leurs connaissances (ou lois) afin qu’elles ne soient pas détruites ni par l’eau du déluge, ni par un déluge de feu. Immédiatement on pense aux deux colonnes chères aux judéo-maçons spéculatifs : Yakin (ou Jakin) à droite, et Boaz à gauche.

DÉLUGE : c’est la machine à lever-laver antique ! Il ravive les couleurs, enlève les tâches ou péchés tenaces ! Il est comparable au BAPTÊME. Il faut donc partie des CYCLES : on lave son linge sale, donc ses Noms-les Formes dès que nécessité !
Mais le déluge dans l’Ancien Testament est comparable à la révolution française de 1789 : une totale tabula rasa ou division entre les Anciens ou « sauvages » ou Païens, et les « Modernes » ou « civilisés » (ceux qui s’éclairent avec des ampoules électriques et qui s’envoient en l’air avec un avion). Donc le déluge est censé avoir éliminé tous ces Païens et « primitifs » de l’Ancien monde, de l’ÂGE D’OR, pour faire place aux « Citoyens » des cités modernes et marchandes. Nous sommes les deux pieds dans l’évolutionnisme ou flèche du temps sans espoir de retour, et SANS JUS : ÇA NE BOUCLE PAS, ÇA NE CIRCULE PAS. Mais, mais, mais, des textes mythologiques celtiques irlandais narrent l’aventure d’un homme qui a échappé au déluge biblique, en arrivant à chevaucher sur une vague, puis en dormant pendant plusieurs siècles sur le sable fin d’un grève, avant de retransmettre aux savants d’Irlande toute la Science traditionnelle dont il avait le dépôt, surtout la haute technologie incomparablement supérieure à la merde thermodynamique d’aujourd’hui ! Cette légende est proprement EXTRAORDINAIRE.
Celui qui échappa au déluge biblique est l’homme primordial nommé FINTAN le Druide. Le BLANC DE L’INSTANT, opposé au Rouge Adam en évolutionnisme entre un passé Rouge et un futur Bleu.

FINTAN le Druide ou Vindo-senos : Uindos, blanc en gaulois, de uinda, uindus, uindilla… du nom de lieux comme Uindonissa qui deviendra Windisch (Suisse), uindilis (ancien nom de Belle-Île, etc), du français vendoise (issu de uindesia), comparable au vielle irlandais find, au gallois gwynn, gwenn, au vieux cornique guyn et au vieux breton guinn (blanc). Remonte à la racine weid- (voir, savoir), etc. (Réf. Dictionnaire Français-Gaulois, de J.P. Savignac).
Le gallois gwynn, gwenn est à rapprocher du sumérien gudu, gudug (pureté rituelle des prêtres, onction divine).
Fintan, intermédiaire entre Tréfuilngid (Lug) et les hommes de l’Irlande, enseigne aux princes réunis à Tara qu’il faut conserver sans jamais rien y changer la division de l’Irlande en cinq provinces avec une province centrale, Meath, dont la capital est Tara.
Fintan, fils de Labraid, fils de Lamech, fils de Bochra, fille d’Athiar, fils de Nuall, fils d’Anda, fisl de Caïn, fils de Noé.
Fintan est aussi l’interlocuteur avec le Faucon (ou l’Aigle) d’Aichill. (Réf. Les Druides, de Françoise Le Roux et Christian-J. Guyonvarc’h).

Fintan dort pendant plusieurs siècles sur le sable fin d’une grève : voir le sable (du Sablier) permettant de passer du supérieur à l’inférieur et l’inverse : « Tout ce qui est en Haut est comme tout ce qui est en Bas, et l’inverse » dit une devise alchimique. Mais le Sable c’est les petits paquets, les grains, les quanta. Sable liquide comme l’eau prenant n’importe quelle forme comme le FEU, et également abrasif comme Eau et Feu. Ainsi le Sable est symbole de la Matrice (voyez le plaisir que l’on éprouve à marcher sur une plage de sable fin, si possible non encore polluée par le goudron des Couilles en or !). Le Sable est comme la machine à laver déluge : une régénération (voyez les monuments de l’Égypte ancienne). Sable et Pierre sont bien symbole de la DURÉE-ÉTERNITÉ.


[En haut de page : aquarelle de Michel Roudakoff, paysage en Italie].
 
 

Dernière mise à jour : 23-12-2015 23:43

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