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Behaviorisme et tyrannie de l’opinion Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 30-05-2016 22:31

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Behaviorisme et tyrannie de l’opinion
et pièges de l’ego


Un monde sous manipulations bien pire que celles de
l’Église de Rome.
Un monde d’instinctologie.

Le monde des gens qui croient que le mental n’est
constitué que d’une masse située sous un crâne.

Le mètre-étalon ou lit de Procuste ou compas-équerre judéo-maçonnique, ou les lois noachides.
 
 
Avec 1789 et sa « démocratie », le mesmérisme, certains croient révolutionner les bases de l’être humain en se passant des religions. Ils avaient bien raison sauf qu’ils oubliaient que l’animal humain est un Homo Religiosus, même et surtout un athée ! Tous ces gens de l’après 1789 se croient révolutionner le mental de l’humain, « débarrasser la nouvelle science de tout freins ». Et pour par exemple un J.B. Watson la « psychologie » empêchait le développement de la « vraie science » ! En d’autres mots : il voulait supprimer tout contact avec le divin : la psychologie suivant le courant opinion remontant à la Renaissance devait enregistrer des faits et rien que des faits, faire des observations tel Big Brother, mesurer tout et n’importe quoi et tenter des expériences partout où c’était possible. On était plein pot dans un hyper matérialisme de la société industrielle naissante et de la puissance de ses banques.
Avec 1789 on entrait aussi dans cette division :
- SCIENCE : dans le sens officiel et mondialiste du quantitatif : « Expérience reproductible et contrôlable par d'autres ». il s'agit ici d'une technique, et non d'une science !
- SCIENCE : dans le sens alchimique et de Réalisation du Soi-Instant : « Prends ceci et fais un monde ». Ou bien : « Prends n'importe quoi et fais-en une pilule ou un clystère » (Thomas Vaughan : Traité du Ciel terrestre).
 
Watson se situe donc dans la logique tabula rasa à la 1789 pour effacer tous souvenirs de ce qui pouvait naguère se rapporter à la psychologie, comme si les Anciens ne connaissaient rien en psychologie. L’opinion se renforçait et prolongeait de décennies en décennies sa tyrannie : comme Big Brother naissant, on voulait tout voir, tout mesurer, tout contrôler, et le béhaviorisme se situe dans cette mode. Pour Watson, seul le comportement observé à l’abri de toute soi-disant ingérence subjective revêtait à son ego une « valeur scientifique ».

Les Watson & Cie commencèrent par examiner la machine : réflexes pupillaires, modifications de la circulation sanguine, des mouvements cardiaques, des réflexes dits « psychogalvaniques » (comme sur les grenouilles), des réactions salivaires (comme sur les chiens de Ivan Pavlov), etc. Ces gens notèrent tels des écoliers sages toutes les variations qu’ils pouvaient mesurer, tous les « comportements » selon les circonstances dans lesquelles se trouvaient les sujets examinés. Comme dans tout l’après 1789 et ses droits de l’hommistes, CES GENS CHERCHAIENT DES LOIS OU DOGMES, bref, ils voulaient se RASSURER, RASSURER LEUR EGO, LEUR POSSESSION, exactement comme un Sigmund Freud et son copyright « psychanalyse », ou comme un Albert Einstein et sa « relativité ».

Tous ces gens croyant posséder la vérité se disaient qu’ils pouvaient en quelque sorte prévoir l’avenir, dans le thème moderne du DORG (Demain On Rase Gratis). Ils pouvaient prédire les réactions organiques qui se produiraient dans telle circonstance déterminée ; et aussi étant donnée une réaction, reconnaître la sorte d’excitant capable de la déclencher. C’était la porte ouverte aux futurs transhumanistes.
Watson se situe dans la lignée judéo-maçonnique d’un Jules Ferry voulant coloniser les Nègres, cette « race inférieure ». Watson a inscrite cette sorte de définition des « animaux inférieurs » dans un ouvrage qu’il appela : psychologie comparée : Behaviorism, An Introduction to Comparative Psychology, publié à New York en 1914.

Les béhavioristes ne pouvaient que tourner autour du système nerveux, soit mesurer le comportement d’un être vivant du point de vue de ladite « psychologie », celle-ci prise évidemment dans un sens très large, car englobant les réactions glandulo-vasculaires. Ces gens se voulaient tellement « scientifiques », donc mesurables, comptables, pondérables, donc DANS LE CAMP DU « BIEN », qu’ils se comportaient comme des diviseurs, des coupeurs de cheveux en quatre dans le sens évidemment de la longueur ! L’Occidental ne voit que par petits bouts de machins, et ne voit jamais l’ensemble comme l’Oriental.
Dans les conditions du béhaviorisme, on comprendra facilement que les manifestations psychologiques supérieures fussent rigoureusement proscrites. Bref, la Conscience était ignorée !
Ainsi, le comportement humain vu par un béharioriste signifie « l’activité spéciale produite par l’intermédiaire du système neuro-terminal » ; on croirait entendre un transhumaniste !

Pour un Howard C. Warren et son ouvrage publié à New York en 1929, Human Psychology, « les actes d’un organisme supérieur ne sont pas du comportement, s’ils ne sont pas effectués par l’intermédiaire d’un arc nerveux ». Cela annonce encore le transhumanisme et le robot humain, avec l’arrivée de l’informatique autour de la seconde guerre mondiale.

Ce qui caractérise cette mode de l’ego de l’après 1789 et comme barrage monumental face à la religion catholique, c’est l’aversion pour la Conscience ; pourtant la « raison » des perruques poudrées du 18è siècle avait déjà fait ses ravages en 1717 à Londres. Le mental des béhavioristes se voulait DES PSYCHOLOGIES SANS CONSCIENCE PSYCHOLOGIQUE. Avec cette mode ou opinion on entrait dans l’exclusion de la Conscience dans la recherche scientifique, qui de ce fait n’avait plus rien de « science » mais restait uniquement de la TECHNIQUE.
Cette perte du sens du mot « Science » peut se résumer par le passage d’un ouvrage d’Édouard Claparède : « Ce n’est que lorsque nous pouvons appliquer à un phénomène la catégorie du nombre que nous faisons entrer ce phénomène dans la phase scientifique de son étude ». On peut tout faire dire et n’importe quoi par des nombres (voir les pythagoriciens… la guématrie, etc. C’est tout confort et travail du chapeau de l’ego).

Pour un W. Mc. Dougall, dans An Introduction to Social Psychology (1908), « les instincts sont les principaux moteurs de toute l’activité humaine ». Pour Dougall, « c’est par poussée ou impulsion de quelques instincts (ou de quelque habitude dérivée d’un instinct) que tout enchaînement de pensée, si froid et si exempt de passion qu’il puisse paraître, est poussé dans une voie conduisant à un but, et que tout activité corporelle est suscitée et soutenue ».
Dougall se situe donc dans l’évolutionnisme à la « fin des temps » yahviste puisque le comportement commence à avoir un dessein, un but à atteindre et une fin (des temps). Qu’est-ce qu’on doit s’emmerder avec Dougall sans le temps qui coule !
On sortait du mesmérisme : « Les impulsions instinctives déterminent les fins de toutes les activités et fournissent la force qui soutient toutes les opérations mentales ; et toute la complexe organisation intellectuelle de l’esprit le plus développé n’est qu’un moyen par rapport à ces fins, le simple instrument par lequel ces tendances cherchent leur satisfaction, le plaisir et la douleur servant à guider dans le choix des moyens », cité par le Dr. A. Stocker dans : Folie et Santé du Monde. Mc. Dougall se situe bien dans le sentimentalisme ou opinion : les réactions affectives ou émotions commandent tout. Pour lui les impulsions (sens électrique) sont « les forces mentales qui maintiennent et gouvernent toute la vie des individus et des sociétés », et c’est : « circulez ya plus rien à voir on est à la fin des temps et Demain On Rase Gratis ». résumé à sa plus simple expression ça donne « purposive behavior », du comportement « à dessein », atteindre un but, dont Mc Dougall fut le fondateur et big représentant.

En dessous de la ceinture avec Sigmund Freud qui fait aussi dans le but à atteindre comme tous ses frères et sœurs Yahvistes. l’instinctologie allait faire son business partout dans le monde. Freud et Mc Dougall furent un courant de pensée de l’égrégore régnant à leur époque : le triomphe de la raison au 19è siècle. Comme nombre de Yahvistes, dont un Albert Einstein et ses confrères à la tête de Hollywood, Freud savait se faire mousser et se vendre. Comme il ne savait que faire parler les instincts, il mit son ego en cette devise : « Flectere si nequeo superos, acheronta movebo » (phrase de l’Enéide, VII 312). Devise qu’il interpréta selon son opinion en exergue de son livre sur les rêves Traumdeutung. Ne pouvant pas toucher les dimensions supérieures de l’être humain, il se contenta d’en remuer les plus basses. Il travailla surtout en dessous de la ceinture du pantalon, dans le slip, pour être précis ! Il fit un package de tout ça sous le nom de « libido » (du latin libodo : désir), faisant ainsi de l’être humain un obsédé sexuel. Avec le package il ajouta un supplément qu’il baptisa « psychanalyse ». Son système, il le copia dans les données de la psychologie associationniste (les juifs copient tout). Peut-être à cause du sexe, l’affaire de Freud se vendit comme des petits phallus mieux que ceux des minarets et autres couples-seins à travers le monde.

L’aspect du tout mécaniste et tôle-boulons du 19è siècle commençait à jouer des tours à Freud : il s’apercevait qu’il avait oublié les phénomènes humains moraux et spirituels. Pour lui c’était des faits, alors comme tout égocentrique, il s’efforça de POSSÉDER : FAIRE COLLER CES FAITS DANS SA DOCTRINE, comme un Procuste et son lit mètre-étalon ancien ou compas-équerre judéo-maçonnique.
Aux yeux de l’instinctologie de Freud, la spiritualité ne pouvait venir que de l’extérieur, et pas de l’intérieur de la personne ! Béhavioristes et freudistes veulent faire de l’être humain un animal comme les autres, avec les mêmes opinions que la zoologie, la botanique, les sciences naturelles ; bref, de « la biologie ». Ça annonce le transhumanisme qui ne pouvait qu’être porté par des Yahvistes !!!
Quand il s’agit de l’être humain, s’il se connaît parfaitement, il est de beaucoup plus qu’un animal, son dépassement biologique et psychologique n’est pas uniquement quantitatif, mais surtout qualitatif. L’être humain étant le Soi-Instant, l’Univers étant en lui, les béhévioristes et freudiens ne peuvent pas le réduire à des courants nerveux ! Mais plus grave, la connaissance de l’être humain implique la dualité, la balance entre un sujet qui étudie un objet à étudier ; et comme l’être humain est, en ses Essences, le résumé, la globalité de l’ÊTRE et de l’ex-istant (1), il se trouve alors dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un « Univers » qui lui serait « extérieur ». l’Univers étant dans le mental, on ne peut pas « étudier l’Univers », à moins de Réaliser le Soi-Instant qui en est une simple approche et qui n’a rien à voir avec une psy-analyse ou autre « raison ».


Note.
1. Ex-istant, Ex-istence, selon Jean Coulonval, dans Synthèse et Temps Nouveaux. Coulonval cite Étienne Gilson et son L’être et l’essence, lequel parle de la confusion de vocabulaire. Il dit que la philosophie de Heidegger ne peut guère être saisie dans une traduction tant elle est tributaire de la langue allemande. Coulonval cite aussi la langue anglaise (pas le globish évidemment) qui perd beaucoup de son sens dans une traduction. Gilson parle de l’imprécision du mot être en tant que substantif ou verbe. le mot être est un des plus utilisé comme la lettre e et ce mot est pourtant le moins définissable (voyez le Je SUIS ou SOI). Gilson fait une remarque sur l’existence de Dieu. Le sens primitif était ex-istence, ce qui est issu, extériorisé d’un être. Ex- : Élément, du latin ex « hors de », présent dans des composés d'origine latine (exciter, exclure, expulser), et qui a formé quelques composés français (expatrier, exproprier), dit le dictionnaire Le Robert.
Gilson explique que c’est le sens savant, mais l’usage courant dit de toute chose qu’elle existe, de sorte qu’on dit aussi que Dieu existe alors que, en toute rigueur, il n’ex-iste pas, ne devant son être à personne. Il n’existe pas, IL EST : Super Tautologie du « Je suis ce JE SUIS », DÉFINITION DE LA RÉALISATION DU SOI-INSTANT. (Pour faire référence à Jean Coulonval).


[En référence à : De la psychologie à la vie : Folie et Santé du Monde, du psychiatre A. Stocker]
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 30-05-2016 23:00

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