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Pleasantry 5 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 05-06-2016 22:26

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Pleasantry 5
 
 
Pleasantry 1
Pleasantry 2
Pleasantry 3
Pleasantry 4
Pleasantry 6
Pleasantry 7

Suite d’un projet de long métrage.
Sur la plage en Atlantide, To-Tjenen accompagné de Vladimir, Marilyn, Christophe et Marc, rejoint par la nouvelle équipe Eric, Ellen et Danny.

Sur une plage, 8 cristaux s’avancent lentement et s’arrêtent par instants. Ils laissent sur le sable un léger sillon. Tout proche de là est posé sur un socle de pierre le petit émetteur de fréquence « créatrice de vie » (des cristaux enchâssés dans une petite boîte de métal argenté avec une curieuse antenne).
 
Devant, Quesen tiens de ses 2 mains le bâton-ouser de contrôle de l’émetteur. Ahat et Cheta font des pirouettes en s’aidant de leur bâton ouser.
Soudain Ahat réagit à la présence des 8 cristaux et lance un éclair vers l’un d’eux avec son bâton. C’est le cristal Eric qui est réduit en poussière. Le cristal To se matérialise en To-Tjenen et envoie un éclair bleuté courbe en direction de Ahat. Celui-ci est légèrement brûlé, mais sa blessure se referme aussitôt. Tous les autres se matérialisent d’un coup, sur le rythme de 3 coups de canne de To-Tjenen, sauf le pauvre Eric.
Vladimir, Christophe, Marilyn et Marc avec leur bâton lancent des éclairs en direction de Ahat et Cheta. Mais les rayons partent brusquement vers le ciel à 90 degrés, avec un craquement assourdissant. To-Tjenen d’un geste fait cesser le vacarme. Ellen se penche sur le tas de cendre d’Eric et se met à pleurer, consolé par Danny. To-Tjenen avance et tend la main en signe de paix momentanée !

- TO-TJENEN : Faisons une trêve. On ne va pas se détruire et se régénérer sans arrêt, c’est ridicule !
Quesen demande à Ahat et Cheta de baisser leur bâton vers le sol.
- QUESEN : D’accord, on s’accorde une trêve, mais qu’est ce qu’on s’amuse avec le langage des humains !
Il fait signe à Ahat d’aller réincarner le tas de cendre d’Eric.
- TO-TJENEN : Tu n’as pas de jeux plus subtils à proposer ? Ce brouillage des langues est du niveau d’un débutant, tu me déçoit Quesen !
Plus loin Eric se reconstitue.
- ERIC : Pourquoi on m’en veut comme ça ?
Et Ellen prostrée se relève consolée par Eric. Ils s’embrassent sur la bouche.
- QUESEN : Tu voudrais un nouveau jeu ? Et vous Ahat et Cheta vous voulez un nouveau jeu ?
Ils répondent oui oui de la tête. To-Tjenen se dépêche de faire une proposition en jetant un coup d’œil rapide vers ses compagnons.
- TO-TJENEN : Sur les conseils de Marc, je voudrais proposer une énigme !
- MARC : Mais j’ai rien proposé du tout !
Et To-Tjenen lui fait un rapide clin d’œil.
- TO-TJENEN : Les énigmes, c’est vieux comme le monde des Atlantes, hein Quesen ! (il lui tend la main). Et bien, pour résoudre une énigme c’est très facile, il n’y a qu’un seul moyen : il faut toujours se tourner vers le point de l’horizon où le soleil se lève.

Danny et Eric ne peuvent s’empêcher de rigoler en douce, Ellen leur donne des coups de coude dans les côtes, et Quesen se tourne vers l’Orient.
- TO-TJENEN : Attention Quesen : l’énigme, tu la cherches où tu la fuis ?
Et Quesen répond par orgueil :
- QUESEN : Je la cherche !
- TO-TJENEN : Qu’y a-t-il au monde de plus féroce et de plus impitoyable ?
Quesen réfléchit et fait tourner son bâton-ouser à la manière de C. Chaplin. Il se dégage de petits éclairs aux 2 bouts.
- QUESEN : La réponse c’est l’argent. Tout le monde le convoite. On s’injurie, on s’entretue pour l’argent. C’est l’argent qui donne la plupart des soucis. J’ajoute que nous n’y sommes pour rien ; c’est une création purement humaine !
- TO-TJENEN : Bravo Quesen.
Pendant le temps de réponse de Quesen, To-Tjenen a fait signe à Danny et à Eric, car les Atlantes sont tous tournés vers l’Orient, et les 2 jeunes sont très proches de l’émetteur. Ensuite, To-Tjenen se tourne vers Ahat et Cheta.
- TO-TJENEN : Attention Ahat et Cheta. L’énigme, vous la cherchez ou vous la fuyez ?
- AHAT, CHETA : Nous la cherchons !
- TO-TJENEN : Qu’elle est la prière du péteur ? Puisque vous avez Fabriqués les humains, vous devez connaître la réponse !
Eric est parvenu juste au pied du socle sur lequel se trouve l’émetteur, et les Atlantes n’ont rien aperçut.
- AHAT : Devant Maya, si j’ai pété, de tout mon cœur j’en suis fâché ; il faut excuser la vieillesse des humains.
- CHETA (enchaîne) : Je ne peux plus serrer les fesses ; excusez-moi, ma douce Maya, excusez-moi, je n’péterai plus.
Et sur les deux dernières strophes, Eric saisit l’émetteur et le lance à Danny qui le lance à Marc qui le lance à Vladimir. Tous se mettent à courir, y compris To-Tjenen et ses petits pas, il frappe 2 coups avec sa canne.
Quand les 3 Atlantes se retournent, ils n’aperçoivent que l’ondulation vaporeuse de la disparition des 8 personnes. Quesen et Ahat lancent des éclairs avec leur bâton, mais il est trop tard. Quesen empoigne Ahat et le secoue.
- QUESEN : Pourquoi tu as regardé vers l’Orient, il fallait les surveiller !

SÉQUENCE 11.
De jour dans un bar aux lumières tamisées. Des hommes aux visages fuligineux dans la pénombre consomment des boissons. L’un d’eux exagère sa virilité, en appuyant une jambe contre le mur, le regard voilé et habilement mis au point ; deux jeunes hommes assis dans un angle s’envoient des baisés sur la bouche. Devant le comptoir un type d’environ 25 ans sirotant un soda montre sa « boutique » : des bras musclés attachés sur un élégant corps fin vêtu d’un tee-shirt.
Dans un autre coin du bar, un gros type assis pousse un verre de sa main empâtée, vers un jeune un peu efféminé assis à côté de lui.
- GROS : BIBI KA TONSIF, BIBI KA ! Euh ! je veux dire bois ça fiston, bois, je t’en paierai un autre.
À côté, un type maigre, la quarantaine, debout accoudé au comptoir du bar tire des volutes de fumée de sa cigarette coincée entre ses longs doigts soignés.
- MAIGRE : KAK TU PAPA LÉON THIS ROI ? Euh ! je veux dire : vous jouez au Père Noël ce soir ?
- GROS (en s’adressant au jeune type) : Ne fais pas attention à lui, il est arrivé à San Francisco il y a une semaine, et je lui sers de guide pour son initiation.

Le type maigre remarque un jeune qui vient de rentrer dans le bar, c’est Eric, et il lâche :
- MAIGRE : celui-là me plaît !
Avec sa cigarette à la main il désigne au gros Eric.
- MAIGRE : Je le trouve sauvage !
Eric conscient d’avoir éveillé l’intérêt du maigre, joint ses mains et le salue à la mode égyptienne, puis il se dirige vers un juke-box.
- GROS : Pourquoi n’allez vous pas lui parler ? Glissez lui quelques billets sous le nez.
- MAIGRE : Je trouve ça dégueulasse, que des hommes prennent l’argent d’autres hommes pour faire l’amour.
Le gros réussit à hausser les épaules et répond :
- GROS : Si vous voulez pas lui offrir de l’argent, je peux vous l’acheter. Ici on vient pour se vendre ou pour acheter !
- MAIGRE : Si vous… vous le voulez… pourquoi n’allez vous pas le cherchez vous-même ?
Le gros en désignant son voisin le jeune un peu efféminé.
- GROS : J’en tiens un qui me plaît. Si t’as envie de baiser, pour ça tu paieras comme moi, parce qu’avec ton âge et ton physique t’es obligé !
Alors le maigre se déplace lentement, mais rapidement vers le juke-box où se trouve Eric. Le gros se lève avec difficulté et observe le maigre avec des yeux méchants.
Le maigre est proche d’Eric et sur le point de lui parler, il le regarde fasciné ; puis se recule soudain et regarde le gros qui semble le défier de loin.
Le maigre s’enhardit en faisant beaucoup d’efforts et adresse enfin la parole à Eric (on ne les entend pas). Il se dirige ensuite vers le bar et revient avec un verre qu’il tend nerveusement à Eric, qui l’avale d’un trait. Ensuite tous les deux sortent.

Devant le bar. Eric accompagné du type maigre croise Ellen venue le chercher, car elle connaît ses pratiques !
- ERIC : À ce soir Ellen.
- ELLEN : Salaud, on est à peine sortie des bâtons des Atlantes que toi, tu ne penses qu’à l’argent !
- ERIC (prenant l’argent que lui tend le type maigre) : Tu sais bien que j’ai pas de boulot.
Ellen s’en retourne, on la suit un instant en direction des toilettes payantes.

Sur le trottoir devant les toilettes payantes. Danny attend Ellen. En la voyant, il glisse une pièce et un type genre clochard se précipite en demandant :
- CLOCHARD : Oh vous me permettez d’entrer, je n’ai pas d’argent et j’ai tellement envie de pisser, faire dans la rue je peux pas.
Il rentre et aide la porte automatique à se refermer !
- DANNY (stupéfait) : Bon alors, comment on rejoint monsieur To ?
Il frappe sur la porte de la sanisette en criant :
- DANNY : Eh ! dépêchez vous, j’ai envie !
Un agent de police passe et le regarde d’un air soupçonneux. Le type clochard ressort en reboutonnant sa braguette.
- CLOCHARD : Oh merci monsieur.
Et il s’en va.
- ELLEN : Il est gonflé celui-là.
Danny glisse une autre pièce dans les toilettes, et tous les 2 entrent. (Voir séquence 5 pour le passage vers une autre dimension : l’Atlantide).

Intérieur du logement de To-Tjenen aux gros blocs de calcaires savamment appareillés. Dans la pénombre, Ellen et Danny se rematérialisent en passant du rouge à leur aspect carré. Danny trouve ce voyage par les sanisettes existant.
Vladimir tient l’émetteur de fréquences dans ses mains. Marilyn, Marc et Christophe sont à côté de To-Tjenen, en train d’examiner une portion de l’espace ouverte grâce au beau grenat ferreux. Dans cet espace déambule dans une rue de San Francisco : Seka, Quesen, Ahat et Cheta. Ils ont chacun troqué leurs bâtons contre des simples cannes.
À un moment, Seka aide un aveugle à traverser la rue.
- TO-TJENEN : Bon, ils ont rejoint notre monde moderne et ils peuvent réactiver l’émetteur avec leurs cannes, mais ce genre de canne ça m’étonnerai qu’ils y parviennent.
- VLADIMIR (il tend l’émetteur à To-Tjenen) : Où cacher cette machine infernale ?
Et il va se placer près de Marilyn. To-Tjenen referme l’espace sur Seka et les autres en frottant le grenat, et prend l’émetteur de fréquences.
- TO-TJENEN : Je vais le démonter et je ferais cuire ces cristaux dans mon four.

Le jour dans La salle de lecture d’une grande bibliothèque. Marc avec une canne-ouser parcours un bout de la grande salle de lecture déserte.
Il se dirige vers l’endroit où se trouve le livre d’Héliopolis. Mais devant la pièce, il y a un cordon jaune tendu, 3 policiers, un inspecteur, le corps étendu de l’employé aux livres rares avec ses gants blancs encore aux mains, et un médecin. Marc se rapproche et entend l’inspecteur répondre au médecin :
- INSPECTEUR : Mauvaise affaire, on a assassiné un homme pour dérober 2 vieux bouquins mités sur l’Égypte ancienne.
Un policier aperçoit Marc et demande :
- POLICIER : Que faites-vous ici ? Montrez-moi vos papiers !
Marc s’enfuit poursuivi par le policier. Au détour du hall de l’escalier Marc se cache, et quand le policier arrive à sa hauteur, il tend la canne en travers de ses jambes. Le policier fait un vol plané dans l’escalier. Marc reprend sa fuite.

Dans un square Danny et Ellen sont assis l’un à côté de l’autre sur un banc. Un peu plus loin, Marilyn se dirige vers un marchand de sandwichs. Au retour, elle croise près du marchand Vladimir avec sa canne-ouser.
MARILYN : Tu viens manger un morceau avec nous ?
VLADIMIR : Non pas ici, c’est risqué !
MARILYN : Bon attend moi, je vais porter leurs sandwichs à Ellen et Danny.
Et au retour elle voit Ellen avec la tête penchée sur l’épaule de Danny.
- ELLEN : Tu sais que Vladimir en pince pour Marilyn.
Marilyn a tout entendu ! Elle leur donne leurs sandwichs et les quittent en disant :
- MARILYN : Je vais rejoindre mon amoureux !
Ellen et Danny se regardent et sourient, puis attaquent leur sandwich.

SÉQUENCE 12.
Dans la rue à l’extérieur du square. Tout en marchant Marilyn donne une moitié de son sandwich à Vladimir, puis elle lui met la main sur l’épaule.
- MARILYN : Un programmeur et une géologue, ça fait un bel ensemble, non ?
Proche de là, Quesen et Ahat avec leurs cannes sont en chasse dans notre dimension. Un peu plus loin, Cheta aide une vieille femme à traverser, il arrête les voitures avec sa canne (sans éclair), et aperçoit Vladimir et Marilyn de dos.
Il rejoint avec ses grandes jambes Quesen et Ahat, puis tous les trois se mettent à courir vers Vladimir et Marilyn qui se retournent. Ils se mettent à courir aussi, pendant que Vladimir saisit le sandwich de Marilyn et lance les 2 sandwichs sous les pieds de Quesen et Ahat. Ahat glisse dessus et tombe, Cheta le bouscule, seul court devant Quesen.

Avec les 3 Atlantes à leurs trousses, Vladimir et Marilyn traversent une rue, empruntent un escalier de pierre et entrent dans un grand centre commercial. Devant une librairie Vladimir fait signe d’aller à l’intérieur. Ils parcourent les rayons en courant, des clients se retournent. Au bout d’un rayonnage apparaissent les 3 Atlantes ; Vladimir et Marilyn commencent à les bombarder de bouquins.
- MARILYN : Si Marc nous voyait !!!
Un vendeur arrive, c’est la pagaille, un client dit d’appeler la police ; Vladimir et Marilyn réussissent à sortir et un peu plus loin dans le centre commercial quand ils entrent dans un fast-food.

Vladimir et Marilyn bousculent les clients, une chaise tombe. Entrent à leur tour les 3 Atlantes. Personne n’ose se servir de sa canne ! Marilyn et Vladimir ressortent par une deuxième entrée, suivi par les 3 Atlantes qui renversent 3 chaises et bousculent des serveurs.
À l’extérieur dans le centre commercial les 3 Atlantes, Marilyn et Vladimir continuent la poursuite et sortent du centre pour déboucher dans une rue étroite.
Ils passent d’un trottoir à l’autre, se faufilent entre des voitures, puis Vladimir pousse Marilyn dans l’entrée d’un vieil immeuble.
Ils grimpent un escalier, et au premier étage Vladimir met sa canne au travers des marches. Cette fois ci, c’est Quesen qui culbute sur la canne ; il tombe en arrière, entraînant ainsi Cheta et Ahat jusqu’au rez-de-chaussée ! Ce qui donne le temps à Vladimir et Marilyn d’emprunter un couloir. Mais ils restent bloqués au bout. Marilyn sonne à une porte. Une voix demande :
- VOIX (off) : Qui c’est ?
- MARILYN : C’est la gardienne !
Et la porte s’ouvre ! Il y a là un vieux couple de retraités en pantoufles.
- VLADIMIR : Veuillez nous excuser, nous vérifions la solidité de l’immeuble.
Et Vladimir se dirige vers la fenêtre, pendant que Marilyn referme la porte.
Vladimir ouvre la fenêtre et montre à Marilyn qu’il faut aller de l’autre côté, c’est-à-dire dans l’immeuble en face !
- MARILYN (au petit vieux) : Vous inquiétez pas, on mesure la largeur de la rue.
Vladimir frotte sur sa canne, et celle-ci s’allonge pour traverser la rue et aboutir sur la fenêtre de l’immeuble de l’autre côté de la rue. Ils n’ont que 5 ou 6 mètres à franchir comme des funambules sur un pont suspendu étroit. Mais grâce à cette canne-ouser, ils réussissent parfaitement. (À cause de la mini gravité de la canne).

Le bord d’une fenêtre. Vladimir casse un carreau, il frotte la canne qui se rétracte pour redevenir normale. Il était temps, car en face, les 3 Atlantes ont pénétrés dans l’appartement du vieux couple et vont aussi se servirent de leurs cannes !
Dans une pièce d’immeuble, Vladimir aide Marilyn à sauter dans la pièce qui est assez sombre. Il n’y a personne, mais la porte est fermée à clef. Vladimir se sert de sa canne-ouser comme d’un passe partout, et ils empruntent tous les deux un couloir.
À l’extérieur au pied de l’immeuble. Par chance, un taxi stationne devant cet immeuble. Vladimir et Marilyn montent dedans et sèment ainsi les 3 Atlantes.

À suivre… Si le temps le permet…


DISTRIBUTION (CAST) pour les séquences ci-dessus :

TO-TJENEN : Dieu chtonien primordial, assimilé ou uni à Ptah
VLADIMIR OBLAKOFF (nuage) : (40 ans) programmeur en informatique
MARILYN GUÉRRAM (géranium) : (30 ans) géologue
CHRISTOPHE BIELLO : (35 ans) météorologiste
SEKA (labour) : chef des mauvais Atlantes
QUESEN (difficile) : mauvais Atlante
AHAT (tumeur) : jeune mauvais Atlante
CHETA (secret) : jeune mauvais Atlante
MARC REMEJ (pleurer) : (40 ans) bibliophile
ERIC : (23 ans) : jeune prostitué
ELLEN : (22 ans) : compagne d’Eric
DANNY : (20 ans) : copain d’Eric
UN GROS : client d’un bar gay
UN MAIGRE : client d’Eric
UN CLOCHARD
DES POLICIERS
PLUSIEURS PERSONNES


Les Anciens avaient un mental totalement différent de celui des ergoteurs Grecs ou philosophistes. Les Anciens voyaient dans le sens de MAÂT : DIRECT, CONCRET, les choses sont telles qu’elles paraissent, « un point c’est tout » ; ce qui ne veut pas dire qu’ils étaient incapables de faire de l’abstraction ! Ils n’avaient pas besoin de faire des ergoteries ou analyses, sauf quand ça leur permettait de découvrir des analogies entre des choses à première vue dissemblables. Pour les Anciens « la Loi » était « voir l’ensemble », donc le macro cosmos et micro cosmos.
Les Cristaux comme les Pierres ou n’importe quel objet dit « inanimé » sont vivants car ils mettent l’humain en un réseau de correspondances astrales favorables et lui assurent une vie plus longue et plus fertile en renforçant sa « réalité » (une Pierre « ça dure longtemps »). Ainsi réside la magie et la mystique des Pierres précieuses et autres Cristaux. En Chine le Jade symbolise le principe solaire éternel, et celui qui le porte assimile ces vertus magiques, lesquelles après sa mort, empêcheront même son corps de se décomposer. Il faut être un Occidental perturbé par les ergoteurs Grecs et ensuite par les perruques poudrées et leur « raison » pour parler « d’animisme » (attitude consistant à attribuer aux choses une âme analogue à l'âme humaine), ce qui allait donner surtout à partir de la Renaissance nos derniers siècles de mécanisme humain en tous domaines, pour aboutir à l’actuel triomphe de l’ordinateur et de son cacabinaire !


[En haut de page : une Coffee shop à Amsterdam. Photo commons wikimedia]
 
 

Dernière mise à jour : 07-06-2016 22:07

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