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Ce monde de copinage, de coquins Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 31-03-2016 22:31

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Ce monde de copinage, de coquins
et de judéo-maçons spéculatifs tri-troués,
ces gargotiers de la politique
qui croient tout connaître de l’humain
mais qui ne se connaissent pas eux-mêmes,
sinon, pourquoi s’acoquineraient-ils
en se cachant ?


COPINAGE OU TIRER LA COUVERTURE SOCIALE À SON EGO.
C’est ce que font toutes les professions tournant
autour du social, surtout les avocats et évidemment la police.
 
 
SOCIAL : de 1557, agréable aux autres, comme tente de le faire la tautologie « réseaux sociaux », cette toile d’Araignée attendant ses proies dans ses filets talmudique ou « altruisme juif » : « Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent » donc le social. Les Zaméricains et leur tradition de EYES CANDY éclaboussant partout dans le monde peuvent donner l’illusion d’être « agréable aux autres », c’est-à-dire nous vendre leur « démocratie », leur société de consommation et leur régime républicain. Et s’ils nous vendent quelque chose, c’est bien pour en avoir un quelconque bénéfice ! Le problème est que l’on ne peut « faire société » avec les autres qu’en ayant d’abord « fait société » avec soi-même !

Ce monde et sa récente mode du social est totalement aliéné : il a perdu son Soi, son véritable état de Félicité, il a perdu son ‘Je’. Le mondialisme c’est un immense asile d’aliénés, avec les meneurs cancéreux du pouvoir a enfermer en urgence à l’isolement pour ne pas contaminer par l’opinion les peuples qui ont encore un Demi-Grain (0,0265g) de conscience. FAITES ATTENTION, parce que les aliénés meneurs vous vendront tous leur « paix » et leur « fraternité », c'est une névrose obsessionnelle chez eux.
 
Je reviens sur une page précédente où j’exposais qu’il n’existe pas de « principe juridique » et de « pouvoir légitime » qui ne sont que des opinions et rien de plus.
En effet, HISTOIRE = FAIT, donc une forme qui se voudrait « légitime », dans le genre scolaire : « L’histoire nous prouve que… », ou dans les lycées : « Dans une éprouvette fut versée… » comme si c’était des « vérités » alors que CE NE SONT QUE DES OPINIONS transformées en « faits ». Il en est de même dans la « justice » et ses « faits ».
Avec ces « faits » ou histoire on peut prouver n’importe quoi et abuser en tout confort !!! Ce qui m’amène à remettre la définition de l’Histoire, telle qu’énoncée par René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle.

L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !

L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et la judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire «  e-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».

On comprendra facilement que la mémoire en Histoire puisse exercer facilement ses ravages en imposant une dictature des plus crasse : une Église mémorielle ou « entrepôt frigorifique où l’on conserve tout ce qui, par respect pour les défunts, devrait aller à l’égout. Au lieu de décanter, de distiller, on en remue sans fin les lies impures » comme l’écrit justement Gustave Thibon dans L’ignorance étoilée.

Ainsi, l’histoire ne prouve rien, comme les faits en justice ne prouvent rien. Rien de plus mouvement que les FAITS qui sont identiques à l’OPINION. D’ailleurs la trinité Histoire-Fait-Raison sont une même OPINION ou travail du chapeau, travail du mental ou ego, le ‘je’ avec son j minuscule. En cette mode du social et ses « réseaux sociaux » il n’est point étonnant qu’un  Empire comme les États-Unis ait développé une saga encyclopédique psychiatrique comme les DSM I-V (Diagnostic and Statistical Manuel of Mental Discorders) qui tente de s’inscrire dans « les faits » (Decision making) bien dans cette époque si matérialiste où l’on veut tout voir (pour-voir) avec sa « raison » et son « organisation » et son « ordre » en folie (la fièvre du contrôle et mesure de Tout à travers le spatio-temporel). Dans cette civilisation d’hyper technologie, on manage les fous en une « science de l’ingénieur » comme on manage les salariés d’une multinationale ou les citoyens dans une cité ! D’ailleurs, bizarrement cette psychiatrie mortifère de l’humain fait le contraire de la mode du social : les drogues de Big Pharma « induisent des effets de désubjectivation du discours et du lien psy-patient. Au bout de la chaîne de production des nouvelles techniques normatives, à l’intersection des sciences sociales, de la psychiatrie et du droit, la criminologie cherche à définir son statut ; voir l’impressionnant tableau de R. Gassi, Criminologie, Paris, Dalloz, 1988 », écrit cette importante remarque en note de bas de page le psychiatre et juriste freudien Pierre Legendre, dans son livre : Le crime du caporal Lortie - Traité sur le Père, où Legendre énonce ce dogme : « Tout parricide le dévoile : le meurtrier s’attaque à la construction même de la Raison ». Bref, pour Legendre, l’interdit c’est la « vérité » (genre interdits de l’inceste et du cannibalisme).
Les aliénés et cancéreux du pouvoir sont très malades parce qu’ILS NE COMMUNIQUENT PAS, NE COMMUNIENT PAS… AVEC LES PEUPLES.

L’opinion c’est l’idée reçu ou la pensée unique. Aussi dans notre civilisation « moderne », il faut bien distinguer L’EAU DE TUYAU ET L’EAU DE SOURCE (celle qui coule librement alors que l’eau de tuyau en est prisonnière). Le mot « idiot » veut dire « particulier », singulier. Mais, quand un Réalisé découvre un « lieu commun », ça rayonne dur et nombre de gens sont alors en accord avec lui. De même les villes se construisent autour d’un point d’eau ou d’un fleuve. L’eau de tuyau c’est le lieu commun, l’opinion ou la propagande. Ainsi il faut distinguer ceux qui prennent leur opinion à l’eau de tuyau de ceux qui s’abreuvent à l’EAU DE SOURCE vivante. C’EST AVEC CE QU’IL Y A DE PLUS IDIOT, DONC DE PLUS COMMUN EN NOUS, DE PLUS SINGULIER, DONC LE SOI, QUE NOUS DEVONS ABORDER LES LIEUX COMMUNS OU ACCORDS SUBLIMES. Le Soi est Vérité, il est commun à tous, il peut seul se nommer UNIVERSEL (et certainement pas le régime républicain qui reste un vulgaire étatisme).

Les « faits » se voudraient « réalité » alors qu’ils ne sont que RÊVES. Il en est de même des « révolutions », ou de croire qu’a chaque heure d’une journée on va « refaire le monde » comme en 1789, et mai 1968, des égarés croyaient refaire le monde selon leur opinion ! C’est le conformisme de la révolte, la mode de la révolte comme il y a le conformisme de « l’ordre établi », et le premier rejoint le second dès que la « révolution » passe du rêve dans les « faits » (dans un cas comme dans l’autre elle ne sort pas du rêve qui devient simplement agité !). À 20 ans les illusions, à 40 ans les préjugés, disait un poète. Les révolutions sont des balbutiements suivis de très près par des radotages : voyez ce qu’il se passe en énième régime républicain où plus ça change et plus c’est pareil ! C’est une imbécilité de dire que « Rien ne sera plus comme avant » puisqu’effectivement RIEN N’EST PAREIL À CHAQUE INSTANT, LÀ OÙ RIEN NE CHANGE !!!
Le social et la « paix » sont typiquement des mystifications d’opinions.

La « révolution » de 1789 se voulait « guérir le roi ». Pour ce faire le pouvoir du républicanisme lui coupa la tête, comme pour lui faciliter la RÉSURRECTION (si le grain ne meurt… ). Mais ça ne marcha pas, parce que ce régime demande TOUJOURS une guérison avec sa « paix, fraternité et blablabla ». Ce régime ne demande jamais une résurrection ! Là encore on retrouve l’HISTOIRE ou TEMPS QUI COULE, et identique à l’EAU DE TUYAU, donc prisonnière (remarquez qu’il en est de même de l’eau en bouteille encore plus prisonnière que celle du tuyau ; l’eau du puits est déjà meilleure, à condition que le puits ne soit pas contaminé).
L’histoire va donc avec le sytème de la logique à la Aristote : un début, un développement et le mot fin sur l’écran de cinéma, et on sort de la salle déçu. Parce que l’événement, le fait, est arrivé AU BUT. On sort déçu de la salle de cinéma parce qu’il n’existe pas de but à atteindre ; rien de ce qui arrive dans le temps qui coule n’est vraiment une arrivée : la Réalisation du Soi ou la mort font seuls le joint entre le sujet et l’objet, ou entre le fait et l’être.
Ainsi il n’existe pas l’illusion délirante judaïque ou messianique de « fin des temps » : atteindre un but et « arriver » (aujourd’hui dans le sens du winner ou de « la réussite sociale », donc du vent). tant qu’il arrive quelque chose, donc qu’il y a histoire, on n’est pas arrivé, il n’y a pas encore le mot fin sur l’écran, et quand il est projeté, c’est la merde parce qu’il n’arrive plus rien !!! Ainsi tout ce qui arrive, tout ce qui est histoire ou faits est de l’ordre de l’eau de tuyau : rien de réel ni de vrai, donc définitif, ne se produit ici-bas. Voyez la citation populaire comme : « Le pauvre ! Il se croit arrivé ! », donc c’est bien arrivé comme un fait ou une histoire, mais ce fait n’a pas la consistance définitive que vous lui attribuez : il sera remplacé et balayé par l’opinion ou autres faits le jour suivant, comme avec l’eau de tuyau, alors que l’Eau de Source garde intacte l’UN.

Les deux sources vivantes :
L’eau coule vers ce qui est humide.
Le feu coule vers ce qui est sec (Yi-king)
Différent parce que deux éléments, mais semblable, car ils coulent tous les deux ! Cela correspond à l’ingénierie de l’électricité plutôt statique.

La « fin des temps » vendu par le judaïsme messianique est UN ASSASSINAT DE L’ÉTERNITÉ VOULANT ÉCHAPPER À LA MORT, EXACTEMENT COMME LE RÊVENT LES TRANSHUMANISTES (ne pas oublier que ces rêves sont un travail du chapeau juif). Toutes les religions messianiques procèdent de cette Super Carotte tueuse de Soi-Instant. Elles tuent le Soi ou éternité À CAUSE DE LA MORT.
La « fin des temps » du messianisme des religions du Salut est identique aux ombres de la Caverne de Platon qui seraient si bien organisées par l’humain, qu’icelui serait alors parfaitement SÉCURISÉ, il n’en souhaiterait plus rien connaître au-delà, et aurait l’illusion de l’illusion de se croire arrivé paradis…

Ce monde de copinage, de coquins et de judéo-maçons tri-troués nous contaminant avec leur mode du social. « Le moi et le social sont les deux grandes idoles » disait Simone Weil. Ce social qui reflète tant la VANITÉ et cet esprit de la dualité WINNER-LOSER dans ce monde où ne règne plus que la compétition et le quantitatif ou production, et surtout le ‘je’ ou ego. En laïcité il n’y a pas pire que le social, évidemment rejeter le social est aussi une variation de l’orgueil ! Le social C’EST LE RELATIF, LA DUALITÉ SUJET-OBJET OU MOI ET L’AUTRE. Pour un Réalisé comme Ramana Maharshi le social n’est pas un problème et peut jouer un grand rôle dans la conduite d’une cité. Actuellement l’idolâtrie de l’ego, du moi, est totalement stérile pour la cité, ce qui laisse le champs libre pour tous les meneurs politiques possibles, qui eux-mêmes font dans l’idolâtrie de l’ego !
Si nous avons une civilisation malade, c’est à cause du social qui ne fera JAMAIS dans le qualitatif, mais toujours dans le quantitatif, donc dans l’opinion du mercantilisme. Comme ici déjà écrit, on naît seul, on vit ensemble, on meurt seul ! Personne ne pourra manger pour moi !!
Bien-sûr le social a grand rapport avec l’HISTOIRE, donc avec le temps qui coule : la vertu sociale construisant des refuges provisoires contre la mort, comme le feraient des transhumanistes et autre Google.

SOCIAL + RELIGION DE L’ARGENT = COMPÉTITION ÉPOUVANTABLE (voyez Hong Kong capitale des winners obligatoires et qui pue la religion de l’argent, ce qui n’est pas étonnant puisque ancienne colonie anglaise, donc de la City de Londres). Hong Hong est évidemment atteinte de la maladie du BIG et de l’hyper matérialisme.


Maintenant, COMMENT PURIFIER LE SOCIAL ?

Premièrement en sortant du social actuel : réseaux judéo-maçonniques et « réseaux sociaux » judéo-internet de ces fabricants juifs ou faux Juifs talmudiques à la Google et Rothschild-Rockefeller.
La Nature ne connaît en nous que l’espèce (humaine) ; le spirituel relève uniquement de chacun de nous (le Soi) ; la société fabrique cette chose artificielle et totalement illusoire qu’on appelle le personnage (le masque), donc l’ego, le ‘je’ et son opinion.
Sortir du social c’est premièrement prendre conscience que NOUS SOMMES LA NATURE, alors que depuis au minimum l’après 1789 nous nous en sommes coupés radicalement, d’où d’ailleurs le phénomène « écologie » ou « défense de la Nature ». C’est deuxièmement sortir de la laïcité qui n’exista pas puisque nous sommes le Soi naturel ou Félicité. Les CLANS et CASTES, les sociétés construites sur la Trinité des [OVRIER] [LABOREOR], des BELLATORES (la HACHE), des ORATORES (la COUPE) sont des sociétés saines, dans la mesure où les rapports et la hiérarchie entre les humains dépendent de forces extérieures au social. Par exemple si les rapports et la hiérarchie sont déterminés par les jeux de la richesse économique, du snobisme des noms et de l’exacerbation de l’ego, par le quantitatif ou tyrannie du nombre, la compétition maladive, le prestige et l’orgueil, la sélection en dualité winner-loser, la démagogie, etc., le social est devenu cancéreux comme en ce moment et sur sa lancée de l’après 1789, PARCE QU’IL SE SUFFIT À LUI MÊME (il est SUFFISANT, VANITEUX, voyez le slogan socialo-capitaliste « vivre ensemble », ou leur mot « fraternité »).

Notre société actuelle n’est absolument pas sociale, voyez ce qui nous saute à la gueule : ses hiérarchies fondées sur l’argent anonyme (l’argent n’a pas d’odeur, il est utilisable dans n’importe quel pays du globe), sur l’étatisme totalement abstrait (ce qui n’était pas le cas de la moindre petite monarchie), sur l’aspect hollywoodien de l’étatisme avec ses célébrtés gonflées par la propagande du régime républicain, ses autorités issues du hasard des élections et de l’intrigue personnelle et des partis politiques et de ceux qui ont de l’argent, c’est le social se suffisant à lui même, « Le moi et le social » dénoncés par Simone Weil cité plus haut.
Vidés de la sève d’en bas et de la sève d’en haut, les relations sociales entre les humains se réduisent à la diarrhée de lois à n’en plus finir et à un étatisme en ingénierie de riches étudiants sortant de « grandes écoles » d’administration collant parfaitement à cette folie technologie et son monde robotisé à la transhumanistes.

Ainsi tout disparaît sous l’IMAGE, donc sous l’ÉTIQUETTE si mise en avant dans tous les médias AUX ORDRES DE LA CITÉ (et par là même de la City de Londres). Tout devient virtuel, donc artificiel comme les fleurs ; ce sont les seules qui n’ont besoin ni de racines, ni d’eau ni de sève ! C’est si économique et si écologique !!!
QU’EST-CE QUE C’EST LE ROI ? Il est comparable à la SÈVE d’un Arbre : il monte de la Terre et il descend du Ciel ; il s’impose à la fois par une énergie et par la nécessité d’une élection transcendante ; car choisir quelqu’un qui s’occupera de tâches ingrates comme la gestion d’un clan n’est pas chose de « tout confort » : l’élu risque simplement sa peau ! Si la Sève de l’Arbre ne circule plus, l’Arbre meurt ; où si on le plante dans un région pour laquelle il n’est pas fait, il meurt aussi. Même chose avec un Métal : par exemple, un acier fabriqué en dehors de l’Égypte va rouiller s’il est apporté en Égypte, tandis que l’acier du pays d’Égypte, lui reste inoxydé. (Fait constaté au 19ème siècle). Ce qui montre que le mondialisme et sa daube à la « United colors of benitaton » se voulant « fraternité » mais ne s’intéressant qu’aux apparences ne tiendra pas longtemps.

Le Vrai social est énoncé dans cette phrase du Christ : « Le Royaume des Cieux est au dedans de vous… Soyez parfaits comme votre Mère-Père est parfaite… ». C’est cela « faire société » comme je le rappel en début d’article.
 
 

Dernière mise à jour : 05-05-2016 18:04

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