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Technologie = MAIN - MANOVRIER Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 14-01-2016 23:20

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Technologie = MAIN - MANOVRIER
première « machine » à compter
L’OUVRIER EST CELUI QUI OUVRE OU ŒUVRE
 
 
De la Main à « l’intelligence artificielle » ???
DEMAIN : TOUS CHÔMEURS ! Donc tous cools !
Mais alors, quoi faire dans ce cool ?
Puisque on sera à l’abris des « fortes chaleurs » ou speed ?
On sera dans le REFROIDISSEMENT CLIMATIQUE !
On sera DANS LA PAIX.
Évidemment ce serait trop beau que
les machines nous offre la « paix » !
Voyez le résultat des « intelligent-phones »
qui crétinisent tous ses possesseurs !
Idem pour la tétévision moderne équivalente des
« du pain, du vin, des jeux » de l’Empire.
Ce ne sont pas les transhumanistes
et les Google qui nous fourbirons la « paix ».
Voyez tous ces vendeurs de « paix » issus de
l’oligarchie du monde anglo-américain
qui foutent la merde et la violence partout.
Ne soyons pas tous kippatisé !
Ne soyons pas tous smarphonisé !
LA VRAIE PAIX NE PEUT VENIR QUE DU SOI
DONC DE L’INTÉRIEUR.

En l’état actuel du cerveau humain, il existe trois conceptions du monde :
- Il s’est créé spontanément.
- Il s’est créé au « hasard ».
- Il s’est créé grâce à la Providence.

MANŒUVRE : de MAIN [Manovrier] ouvrier manuel ; de BRAS [Braceor] celui qui charge quelque chose avec ses bras. La Main, le Bras, sont bien-sûr ANDROGYNES.
De nos jours avec le passage par la société industrielle et ses machines au cour du 19è siècle, le mot Manœuvre est devenu péjoratif, mais il était déjà méprisé au Moyen-Âge, qui commençait avec Saint Louis à tomber dans le mercantilisme (voir les Croisades qu’il fallait financer) !
 
MAIN : première machine à compter, donc OUTIL.
NON, n’en déplaise aux Hébreux-Juifs, les chiffres ne sont pas Tout. Ce ne sont pas les chiffres qui régissent l’Univers, car les chiffres sont aussi une production du mental, comme l’Univers. Ainsi notre mental fait que le monde a l’apparence de propriétés physiques exprimables abstraitement, donc par le mental, par des chiffres. Le nombre ne vient pas d’un alphabet comme se l’imaginent les Hébreux-Juifs, le nombre ne vient pas des choses, ni un alphabet quelconque. Tout cela est la production du mental en travail sur les choses, donc sur lui-même. Avec son mental, l’être humain a réussit à se servir de son invention des chiffres, surtout à partir de sa MAIN et ses PHALANGES et ses DOIGTS, pour arriver à la folie technologie actuelle. Mais, par exemple, l’humain dans sa maison, n’habite pas l’escalier, il s’en sert pour monter et pénétrer ailleurs ; alors l’humain ne séjourne pas dans les chiffres, comme s’y vautrent les Hébreux-Juifs qui en ont fait un dogme, mais le mental arrive par ces chiffres à une certaine technologie, qui n’est pas le Tout. Les chiffres ne sont pas le « plus haut degré de la connaissance ». Pythagore n’est pas Dieu.
Encore une fois, si la « réalité » ou plutôt ce monde spatio-temporel suggère le nombre, il ne le contient guère.

Au « début », le « primitif » ne concevait l’Unité que par la PAIRE, soit la dualité Cause-Effet, ou Jour-Nuit, etc. Et le résultat, le « trois » ou « solution », ça donnait le SEL, le SALAIRE ou TOTALITÉ, la pluralité, donc LA LIMITE, avec l’exemple de la Trinité impossible à comprendre parce qu’insaississable.
Mais, qu’est-ce que c’est le chiffre ? Parce que Georges Ifrah dans son monumentale Histoire universelle des Chiffres, donne l’exemple d’un homme qui, entendant sonner 4 heures à l’horloge, se met à faire le compte : une, une, une, une ; et il se met à crier : « Voilà que l’horloge est devenue folle, elle a sonné quatre fois une heure ! ». Cet homme-là devait être un Réalisé ! Donc un fou aux yeux des vivants illusionnés du spatio-temporel ou Chronologie tueuse.

Les chiffres apparaissent évidemment avec la naissance des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture (10MVAG) : il fallait « compter » les animaux domestiqués et les boisseaux de blé, etc. On tombait dans le matérialisme, l’heure. C’était le début du commerce : le marché, de marcher ou avancer sur un chemin et y déposer des cailloux, comme Poucet pour retrouver son chemin, ou FAIRE DES CALCULS, DES CAILLOUX ! On commençait à inventer l’évolutionnisme ou le temps qui coule.

Qui dit chiffres dit BASE pour compter. Actuellement nous utilisons la base 10. Je vois dans le Nag Hammadi (Marsanès, NH X), l’utilisation naturelle de LA MAIN, première base, donc BASE 13 : les 12 phalanges des 4 doigts, et le pouce servant à « pointer » ou instanter une des phalanges pour donner une SEL ou RÉSULTAT. Base 13 chez Marsanès, mais en utilisant les deux phalanges du pouce ça fait une BASE 14 (le 14 étant comme le TAO, l’Inconnaissable à jamais).
En effet, comme le précise les Gnostiques, dont le prophète Marsanès, chercheur et visionnaire des réalités supérieures, la véritable perception de la Réalité se réalise par une connaissance non connaissante (la dualité ou sujet-objet est morte).
Marsanès recourait à l’ADN COSMIQUE : configuration de l’âme selon des paramètres exacte des planètes et de leur position, des étoiles et des signes du Zodiaque, qui présentent des qualités analogues à celle des formes de l’ADN, de l’âme, et évidemment des lettres de l’alphabet.
Marsanès établit une hiérarchie cosmique en TREIZE SCEAUX (treize SEL), DONC 12+1 SELON LA MAIN.

En partant de Haut en Bas :
- Le treizième sceau est le Silencieux, Principe Suprême, Premier inengendré, Source de toute chose. Il ne déploie aucune activité.
Chez Ramana Maharshi (entretien 100 commentant quelques vers de la Kaivalya) le treizième sceau correspond aussi au Suprême : Connaissance absolue, témoin, centre brillant de lui-même, le Cœur, le Soi.
- Le douzième sceau : Esprit invisible, principe suprême et premier élément de la triade séthienne formée du Père, de la Mère, du Fils. Il est le second principe identifié à l’inengendré, et considéré comme « l’activité » et le « Silence non substantiel » du Silencieux. Comme tel, il est identique à la première puissance du Triple Puissant.
Chez Ramana Maharshi, il pourrait correspondre à l’Individu, le jîva (être vivant, âme individuelle), le connaisseur, constitué de lumière réfléchie et de vritti (activité mentale, mode mental à l’état latent).
« Les modes du mental prennent la forme des objets extérieurs et la lumière, réfléchie sur eux, illumine ces objets. Il faut se désintéresser des modes du mental et regarder la lumière qui les illumine. Le mental s’apaise et la lumière resplendit par elle-même. le mental changeant (c’est-à-dire le mental associé à rajas = activité et à tamas = obscurité) est communément connu comme le mental.  Dépourvu de rajas et de tamas, il est pur et brille par lui-même. C’est la Réalisation du Soi. C’est pourquoi ont dit que le mental est le moyen pour l’atteindre » (R. Maharshi, entretien 100).      
- Le onzième sceau, Triple Puissant, ou Trois fois puissant, instante le Silencieux inconnaissable. Il se déploie en trois phases, dont chacune instante, ou actualise, une des trois puissances : l’Esprit invisible, l’aspect féminin préexistant du Triple Puissant, et l’aspect masculin, dynamique, de l’Éon de Barbélô (étymologiquement : « Dieu en quatre », tétrade ou somme de la monade et de la triade).
Chez Ramana Maharshi, le onzième sceau peut correspondre à l’intellect ou mental dirigé vers l’extérieur (la buddhi ou intellect, et la mana ou esprit, mental) constitués de vritti et de lumière réfléchie, telle une pousse ; c’est l’antahkarana, organe interne.

- Le dixième sceau, Éon de Barbélô, est le troisième niveau de la Triple Puissance, représentant la figure maternelle androgyne de la triade séthienne. Marsanès décrit celle-ci comme « la vierge qui devint mâle parce qu’elle se sépara du mâle : « Voilà pourquoi la vierge devint mâle : parce qu’elle se sépara du mâle » (NH X, 9,1-3).
Dans deux autres écrits séthiens, Zostrien et Allogène, l’Éon de Barbélô contient trois niveaux ontologiquement distincts : Kalyptos (le caché), Protophanès (le premier manifesté), et Autogène (celui qui s’est engendré lui-même, comme par exemple Ptah). Dans cette Trinité on a donc le déploiement de l’être à l’intérieur de cet Éon.
- Le neuvième sceau, la tête de la puissance, qui s’est manifesté dès le commencement, contient les archétypes des réalités qui lui sont inférieures.
- Le huitième sceau est l’intellect mâle à son commencement : Protophanès, intellect divin contenant le monde intelligible.
- Le septième sceau, l’Autogène, troisième intellect parfait, préside aux autoengendrés individuels : aux formes et âmes différenciées.
- Le sixième sceau, « les autoengendrés », sont les âmes et les autres entités spirituelles qui habitent les éons autoengendrés sur lequel préside l’Autogène.
- Le cinquième sceau, la Repentance, en référence au repentir de Sophia la Sagesse, la Terre. On y retrouve les âmes désincarnées des habitants du quatrième sceau qui se sont repentis.
- Le quatrième sceau est la demeure des âmes désincarnées après la mort : « séjour » ou lieu d’exil ou de transmigration.
- Le troisième et deuxième sceaux désignent le cosmos sensible, domaine des passions, des corps et de la matière, donc le spatio-temporel. Les âmes qui habitent ces dimensions seront protégés des passions et de la division de l’union sexuelle par une puissance sensible qui recouvrira ceux qui se reposeront : « Et une puissance sensible recouvrira ceux qui se reposeront et ils seront protégés des passions et de la division de l’union » (NH X, 2,22-26).
En référence à la notice du NH X, par John D. Turner).

DÉPLOYEZ, DÉPLOYEZ, MAIS NE VOUS INCRUSTEZ PAS, LA VIE EST MOUVEMENT.

« Or, après toutes ces choses, ce que je cherche, c’est le royaume du Triple Puissant, royaume qui n’a pas de commencement » (NH X, 6,15-19).

Le Silence de l’Autoengendré agissant à partir du Silencieux, seule Réalité, donc plus ancien que tous les éons qui constituent l’Éon de Barbélô et qui appartiennent à CELUI QUI EST. LA TRIPLE PUISSANCE EST DONC L’INSTANTANISEUR DU SILENCIEUX : « Quand j’eus examiné ces choses [déploiement de l’Éon de Barbélô], je sus qu’il avait agi à partir du Silence. Il existe dès le commencement de ceux qui existent vraiment, qui appartiennent à celui qui est. Il en est un autre qui est préexistant, appartenant à celui qui actualise le Silencieux. Et le silence de celui qui le suit agit. Aussi longtemps, en effet, que celui-ci agit, celui-là agit lui aussi. Le silence qui appartient à l’inengendré est parmi les éons, et depuis le commencement, il est sans substance. Or, l’activité de celui-là est le Triple Puissant, l’inengendré antérieur à l’Éon, qui est sans substance. Or, le sommet du silence du Silencieux, il est possible de le voir, lui, le sommet de l’activité du Triple Puissant. Et celui qui est, qui est silencieux, qui est au-dessus de la non-substantialité, il manifestera le Triple Puissant, le premier parfait » (NH X, 7,1-27).

Ce monde ne sera jamais libéré, jamais en paix : depuis 1789 il a refusé de se soumettre à l’invisible sous prétexte d’être « libre » ! Or le visible ne peut reposer que sur l’invisible. Jean Coulonval dans son unique livre et recueil de sa correspondance d’avec des personnalités comme Aimé Michel, Eugène Ionesco, Gitta Mallasz, etc., explique aussi que le visible ne peut reposer que sur l’invisible, et pas l’inverse comme ce monde « moderne » procède depuis l’après 1789 et les marxistes pondant une nouvelle religion à l’envers du catholicisme, à l’envers des Gnostiques, où ce sont les accidents, le spatio-temporel, qui engendrerait les Essences. Cette catholicité qui se veut maintenant mondialisée est une catholicité en creux, comme l’envers d’un cuivre repoussé. Il n’est plus étonnant que l’Église de Rome dérive de plus en plus vers le sentimentalisme, et la morale et le social à la Yahviste, laïcité oblige dans de nombreux pays judéo-maçonnisés, tous cancérisés par le pouvoir !

« La spiritualité ne peut s’accorder avec le rationalisme. La spiritualité est transcendante [le contraire des scories, des fèces-fesses-corps]. Le miracle eut lieu après que Draupadi se fut abandonnée. [Draupadi, un personnage du Mahâbhârata, qui humiliée par les adversaires de ses époux qui voulaient la dévêtir en public. Lorsqu’ils commencèrent à tirer sur son sâri, elle invoqua Krishna et leva ses deux mains en signe d’abandon. À ce moment, plus les offenseurs tiraient sur le sâri, plus celui-ci s’allongeait jusqu’à devenir interminable].
Le secret repose dans l’abandon de soi [ou perte de l’ego] » (Ramana Maharshi, entretien 101).

[En haut de page : aquarelle de Michel Roudakoff, La Jarne, le château de Buzay, 22 mai 1994. Luminosité orangée particulière à ce coin de plat pays et cependant toujours changeant]
 
 

Dernière mise à jour : 14-01-2016 23:49

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