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NIS L’ÉGYPTIEN 10 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-07-2016 21:49

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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NIS L’ÉGYPTIEN 10
 
 
Publication d’un projet de long métrage comportant plusieurs chansons.
Précédemment, Nis participa à une chasse aux léopards, mais à son retour il apprend la mort accidentelle de sa femme Sataï, tuée par un serpent. En route pour la Douat (Pays des Morts), il embarque avec le passeur Mekhenout.

Le soir sur le lac. Le vent est violent, on ne voit qu’à 3 mètres de soi. Les flots s’agitent furieusement. (Tempête de studio avec un plastique ! ou trucage. Cela devrait faire penser à une peinture égyptienne).
Sur la barque, Mekhenout s’est attaché au mat avec un pan de sa bandelette rouge. Il manœuvre maintenant avec difficulté. À côté, Nis qui a du mal à se tenir debout, chante malgré le sifflement du vent sans sa harpe :
- NIS : Avant que la vie arrive à sa perfection
Les deux tiers en sont perdus.
L’homme passe dix ans petit enfant
Sans distinguer la mort de la vie.
Il passe 10 autres années à s’instruire
Pour connaître la vie.
Il passe 10 autres années à gagner
Et à se procurer de quoi vivre
Il passe 10 autres années…
 
Le vent est trop violent, Nis s’arrête. Mekhenout a de plus en plus de mal à ramer.
- MEKHENOUT : Approche, je vais t’attacher au mat.
Nis se laisse faire, il essaye de protéger sa harpe. La brume se dissipe, on voit au-delà de 30 mètres. De temps à autre surgissent des grondements bizarres. (Il n’y a pas d’éclairs ni de pluie, on est déjà dans la Douat).
La bandelette rouge de Mekhenout claque violemment dans le vent. À maintes reprises la barque manque de chavirer. Alors Mekhenout se met à hurler :
- MEKHENOUT : Oh, Ptah, si tu passes parmi les morts qui vont la tête en bas, tu redresseras la barque de Nis le Bienheureux sur ses eaux, car quand tu es florissant, les choses s’arrangent.
Mais la tempête sur le lac ne faiblit pas. Nis, toujours attaché au mat avec la bandelette rouge essaye de jouer de la harpe. Au bout de quelques accords, la tempête redouble.
- NIS (en criant) : C’est à cause du vent !
Il fait des efforts et recommence quelques accords plus sonores.
Immédiatement le vent cesse de siffler, puis devient une simple brise.
- MEKHENOUT : Merci, tu nous sauves, les vents du lac sont maintenant à ton service.
Mekhenout commence à détacher Nis du mat.
- MEKHENOUT : Il n’y a qu’un moyen de savoir si nous arrivons bientôt.
Il déroule une partie de la bandelette rouge autour de sa taille et la lance à l’horizon au hasard. La bandelette, comme un serpent dotée d’un flair infaillible, repère la direction de l’autre bord du lac et s’allonge, s’allonge comme par magie (trucage !), formant une sorte de passerelle étroite.
Mekhenout monte sur sa bandelette et invite Nis à le suivre. Tous deux s’avancent dans une légère brume sur cette passerelle rouge. La brise devient à nouveau vent fort dès qu’ils atteignent le bord du lac ; et c’est une clarté lunaire qui les attend.

La nuit sur l’autre rive, ou bien dans une île sous une clarté lunaire et une atmosphère brumeuse, le vent souffle très fort en sifflant. Mekhenout et Nis descendent de la bandelette sur une sorte de plage, mélange de zones de sable et de zones de cailloux. À peine ont-ils fait quelques mètres, qu’ils distinguent des énormes anneaux luisants et humides crisser entre eux.
Dans la brume, Mekhenout et Nis remarque les entrelacs d’un immense serpent, dont la longueur semble infinie. Pour l’instant on ne voit pas la tête. On distingue derrière les entrelacs une grande porte de style néolithique (trucage). À nouveau on entend des grondements bizarres, puis un sifflement qui ne ressemble pas au vent.
Mekhenout devient pâle, tremble et manque de défaillir. Une voix futée et mélodieuse se fait entendre. (contrepoint).
- APOPHIS : Nautonier, cher nautonier, une nuit… Tu périras.
- MEKHENOUT : Oui Apophis.
Et Mekhenout se met à saluer les anneaux luisants en tremblotant. Mekhenout salue également Nis, puis court sur sa bandelette rouge rejoindre par ce moyen magique sa barque de passeur du lac. On le voit disparaître dans la brume, et juste derrière lui la bandelette s’enroule sur elle-même.

La nuit sur l’autre rive ou dans l’île : dans la Douat (Monde des morts). Nis affolé court. À travers la brume, on arrive à apercevoir les anneaux d’Apophis crissant les uns contre les autres. Par moments quelques éclairs d’électricité statique, effet piézo, illuminent les endroits sombres.
(Suite du dialogue très rythmé, presque chanté).
- APOPHIS : Qui es-tu… Qui vient là.
Et Nis s’arrête d’un coup.
- NIS : Je suis Nis l’Égyptien.
- APOPHIS : Es-tu complet ?
- NIS : Je suis complet.
- APOPHIS : Es-tu équipé ?
- NIS : Je suis équipé.
- APOPHIS : Que viens-tu faire ?
- NIS : Reprendre Sataï.
- APOPHIS : Et bien tu périras.

De nouveau, éclairs d’électricité statique ou effet piézo. Nis s’agenouille sans forces en proie à l’angoisse. Il tremble. Les anneaux crissent en se rapprochant un peu de lui.
(Extérieur nuit. Inserts de plans rapides de langue d’anaconda et d’yeux).
La nuit, le vent n’a pas baissé et Nis se ressaisit, il fait des efforts pour maîtriser sa harpe. Il fait des accords et commence un chant :
- NIS (introduction) : Salut à toi, gloire à Ré.
1) Ennemi de la lumière.
Détourne ton vilain visage
Que Ré a horreur de voir.
A) Tu es rampant Apophis,
Résidant du ciel terrestre,
Enfant de la déchéance.
2) Ennemi du spirituel.
Va ramper jusqu'à l’abîme,
Que ton coeur soit déchiré.
B) Tu es l’ondulant serpent,
Le cercle perdu sans centre,
Enfant de la déchéance.
3) Ennemi du transparent.
Tu ne te raidiras plus,
Tu n’éjaculeras plus.
A) Tu es rampant Apophis,
Résidant du ciel terrestre,
Enfant de la déchéance.
4) Détourne toi Apophis,
Celui qui tranche la tête,
Qui hante les bords des chemins.


Pendant le chant, les anneaux d’Apophis commencent à perdre de leurs luisances et les éclairs perdent de leur grandeur. À la fin de la chanson, le vent se calme légèrement.
Quelques boucles d’anneaux se défont et la queue d’Apophis disparaît en glissant hors champ. Cela dégage l’entrée de la grande porte néolithique (trucage, maquette).
Nis prudemment s’avance vers cette porte. Le vent brusquement redouble de puissance, les grondements et les crissements d’Apophis se font entendre. Nis a du mal à tenir sa harpe et les cordes se cassent une à une. Il se dépêche de franchir la porte.

SÉQUENCE 30.
(Jeux de dés).
La nuit, au-delà de la porte de la Douat. Nis laisse derrière lui la porte, la brume s’est dissipée et laisse voir une campagne rocailleuse avec une maigre végétation. Le vent souffle toujours. Nis escalade les petites pentes rocheuses et découvre une zone clairsemée. Au milieu, un vieil homme dort allongé sur une natte. Il porte un bonnet de couleur bleu et sa longue canne est à côté de lui. (C’est Ptah, qui est aussi le maître de la Douat).
Nis s’avance jusqu'à Ptah qu’il reconnaît. Il reste planté devant lui ne sachant pas quoi faire, car le vieil homme dort toujours. Au bout d’un moment, Ptah ouvre un œil, puis l’autre.
- PTAH : Ah c’est toi fils. Tu as réussi à venir jusqu’ici.
- NIS : Salut à toi vieil homme qui ressemble au Dieu Ptah. Que fais-tu ici dans le monde du pays d’en bas ?
- PTAH : J’habite de temps à autre le pays d’en bas. Tu as amadoué notre gardien Apophis. Bien, bien, que désires-tu ?
- NIS : Je viens rechercher Sataï et la ramener sur ma terre d’Égypte.
- PTAH : Celle qui est là-bas ? (il montre un endroit).
Et Nis découvre proche du lieu où il se trouve Sataï, faisant une ronde (mais sans ses enfants).
- SATAÏ : Un serpent, filait dans le sable,
Je l’attrape par la queue,
Je le montre au prêtre Sem,
Le prêtre Sem me répond,
Trempe-le dans l’huile,
Trempe-le dans l’eau,
Ça donnera…


Elle s’arrête et semble reconnaître Nis, et veut aller vers lui. Elle vient vers Nis, mais Ptah saisit sa canne, tape un coup au sol, et Sataï s’évanouit.
- NIS (s’accroupit devant Ptah) : Je voudrais tant repartir avec Sataï… Vieil homme, mon cœur est plein de toi, mon cœur est paré de ton amour comme un marais l’est de boutons de lotus.
- PTAH : Relève-toi fils, je crois que tu vas devoir te confronter avec moi.
Il sort de dessous son bonnet des dés qu’il lance sur la natte.
- PTAH : Assied toi ici fils, jouons ta femme Sataï aux dés. Si tu gagnes, tu repars avec Sataï. Si tu perds… Tu dois connaître la suite !
Nis et Ptah s’installent pour leur match au jeu de dés.
- PTAH : A toi l’honneur.
La première partie commence dans un silence : le vent s’est soudainement arrêté. Par moments, on entend la chanson de Sataï : « Un serpent filait dans le sable… »
Lorsque Nis mène le jeu. Et effectivement il gagne la première manche.
- PTAH (l’air un peu cruel) : Tu as gagné… Seulement la première manche… Il y en a 4.
Sataï est là-bas toute proche, et veut rejoindre Nis. Mais Ptah touche simplement sa canne et Sataï s’estompe.

La deuxième manche commence. Au bout d’un moment la chanson de Sataï revient (une autre chanson !) :
- SATAÏ : Quand serons-nous sages ?
Jamais, jamais, jamais.
Quand serons-nous Seth ?
(l’adversaire ou le diable des Chrétiens).
Toujours, toujours, toujours.
La terre nourrit tout,
Les sages comme les fous.


Sataï est là-bas toute proche et veut rejoindre Nis, mais Ptah touche encore sa canne et Sataï disparaît à nouveau.
La troisième manche commence. Au bout d’un moment Nis perd. Il se lève en colère.
- NIS : Tu as triché.
- PTAH : Tu es sûr ?
Nis se rassied et la quatrième manche (la dernière) s’engage.
Par moments la ronde mélodique de la dernière chanson se fait entendre. Puis c’est le drame, Nis perd.
Il regarde interrogateur Ptah qui prend un air navré. Nis saisit Ptah par les épaules et le secoue.
- NIS (en pleurant) : Pourquoi… Pourquoi j’ai perdu…
Il court vers l’endroit où se trouvait Sataï ; il l’a cherche affolé.
Ptah va vers lui, le prend par l’épaule. Alors Nis se remet à sangloter sur la poitrine de Ptah.
- PTAH : Tu sais ce qu’est le flou de la réalité maintenant. Rien ne tient vraiment à rester à sa place sur cette terre. (Ptah essaye de consoler Nis). Sache que Sataï n’est pas disparu. Non, ce n’est pas morte qu’elle s’en est allée, c’est vivante qu’elle s’en est allée. Ne te fie pas à l’apparence de position des dés. C’est toi qui as gagné. Moi je ne suis qu’un… Je dirais que… J’aide un peu la vie. Continues de travailler comme tu le fais avec ta harpe ; parts de l’intérieur des choses, de l’immanent vers le transcendant.
- NIS (toujours pleurant montrant sa harpe) : Les cordes sont rompues !
- PTAH : Les cordes ? Quelle certitude tu as ? Regarde !
Nis découvre sa harpe intacte.
- PTAH : Parts de l’intérieur des choses, de l’intérieur, de l’intérieur, de l’intérieur… (Il disparaît).
Nis étonné par l’état de sa harpe s’est arrêté de pleurer et il n’a pas aperçu la disparition de Ptah. Il essaye quelques accords, et se retrouve sur les gros blocs de pierres au bord du lac : là où il avait embarqué avec Mekhenout (trucage !).

SÉQUENCE 31.
(Retour à Aïa).
Plein soleil sur le bord du lac.
- NIS (affolé) : Vieil homme ? Sataï ?
Il attend. Rien ne se passe. Alors il s’en retourne et se hasarde à jouer quelques accords sur sa harpe. Une grande quantité d’oiseaux vient voler dans sa direction.

La nuit, devant la maison de Nis : il y a 2 gardes, le chariot avec ses 2 chevaux. Une lampe à huile éclaire au-dessus de la porte. Nis arrive enfin chez lui. Les 2 gardes le salue.
La nuit dans une pièce dans la maison de Nis. Iri et Nis s’étreignent tout heureux de se retrouver. Nis répond d’un signe de tête, à l’air interrogateur d’Iri concernant la remontée de Sataï du pays des morts. Les enfants de Nis, Jeb et Sa accourent vers lui, et c’est les embrassades.
- NIS :Écoutez tous. On va marquer mon retour, et celui de Sataï qui est toujours présente dans nos cœurs.
Nis aperçoit le chat Miou. Il vient le prendre dans ses bras et le caresse.
- NIS (à Iri) : Occupe-toi de matérialiser cet événement.

La nuit dans une pièce : leur chambre, éclairage avec une lampe à huile. Nis est allongé sur le lit socle, où reposait Sataï et lui du temps de leur amour terrestre. Il pleure. Dans un coin, les yeux phosphorescents de Miou veillent.

SÉQUENCE 32.
(Succession).
Le jour, dans une pièce de la maison de Nis. Nis et Iri sont assis devant une table. Nis écrit sur un papyrus avec un calame. Un vase à encens brûle dans un coin. (Raccord avec fumée et accessoires avec les yeux de Miou de la scène précédente).
- NIS : Iri, mon ami Iri, tu vas devoir quitter ta tâche de serviteur !
- IRI (implorant) : Tu ne vas pas me renvoyer après tant de saisons passées à tes côtés !
- NIS : Laisse-moi terminer ma phrase pour comprendre : je vais retourner dans ma terre d’Égypte, aussi tu vas devoir prendre ma place.
Iri regarde son amulette et la montre à Nis :
- IRI : Tu crois que cela m’aidera dans la charge que tu me confies ?
Nis fait oui de la tête.
- IRI : Alors j’accepte.
Et il se prosterne devant Nis qui sourit et va le relever.

Le jour sur la place d’Aïa. Un dais à été tendu devant la maison de Nis, de même qu’il a été tendu une peau de lion et 2 de léopards. Il y a aussi 4 mats plantés, avec des oriflammes de 4 couleurs différentes.
Une vingtaine de villageois sont réunis, dont le messager et sa corne de bélier, et aussi Setchep et 6 archers avec 3 chiens de chasse.
Il y a aussi d’un autre côté gardé par 3 soldats, quantité de coffres, jarres, ballots de toutes tailles, outils, fruits, citrouilles ; tout cela faisant comme une petite colline.
Nis, Iri et Jeb sortent de la maison et viennent sous le dais. Nis fait un signe au messager qui souffle un coup dans sa corne.
- NIS : Amis, écoutez ceci : par cet écrit sur ce papyrus (il le montre), je remets mes biens à mes enfants et je cède mon pouvoir à mon serviteur Iri. C’est Iri (il le montre) qui se chargera de la gestion du village et sera le nouveau Prince d’Aïa. Qu’il soit fait ainsi.
Les villageois acclament Nis, le messager souffle 3 coups dans sa corne. Nis lève les mains pour faire silence et invite Iri à parler.
- IRI : Pour que vous puissiez embellir notre village, nous allons vous distribuer des pièces de cuivre, du vin, des victuailles et des outils. Venez les uns après les autres ; que tous soient servis.
Les villageois se présentent en file, Nis et Iri aidé par les 3 soldats distribuent quantité de tout ce qui est amassé sur la place.
Nis semble fatigué et mélancolique, il demande à Iri de continuer sans lui. L’ambiance commence à devenir de plus en plus joyeuse et bruyante.

Le jour, dans une ruelle d’Aïa. Nis l’air triste se promène seul et sans harpe. Il est suivi par Miou trottinant. Au loin on entend l’ambiance joyeuse des villageois. Nis croise un premier villageois portant 2 jarres, il le salue. Un peu plus loin, Nis aperçoit une femme qui ramène 2 gros ballots de la distribution. Il accélère le pas et prend un ballot à la femme afin de l’aider.
- FEMME : Merci Seigneur Nis.
- NIS : Comment t’appelles-tu ?
- FEMME : Jerety.
Elle a des yeux ravissants, ce que Nis apprécie. Elle porte la même robe collante que Sataï et a un ruban dans ses longs cheveux noirs. Ils cheminent un court moment ensemble.
- FEMME : Voilà, c’est chez moi !
Ils arrivent devant une maison très simple à toit plat. Sur le côté, un homme jeune fait rentrer 3 brebis dans un enclos. Nis dépose le ballot au pied du mur de la maison, puis il salue Jerety et continue sa promenade.

À suivre… Si le Dieu Ptah le permet…

DISTRIBUTION (CAST) pour les séquences ci-dessus :

NIS L’ÉGYPTIEN : (25 ans) chanteur pour le Roi Djeser
MEKHENOUT : le passeur de la Douat
APOPHIS
PTAH : Dieu de Mur-Blanc, Réalisé et prototype d’Osiris, de Jésus, etc.
SATAÏ : fille ainée du Prince Amouansi et femme de Nis
2 GARDES
IRI : l’homme à l’arc
JEB : le fils de Nis
SA : deuxième fils de Nis
CHAT MIOU
HABITANTS D’AÏA
UN MESSAGER D’AÏA
SERVANTES DE NIS
FEMME AU BALLOT : Jerety (ressemblant à Sataï, comme une réincarnation)
JEUNE HOMME AUX BREBIS
6 ARCHERS
PLUSIEURS PERSONNES
 
 

Dernière mise à jour : 16-07-2016 01:14

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