L’EGO OU LA NÉGATION DE L’AUTRE ou POSSESSION (1)
L’Occident et sa civilisation « moderne » est XÉNOPHOBE par essence (voyez le phénomène des tétéphones portables et des « réseaux sociaux » de ce peuple de Zombis).
Seule la Re-Connaissance permet le vrai « vivre ensemble » : l’ouverture vers les autres, et sans la division provoquée par les « lois humaines » toujours plus inhumaines et la négation de l’autre comme actuellement.
XÉNOPHOBE : l’autre, considéré comme un virus, d’où d’ailleurs le succès des vaccins depuis 1945, et Louis Pasteur… La mode du « terrorisme » est de la Xénophobie d’État.

Con-Templer : être AVEC le Temple, et non posséder !
A-mi : privation de moitié, l’ami est un second soi-même.
Quand on est en réception, il devient un JEU D’ENFANT de recevoir le Sacré. (Le Sacré qui n’est nullement une opinion. Il faut le vivre pour l’admettre. Le vivre hors du temps bien-sûr).

 

Le croyant dit : « Je ne comprend pas, mais je crois » (il porte des œillères).
Le consommateur dit : « Je ne connais rien à le technique de l’économie, mais j’utilise l’argent si pratique ».
Les deux sont prisonnier de l’opinion, ils portent des œillères (2).
Désormais, plus de 4000 ans de croyances, ce n’est plus possible ; il faut des SACHANTS (DES GNOSTIQUES). Le croyant est encore prisonnier du désordre qui est en lui. Il est encore prisonnier de son ego, et contamine les autres qui se nourricent du désordre de son ego. Seul, le Christ ou Soi transcende ce conflit de l’individuel et du collectif.
Il en est de même du sacré, qui est double, et qui peut bouffer entièrement l’individu ; alors icelui hésite à embrasser le sacré car il risque de regretter sa condition humaine à laquelle il s’était habitué : son ‘je’, à sa possession comme l’est l’opinion.

SACHANT (abandon de l’ego) : reconnaître, donc re-naître, pour découvrir qu’il n’est personne qui, même un Instant, ne fasse l’expérience du Soi, et par conséquence de l’Instant. Chacun est le Soi-Instant. « Le Soi est le Cœur ».
La Vraie Connaissance est au-delà de la connaissance relative et de l’ignorance. En elle, il n’y a ni sujet ni objet » (d’après Ramana Maharshi, entretien 68).

- Ramana Maharshi : Dans le sommeil profond vous existez ; au réveil, vous existez toujours. C’est le même Soi dans les deux états. Ce qui fait la différence est seulement la conscience [le mental] et la non-conscience du monde. Le monde apparaît avec le mental et disparaît avec lui. Ce qui apparaît et disparaît n’est pas le Soi. Le Soi est différent, il donne naissance au mental, le soutient et le résorbe [Involution-Évolution]. Ainsi le Soi est le principe sous-jacent » (entretien 97).
Quand quelqu’un dit à Ramana Maharshi : « Je m’aperçois que je m’approche du ‘Je’ ». R. Maharshi lui répond : « C’est parce que vous êtes cela depuis toujours, et que vous ne vous en êtes jamais éloigné. Il n’y a rien de plus simple qu’être le Soi. Cela n’exige aucun effort, aucune aide (3). Il suffit de laisser tomber la fausse identité et de demeurer dans son état éternel, naturel, inhérent » (entretien 101).

Évidemment le Sachant c’est le contraire de cette civilisation de technologie et de speed : il est SILENCE, donc éloquence incessante ; et l’inactivité [ou le non-agir] est activité incessante (Ramana Maharshi, entretien 60).
Avec les « réseaux sociaux » on est au contraire avec un bavardage permanent et stérile. Quant au Faire/Fer nous en visons le résultat !!!
« Le silence est un discours sans fin. La parole émise fait obstacle à la parole silencieuse. Dans le silence on est en contact intime avec son environnement [on en voit l’ensemble, ON L’EMBRASSE]. Le silence est un enseignement » (d’après Ramana Maharshi, entretien 68).

SILENCE : état qui se manifeste après l’annihilation de l’ego. Cet état est au-delà de la lumière et de l’obscurité [ou dualité], mais est encore appelé lumière parce que aucun autre nom approprié n’a pu être trouvé (réf. R. Maharshi, entr. 122).
« Quand la source de la pensée ‘je’ est atteinte, la pensée s’évanouit et ce qui reste est le Soi » (entretien 130).
Faire Un avec le Suprême = absence d’ego.

Si vous êtes le corps ou ego, alors vous êtes dans la dualité sujet-objet ou monde extérieur.
Si vous êtes le Soi-Instant, le monde vous apparaît comme l’Être absolu.

Notes.
1. Celui qui marche dans une rue de Paris perdu dans son tétéphone portable, est regardé par l’autre d’une façon différente (avec comme un air de reproche, parce que le tétéphoniste sera considéré comme un égoïste : celui qui tétéphone me renvoie à la gueule son ego ; IL DIVISE, IL EST UNE CHARGE, IL EST UN ESCLAVE, UN ZOMBI).
Sous l'illusion d'une liberté individuelle totale (la démocratie), les gens sont poussés à des routines inconscientes et à un endoctrinement comportemental les apparentant à des robots. La mentalité de fourmilière se manifeste de très nombreuses manières et de la façon particulièrement visible avec le tétéphone portable et ses « textos », ses « selfies », etc. Ce monde devient digitalisé, normalisé.

2. Les œillères de la croyances : l’opinion patriarcale, le scénario conventionnel des religions Abrahamiques a conduit l'espèce humaine tellement loin sur une voie de psychose et de robotisation humaine que nous devons nous demander si la survie humaine est encore possible tant que cette HISTOIRE gouverne le monde, surtout occidental.

3. Puisque la mode des Star Wars gonfle, il est important de comprendre que LA FORCE, star à toutes les sauces dans cette industrie de Hollywood N’EST PAS LE SOI, puisque il faut être Jedi pour « l’utiliser » comme si c’était un sabre laser ou une casserole pour cuire sa soupe ; et surtout cette « force » est duelle, puisqu’utilisée en bien et, ou en mal ! Dualité Bien-mal toute Zadikkim ou « élu » ; cette dualité winners-losers à la Pharisien et Super Carotte en forme de « fin des temps ». Super Carotte ou INSATISFACTION-RÉ-CONFORT. La Force des Star Wars ne peut être le Soi puisqu’elle PRODUIT DES RÉSULTATS (du eyes candy nécessaire pour l’entertainment et les spectateurs qui ont payés leur place).
La Force de la saga Star Wars ressemble en partie au POUVOIR SURNATUREL HINDOU SIDDHI :
«  En Inde, le mot yoga désigne parfois des facultés dépassant les perceptions ordinaires. Dans le yoga de l’Inde, on stipule que celui qui s’entraîne « peut se rendre infinitésimal à volonté ». Cela ne signifie pas qu’il subit une diminution de la taille de son corps, mais seulement que la conception qu’il a de lui-même peut être minimisée à un point tel qu’en comparaison, les objets normalement petits lui paraissent grands. Les deux chercheurs [Leadbeater et Annie Besant] avaient été entraînés par leurs gourous ou instructeurs orientaux à exercer cette faculté du yoga hors du commun, si bien que lorsqu’ils observaient l’atome d’un composant chimique, il leur apparaissait très agrandi.

Lorsqu’il utilise cette méthode, le chercheur est conscient, et non dans une transe quelconque. Il emploie ses facultés ordinaires pour enregistrer ce qu’il observe ; il dessine sur une feuille de papier un croquis de ce qu’il voit, et est à même de décrire ses impressions, que l’on peut transcrire en sténo. De même qu’un observateur au microscope peut décrire ce qu’il observe sans quitter de l’œil l’opercule afin qu’on l’enregistre, le chercheur clairvoyant qui observe un atome ou une molécule peut décrire la vision à laquelle il est confronté. Ce qu’il voit n’est pas subjectif, au sens d’une création de l’imagination, mais aussi objectif que le papier et le crayon que j’utilise pour écrire ceci.

L’objet observé, qu’il s’agisse d’un atome ou d’un composé, est vu exactement tel qu’il existe normalement, il n’est soumis à aucune tension produite par un champ électrique ou magnétique. Comme chaque élément se meut rapidement, la seule énergie mise à contribution est une certaine forme de volonté, susceptible de ralentir suffisamment ses mouvements pour permettre d’observer les détails ». (Extraits de l'introduction à La CHIMIE OCCULTE, de Annie Besant et C.W. Leadbeater, troisième édition anglaise, par C. Jinarajadasa).

« Les pouvoirs occultes n’apporteront jamais le bonheur à qui que ce soit. Bien au contraire, ils le rendront d’autant plus malheureux », dit Ramana Maharshi à l’entretien 20. Voyez ce qu’il en coûte à l’empereur des six épisodes des Star Wars !
Ramana Maharshi ajoute : « À quoi servent ces pouvoirs ? Le soi-disant occultiste (siddha) désire exposer ses pouvoirs afin d’être apprécié [ou redouté] par les autres. Il recherche la reconnaissance et s’il n’en reçoit pas, il est malheureux. Il faut absolument que les autres l’apprécient [ou le redoute]. Il peut rencontrer quelqu’un dont les pouvoir sont supérieurs aux siens. Il en éprouvera de la jalousie et sera encore plus malheureux. Un grand occultiste peut toujours rencontrer un occultiste encore plus grand que lui, et ainsi de suite jusqu’à ce que survienne quelqu’un qui volatilisera tout en un clin d’œil. Un tel personnage est le plus haut adepte (siddha) et Il est Dieu ou le Soi ». Évidemment l’empereur des premiers Star Wars n’était pas Dieu…. Il devait, tel l’archonte Yahvé, ou l’Empire USionistan actuel, se prendre pour le Dieu unique…. Parce que l’empereur des six premiers Star Wars, C’EST l’USionistan depuis la création de la FED.