Duel-Dualité : Occident contre la Paix. Occire-Occident : les tueurs de Tout : « mauvaises herbes », microbes, insectes, terroristes, extraterrestres, etc.
« Chacun et un suicidé. L’état éternel, naturel, plein de félicité, a été étouffé par cette vie d’ignorance. Sous cet aspect, la vie actuelle est le résultat du meurtre, de l’Être pur et éternel. N’est-ce pa une forme de suicide ? Par conséquent, chacun est un suicidé. Pourquoi alors vous préoccuper des meurtres ? » (Ramana Maharshi, entretien 53).
Les fameux « terroristes » si à la mode des cancéreux du pouvoir ne sont que dans leur cervelle malade ; de plus ils s’inspirent directement de la révolution française, ou plutôt du coup d’État de 1789 qui remis au goût du jour la TERREUR. En effet :
« Le monde peut-il exister sans quelqu’un qui le perçoive ? » comme l’énonce R. Maharshi dans ce même entretien. Donc les républicains qui remirent en place la Terreur avaient le cerveau malade. Car : « Qui est apparu en premier ? La conscience d’être ou la conscience du monde ? La conscience d’être est toujours là. Elle est éternelle et pure. la conscience du monde apparaît et disparaît. Elle est transitoire [comme le régime républicain, comme l'opinion]. Question : Le monde n’existe-t-il pas pour les autres même lorsque je dors ?
Réponse : Un tel monde se moque aussi de vous de vouloir le connaître sans vous connaître vous-même. Le monde est le produit de votre mental [c’est symbolisé par l’Ouroboros QUI SE MORD LA QUEUE]. Connaissez d’abord votre mental et ensuite voyez le monde. Vous réaliserez qu’il n’est pas différent du Soi » (Ramana Maharshi, entretien 53).
LE TONNERRE OU DUALITÉ ZIG ET ZAG ou DÉCOCHER DES FLÈCHES : tonner comme un Dieu, ou plutôt comme une OPINION ou
« liberté d’expression » cette JOUISSANCE DE L’EGO. La quincaille se ralliant au « Bien ».
Au nom du « Bien » les pires horreurs sont commises depuis les 10MVAG (10.000 ans de la voie de l’Agriculture).
RAPPEL : au nom du « Bien » est apparue le colonialisme suite aux Conquistadors sous couvert de l’Église de Rome et de ses papes ; les Cathares furent exterminés au nom de ce « Bien » ; les Vendéens furent exterminés en 1793 au nom du « Bien » des républicains, etc. etc.
« Tuez les tous, Dieu retrouvera les siens » comme disaient l’opinion de ces cancéreux du pouvoir rongé par leur « Bien ». Mais enfin :
Quel Dieu abominable, et surtout minable, que celui qui aurait, comme le Yahvé (Yaldabaôth) des Hébreux-Juifs, besoin de cadavres pour assouvir son ego ou justice ! Et depuis quand un Dieu a-t-il un ego ? L’opinion ne peut qu’être POURRITURE tant elle est échoué sur le rocher dualité.
LE TONNERRE est bien-sûr la dualité d’un Dieu puisqu’il se manifeste par ses ZIGZAG ou éclairs ! Bref, il fait du bruit POUR FAIRE PEUR : par exemple les Gaulois avaient peur que le ciel leur tombe sur la tête. Tonnerre et foudre apparaissent ainsi dans le mental des gens comme des CHÂTIMENTS, voulant dire que ces mêmes gens se sentent coupables de quelque chose. Les divinités du Tonnerres sont aussi maîtresses de la pluie, donc de la végétation et relèvent du cycle symbolique lunaire. Chez les Aztèques,
Tlaloc (en haut de page, ou le Chac des Mayas en bas de page), Dieu des pluies, de l’orage et du Tonnerre et de l’éclair se tient à l’Est, pays du renouveau printanier. Qui dit Tonnerre dit ZigZag et donc Feu-Forgeron…
LE TONNERRE INTELLECT PARFAIT, Nag Hammadi NH VI, 2.
Dualité toujours actuelle entre Païens (les barbares, les idolâtres, les terroristes), et les Chrétiens ou Juifs (les civilisés, la démocratie et sa « sécurité », l’Occident, l’Église de Rome, et ses calotins de la Rédemption, SOIT LES PIRES CHOSES DEPUIS LES 10MVAG). Dualité entre la « sagesse » des Grecs et la « connaissance » des Païens ou Barbares. Le NH VI, 2 est un traité contre la dualité, soit rechercher le QUI SUIS-JE ? afin de retrouver l’immortalité.
L’actuelle dualité et sa mode du terrorisme qui replace l’ancienne mode de la peur du socialisme de l’URSS est l’horreur actuelle poussée à son maximum depuis les 10MVAG ! Car c’est ENFERMER l’humanité dans des catégories ou étiquettes contradictoires et opposés qui ne sauraient valoir à l’endroit de la Libération : forme-non forme, Dieu-non Dieu, loi-non loi.
La locutrice du NH VI, 2 fait penser à Isis tant elle prétend à une connaissance universelle. Si elle lorgne vers les travailleurs du chapeau juif, elle affirme le contraire en se disant « sans instruction ». Si le NH VI, 2 évoque le milieu et l’opinion juive, ce milieu devait être marginal.
LE TONNERRE peut donc aussi symboliser l’AUTORITÉ ou CHEFFERIE, ce qui renvoie à mon refrain préféré en l’entretien 264 de Ramana Maharshi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». Ainsi, prenez le cas de
Henry Kissinger, il n’a aucun pouvoir, SAUF CELUI QUE LUI CONFÈRENT D’AUTRES PERSONNES. Ainsi l’autorité est bien un ARTIFICE comme les humains inventant Dieu et par Cause-Effet ce Dieu invente les Humains. L’autorité, l’uniforme, n’est en aucun cas un gage de Sagesse ou de Connaissance puisqu’il est fabriqué par le grégarisme, par l’opinion. Kissinger n’a aucune faculté de Connaissance ou d’une quelconque vérité en lui ! IL N’EST QU’UN MENEUR MIS EN PLACE PAR D’AUTRES.
« C’est de la puissance (
‘Celui qui se tient debout’, comme les Gnostiques, donc qui est « dans ses pompes »] que, moi, j’ai été envoyée et c’est vers ceux qui pensent à moi que je suis venue et j’ai été trouvée chez ceux qui me cherchent.
Regardez-moi, vous qui pensez à moi, et vous auditeurs, écoutez-moi.
Vous qui êtes attentifs à moi, recevez-moi auprès de vous et ne me chassez pas de devant vos yeux et ne laissez pas votre voix me haïr, ni votre ouïe. Ne m’ignorez en aucun lieu non plus qu’en aucun temps. Gardez-vous de m’ignorez ! Car c’est moi la première et la dernière.
C’est moi celle qui est honorée et celle qui est méprisée. C’est moi la prostituée et la vénérable. C’est moi la femme et la vierge [le thème de la vierge ou de la femme stérile est biblique]. C’est moi la mère et la fille. Je suis les membres de ma mère.
C’est moi la stérile et ses enfants sont nombreux. C’est moi celle dont les mariages sont multiples et je n’ai pas pris de mari. C’est moi la sage-femme et celle qui n’enfante pas. C’est moi la consolation de mes douleurs. C’est moi la fiancée et le fiancé [thème de l’Androgyne ; la locutrice dépasse en les additionnant les relations d’autorité et de dépendance fondées sur la génération et le mariage, la filiation] et c’est mon mari qui m’a engendrée. C’est moi la mère de mon père et la sœur de mon mari, et c’est lui mon rejeton.
C’est moi la domestique de celui qui m’a formée. C’est moi la maîtresse de mon rejeton. Or c’est lui qui m’a engendrée avant le temps dans une naissance prématurée et c’est lui mon rejeton dans le temps et ma puissance, elle est issue de lui. Je suis le bâton de sa puissance dans son enfance et c’est lui la canne de ma vieillesse et ce qu’il veut se produit par rapport à moi.
C’est moi le silence qu’on ne peut saisir et la pensée dont la mémoire est riche. C’est moi la voix dont les sons sont nombreux et la parole dont les aspects sont multiples. C’est moi l’énoncé de mon nom.
Pourquoi, vous qui me haïssez, m’aimez-vous et haïssez-vous ceux qui m’aiment ?
Vous qui me reniez, confessez-moi et vous qui me confessez, reniez-moi.
Vous qui dites vrai à mon sujet, mentez à mon propos, et vous qui avez menti à mon propos, dites la vérité à mon sujet.
Vous qui me connaissez, ignorez-moi et ceux qui ne m’ont pas connue, qu’ils me connaissent. car c’est moi la connaissance et l’ignorance [la locutrice se place au-dessus de l’opinion].
C’est moi la honte et l’assurance. Je suis effrontée. Je suis réservée. je suis hardiesse et je suis frayeur. C’est moi la guerre et la paix.
Soyez-moi attentifs, moi l’avilie et la notable ! Soyez attentifs à ma pauvreté et à ma richesse !
Ne soyez pas méprisants à mon égard alors que je gis sur la terre et vous me trouverez chez ceux qui doivent venir. Si vous me voyez sur le fumier, ne passez pas non plus et ne me laissez pas gisante, et vous me trouverez dans les royaumes. Si vous me voyez alors que je gis chez ceux qui sont avilis et dans les lieux les plus humbles, ne vous moquez pas non plus de moi. Ne me rejetez pas non plus avec sévérité chez ceux qui sont déficients.
Or moi, je suis compatissante et je suis impitoyable.
Gardez-vous de haïr mon obéissance, et ma continence aimez-la. Dans ma faiblesse, ne m’oubliez pas et ne craignez pas devant ma puissance.
Pourquoi, en effet, dédaignez-vous ma frayeur et maudissez-vous ma jactance ?
Or c’est moi qui suis dans toutes les craintes et c’est moi la hardiesse dans le tremblement. C’est moi celle qui est maladive et c’est en un lieu agréable que je suis saine.
Je suis sotte et je suis sage [ici la « faiblesse d’esprit » symbolise le mental en ego maîtrisé. Aussi bien les Païens que l’aube du christianisme disent la même chose] ».
(NH VI, 2
Le Tonnerre, Intellect parfait, 13,1-15,30).
Dans un texte cité en fin de page, John Lash écrit que : « Wilhelm Reich a souligné que la puissance des tyrans, tels qu’Hitler et Staline, ne réside pas en une quelconque agence ou force mystérieuse qu’ils posséderaient, mais bien dans le vide pur au sein duquel ils opèrent ». John Lash termine son texte par cette importance : « Il n’existe aucune autorité au monde qui puisse gouverner la planète. La seule autorité qui puisse diriger vos actions, c’est votre propre conscience autonome, ou celle d’un autre individu qui agit en harmonie avec la conscience, libre de toute position d’autorité, libre d’imputation, libérée de la contagion illusoire du contrôle délégué, du contrôle à distance ».
« La “correction” à deux voies de Gaïa positionne l’humanité à une bifurcation chaotique de l’espèce qui peut soit se diriger dans une direction, avec elle, vers les transmutations “avec et dans” ses desseins, soit prendre l’autre direction, sans elle, vers l’entropie morale et l’inhumanité, c’est à dire vers l’auto-extinction » (John Lash : Déconstruire la réalité sociale, partie 1, sur liberterre.fr). Ce qui correspond aux deux voies, comme pour les Chasseurs-Cueilleurs qui avaient la possibilité de choisir entre la voie de l’Horticulture, ou celle de l’Agriculture. Nous en sommes au même point à choisir entre la Victoire Divine ou la Victoire Luciférienne (celle du N.O.M. et du damier noir-blanc judéo-maçonnique symbolisant la tyrannie de l’opinion). Dans une voie comme dans l’autre, le « Bien » disparaît et seule demeurera : ou la Victoire du N.O.M. ou monde Luciférien ; ou la Victoire de l’Unité Originelle (Âge d’Or entre autres).
Peindre à l'aquarelle
