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La République et ses races impures Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 22-04-2016 23:07

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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La République et ses races impures
dont le sang abreuve ses sillons républicains :
Les Brigands de la Vendée

LES TANNERIES DE PEAU HUMAINE DE LA RÉPUBLIQUE.
Chaussures Made in France en peau de Vendéens à vendre.


Bienvenue au « siècle des lumières » et de leurs « valeurs ».
Suite de la psychose collective nommée « république ».
 
 
RACE : sens du 15è siècle et premier aspect positif : de la famille, la souche, l’espèce, la génération.
Sens du 18è siècle : ensemble des ascendants et descendants masculins comme féminin d’une famille, d’un peuple, ce qui est le même sens qu’au 15è siècle !
Le mot RACE signifie aussi :
- L’appartenance à une chose, une opinion ou idéologie, une classe, une paroisse, un parti, un étatisme ou système, donc à une POSSESSION, à un EGO ou égrégore, ceux qui disent : « Notre religion », ou « la religion de mes pères », ou « la religion de ma race », ou « notre paroisse ou notre parti politique », ou « c’est ma vérité à moi », etc.
Les Religions de Race comme celles du Livre ou Dogme, celles qui se présente comme particulière parmi d’autres, comme un système sentimental, moral ou politique ou social, mental et donc racial ayant ses particuliers propres.
Depuis 1789 la « république » se veut « indivisible », comme Dieu, comme la Vérité ; et donc elle prend la forme de religion se voulant universelle mais elle est en réalité une DICTATURE QUI IMPOSE À L’ENSEMBLE…
- Dans le deuxième aspect positif, le mot RACE signifie : un terme employé en littérature spirituelle pour désigner une vague de vie, une phase éphémère ou transitoire de transformation, et n’a donc rien à voir avec la couleur de peau, ni avec le lieu de naissance, ni avec une quelconque croyance en des religions ou en des partis politiques.
 
BRIGAND : sens des républicains du 18è siècle : le hors-la-loi, donc le terroriste actuel, quelque soit le sexe et l’âge, comme le confirme Barère lors d’une séance du 28 décembre 1793 : « Les brigands que nous avons chassés de la Vendée ne la reverront plus jamais ; ils n’existent plus, hommes, femmes, marquises, comtesses, tout est tombé sous le glaive que vous nous avez remis » (Gazette nationale, 28 décembre 1793).
Le général Jean Dembarrère : « Tuez les brigands au lieu de brûler les fermes, faites punir les fuyards et les lâches et écrasez totalement cette horrible Vendée […] Combine avec le général Turreau les moyens les plus assurés de tout exterminer dans cette race de brigands » (Jean Dembarrère 1747-1828).

De nos jours « la République » se veut toujours un « modèle pour le monde ».
Ainsi elle invente en Europe les premiers camps de concentration, les « mouroirs » selon l’expression nantaise à la mode. Ce sont des lieux à ciel ouvert délimités, des prisons comme celles du Bouffay à Nantes, des bateaux comme à Angers, à Nantes et aux Ponts-de-Cé, des châteaux comme ceux d’Ancenis, d’Angers, de Nantes, des églises, etc. À Noirmoutier se trouve des camps de concentration et d’extermination réservés aux femmes et enfants ; on trouve aussi des lieux de noyades comme dans la baie de Bourgneuf, pour le 23 février 1794 à 17 heures, à 15 kilomètres du Collet, à la hauteur de Pierre-Moine. Un commandement fera jeter à la mer 39 Vendéennes, un enfant et un vieillard « comme rebelle à la loi ». Reynald Secher dans son livre cite les noms des martyrs, il y a notamment : Anne Monier, 1 an (recueil de l’Abbé Joseph Le Clainche : La noyade de la baie de Bourgneuf, Cholet, Revue du Souvenir vendéen, n°69, mars 1969, cité par Secher)
Les prisonniers, « ces vipères qu’il faut étouffer » ne peuvent espérer nul salut : soit ils meurent vaincu par la maladie et la malnutrition, soit ils sont exécutés par ceux qui regrettent que « ces chiens ne crèvent pas assez vite » (les exemples de clémence sont rares).

Comme déjà écris sur la précédente page : IL FAUT RENTABILISER L’EXTERMINATION DE MASSE. Ainsi, selon la logique des Conventionnels, le « crime » ayant été commis par les Vendéens, c’est à eux de financer leur propre extermination. C’est l’équivalant du sadique qui fait creuser la tombe de celui qu’il va assassiner par par le futur assassiné.
Les exterminés sont une marchandise : bijoux, argent, vêtements, cheveux, peaux, dents. On va aller jusqu'à récupérer la graisse liée à la fonte des corps pour les hôpitaux comme le raconte un soldat du général Joseph Crouzat (1735-1825) en mai 1829 à la comtesse de La Bouëre, à qui il avoue avoir fait « fondre », le 6 avril 1794, 150 femmes pour récolter leur graisse.

« Deux de mes camarades étaient avec moi pour cette affaire. J’en envoyais dix barils à Nantes. C’était comme de la graisse de momie : elle servait pour les hôpitaux. Nous avons fait cette opération à Clisson, vis-à-vis  du château et près de la grenouillère. Nous faisions des trous de terre pour placer des chaudières afin de recevoir ce qui tombait ; nous avions mis des barres de fer dessus et placé les femmes dessus, puis au-dessus encore était le feu ». (Comtesse de La Bouëre, Mémoires, cité par R. Secher)
À Angers se trouvait une tannerie de peau humaine. Un témoin, Claude-Jean Humeau, déclare au tribunal d’Angers le 6 novembre 1794 : « Le nommé Pecquel, chirurgien-major du 4è bataillon des Ardennes, en a écorché 32. Il voulut contraindre Alexis Lemonier, chamoiseur aux Ponts-de-Cé, de les tanner. Les peaux furent transportées chez un nommé Langlais, tanneur, où un soldat les a travaillées. Ces peaux sont chez Prud’homme, machonnier » (Archives départementales d’Angers, cité par R. Secher).
Les tanneries de peaux humaines suivent les directives de Saint-Just, qui dans un rapport du 14 août 1793 à la Commission des moyens extraordinaires déclare :

« On tanne à Meudon la peau humaine. La peau qui provient d’hommes est d’une consistance et d’une bonté supérieure à celle des chamois. Celle des sujets féminins est plus souple, mais elle présente moins de solidité ».
L’extermination des Vendéens est une première dans l’efficacité à venir de cette société industrielle et de la rentabilité aussi à venir grâce à la palanquée de banques qui poussent comme des pustules. Le plan de « compétitif » pour la Vendée sera chapeauté par Turreau (le « plan Turreau »).


Le Moniteur retranscrit sans moufter la séance à la Convention du 25 décembre 1793 : « Un des témoins de la Vendée dit : « Trois maux incurables poursuivent les brigands : la Loire, la guillotine et les armées de Westermann et de Marceau. Ceux de Savenay ont été exterminés. Deux mille qui cherchaient leur salut dans la fuite ont été noyés. Nous n’avons pas fait de prisonnier par ce que nous n'en faisons plus. Depuis huit jours, les restes des brigands ne se nourrissent plus que de navets. ils sont atteints d’une fièvre et d’une toux qui les conduisent au tombeau. Neuf cents ont été fusillés à Nantes et jetés dans la Loire.
Le président Couthon le congratule :
« Soldat de la république, tu viens annoncer à la Convention nationale de nouveaux succès sur les rebelles de la Vendée ; tu lui apportes la preuve de la victoire de tes frères et le signe de la rébellion et de la défaite des ennemis. Les applaudissements de la Convention nationale t’expriment assez la vive satisfaction. Vous, retournez auprès de tes frères d’armes ; dis-leur qu’ils ont bien mérité de la patrie ».
Le 28 décembre la Convention « décrète » que les troupes dans l’armée de l’Ouest « ont bien mérité de la patrie ».


DES MALADES, TOUJOURS ET ENCORE DES MALADES DE LA PESTE RÉPUBLIQUE.

« Que votre lettre m’a fait du bien, mas amis ! Je ne concevais que l’inquiétude de les voir fuir si loin et si prestement que vous ayez beaucoup de chemin à faire avant de les rejoindre. Enfin, ils n’existent plus ces scélérats ; plus d’armée catholique en deçà de la Loire. Gloire à vous et à nos braves républicains.
Une dernière conquête s’offre à vos bras et appelle nos défenseurs : c’est la destruction de la Vendée et de tous les coquins qui depuis si longtemps insultent à la République [c’est donc une religion].
Je fais débarrasser nos prisons de tous les infâmes fanatiques qui s’étaient échappés de l’armée catholique. Pas de mollesse ; que le torrent révolutionnaire entraîne tout ce qui lui résiste scandaleusement [puisque c’est une religion] ; purgeons, mes amis, saignons jusqu’à blanc ; il ne faut pas qu’il reste aucun germe de rébellion… » (Le « représentant du peuple » Francastel, le 25 décembre 1793 à ses collègues Turreau et Prieur).

Turreau, nommé par le Comité du salut public et ne dépendant que de lui, a dans sa feuille de route l’ordre « d’exterminer tous les brigands et d’anéantir « la race impure ». Turreau reprend en permanence à son compte le vocabulaire du Comité du salut public.
Et la monstrueuse hypnose collective se poursuit :
Le 1er juillet 1794, un citoyen, soldat au premier bataillon du 39è régiment, écrit à sa maman, la « républicaine » Giboire, rue du Porche de la ville de Châteaugiron, en Ille-et-Vilaine : « … Depuis ce temps, c’est-à-dire les 19, 20 et 21 du même mois (7, 8 et 9 juin), marché en colonne sans pouvoir trouver de brigands si ce n’est peut-être 100 ou 150 hommes, femmes et enfants que nous avons fusillés après les avoir pris épars, ça et là par les campagnes. Nous n’entendons plus de nouvelles d’eux ; nous ne savons pas maintenant quels terrains ils occupent ; mais ils n’occupent plus aucune ville, ni bourg, ni forteresse […]. Je vous embrasse avec l’amitié et la reconnaissance possible et suis avec respect et soumission. Votre affectionné fils » ÉCRIT CET HALLUCINÉ ASSASSIN.

En éliminant les femmes et les enfants, la république anéantit le « sillon reproducteur » et les « futurs brigands ». De nos jours certains malades ont proposés de « détecter » les futurs « terroristes » dès l’école maternelle, et pourquoi pas dès le berceau ; et pourquoi pas avec un médicament spécial de Big Pharma qui anéantirait toute tentative de « rébellion » envers l’oligarchie.
La destruction systématique en massacres collectifs des enfants a particulièrement marqué les contemporains comme ceux de Nantes :
« 500 enfants des deux sexes, dont les plus âges avaient 14 ans, sont conduits au même endroit pour y être fusillés. Jamais spectacle ne fut plus attendrissant et plus effroyable ; la petitesse de leur taille en met plusieurs à l’abri des coups de feu ; ils délient leurs liens, s’éparpillent jusque dans les bataillons de leurs bourreaux, cherchent refuge entre leurs jambes qu’ils embrassent fortement en levant vers eux leur visage où se peignent à la fois l’innocence et l’effroi. Rien ne fait impression sur ces exterminateurs ; ils les égorgent à leurs pieds ; d’autres parviennent à s’écarter de ces bataillons de la mort : des soldats se détachent et le plomb arrête leur course en les renversant sur la poussière : des cavaliers les atteignent et les massacres ; les plus proches sont assommés par ces cannibales. La vigueur de l’âge les fait se relever plusieurs fois sous les coups de crosse qu’on leur assène ; autant de fois ils sont renversés jusqu’à ce qu’ils soient hors de la lumière. Malheureux enfants, ils appellent à haute voix leur père, leur mère à leur secours. Hélas ! Ils ne sont plus. La nature est muette pour eux. L’humanité ne peut se livrer à ses heureux sentiments. La mort attend ceux à qui elle inspire le plus léger mouvement : un soldat perd connaissance à la vue de ce spectacle horrible. Le fer achève de le plonger dans les ténèbres. Un officier ose demander grâce. Il est traduit au milieu de ces groupes d’enfants et fusillés avec eux ». (Louis-Marie Prudhomme, Histoire générale et impartiale des erreurs, fautes et crimes commis pendant la Révolution française, cité par R. Secher).

Pour la république, les Vendéens ne doivent plus pouvoir se reproduire, d’où le recours à une symbolique macabre qui consiste à couper le pénis pour s’en faire, entre autres, des boucles d’oreilles, ou bien qui consiste aussi à faire exploser des cartouches dans les vagins ou à éventrer les femmes afin d’en extraire le fœtus. Étant plein pot déjà dans la société du spectacle et de la psychose collective, on théâtralise pour la première fois au Mans en décembre 1793 :
« Lorsque j’arrivais au Mans, j’y fus témoin de toutes les horreurs que peut présenter une ville prise d’assaut. Les soldats qui étaient répandus dans les maisons en tiraient des cadavres  des femmes et des filles des brigands qu’ils avaient violées ; ils les portaient toutes nues dans les places ou dans les rues ; celles qui s’enfuyaient étaient aussi  emmenées dans ces mêmes endroits où elles étaient entassées et égorgées sur le champ à coup de fusil, à coup de baïonnettes ou à coups de sabre ; on les déshabillaient ensuite toutes nues ainsi que celles que l’on apportait mortes et qui étaient vêtues et on les étendaient sur le dos, les jambes écartées, les pieds rapprochés du corps de manière que les jambes fussent pliées et les genoux en l’air : on appelait cela mettre en batterie ». (La terreur en Anjou. Correspondance et journal de Benaben, cité par R. Secher).

Il fallait bien qu’il y ait des ordres supérieurs, parce qu’on a trouvé dans les hôpitaux des femmes et des enfants à la mamelle sabrés au nombre de 1200. Et ce genre de comportement se retrouve un peu partout comme à Nantes

Un contemporain cité par Secher explique : « On parlait un jour à Robespierre de ces atrocités et de la peur que tous les Nantais jusqu’aux enfants avaient de l’ombre de Carrier. « C’est un patriote, répondit le tyran ; il connaît ses devoirs et Nantes avait besoin d’un pareil homme » (L-M. Prudhomme).

Comme les morts ne parlent pas, ni vue ni connu, et ainsi aucun risque de représailles ou de jugement.
Ainsi, à propos des Arméniens, comme note Hélène Piralian (Génocide et transmission), cité par Secher, je résume : il fallait exterminer tous les enfants en âge de se souvenir, comme le précise le télégramme du judéo-maçon  Talaat Pacha à ses gouverneurs de province les valis.

MÉFIONS-NOUS, NOUS SOMMES ENCORE DANS LES 10.000 ANS DE LA VOIE DE L’AGRICULTURE, C’ÉTAIT HIER, C’ÉTAIT EN RUSSIE DE 1917 ET JUSQU’À LA MORT DE STALINE ET MÊME UN PEU APRÈS, ET COMME TOUT EST CYCLE, EN L'ÉTAT ACTUEL DES CONSCIENCES, CE SERA LA MÊME HORREUR DEMAIN.


L’innocence devant le mal : Une plaie toujours ouverte et qui ne s’infecte jamais, une espèce de blessure invulnérable. (Gustave Thibon)


[En référence à : Vendée, du Génocide au Mémoricide, de Reynald Secher]
 
 

Dernière mise à jour : 22-04-2016 23:33

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