MONDE MODERNE : corps et état animal, et animaux-humains qui s’entre-dévorent, alimentation anormale depuis les 10.000 ans de cette voie de l’Agriculture, changement, engendrement et surpopulation, feu dans les corps (société de consommation y compris du sexe, ce qui inclue l’esclavage du désir et ses chaînes), sépulcres, chute dans l’enfer œuvre de l’humain.
Le monde « moderne » apparaît comme un clou au beau milieu d’un panneau de laque, quand des perruques poudrées mettent à la mode la « raison » (sens de cause, donc dans la dualité cause-effet, du latin
calcul, donc de faculté de « calculer », soit être dans l’évolutionnisme en séquence d’idéations à la queue leu leu). C’est à partir de là qu’un certain égrégore ou opinion estime détenir la vérité à la place de l’Église de Rome, à savoir que le « droit naturel », certaines perruques poudrées disent, que tous les humains ont en commun un élément essentiel d’égalité, qu’on le nomme liberté, raison, ou conscience morale.
PROBLÈME : en principe il tourne toujours autour de l’opinion : la connaissance du Christ et de Lucifer est la même, pour la simple raison qu’il ne peut pas y avoir deux vérité : dans cet Univers, 2+2=4 pour tout le monde, et il n’appartient à personne de décider que ce sera 3 ou 5.
INTELLECT SANS CŒUR EST PRISONNIER DE L’EGO ET DONC ORGUEIL LUCIFÉRIEN, COMME NOMBRE DE JUDÉO-MAÇONS SPÉCULATIFS LE PRATIQUENT (voir les obédiences du GODF et toutes obédiences se comportant en VOYEURS, cancérisés par le pouvoir, et croyant posséder la vérité).
Dès qu’entre en piste le mot « morale », il ne peut absolument plus y avoir égalité. Car la morale n’est pas une science en soi, elle ne vaut que par ses références à l’être. Bref, est moral ce qui respect la Nature, donc toutes formes de vie. Car on confond la satisfaction morale que l’on a de soi et qui ne satisfait que l’ego, avec un état ontologique de l’Être (Je suis ce JE SUIS) :
« Il y a plusieurs demeures dans la Maison de mon Père ». La satisfaction morale de soi-même est identique aux observances rituelles : ne fume pas, le prend pas, ne mange pas trop, ne touche pas, etc., toutes des satisfactions de l’ego, donc de la chair ; il en est de même des lois humaines, si ritualisées par l’uniforme des « juges » et la pompe des « tribunaux ».
Les « intérêts moraux » sont identiques au Super Grégarisme, qui sont diversifiés à l’infini selon les situations sociales des groupes, des individus, aussi divers que les égoïsmes inconscients, que les morales de situation.
Se libérer du monde « moderne », dit déjà exposé dans le Livre de Thomas :
« Comme tu marches donc avec moi [avec le Sauveur ou Christ, ou Soi], même si tu ne le sais pas, tu le sais déjà, et l’on pourra t’appeler « Celui qui se connaît lui-même ». Effectivement, qui ne s’est pas connu n’a rien connu, mai celui qui s’est connu lui-même a déjà acquis la connaissance de la profondeur du Tout » (NH II, 7 : Livre de Thomas, 138,14-18).
Effectivement, la simplicité est ce qu’il y a de plus difficile au monde : le Sauveur : « Si ce qui vous est visible vous demeure caché, comment pourrez-vous entendre parler de ce qui n’est pas visible ? S’il vous est difficile de pratiquer les œuvres de vérité manifestées dans le monde, comment alors accomplirez-vous celles, non manifestées, de la grandeur éminente et du Plérôme ? Comment alors serez-vous appelés « ouvriers » ? C’est pourquoi, vous êtes des apprentis et vous n’avez ps encore atteint la grandeur parfaite ». NH II, 7 :
Livre de Thomas, 138,28-35.
Le monde moderne est devenu BESTIAL bien plus qu’avant la « démocratie », même si tous les corps sont en principe voués à la reproduction de l’espèce, situation humaine peu enviable pouvant conduire à l’eugénisme forcé : « Tous les corps sont venus à l’être comme les bêtes qui sont engendrées sans raison. Aussi sont-ils visibles de cette manière, comme une créature tendue vers une autre créature. C’est pourquoi les choses d’en haut ne sont pas à la façon des choses visibles, mais elles vivent de leur propre racine [la Masse du ciel], et ce sont leurs fruits qui les nourrissent. Au contraire, ces corps-ci, qui sont visibles, mangent des créatures qui leur ressemblent [Masse d’en bas
(2)]. Voilà pourquoi les corps changent. Or ce qui change [puisque ayant une naissance et une mort] périra et ira à sa perte, et dès lors n’a plus d’espérance de vie. Le corps, en effet, est bestial : donc, de même que, chez les bêtes, le corps périt, de même ces modelages périront [création de l’humain à partir de l’argile et l’ADN]. Ne provient-il pas aussi de l’accouplement, comme celui des bêtes ? S’il en provient aussi, comment pourrait-il engendrer quelque chose de différent par rapport à elles ? Voilà donc pourquoi vous êtes des petits jusqu’à ce que vous deveniez parfaits ». (NH II, 7 :
Livre de Thomas, 138,40 et 139,13).
SIÈCLE DES LUMIÈRES = SIÈCLE DE L’ENFER.
« Quiconque recherche la vérité auprès du vrai sage se donnera des ailes pour voler et fuir le désir qui brûle les esprits des hommes [comme le moderne
American way of life !] ; oui, il se donnera des ailes pour fuir tout esprit visible [illusion et opinion].
Les siècles de l’Enfer se ruent sur le visible, et paradoxe, ils font de plus en plus dans l’illusion : le FEU :
leur donnera une illusion de vérité,
il les illuminera d’une beauté périssable,
il les emprisonnera dans une douceur ténébreuse [mode du tout sécuritaire et ses lois et ses technologies],
il les captivera par un plaisir puant,
il les rendra aveugles par le désir insatiable [
American way of life et société de consommation],
et brûlera leurs âmes,
et sera pour eux comme un pieu fiché dans leur cœur, qu’ils ne peuvent jamais arrachés,
et comme un mors dans la bouche, qui les mène à sa propre guise.
« Oui, il les a liés dans ses chaînes, et tous leurs membres, il es a attachés avec l’amer lien du désir de ce qui est visible, périssable, instable, changeant. Dans le sens où on les tire, ils ont été attirés du haut vers le bas ; constamment mis à mort, ils sont traînés vers toutes les bêtes de souillure ». (NH II, 7 :
Livre de Thomas, 140,22-36)
Monde moderne des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture : Le Sauveur : « En vérité, ceux-là, ne les tiens pas pour des hommes, mais compte-les parmi les bêtes : en effet, comme les bêtes s’entre-dévorent, ainsi les hommes de cette espèce s’entre-dévorent. Mais ils sont exclus du Royaume, puisqu’ils aiment la douceur du feu [feu sexuel, ivresse et drogue, ignorance et esclavage], qu’ils sont esclave de la mort [comme les Google et ses transhumanistes] et se précipitent vers les œuvres de la souillure. Ils mènent à sa plénitude le désir de leurs pères. On les précipitera dans l’abîme, et on les fouettera en raison de la fatalité, fruit de l’amertume de leur mauvaise nature. Oui, on les flagellera jusqu’à les faire fuir, tête basse, vers le lieu qu’ils ne connaissent pas, et ils retrancheront leurs propres membres non dans l’endurance, mais dans le désespoir. Ils se réjouissent du feu par amour de la folie et de la divagation sans comprendre leur folie et ils pensent être sages [……] alors que leur cœur est tourné vers eux-mêmes, tandis que leur pensée est à leurs œuvres. Mais c’est le feu qui les dévorera » (NH II, 7 :
Livre de Thomas, 141,20-40 et 142).
Les trois bénédictions du Livre de Thomas.
« Bienheureux, vous qui prévoyez les pièges et fuyez ce qui est étranger !
Bienheureux, vous qu’on insulte et qu’on méprise à cause de l’amour que votre Seigneur vous porte !
Bienheureux, vous qui pleurez et qui êtes opprimés par ceux qui n’ont pas d’espérance, car vous serez déliés de tous liens ! »
Veillez et priez pour ne pas rester dans la chair [et chaire], mais pour sortir des liens amers de la vie ; et, en priant, vous trouverez le repos, parce que vous avez rejeté la peine et l’insulte. En effet, quand vous sortirez des peines et des passions du corps, vous trouverez du repos de la part du Bon, et vous régnerez avec le Roi [sens de sens étatisme puisque Réalisation du Soi], vous, unis à lui, uni à vous, dès maintenant et à jamais. Amen ». (NH II, 7 :
Livre de Thomas, 145,1-15)
« Régnez avec le Roi » évoque la « démocratie », mais bien plus : il n’existe ni monarchie, ni république, ni tyrannie, donc plus d’État ou chefferie toujours catastrophique.
Le monde « moderne » c’est l’orgueil de l’humain devenu incommensurable ! Il veut la liberté et refuse la « soumission » mais est plus que toutes les autres formes de vie la créature la plus soumise à son mental. Il se croit tout permis parce qu’il croit tout posséder ou consommer, donc tout dominer À DES FINS PUREMENT HUMAINES, SANS PENSER AUX AUTRES FORMES DE VIE. Il croit même pouvoir acheter Dieu. L’histoire ou chronologie tueuse nous apprend que l’humain a la maladie psychotique de la domination, sur ses frères et sœurs humains, sur les autres formes de vie, ce qui principalement se traduit par LA GUERRE.
Notes.
1. Le but est toujours le même : la liberté, le bonheur, et toute la quincaillerie habituelle vendue aussi par les religions : « Les gouvernements sont institués parmi les hommes pour garantir ces droits [cité ci-dessus] et ils tirent leurs justes pouvoir de consentement des gouvernés » (
Declaration of Independance, du 4 juillet 1776, cité par Bernard Manin dans son livre :
Principes du gouvernement représentatif).
Bernard Manin montre l’historique de l’élection que le républicanisme copia sur la Rome antique : « Ce qui touche tout le monde doit être considéré et approuvé par tous ». Ou en d’autres maux/mots, de 1789 : « Tous les citoyens ont le droit de concourir, par eux-mêmes ou par leurs représentants, à la formation de lois, et de ne se soumettre qu’à celles qu’ils ont librement consentit ». Ça, c'est le règne de l'opinion, et c’était le projet des « droits de l’homme » de 1789. On voit le résultat à notre époque d’oligarchie ou plutôt de ploutocratie !
Bref, en passant de John Locke et des philosophistes matérialistes jusqu’aux « spécialistes » modernes, les humains seraient « libres » et ne doivent pas être soumis au pouvoir politique d’un autre, sans son consentement… Bref, pur mensonge parce que l’humain des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, demande-t-il la permission à la vache de la tuer pour la manger ? Demande-t-il à Gaïa-Sophia la Terre la permission de bétonner ses sols et de polluer ses mers ?? Parce TOUT EST LIÉ, TOUT EST VIE, DONC LIBERTÉ.
« À partir du moment où la source du pouvoir et le fondement de l’obligation politique étaient ainsi placés dans le consentement ou la volonté des gouvernés, le tirage au sort et l’élection apparaissaient sous un jour nouveau » écrit Manin. Il a en partie raison, bien qu'il reste encore dans l'optique d'un gouvernement, mais le tirage au sort présente un caractère incontestable qu’IL NE FAIT PAS INTERVENIR LE MENTAL DE L’HUMAIN ET NE PEUT PAS PASSER POUR UNE EXPRESSION DU CONSENTEMENT, DONC IL EST LIBÉRÉ DE LA TYRANNIE DE L’OPINION (opinion publique ou grégarisme, la loi du plus grand nombre et tant pis pour la qualité).
Tirage au sort ou répartition des charges.
2. LES TRIPLES MASSES : en plus de la Masse de Terre, la Masse du Ciel, il existe la Masse de l’Enfer (Ange Tartaroukhos, ou Ange du
Tartare), c’est donc l’Enfer du Ciel ou Enfer aérien, celui qui fait peur aux Gaulois…
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