Pourriture démocratie à l’œuvre
dans ses paradis fiscaux,
là où cette oligarchie planque sa
merde comme on planque ses vices (cachés ou en loges)
ou ses mensonges.
RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL, les
médias jouent aux vierges effarouchées !

La pourriture est partout.

 

 

Ce monde « démocratique » dirigé par l’économie des armes, de la drogue et du sexe, avec packaging publicitaire : « liberté-égalité-fraternité » et son argent sale et sa City de Londres. Une fraternité ou un social et son égalité qui vont planquer leurs merdes dans des « paradis fiscaux ». Depuis 1789 ces mêmes auteurs du coup d’État de 1789 appellent ça : « liberté ». Et un certain Saint-Just et après lui Staline voyaient des « ennemis de la liberté » partout, comme si ces messieurs avaient inventé « la liberté » et qu’elle n’avait jamais existé avant !  Cela va donner le genre : « Save money. Live better » de parfaite société faisandée de consommation et source inépuisable de fric pour les Couilles en Or Walton et leur « plèbe dorée » en forme de MESSIANISME UTOPIQUE DE « FIN DES TEMPS ». Seul l’argent sale peut faire tourner l’économie de cette « démocratie » de merde et de sa « valeur de la république » de merde, et de sa tyrannie de l’idole sociale ou OPINION.
Plus ils en ont et plus ils en veulent, toutes ces Couilles en Or de la FIFA de Mitt Romney des familles Walton (Walmart) et Rothschild-Rockefeller, Bronfman, Sheldon Adelson , et autres membre du « peuple élu » plus ou moins sionisés.

 

L’INNOCENCE DEVANT LE MAL : Une plaie toujours ouverte et qui ne s’infecte jamais, une espèce de BLESSURE INVULNÉRABLE. (Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière).
La « morale » des Couilles en Or ou oligarchie persécutera jusqu’à la fin ceux qui vivent de la morale du pur.
Le « paradis fiscale » c’est comme la morale : ça sert à certaines Couilles en Or de paravant, de cachette ou de loge derrière laquelle ils cultivent ce qu’il y a de plus immoral en eux : leur misérable satisfaction d’eux-mêmes et leur rage de diriger ou juger les autres : voyez ce « peuple élu » et ces mêmes judéo-maçons spéculatifs ou travaillant du chapeau genre GODF.

La pourriture de ce monde, soit l’oligarchie et son Nouvel Ordre Mondial de plus en plus dégénéré mais de plus en plus protégé, seulement un innocent ou une « petiote chouse » pourrait très bien être leur perte. Et c’est ce qui va arriver…
Les Netanyahou, Bush, Cheney, Giuliani, Hollande, Blair, Romney, etc. vivent leurs derniers jours (de paix).


DÉMOCRATIE = MONDE DES APPARENCES

Mot à la mode de démocratie : projet.

PROJET : étymologie de jeter (comme de « jeter un coup d’œil » pour-voir ou pouvoir), DONC EN DEHORS DE L’INSTANT et qui se situe bien dans l’évolutionnisme et le messianisme cancérigène. Le mot projet s’inscrit bien dans la « croissance » et dans le règne de l’opinion : avoir des « idées », donc dans l'ego, dans le ”droit d'auteur”. Le mot projet s’inscrit surtout dans le mélange infernal de matérialisme abstrait des travailleurs du chapeau juif et de leur messianisme utopique, le marxiste et sa Super Carotte « fin des temps ».
Le projet est typiquement le BUT À ATTEINDRE du messianisme ou religions du Salut.

PROJET = avoir des idées ou opinions, donc des apparences, des masques. Il est si facile d’avoir des masques, des projets ; « ça ne mange pas de pain » comme dit un proverbe populaire. Dans notre monde du spatio-temporel où tout est illusion, apparence, il est si facile de porter une opinion, un jugement ! Ainsi, pour sortir de la tyrannie de l’opinion, il est salvateur de ne pas juger ou d’avoir une opinion, car la seule façon de juger selon la Vérité consiste pour le Sage à ne pas juger, ce qui rejoint : « Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas » (Tao-Tö King, Lao-tseu, verset 56 (5+6=11).

Le projet frôle la synthèse : engager le mental dans d’autres travaux du chapeau, et ça n’a plus de fin ! Le projet ou la synthèse sont non seulement un évolutionnisme forcené, mais le contraire de la Réalisation du Soi ou Instant.
RIEN DE PLUS ÉPOUVANTABLE QUE D’AVOIR UN BUT, UN PROJET.

Tenez, le projet, ce sont les gens qui ont un IDÉAL, comme ceux qui possède une voiture ou un dentier. Le projet ou l’idéal chez le décadent se trouve à l’extérieur : il projette au-dehors faute de pouvoir projeter au-dedans en forme du « Connaître toi-même par toi-même ». Des individus comme J.J. Rousseau  ont un idéal, un idéal de travailleur du chapeau : il ne trouve pas, dans leur être intime, dans leur nature profonde, leur Soi, de quoi manger et enfin naître. mais ils n’insistent pas : cela irait trop loin ! Cette vertu, dont ils ne portent pas en eux la source, ils en réclament le filon au monde extérieur. Ils lui demandent d’incarner leur idéal : voyez un Manuel Valls et ses grotesques « valeurs de la république » ; ils chargent le social de fournir un alibi à leur impuissance ; ils ont besoin de voir sans cesse autour d’eux ce qu’ils sont incapables de vivre en eux. Et quand le monde extérieur faillit à ce projet, quelle rancœur indignée, quels cris hystériques comme l’exprime Manuel Valls contre le « mal ».
Se souvenir du Rousseau père indigne qui décernait des récompenses aux femmes qui allaitaient leurs enfants et accablait les éducateurs de conseils irréalisables ! Les utopies morales et sociales les plus tyranniques sont nées de tels décadents et paroissiens de « projet » qui unissent des opinions se voulant des vérités à des mœurs de loges judéo-maçonniques (entendre « mœurs souterraines »).

Enfin, si vous cherchez l’ego, vous constaterez qu’il n’existe pas. Voilà la façon de le détruire (Ramana Maharshi, entretien 615). Idem pour la Pierre Philosophale !!! Si vous trouvez le début, vous constaterez qu’il n’existe pas. Même chose chez Mazu quand un moine lui demande comment atteindre son but : « Comment faire pour être en accord avec la Voie ? Mazu : Cela fait longtemps que je ne suis plus en accord avec la Voie ». Le moine questionna à nouveau : « Quelle était l’idée de la venu (de Bodhidharma) des contrées de l’Ouest ? » Mazu le frappa et dit : « Si je ne te frappe pas partout, les gens riront de moi ». Mazu libère le moine de la tyrannie de l’opinion, de la tyrannie moderne où chacun cherche une explication à tout, où chacun veut tout mesurer et tout contrôler (voyez Big Brother). Donc libérer le pauvre mental humain de la PRISON DES MOTS/MAUX ou TOILE D’ARAIGNÉE D’OPINIONS, car tant que le cerveau humain essaye d’expliquer les choses, il sera lié par le karma ou dualité cause-effet ou sujet-objet, donc pris au piège de son réseau conceptuel. Dépasser les mots se fait par le SILENCE QUI EST LIBÉRATION, SURTOUT SILENCE INTÉRIEUR.