Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Dette - Projeter - Devoir
Dette - Projeter - Devoir Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-04-2016 00:09

Pages vues : 6580    

Favoris : 34

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
drame_petrole.jpg
 
 
Dette - Projeter - Devoir
Voilà les « va(o)leurs » de la république.
Le premier terroriste au monde c’est l’État
précédé des BANQUES, précédés des religions.
DEVOIR : étymologie d’avoir.
Devoir à quelqu’un (de l’argent).

MESSIANISME = CHAOS HUMAIN
Pourquoi Christ aurait-il besoin d’une Église (1),
une construction extérieure, donc contraire ?


LE TERRORISE MESSIANIQUE JUDAÏQUE ET ISLAMIQUE ET CHRÉTIEN DES RELIGIONS MONOTHÉISTES (les fois qui se perdent comme on perd son porte-monnaie), CONTRAIRE DU SYMBOLE CHRISTIQUE QUI EST LE SOI-INSTANT.

TOUS LES ISMES OU SYSTÈMES MENTENT PAR NATURE (SURTOUT LES RELIGIONS).
 
 
Le bruit abominable de haine et de violence servant « d’hymne national » à la France : « la marseillaise », pue la division et la haine et entretient l’horreur par ses paroles comme « qu’un sang impure abreuve nos sillons », laissant facilement entendre, quoique certains puissent en dire, qu’IL S’AGIT BIEN DU SANG DE LA « RACE IMPURE DES VENDÉENS ». Ce sont les mêmes racistes de l’étatisme républicain qui aujourd’hui osent « lutter contre le racisme » !!! Le monde marche sur la tête.


DETTE : étymologie de Avoir, du latin debita, du latin populaire debere (devoir) ; on est donc dans la PROJECTION, le JET. Ce monde est construit sur le machin des Juifs : la fin des temps, le JET, la Dette. Les Juifs veulent aussi l’Unité, la « fin », alors ils sont prisonniers du but à atteindre en un étirement ou JET INDÉFINI, que seule la Super Carotte nommée « Messie » rompra de leur hypnose collective.
Pour la Dette certains osent parler de « droit » ! On est bien dans le temps de l’ego ou « générations narcisse » comme diraient certains !!!
 
FIN DES TEMPS = DETTE OU « CROISSANCE » illustrée si fulgurant par l’Ouroboros se dévorant la queue et donc lui-même (à ne pas confondre avec l’Ouroboros se fermant la gueule formant ainsi un Cercle parfait ou CIRCULUS ou éternel retour en forme de CRÉATION PERPÉTUELLE, donc aucunement la prison que peut renvoyer l’Ouroboros se mordant la queue comme s’empoisonnant avec son propre venin ou cycles infernaux des existences : Samsara, comme condamné à ne jamais échapper à son cycle pour s’échapper, créer. Ne pas confondre un perpétuel retour ou cycle indéfini des réincarnations ou « perpétuel ânonnement » qui trahit une pulsion de mort, avec l’Ouroboros Circulus se fermant la gueule et de ce fait symbolisant LE SILENCE ou GRATUITÉ).

MESSIANISME = DETTE

Attendre un messie comme le font les Juifs c’est la définition même de la Super Carotte qu’on met devant un Âne pour le faire avancer, donc DE L’ILLUSION POUR FAIRE AVANCER LES MASSES COMME LES DETTES BANCAIRES FONT AVANCER LA « CROISSANCE » (et détruise le monde). 1789 en France, 1917 en Russie, se voulurent messianiques en une religion à l’envers, inversée comme un Cuivre repoussé. Il y a là vraiment un problème avec le Soi-Instant !!! Ajoutez à ça cette judéo-maçonnerie spéculative qui ne pouvait que naître à Londres en 1717 dans un pays indépendant de la papauté mais soumis à la Réforme au 16è siècle. Cette judéo-maçonnerie spéculative ne pouvait pas naître par exemple en Italie, ni dans la Russie orthodoxe qui elle aussi se passait de la papauté !


Le fric, toujours le fric de la City de Londres.

Il faut se rappeler que face aux Couilles en Or de l’époque, Louis XVI plaidait déjà la cause de « la France d’en Bas », celle des « innombrables habitants du royaume dénués de toute propriété », classe qui intéressait plus particulièrement le Roi. L’abolition de la Féodalité, des vassaux, vaine pâture, glanage, fouage (sorte d’impôt par foyer), parcours forestier, etc. aura pour conséquence en France le même effet qu’elle avait eu en Angleterre quelques années auparavant (voir le Bill of enclosure qui se veut une abolition des droits féodaux et un commencement de capitalisme). Cela va ruiner le campagnes et faire disparaître progressivement le petit élevage pour faire place au règne de l’industrie. Voir le rapport du député du Bas-Rhin au ministre de la Justice de la 2è république, le 12 juillet 1849 :
« Par la perte du pâturage (vaine pâture) et du parcours dans les forêts, les habitants ont été obligés de renoncer presque entièrement à l’élevage du bétail, et tel village qui avait encore, il y a 25 ans, 150 à 200 vaches et 300 à 400 porcs, ne possède plus maintenant que 60 à 80 vaches et 5 à 6 porcs » (le porc est comme le sanglier un animal forestier et nourri à la glandée).

Louis XVI tenta de faire comprendre aux philosophistes plutôt sophistes de son temps que leurs principes et leur « Déclaration des droits de l'homme » servirait à justifier tous les abus, toutes les persécutions, toutes les oppressions (dont le génocide vendéen) ; on voit et vit ce que donne la « démocratie » surtout depuis la troisième république et partout en Occident ! Car ne jamais oublier que « les droits de l’homme » serviront par exemple de base à la loi le Chapelier qui, dès 1791, interdit toute espèce d’association d’ouvriers isolés, sous des peines sévères, loi qui, pendant près d’un siècle, laissera les ouvriers isolés, sans défense, livré en esclave à l’ego de leur patron, ce qui entraînera aussitôt l’allongement de la journée de travail, la baisse brutale de tous les salaires, l’envoi des femmes et des enfants en usines et dans les mines. Voilà un exemple des « valeurs de la république » et de sa « démocratie » : TOUT POUR LA CITY DE LONDRES.

En 1837 un Charles de Montalembert s’émeut des pauvres enfants de 7 ans esclaves en usines. Mais un républicaniste comme Gay-Lussac, en pleine chambre des députés, riposte en brandissant sa « Bible » des droits de l’homme qui laisserait les parents libres de décider de l’âge où leurs enfants commenceront « à gagner leur vie ». Il se fonde sur le départ du capitalisme :

« Le manufacturier est maître absolu chez lui [il est le nouveau Seigneur, ou plutôt saigneur de la république]. Tout, selon moi, doit être laissé à son libre arbitre [depuis 1789, et ça commençait à la Renaissance, le triomphe de la « liberté de penser » parasitait tout] ». Ainsi commençait l’esclavage moderne et sa cautère sur jambe de bois nommée « société de consommation », où chacun est devenu dépendant d’une Couille en Or quelconque se trouvant dans la finance internationale et sa City de Londres.

Le 8 mai 1774 le mondialisme et sa « démocratie » pointe déjà son pif, un ambassadeur sous Louis XV, Mercy Argenteau écrit : « Il faut cependant que, pour la sûreté de son bonheur, elle commence à s’emparer de l’autorité que M. le dauphin n’exercera jamais que d’une façon précaire ». Il s’agit ici de l’autorité de Marie-Antoinette.
Louis XVI sera le Roi le plus confronté à la religion montante de l’argent : en 15 ans de règne il aura mené une guerre aussi coûteuse que la guerre d’Amérique de Louis XV. Louis XVI ne pouvait pas rembourser toutes les charges civiles et militaires de l’État. « En 1790, la finance totale en sera évaluée à un milliard cinq cents millions de livres, dont trente quatre millions pour la Maison du Roi ».

RAPPEL : les États Généraux deviendront par le coup d’État de 1789 l’actuelle « Assemblée nationale » (1), nouvelle forme de dictature, celle-ci technocratique, période encyclopédique et de la « raison » oblige.
Oui, la république une dictature et ses institutions, quand en pluviose an V (janvier 1797) l’administration républicaine fête en grande pompe la fête de la « juste punition du dernier roi de France », suivie du serment solennel en forme de notre moderne « Plus jamais ça » par tous les fonctionnaires et représentants des communes :
« Je jure haine à la royauté, à l’anarchie, attachement à la République et à la constitution de l’An III ».


LE MESSIANISME ET SA SINGERIE EN FORME DE RÉPUBLICANISME VONT DONNER LA VALEUR RÉPUBLICAINE SUIVANTE : LE GÉNOCIDE VENDÉEN (117.257 Vendéens au minimum disparaissent entre 1792 et 1802, soit 14,38% de la population de France. Le socialiste Karl Marx écrivait à Engels pendant la guerre de 1870 : « la Terreur, c’est la bourgeoisie parisienne qui a des Couilles dans ses culottes ». D’où mon appellation ici souvent sur le site de « Couilles en Or ». (L’expression ”avoir des couilles” signifie dans le populaire ”avoir du courage”, c’est évidemment une expression totalement machiste reléguant la femme au rang de « primitive »).

TERREUR = DETTE (peur de manquer, de tout)


La peur, la dette, est moteur de la persécution, donc de la TERREUR. On peut absolument appliquer cette maxime d’une certaine franc-maçonnique à propos des Vendéens qui refusaient la dictature républicaine : « Si tu veux être mon frère, je te casse le crâne ». Ce qui rejoins le machiavélisme dont l’axiome est :
La force prime de droit (soyons frères ou je t’assomme), traduisez en « baille que baille » (donne à qui te donne, en méritocratie) comme le « vivre ensemble » de la propagande socialiste actuelle, donc dans les pays où ne règne aucune gratuité et aucun fusible moral, puisque le confort ou sécuritaire est procuré par la « divine bouteille » ou Maraba basahem ou entertainment et société de consommation de nos jours (le shopping), équivalent du haschisch, de l’opium ou des rituels de magies noires ou blanches. L’opium du peuple c’est bien L’ILLUSION, LA CROYANCE.
Voir aussi la page : Christianisme base de l’Europe actuel

Les gaz chambers et autres « abat-jour ou savonnettes en peau de juif » ont leur modèle en Vendée : tanneries de peaux humaines, fonte des graisses humaines, etc. mines antipersonnel, empoisonnement à grande échelle, gazage, etc. La Vendée sera le laboratoire du régime socialiste russe commencé en 1917. la Vendée fut un laboratoire conçu et voulu par le républicanisme.
Au « pays des droits de l’homme » la Convention (donc la pensée unique ou conventionnelle) décide d’anéantir le territoire de la Vendée et d’exterminer sa population, décision prise par « les représentants du peuple » (les meneurs) soi-disant « souverain » par lois des 1er août et 1er octobre 1793. Les Vendéens d’alors étaient appelés par les républicanistes « Brigands », donc nos modernes « terroristes ». Rien de nouveau sous le Soleil !
Seul l’étatisme peut être qualifié de terroriste, et l’un d’eux a même son nom sur « l’arc-de-triomphe » place de l’Étoile à Paris. D’autres terroristes comme Robespierre, Carnot, etc. ont donné leur nom à des lycées et collèges, à des rues !!! Et aujourd’hui c’est cette république qui veut « faire la guerre aux terroristes », comme le Bush du 11 septembre 2001 ?!!
MY GOD ! Tout est à l’envers, les terroristes deviennent des « saints laïcs », donc judéo-maçonnisés !

Le phénomène du républicanisme est typiquement du COLONIALISME : il fallait coloniser les « Brigands » (les Vendéens devenus des « terroristes » aux yeux des Conventionnels). Colonialisme avec mêmes phénomènes qu’avec les Conquistadors amenant leurs maladies de « civilisés » avec eux et contaminant les « primitifs » : les Vendéens ne connaissaient pas avant 1793 les maladies vénériennes en Vendée militaire : « Elles sont répandues (…) dans tous les lieux où les troupes ont séjourné. Le choix des nourrices est devenu extrêmement difficile et c’est une raison de plus pour déterminer les mères à remplir elles-mêmes ce devoir sacré », écrit le baron Dupin, cité par R. Secher dans : La Vendée - Vengé. À cela il faut y ajouter l’explosion des maladies mentales suite à la Terreur : « Ce qui me frappa dans la Vendée et ses alentours fur que les fous y étaient en nombre décuplé, peut-être plus que dans d’autres parties de l’Empire », écrit Las Cases dans le mémorial de Sainte-Hélène, cité par R. Secher.
Bref, les républicains pratiquèrent la parfaite Tabula Rasa puisqu’ils firent même commencer leur calendrier en 1792, « ère des Français » singeant l’ère des Chrétiens qui finalement l’emporta puisque nous l’utilisons encore et dans le monde entier, tout du moins en surface !

1789 se voulait LA VÉRITÉ, à tel point que vers 1860, selon l’opinion de Mgr Louis-Gaston de Ségur, il écrit que « la révolution » c’était quasiment la « fin des temps » des Juifs, le progrès dans l’industrie, dans le commerce, dans les inventions modernes, les arts et les sciences ; et que sans 1789 nous n’aurions ni chemin de fer, ni télégraphes électriques, ni bateau à vapeur, ni machines, ni armée, ni instruction, ni gloire ; pitié, n’en jetez-plus ! surtout si on y ajoute l’avion, la télé, l’ordinateur et le tétéphone portable, les gays et la GPA-PMA, etc. !!! Bref, sans la « révolution de 1789 » et ses "lumières" tout serait perdu et le monde serait encore dans les ténèbres ! Voilà qui faisait de la part des républicains très propagande stalinienne avant l’heure des Juifs Bolcheviques en Russie devenant URSS pour 74 ans !
1789 voulait effacer la « dette des rois » et imposer la sienne !

IMBÉCILITÉ RÉPUBLICAINE :
COMMENT PEUT-IL EXISTER DES « SOLDATS DE LA LIBERTÉ » ???
AVEC LEUR OUTIL « RASOIR NATIONAL » (GUILLOTINE OU LA VEUVE) ??? Idem pour
« la guerre humanitaire ».
Notez que la moderne Veuve du milieu du 20è siècle c’est l’hôpital psychiatrique, ce qu’avaient parfaitement compris les socialistes de Staline, et qui sera reprise par la technologie moderne, dont entre autres la « Guillotine douce » en forme de téléphone portable lobotimisant la cervelle afin de la façonner selon l’opinion de l’oligarchie et de la City.
Il n’y a rien de plus fascistes que les républicains, du moins ceux du début, qui comme des salles gosses contre leur nourrice : « tout est permis pour les anéantir [les gens nobles et les Chrétiens appelés ”bigots”] : la violence, la ruse, le feu et le fer, le poison et le poignard ; la fin sanctifie les moyens », cite Mrg de Ségur dans : La Révolution, à propos d’une lettre d’un révolutionnaire d’Allemagne à un franc-maçon spéculatif. Bien-sûr Mgr de Ségur ne pouvait en son temps et celui de Garibaldi qu’être un bouffeur de judéo-maçons spéculatifs, comme iceux sont encore et toujours bouffeurs de curés.


Mrg de Ségur conforte Jean Coulonval, beaucoup d’autres maintenant et moi-même, que la révolution de 1789 a surtout été facilité par l’époque de la Renaissance et la Réforme, puis par le voltairisme et l’apparition à Londres en 1717 de l’actuelles judéo-maçonnerie.

De la république de 1789 ne pouvait que sourcer les 74 ans de socialisme de l’URSS, qui était en germe dans les mots du criminel contre l’humanité : Turreau (Légion d’honneur et baron d’Empire), qui écrivait en tête de ses lettres : « Liberté, Fraternité, Égalité ou la Mort ». C’est celui qui donnait les instructions à ses lieutenants, comme : « Tous les brigands qui seront trouvés les armes à la main, ou convaincus de les avoir prises, seront passés au fil de la baïonnette. On agira de même avec les femmes, filles et enfants (…) Les personnes seulement suspects ne seront pas plus épargnées. Tous les villages, bourgs, genêts et tout ce qui peut être brûlé sera livré aux flammes ».
Et Turreau inquiet du silence de Paris insiste auprès du « Comité du Salut public » (encore un nom singeant le Christ) : « la promenade militaire que je médite sera finie le 4 ou 5 février. je le répète, je regarde comme indispensable de brûler villes, villages et métairies, sans quoi je ne pourrai répondre d’anéantir cette horde de brigands qui semblent trouver chaque jour de nouvelles ressources ».
Le 8 février, Carnot (l’infernale thermodynamique) envoie son accord en appelant Turreau « Citoyen général », mais alors, où est « l’égalité » ??? Et Carnot ajoute ce truc incroyable, que les intentions de Turreau paraissent « bonnes et pures », tout en précisant que le devoir de Turreau était « d’exterminer les brigands jusqu’au dernier »
My God, nous étions et sommes encore les deux pieds, et jusqu’à la tête, dans la tyrannie de l’opinion, et du BRUIT.

- Question :  N’existe-il pas un moyen d’échapper aux malheurs du monde ?
- Maharshi : Il n’y a qu’un seul moyen. Il consiste à ne jamais perdre de vue son propre Soi, quelle que soient les circonstances.
L’investigation « QUI SUIS-JE ? » est l’unique remède à tous les malheurs du monde. Elle est aussi parfaite félicité.
(Ramana Maharshi, entretien 532, du 15 octobre 1938).
Tout le reste n’est que tyrannie d’opinions à n’en plus finir, et donc en forme de religion de l’ego.

Le silence [mauna] est la plus grande éloquence. La paix est la plus grande activité. Pourquoi ? Parce que la personne, dans ces états, demeure dans sa nature essentielle, si bien qu’elle pénètre tous les recoins du Soi. Elle peut dès lors faire appel à n’importe quel pouvoir, en tout lieu et chaque fois que cela est nécessaire. C’est la siddhi [pouvoir] la plus élevé [un Réalisé chutant de haut sur un Rocher se sera pas blessé, le Rocher deviendra doux comme un oreiller] (Ramana Maharshi, entretien 534).
Bien faire attention qu’il y a siddhi et siddhi, l’autre étant le vulgaire pouvoir dont son atteint tous les actuels adeptes de la république de par le monde.

Le silence est le véritable upadesha (enseignement). Il est l’upadesha le plus parfait. Il ne convient qu’aux chercheurs les plus avancés. Les autres sont incapables d’en tirer une pleine inspiration. C’est pourquoi ils ont besoin des mots qui expliquent la Vérité. Mais la Vérité est au-delà des mots. Elle n’admet aucune explication. Elle ne peut qu’être indiquée. Et comment cela peut-il se faire ?
Les gens sont sous l’emprise de l’illusion. Si celle-ci est dissipée, ils réaliseront la Vérité. il faut donc leur dire de réaliser l’irréalité de l’illusion. C’est alors qu’ils essayeront d’échapper à ses pièges. Le résultat sera le vairâgya (le détachement). Ils se mettront en quête de la Vérité, à la recherche du Soi, et finiront par se maintenir dans le Soi.
(Ramana Maharshi, entretien 569).

- Question : Comment se défaire de l’ego ?
- Maharshi : Pour s’en défaire, il faut le tenir fermement. Tenez-le d’abord et le reste sera facile.
- Question : Comment le tenir ?
- Maharshi : Voulez-vous dire qu’il y a un ego qui tient un autre ego ou qui doit l’éliminer ? Y aurait-il deux ego ?
- Question : Comment dois-je prier Dieu ?
- Maharshi : Il faut qu’il y ait un ‘je’ pour prier Dieu. Ce ‘je’ est immédiat et intime pour chacun, tandis que Dieu n’est pas considéré comme tel. Cherchez lequel est le plus intime ; vous pourrez ensuite déterminer l’autre et le prier si nécessaire.
(Ramana Maharshi, entretien 580).


Note.
1. Église, Assemblée ou Temple, forment une seule chose : UNE ASSEMBLÉE DE FIDÈLES, de CITOYENS, une PAROISSE, un édifice, un ensemble de gens CONVOQUÉS, UNE LOGE.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 18-04-2016 00:47

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >