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NIS L’ÉGYPTIEN 5 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 30-06-2016 00:09

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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NIS L’ÉGYPTIEN 5
 
 
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- NIS L’ÉGYPTIEN 10

Publication du début d’un projet de long métrage comportant plusieurs chansons.
Dans la page précédente Nis et le jeune Aïq se divertissent à la façon égyptienne.


SÉCURITAIRE ET COMPÉTITION PATRIARCALE ET HÉTÉROSEXUALITÉ = CROISSANCE ET AMASSER ÉGOÏSTEMENT = RUINE DU MONDE. Car en croissance permanente l’argent sera de plus en plus concentré dans les mains d’un nombre toujours plus réduit de Couilles en Or. Ce cancer du pouvoir commence avec l’étatisme, puis après 1789 par la « démocratisation des marchés financiers » du « Enrichissez-vous » surtout entre 1970 et 1990 où les réglementations monétaires ont été détruits.
Sortir du « temps c’est de l’argent » comme le temps figuré par le sable coulant dans le sablier.

Avec l’arrivée des Hébreux-Juifs et des autres religions du Livre le règne du patriarcat s’installe et avec lui sa dictature économique fondée sur la monnaie, la dette et l’intérêt, la cupidité et une société à hiérarchie pyramidale avec Couilles en Or au sommet.

Demain : on paye l’air qu’on respire. Alors pour éviter ça, bientôt : un monde SANS ARGENT, DONC SANS BANQUE OU INTERMÉDIAIRE. Nous allons de plus en plus vers l’autonomie, soit la véritable démocratie : Les peuples ont par nature le droit de s’auto-gouverner, soit pour chacun la Réalisation du Soi-Instant. Par conséquent l’étatisme qui arrive avec la voie de l’agriculture au Néolithique est une maladie de cette civilisation fondée sur l’évolutionnisme, soit fondée sur la thermodynami(qu)te. Certainement qu’après plus de 10.000 ans d’égarements dans cette voie de l’Agriculture, de la sédentarité et du mercantilisme à la Mercure-Hermès, nous allons résoudre le si vieux dilemme Individualisme-Collectivisme (sans tomber dans les 74 années de socialisme façon URSS et Cie et jusqu’à nos jours, avec les singeries à la mode socialiste genre « podemos », Occupy ou « Indignez-vous »).
Logiciel P2P de monnaie libre :
http://www.monnaielibre.creationmonetaire.info/
Voir aussi :
http://www.uchange.co/
http://www.creationmonetaire.info/

L’argent est le pinacle de l’artifice : voir par exemple ce qu’en croie le vulgaire concernant l’Alchimie !!!
 

SÉQUENCE 13.
(Acquisition d’un serviteur).
Le jour sur la place du marché d’Edouma, Menekhet tient un éventaire où son disposés des tissus ; un autre large tissu très clair est tendu au-dessus, afin de protéger du soleil Menekhet et sa marchandise. Nis avec sa harpe, et Aïq viennent de quitter Menekhet ; ils se faufilent entre la foule où nous les suivons un moment.
- AÏQ : Nous nous sommes si étroitement enlacés, que les Dieux vont être jaloux ! (Il rigole).
- NIS : Oui Aïq, je me demande ce que Ptah nous a fabriqué !
 
Un autre endroit sur la place du marché. Iri tire une charrette à bras chargée de jarres, de légumes et de ballots. Il a l’air fatigué, sale et ruisselant de sueur ; on le suit un moment. Il s’arrête devant un éventaire pour acheter des pains et des gâteaux. Surgissent alors Nis et Aïq. Nis se précipite vers Iri.
- NIS : Et alors mon passeur ! comment es-tu arrivé dans cette ville ?
Ils se tapent sur les épaules, Aïq les observe.
- IRI (l’air désolé) : Oh Seigneur, je me suis fait prendre par une bande de voleurs qui rôdaient proche de la frontière de l’Égypte et de ce pays (Tonou). Ils m’ont vendu comme esclave au marché de cette ville. Je ne sais pas qui manœuvre le chaland maintenant.
- NIS : À ce que je vois, ton Maître ne te traite pas bien. Qui est-il ?
- IRI : C’est le changeur de monnaie, Djeba.
- NIS : Je vais te racheter à ce Djeba. Je n’aime pas le métier qu’il exerce.
- IRI : Je m’en serais douté ! Et avec quelle monnaie tu veux me racheter ?
- NIS : Ne t’occupe pas de cela !
Tout en parlant, tous les trois continuent à avancer dans la foule. Aïq s’est mis a pousser la charrette d’Iri ; mais au bout d’un moment, il rencontre un camarade de son âge et court le rejoindre. Nis l’appelle sans résultat, il se met à son tour à pousser la charrette. L’un poussant et l’autre tirant, arrivent en vue de la demeure de Djeba.

De jour dans la cour de la demeure de Djeba. Sur un côté, il y a des palmiers dattiers, des grenadiers et des vignes, et d’un autre côté des citernes silos à grains et des jarres. Au centre se trouve un bassin avec une fontaine.
Le changeur Djeba est assis à l’ombre sous un abri de toile tendue et ouvragée. Il est vêtu d’un pagne de laine orné de dessins et porte des sandales à lanières. Sur son visage pousse une barbiche. Il parle à un scribe assis à ses côtés, qui note sur des tablettes d’argile.
Entrée de Iri tirant et de Nis poussant. Par mégarde la charrette renverse de son socle une jolie poterie qui se brise. Djeba sursaute et crie :
- DJEBA : Incapable, fainéant, aveugle que tu es, où avais-tu les yeux ? Cette poterie vaut bien 20 pièces de cuivre, soit deux repas. Tu ne mangeras pas pendant deux jours.
Tout en parlant, il se dirige vers Iri pour le frapper avec une canne, mais Nis arrête son bras.
- DJEBA (se tournant vers le scribe) : Qui est-il celui-là ?
Le scribe fait signe qu’il ne le connaît pas. Nis répond par un accord de sa harpe ; cela calme tout de suite Djeba.
- IRI : Merci Nis, c’est dans la difficulté qu’on reconnaît ses amis.
- NIS (à Iri) : Attends, attends. (Puis à Djeba) Je me nomme Nis, je suis musicien et j’aimerais te parler seul à seul.

Dans une pièce de la maison de Djeba, aux murs grossièrement peints et au pavement d’une sorte de marbre. La lumière du jour pénètre par des ouvertures carrées situées vers le haut des murs. Entrée de Djeba suivit de Nis. Djeba se place derrière une balance.
- NIS : Écoutes ceci Noble Djeba (il s’accompagne à la harpe).
Vidons nous de notre moi
Soyons heureux comme des pierres
Mais fécond comme motte de terre
Réduisons notre égoïsme
Étreignons le naturel.

(Après quelques accords). Ainsi permet à Iri de me suivre et de me servir. C’est tout ce que je te demande.

Djeba reste un instant comme hypnotisé et va vers Nis.
- DJEBA : C’est joli cette mélodie. Je crois que tu me fais la morale, mais vas. Pour te remercier je te laisse Iri, il est trop fainéant.
- NIS : Peut-être le force-tu contre son grès !
Pendant la chanson Iri est entré et s’est assis (il est le seul).
- DJEBA (à Nis) : Ah le fainéant ! Va rejoindre ton nouveau maître.
Iri se précipite vers Nis : ils s’embrassent pudiquement. Ensuite Iri se prosterne aux pieds de Nis qui le relève aussitôt par le bras.
Djeba prend des pièces de cuivre dans une cassette et il les tend à Nis.
- DJEBA : Tiens, voici pour le trousseau de ton serviteur.
- NIS : Là je n’ose pas refuser ; merci beaucoup, beaucoup noble et généreux Djeba.
Il salue Djeba, et tout en s’éloignant avec Iri, il lui donne les pièces. Iri tout joyeux se met à faire des pirouettes à la manière des serviteurs.

SÉQUENCE 14.
(À la Cour d’Amouansi Prince de Tonou, et à la Cour du Roi Djéser).
Le jour dans le jardin de la maison d’Amouansi : palmiers dattiers et vignes. Amouansi, tout en marchant au bord d’un long bassin, s’entretient avec l’homme élégant vu précédemment au marché (séquence 10). Les enfants du Prince jouent autour d’eux par instants. Quelques femmes accompagnent les enfants dont la fille aînée du Prince :
Sataï. C’est elle qui empêche les enfants de faire des bêtises et de tomber dans le bassin.
- AMOUANSI : Ainsi il vient du pays d’Égypte ! Et sais-tu comment il se nomme ?
- HOMME ÉLÉGANT : Nis, Prince. Et d’après ce que l’on dit, c’est un homme attachant et qui possède une grande bonté d’âme.
Surgit à l’instant aux côtés du Prince sa fille Sataï, poursuivant son plus jeune frère.
- AMOUANSI : Sataï vient, je veux te poser une question.
Elle accourt.
- AMOUANSI : Puisque tu aimes la musique, veux-tu que je te fasse connaître un étranger qui pratique cet art avec grande science ?
- SATAÏ : Oui père, oui.
Amouansi sourit pendant que sa fille court rejoindre ses frères et sœurs.

Dans une grande salle de la maison d’Amouansi, aux murs de gros blocs de calcaire et au pavage de pierres polies ; le mobilier consiste en coffres, guéridons en bois et table dont les pieds représentent des pattes de félins.
Le changeur Djeba pèse sur une grande balance des pièces de cuivre, à côté, un scribe note sur des tablettes d’argile ce que Djeba pèse. Arrivée d’Amouansi vers la balance.
- AMOUANSI (au scribe) : Fait préparer 50 pièces de cuivre, tu les apporteras au chanteur Nis et fais-le venir ici.
Djeba se retourne vers Amouansi :
- DJEBA : Nis ! C’est un homme très habile ; je viens de lui donner un trousseau et un serviteur pour simplement de la musique. Méfie toi Prince.
- AMOUANSI : Djeba occupe-toi de tes affaires. Tentes-tu de me dire ce que je dois faire ?
- DJEBA : Non, Prince.
Le scribe compte les pièces pour Nis.

De jour dans la chambre de la modeste maison du maçon Sak.
Sur un socle de bois est allongé un homme d’environ 40 ans : Sak, le maçon de Djéser. Il est mourant. À côté, l’un de ses 2 fils Sakay compte des pièces (raccord avec la scène précédente). Son frère Saky, va pour soutenir la tête de son père. Les 2 fils de Sak sont habillés d’un pagne orné de dessins, d’une tunique et portent des sandales à lanières. Sakay porte un collier-amulette avec un scarabée. Leurs visages aux lèvres boudeuses expriment leur aptitude à s’être tiré d’embarras dès leur plus petite enfance.
- SAK : Mes fils, écoutez ceci. Je ne vous laisse pas mourir de faim. Je vais vous expliquer comment entrer dans la chambre du trésor du Roi… Vie santé force. Si vous savez y faire (il perd son souffle), vous pourrez être les grands trésoriers du Roi… (Il tend le bras) Apportez-moi le… Papyrus.
Il explique à ses 2 fils en leur montrant un plan sur un papyrus. Il meurt aussitôt après.
- SAKAY (la voix brisée) : Oh Sak notre père, non, non pas encore, s’il te plaît Ptah.
- SAKY : Sakay, laisse Ptah, c’est trop tard. (Il arrache des mains de son père le plan). Par contre notre Roi Djéser, vie force santé, nous offre ses richesses.
Sakay est prostré sur le corps de son père, pendant que Saky s’accroupit, étale le papyrus et l’examine.

De jour dans la Grande Maison, chambre aux trésors de Djéser : gros blocs de calcaire de tous les côtés, avec quelques gros coffres, quelques jarres et poteries. Éclairage par lampes à huile. Djéser, avec à ses côtés Yamourap, fait une marque sur le niveau de pièces de cuivre dans un gros coffre, puis il le ferme et le scelle avec un ruban et de la cire.
- DJÉSER : Yamourap, si je ne peux venir vérifier que l’on ne m’a rien pris, c’est toi qui contrôleras les scellés.
Djéser contemple un beau collier-amulette avec un gros scarabée. Il le passe à son cou.
- DJÉSER (à Yamourap) : Il me va bien ! j’ai envie de le garder.
Finalement, il l’enlève et le remet en place. Tous les deux referment la chambre, en faisant basculer une grosse pierre à l’aide d’un levier à forme spéciale que Djéser remet à Yamourap. Puis ils se dirigent dans l’étroit couloir desservant la chambre.

Dans les couloirs de la Grande Maison, pavage grossier et hauts murs un peu sculptés, dont la platitude est rompue par une série de reliefs ressemblant à des gargouilles en forme de petits sphinx à tête d’homme. La lumière du jour pénètre par des ouvertures dans le plafond (couloir de ronde du temple d’Edfou). Djéser et Yamourap viennent de sortir de la chambre du trésor  Ils disparaissent au détour du couloir.
Cachés dans un recoin de ce couloir, Sakay et Saky armé d’un bâton attendent. La voie étant libre, ils s’avancent vers le mur aux gargouilles de petits sphinx.
Sakay engage une lame fine dans la fente sous une grosse pierre représentant le mot Ré. Saky introduit aussi une lame et ils essayent avec efforts de tirer la grosse pierre vers l’extérieur. Une fois que c’est fait, un petit ensemble de blocs s’enfonce dans le sol, laissant place à l’étroit couloir conduisant à la chambre du trésor de Djéser.
Ils allument chacun une lampe à huile et pénètrent dans le couloir. L’ensemble des blocs remonte du sol obstruant ainsi l’entrée.

Dans la chambre aux trésors, éclairage par lampes à huile. Sakay et Saky se trouvent dans l’étroit couloir, ils introduisent le levier de bois ayant la forme spéciale vue auparavant, et la grosse pierre bascule libérant la chambre.
Là, ils brisent le sceau de cire et ouvrent le gros coffre. Sakay sort de « ses poches » de petits sacs et tous les deux les remplissent de pièces de cuivre, tout en ayant repéré la marque de Djéser dans le coffre. Ils glissent sous les pièces de cuivre du sable afin que le niveau soit le même qu’avant leur intrusion, puis, avec une lampe à huile, Saky chauffe la cire du sceau de Djéser et marque la cire par un faux.
Heureux, ils s’embrassent et font une petite danse. Sakay remarque le collier-amulette avec le gros scarabée. Il le met autour de son cou, et à la place met son collier-amulette avec un scarabée nettement moins gros, puis danse avec son frère.

SÉQUENCE 15.
(Retour à la cour d’Amouansi : Éloge de Djéser).
Le jour dans une des grandes salles de la maison d’Amouansi, aux gros blocs de calcaire et au pavage de pierres polies. Les enfants d’Amouansi dansent autour de lui, ce qui le fait rire.
Entrée de Nis accompagné d’un garde. Il vient rendre ses pièces de cuivre.
- NIS : Je te salue Prince Amouansi, vie santé force. Permets-moi de te rendre ton cadeau. Je n’en suis pas digne, et puis la monnaie me pose de gros problèmes.
Amouansi chasse ses enfants et se met en colère.
- AMOUANSI : Tu n’aimes pas la monnaie de cuivre toi ! C’est pourtant la plus belle invention de l’être humain après l’agriculture.
- NIS : Justement, hélas, après l’agriculture.
- AMOUANSI (il s’excite) : Laisse tranquille l’agriculture, sinon je te fais couper les oreilles.
- NIS : Ah ! il y a du progrès ; en Égypte, c’est le nez plus les oreilles que l’on coupe.
Aussitôt Nis fait quelques accords sur sa harpe.
- NIS : Vidons nous de notre moi
Soyons heureux comme des pierres
Mais fécond comme motte de terre.


Immédiatement Amouansi se calme et appelle ses enfants. Ils reviennent et dansent autour d’Amouansi et de Nis sur les accords de la harpe.
Dans une grande salle de la maison d’Amouansi, avec des colonnes carrées très élancées ; éclairage de côté par la lumière du jour dont les rayons se réfractent dans les volutes de fumées des vases à encens. Il y a quelques serviteurs et des courtisans assis à côté d’Amouansi.
Les enfants jouent avec les serviteurs et la fille aînée du Prince.
Entrée de Nis (il se sépare rarement de sa harpe) accompagné d’Iri qui est habillé d’une jolie cape (qu’il se fera voler par la suite). Tous les deux saluent les 2 mains sur les genoux, à la manière égyptienne. Iri reste en retrait pendant qu’un serviteur d’Amouansi verse du parfum sur les mains et les pieds de Nis.

À suivre… Si le Dieu Ptah le permet…

DISTRIBUTION (CAST) pour les séquences ci-dessus :

NIS L’ÉGYPTIEN : (25 ans) chanteur pour le Roi Djeser
AÏQ : garçon d’environ 17 ans et fils de Menekhet
IRI : l’homme à l’arc
DJEBA : changeur de monnaie et banquier
UN SCRIBE (du changeur Djeba)
AMOUANSI : Prince de Tonou
LES ENFANTS (du Prince Amouansi)
SATAÏ : fille ainée du Prince Amouansi
HOMME ÉLÉGANT
SAK : (environ 40 ans) maçon de Djeser
SAKAY : un fils de Sak
SAKY : frère de Sakay et fils de Sak
ROI DJESER : (45-50 ANS)
YAMOURAP : intendant du Roi Djeser
DES GARDES (de la Maison de Vie)
DES SERVITEURS (d’Amouansi)
DES COURTISANS (d’Amouansi)
PLUSIEURS PERSONNES
 
 

Dernière mise à jour : 09-07-2016 22:16

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