LA RAISON OU « SAIN(T) D’ESPRIT ».
MY GOD OÙ VONT-ILS CHERCHER TOUT ÇA ?!
« RAISON SOCIALE » : ÊTRE NÉ DE PÈRE… DONC ÊTRE NÉ D’UNE RAISON (calcul, filiation)…
SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION : QUEL PÈRE VEUX-TU, CHOISIS ! Soit une singerie du Soi-Instant par « la mort du père ». Demain, une éprouvette ou une puce informatique FERA OFFICE DU PÈRE, comme on copie une musique sur son disque dur ! Il y aura débâcle du père mais nullement libération tout court, ni libération de l’enfance (voir plus bas ce qu’en pense Jésus de Nazareth).
AVEC L’INFORMATIQUE DE BIG DATA LES CANCÉREUX DU POUVOIR POURRONT VOUS TUER COMME ON EFFACE UN DISQUE DUR. VOUS N’AUREZ PLUS DE « RAISON SOCIALE », bref, vous n’aurez plus votre raison (d’être) ! Voilà le principe du totalitarisme du N.O.M. À tous moments vous serez « effaçable » !
Une société (troupeau humain) est-elle construite sur le Calcul, la Raison ? Le conte-compter ou histoire ?
Selon certains, comme le psychiatre et juriste
Pierre Legendre (un type freudien ignorant des choses d’en haut), elle est construite sur le Calcul ou intérêt, donc addition de « raison » de plusieurs individus formant une société : ils forment comme un CONTRAT, un égrégore. On est donc dans le plus grand nombre ou quantitatif et nullement dans le qualitatif puisque ça repose sur la dualité sujet-objet ou cause-effet, la raison ou le sujet (le je et le jet) étant la cause ;
ça repose sur l’OPINION. On a une « politique de la causalité » pour employer le jargon de Legendre, ce qui va former selon lui un « État de droit » (lié à la finance internationale), bref, une institution, un « isme ».
Pour Legendre cette société sera construite SUR L’HISTOIRE (de chaque individu), DONC SUR L’OPINION de chaque individu composant cette société. Calcule-Calculer-Raconter une histoire : CONTER (COMPTER, CONTENTER).
Pour Legendre « les fondements de la Loi sont avant tout représentation d’une scène fondamentale »
(1). C’est là où ça va commencer à MERDER ! Parce que nous sommes censés tous être (présumés être comme on dit maintenant) en
« libre expression » ou « raisonnable » ! Pour ces opinions, le dé-ment perd la « raison » ; c’est aussi ce que devaient penser les perruques poudrées du siècle des « lumières » des gens de l’Église de Rome !
Cependant le mot Dé-ment devrait signifier : du Dé de éloigner, séparer, priver ; et ment, donc une personne qui ne ment pas !
Ainsi « raison » serait associé à Histoire ou temps qui coule, donc la dualité passé-futur en une géométrie de la ligne droite où les deux bouts sont indéfinissables, donc stériles.
La « raison » se perd-elle comme on perd son porte-monnaie ? Et ensuite on n’est plus « sain(t) d’esprit » ? Curieux pour un monde qui maintenant se veut « laïc » et se prétend distinguer le « bien du mal » ? Et ainsi perpétue la division à l’évolutionnisme (à n’en plus finir).
Pierre Legendre associe la raison au PÈRE, donc au paternalisme comme l’actuel monothéisme religieux tombé dans le patriarcat.
Cause = Père ; Raison = Fils (filiation).
Legendre enferme l’humain dans l’humain, surtout depuis le triomphe du mental et de la parole : quelqu’un qui parle ne pourrait pas se soustraire à son propre statut dans l’espèce humaine. Pour en sortir il faut évidemment Réaliser le Soi-Instant, et se passer de mots/maux : faire le Vide du Vide afin de RETROUVER LE TOUT (les trois Règnes). Donc la parole, et son support la pensée ou « raison » n’est pas une preuve stable et correspond plutôt à UNE PRISON.
Échapper au troupeau humain ou grégarisme égrégore (dont la laïcité) c’est sortir de la dualité sujet-objet ou rapport de chacun à
« la loi de l’espèce », surtout si cette « loi » comme l’explique Legendre dans
Le crime du caporal Lortie, c’est la « raison », donc le mental, l’ego !!! Échapper au grégarisme humain c’est aussi de nos jours sortir du freudisme !
La fausse foi est contenu tout entière dans le maître-mot de notre civilisation depuis les Croisades au Moyen-Âge : L’INTÉRÊT. Le fils est celui qui met sa foi, son intérêt, en son père ; le créancier attend de ce père un paiement ! Cette fausse foi est du thème de
LA DETTE, on achète quelque chose.
Le mot Intérêt, selon un dict. comme
Le Robert, porte à la fois l’étymologie de
entrer et de
être (comme si c’était le JE SUIS de Ramana Maharshi, à ce propos JE SUIS, JESUIS, JÉSUS, sont presque les mêmes). Par conséquence le mot Intérêt ne peut pas avoir pour étymologie dans le vrai sens de JE SUIS, sinon on tombe dans la fausse foi si vieille maintenant et associée à l’ego, par exemple quand on entend :
« J’ai perdu la foie ». Comme l’explique souvent
Ramana Maharshi dans ses entretiens, on ne perd pas le Soi, synonyme de Foi, de Dieu, de Centre, etc. La Foi est ou n’est pas (alors c’est l’ignorance).
Le mot Intérêt est de la dualité : le rapport entre ceci ou cela, le rendement, LE SALAIRE, SEL. C’est la CAUSE, L’UTILITÉ, CE QUI EST INTÉRESSANT, CE QUI TOUCHE À L’EGO.
Échapper au grégarisme humain c’est encore échapper à cette formule de Legendre : « Ce que tu as hérité de tes pères, acquiers-le pour le posséder ». Là encore on est plein pot dans le piège de l’ego car il s’agit de se libérer de
« ce que l’on a déjà » (la filiation naturelle) ; CE N’EST PAS LE QUI SUIS-JE ? D’ailleurs, Jésus de Nazareth coupe parfaitement le cordon ombilical quand il dit à se mère :
« Femme, qu’ai-je à faire avec toi ? » ; ainsi il n’a plus de lien terrestre ou de grégarisme humain, IL N’A PLUS D’EGO.
Un faux ego ou piège pourrait se cacher dans le : «
Ce que je fais, ce n’est pas pour moi, mais pour le monde à venir », discours égoïste que tiennent nombre de malades dans l’oligarchie du Nouvel Ordre Mondial.
Sortir de cette opinion des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture où tout fils ou fille serait le créancier (croire, croyance) de son père. Donc sortir du marchandage-business dualisme créancier-débiteur.
SORTIR DU MUTUAL ADJUSTMENT du « libéralisme » ou capitalisme. Sortir de la dette du père (Dieu ou patriarcat actuel (sortir de la Chute), mais le matriarcat antique bouffait aussi ses enfants). Sortir de la « toute puissance » de la filiation ou du sujet de cette dualité sujet-objet.
Pierre Legendre ne se connaît pas puisqu’il parle de
« fils libérés » qui seraient des
« individus auto-fécondés, des sujets-Rois promus en mini-États, des fils libérés de la croyance au Père », comme si c’était une chose extérieure. Les sujets-rois ce sont bien-sûr ce que certains appellent encore de nos jours
« démocratie » : le
self-service (SELFIE) de la normalisation (égalitarisme) : NOUS SOMMES TOUS DES POSSÉDANTS ! Mais sur les trucs de l’État il est écrit
« Propriété insaisissable de l’État ». Ainsi l’État serait comme Dieu (du moins si j’en crois l’inscription gravée sur une plaque de cuivre vissée sur mon téléphone de 1929, le
PTT24 mobile !)
Grâce aux perruques poudrées du siècle des « lumières », puis aux Google et transhumanistes : VOUS SEREZ OBLIGATOIREMENT « SAIN(T) D’ESPRIT » puisque vous vivez en république universelle judéo-maçonnique spéculative.
RAISON - NEURONES, ce sont encore LE CORPS ou EGO. LE CORPS DU DÉL(B)IT.
Page sur des ouvrages consacrés à Ramana Maharshi.
Note.
1. L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode et opinion du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !
L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la
« pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » (raison) que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
Le mot
Hébreux signifie en gros : HISTOIRE (les descendants d’Adam, puis d’Abraham qui était celui
« désigné par Dieu ». Nous sommes bien l’Histoire où un « Dieu » intervient sans arrêt dans l’Histoire (à travers batailles, sièges, invasions, etc.). Ainsi les faits « historiques » deviennent des faits devant « Dieu » et en deviennent une valeur religieuse que rien avant ne pouvait assurer à ces croyants comme les Hébreux. Ce sont les Hébreux qui inventent l’Histoire comme épiphanie de Dieu… De cette façon ils renforcèrent leur ego !
HÉBREU : ”Qui parle avec Dieu”. Nous avons alors H (Homme), E (homme de terre ou d’argile), Br (parole, qui parle, E, de la terre), U (vers l’air ou vers le ciel), etc.
« La Parole de Dieu c’est son écriture »… Ou
« Dieu créa l’homme et l’homme créa Dieu… Mais en réalité ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » (entretien 264 de R. Maharshi).
« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique (raison) entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire
« objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau :
Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l’histoire).
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