Ecrit par Sechy,
le 08-07-2016 22:35
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Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï |
Course à l’évolutionnisme et à la libération
Au lieu de « libération »
ça va donner l’effondrement
de cette civilisation
qui a « un gros potentiel »
comme certain ont un gros cul
ou des gros nichons,
bref, qui sont corporifié.
La « différence de potentiel » va d’ailleurs
donner l’électricité dynamique et sa tension
et ses guerres énergétiques en sa
thermodynamite de Nobel et ses pétrodollars.
L’évolutionnisme et sa technologie galopante
sont parfait pour s’inventer une saison en Enfer !
L’évolutionnisme : course au « Plus jamais ça ! »
Potentiel, le courant, être au courant (monde et mode de l’information tout azimut, ou du « tout connecté » dans un instant nommé RÈGNE DE L’OPINION).
IMMORTALITÉ : SEULE RÉALITÉ POSSIBLE, JAMAIS JE NE NAIS, JAMAIS JE NE MEURT. Seul moyen de se sauver de cette civilisation condamnée. Donc le transhumanisme est une fumisterie de plus, en tous cas un outil-prison et carotte de la politique des Couilles en Or.
Cette course à l’évolutionnisme est identique à la saloperie dualiste de cause-effet, une opinion de plus puisque la cause elle-même doit avoir une cause ! alors ça devient la croissance, soit une course interminable, une compétition « olympique » à n’en plus finir !!! C’est cela « l’évolution » : une séquence en géométrie de la ligne droite faisant passer d’un état à un autre comme dans l’effet domino ou iceux basculent les uns sur les autres pour aboutir à quelque chose, et puis terminé, « circulez ya plus rien à voir ! ». Si aucune différence n’est admise, comment peut-il y avoir évolution, comment peut-il y avoir POTENTIEL (pouvoir) ? PIRE : en enchaînant un effet à une cause, l’être humain est enchaîné à la « raison » : il est condamné à penser et à vagabonder dans ses pensées, comme le préconisèrent en leur temps des « lumières » les riches perruques poudrées ou bourgeois (les citoyens). La seule Vraie Évolution c’est le Centrum Centri, autre nom du Soi.
L’évolutionnisme c’est la saloperie cause-effet, et comme la théorie de l’évolution tout ça se trouve DANS LE MENTAL. Notez que les ordinateurs actuels ne fonctionnent qu’en séquence, en ligne droite…
Par exemple selon le psychiatre et juriste Pierre Legendre (Le crime du caporal Lortie), la « raison » fonde une société : une construction culturelle grâce à laquelle toute société définit son propre mode de rationalité (donc son opinion !), et Legendre ajoute : c’est-à-dire son attitude devant la question de la CAUSALITÉ, qu’il nomme « politique de la causalité », donc encore une opinion ! qu’il s’obstine à appeler « État de Droit » !!! Avec Legendre nous sommes bien dans la dualité sujet-objet ou cause-effet, ou question-réponse (deux ‘je’, le Soi et le non soi, deux opinions, un reflet). Bref, « une saison en Enfer »… ce que Legendre nomme « être sain d’esprit » : distinguer le bien du mal. My God !!!!!!!!! Il fait constamment dans l’evolutionnisme parce que pour lui, et dans le cas du crime exposé, paternité = causalité. On est dans les temps de la religion de l’argent, du corps : le fils met sa foi en son père et le créancier attend de ce père un retour : UN PAIEMENT ! Là encore, point de gratuité. Le freudisme est en plein dans la dualité cause-effet, enchaînements successifs sans fin, avec le supplice du patriarcat et son père mythique ou le berger et ses moutons… ou le coq et ses poules du poulailler…
Pierre Legendre est tellement enchaîné à la cause-effet et l’évolutionnisme qu’il écrit à la dernière page de son livre : « Quand un père est tué, c’est un fils qui meurt ».
Pourquoi « poser une question ? ». « Celui qui pose la question doit établir la relation entre le monde et lui-même. « Oui commence à non ». Il doit admettre que le monde est le fruit de sa propre imagination [dont le grégarisme, l’inconscient collectif, la « raison » de Pierre Legendre et des perruques poudrées]. Qui imagine tout cela ? Qu’il trouve le ‘je’ et ensuite le Soi » (entretien 455). Ramana Maharshi ajoute : « Quand on voit le monde, on ne se voit pas soi-même. Quand on voit le Soi, le monde n’est pas vu. Voyez alors le Soi et réalisez qu’il n’y a jamais eu de création ». À ne surtout pas confondre avec un transhumaniste qui « aurait réalisé un truc le rendant immortel », et pour cela il devrait « bouffer » l’Univers entier pour s’alimenter en énergie, donc faire comme si cet Univers n’avait jamais existé… L’immortalité à la transhumanisme est proprement une singerie de la Réalisation du Soi. (Voir la conférence de Lucien Cerise sur le transhumanisme).
« Quelqu’un voit en rêve un édifice qui s’élève. Alors il commence à penser que cet édifice a été édifié pierre après pierre, par beaucoup d’ouvriers pendant très longtemps. Cependant, il ne voit aucun ouvrier au travail. Il en va de même de la théorie de l’évolution. C’est parce qu’il se prend pour un homme qu’il pense avoir évolué du stade primaire de l’amibe jusqu’à son stade actuel ». (Ramana Maharshi, entretien 644, sur l’évolutionnisme)
Dans le même entretien : « Je dis que vous n’avez pas de naissance et en conséquence pas de mort non plus […] Vous pensez maintenant être le corps et c’est pourquoi vous vous identifiez à la naissance et à la mort de celui-ci. Mais vous n’êtes pas le corps et, par conséquent, vous n’êtes pas soumis à la naissance ni à la mort ».
IMMORTALITÉ : SEULE RÉALITÉ POSSIBLE, JAMAIS JE NE NAIS, JAMAIS JE NE MEURT. JE NE DEVIENS PAS, JE SUIS. Devenir c’est refuser à être, soit refuser son existence d’éternité, fidèle à l’Essence ou Principe Originel Universel.
Qu’est-ce que c’est la privation de liberté ? C’EST L’ASSERVISSEMENT AU CORPS. « Considérez votre sommeil. Êtes-vous conscient d’être asservi dans le sommeil ? Et y cherchez-vous des moyens pour vous libérer ? Êtes-vous alors conscient de votre corps ? Le sentiment d’être asservi est associé au corps. Sans ce sentiment, il n’y a pas d’asservissement, pas matière à être asservi et personne qui soit asservi. Tout cela apparaît cependant dans votre état de veille. Cherchez à qui cela apparaît ».
Si ça apparaît au mental :
« Observez le mental. Vous devez vous tenir à l’écart de lui. Vous n’êtes pas le mental. Il ne subsistera alors plus que le Soi ».
(Ramana Maharshi, entretien 264)
La Bhagavad-Gîtâ dit au chapitre II, 12 : « Il n’est pas vrai qu’il y ait eu un temps où je n’étais pas, ni toi, ni ces rois des hommes ; il n’est pas vrai non plus qu’aucun de nous doive jamais, dans l’avenir, cesser d’être ».
Au chapitre II, 20-22 : « Ceci ne naît ni ne meurt, et ce n’est pas une chose qui un jour commença d’exister, et qui, s’en allant, ne reviendra jamais plus à l’existence. C’est non-né, ancien, éternel ; ce n’est pas tué lorsqu’est tué le corps.
Celui qui le connaît comme l’existence spirituelle, éternelle, immortelle, impérissable, comment cet homme peut-il tuer, ô Pârtha, ou faire tuer ?
L’âme incarnée rejette les vieux corps et en revêt de nouveaux, comme un homme échange un vêtement usé contre un neuf ».
Chapitre II, 27-28 : « Car certaine est la mort pour qui est né, et certaine la naissance pour qui est mort ; c’est pourquoi ce qui est inévitable ne devrait te causer d’affliction.
Les êtres sont non-manifestés en leur commencement, manifestés au milieu, ô Bhârata ; non-manifestés sont-ils encore dans la désintégration. Qu’y a-t-il d’affligeant ? »
Chapitre II, 30 : « Cet habitant dans le corps de chacun est éternel et indestructible, ô Bhârata ; c’est pourquoi tu ne dois pleurer sur aucune créature [sinon on tombe dans le sentiment et l’empathie à la mode actuelle socialo-capitalo, autrefois en Égypte on payait même des pleureuses] ».
Donc ni naissance, ni mort, ni présent. « La Réalité a été, elle est et elle sera. Elle ne change pas ».
Mais alors, la fameuse libération que tout le monde cherche depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture ? « Où est tout le monde ? Il n’y a pas non plus de libération. Elle pourrait exister seulement s’il y avait asservissement. Mais en réalité, il n’y a pas d’asservissement et, par conséquent, pas de libération non plus [effectivement, il n’y a pas de « Chute » au sens Ancien Testament].
Donc pas d’évolutionnisme qui commence à se développer à la Renaissance. Il n’existe que la pratique et l’étude n’ayant pour but que d’empêcher que la paix intérieure soit troublée. « Ce n’est pas une question d’années. Écartez cette pensée tout de suite. Vous êtes toujours dans votre état naturel, que vous fassiez de la pratique et de l’étude ou pas », dit Ramana Maharshi à l’entretien 264, qu’il termine par ce que j’ai déjà cité si souvent : « Dieu créa l’Homme ; et l’Homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’Homme n’ont été créés ».
ÉVOLUTIONNISME = MONDE SANS FOI NI LOI (il y en a tellement qu’elles semblent s’annuler en un parfait chaos social). Là où ne règne plus que le « social existentiel », la violence et la force, là où il n’y a plus la gratuité totalement muselée.
« On n’échappe à l’obéissance [avant 1789 : au roi] que pour choir dans la servitude [envers le socialo-capitalisme et sa république] » (référence à Gustave Thibon).
Gustave Thibon qui implacablement dans Diagnostics décrit les ravages de 1789 et de son républicanisme : « Aujourd’hui on demande au roi de porter le trône, au prêtre de porter l’autel. Les institutions ne se justifient aux yeux des foules qu’à travers le génie ou le magnétisme de quelques individus [les meneurs ou oligarchie]. Cette exigence entraîne deux conséquences ruineuses : elle impose aux malheureux « suppôts » des institutions un degré de tension et d’activité proprement inhumain, et, corrélativement, elle lie le sort des institutions aux misérables hasards individuels. Pitoyable anthropocentrisme qui confond le canal avec la source et tend à faire de la personne humaine le support absolu de ce qui, en réalité, ne fait que passer par l’homme et repose sur Dieu seul [le Soi, le connaître toi-même par toi-même]… ».
Dernière mise à jour : 08-07-2016 22:54
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