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NIS L’ÉGYPTIEN 12 - FIN Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 16-07-2016 00:54

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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NIS L’ÉGYPTIEN 12 - FIN
 
 
 
Publication d’un projet de long métrage comportant plusieurs chansons.
Précédemment, Nis de retour en son pays l’Égypte est installé dans une belle maison à l’initiative de son roi Djeser. Saky est en train de le « draguer », dirions-nous de nos jours.
 
La petite jarre de vin se fendille et s’ouvre en plusieurs morceaux laissant apparaître des petits bouts de papyrus. Nis en examine un petit morceau.
- SAKY : Je voudrais me divertir avec toi.
- NIS : Neferi ne comble pas assez ton cœur ?
- SAKY : Je voudrais étreindre la brillante lumière de ton visage, caresser ta poitrine.
- NIS : Voilà que cela recommence, chez moi aussi le cœur laisse de la place pour accompagner ton désir. Le vin que tu m’as préparé m’a piégé.
Et Nis se met à rire très fort et il embrasse Saky sur la bouche.
Miou agite sa queue de plus en plus électriquement.
Saky commence à enlacer Nis, il lui caresse le dos, puis la poitrine. Ensuite tous deux basculent sur le divan et s’étreignent très pudiquement un petit moment (ils restent habillés). Saky se redresse.
- SAKY : La beauté de ton corps invite au divertissement, j’y trouverai à accomplir toutes sortes de caresses.
Nis se met à nouveau à éclater de rire et défait le ruban des cheveux de Saky.
Au bout d’un moment de caresses, Nis se ressaisit et attrape sa harpe.
Il fait quelques accords et tous les deux se rasseyent à distance l’un de l’autre.
- NIS : Cher Saky, tu es encore jeune. Je t’ai offert un instant l’espace libre de mon cœur, mais lui ne peut plus tomber dans le piège du plaisir des sens, sauf pour la musique. Saky, depuis que je n’ai pu ramener Sataï de la Douat, mes membres ont senti les saisons les traverser. Il ne me reste que le plaisir de la musique. Et toi Saky, la fraîcheur de ton corps permet à l’âme qui y est profondément ensevelie de s’exprimer.
Saky embrasse subrepticement Nis sur la joue.
- SAKY : C’est joli ce que tu me racontes. Tu as aussi tapé dans le cœur de Neferi, elle me l’a dit.
- NIS : Je ne peux plus toucher à une femme ; leur cœur est plein de pièges dangereux. Je les redoute maintenant.
- SAKY : Neferi te désir, comme moi je te désir.
- NIS : Je te promets de fabriquer pour toi une harpe et de t’apprendre à en jouer, ainsi tu charmeras Neferi et je serais présent par les sonorités que tu tireras de ta propre harpe.
Saky s’agenouille et baise les mains de Nis. Miou s’est endormi en rond.

SÉQUENCE 36.
(Djéser, Nis et sa pyramide).
De jour, panoramique sur les terrasses de la Grande Maison. Au loin on distingue le complexe funéraire de Saqqara. Entre 2 petites pyramides, il se construit celle de Nis.
(Trucage genre peinture sur verre avec 1er plan sur fond de couleur d’incrustation. On voit se mouvoir la fumée de la briqueterie).
Djéser se promène l’air mélancolique sur l’une des terrasses. Il observe au loin les travaux de construction. En retrait, Yamourap observe son Seigneur et Maître. Il se décide à l’aborder pour lui parler.
- YAMOURAP : J’espère que l’on va avoir assez de briques pour la construction de la pyramide.
- DJÉSER : Pourquoi tu viens me troubler avec ton doute ?
- YAMOURAP : Seigneur, il y a les caprices du feu, de l’eau et de la terre. Une bien jolie trinité ne trouves-tu pas ?… (Djéser le regarde songeur). Et le jeu de Ré là-dessus, cela va être très beau.
Tout en dialoguant, ils continuent de marcher.
- DJÉSER : Peut-être, mais Nis depuis son retour ne m’a chanté aucune chanson !
- YAMOURAP : Seigneur, veux-tu que je lui demande de te composer un poème chanté ?
- DJÉSER : Fais selon ton désir, mes jambes et ma tête sont fatiguées maintenant.
- YAMOURAP (en saluant Djéser) : Je m’occupe de la musique.
Il s’éloigne rapidement. Djéser retombe dans sa mélancolie.

Le soir sur la terrasse de la nouvelle maison de Nis. (Réplique de l’une des scènes précédentes, sauf pour la lumière).
Nis joue à la toupie avec Jeb et Sa. La servante l’observe en riant. On suit les 3 joueurs et les tourbillonnements des toupies jusqu'à l’endroit de la terrasse d’où l’on peut apercevoir au loin le complexe funéraire de Saqqara : il y a plein de petites lumières que dégagent les torches et autres feux, et la fumée de la briqueterie accompagnée des rougeoiements des fours. (Trucage).
Nis interroge son fils aîné :
- NIS : Tu as vu cela Jeb, qu’est-ce que c’est ?
Jeb ne sait pas.
- NIS (vers la servante) : Viens me voir… Qu’est-ce qu’il se passe dans le complexe funéraire de Saqqara ?
- SERVANTE (angoissé) : Je ne sais pas Seigneur.
- NIS : Tu ne sais pas ? Cela m’étonne, les serviteurs savent toujours tout avant leur maître. Mais je trouverai ! Venez les enfants.

Le soir dans l’entrée de la nouvelle maison de Nis, il brûle déjà une lampe à huile, on entend le rire des 2 enfants de Nis (raccord sonore). Le portier voit Nis s’approcher de lui.
- NIS : Brave portier, saurais-tu ce qu’il se passe en ce moment aux pyramides de Saqqara ?
Le portier lui fait signe que non.
- NIS : Et bien ouvres-moi la porte, je vais demander à l’extérieur.
Le portier ouvre la porte et salue Nis.

Le soir dans la cour où se trouvent quelques sycomores. Nis approche de la Grande Maison dont l’entrée est éclairée par 2 lampes à huile. Un garde est assis à l’entrée et dort appuyé sur sa lance. Nis réveille le garde.
- NIS : Pardon de te brusquer, mais sais-tu ce qu’il se passe aux pyramides de Saqqara ?
- GARDE ENTRÉE : Qui es-tu pour me secouer à cette heure ?
- NIS : Je me nomme Nis.
- GARDE ENTRÉE : Ah c’est toi ! Et bien je te le dis si tu me donnes une pièce de cuivre.
- NIS : Prends garde, je vais dire à Djéser qu’un des gardiens de son entourage est corrompu.
- GARDE ENTRÉE : Comme tu veux, à tes ordres. C’est pour toi qu’ils travaillent tous à Saqqara en ce moment.
- NIS : Pour moi ?
- GARDE ENTRÉE : Laisse-moi dormir, tu n’as qu’a y aller voir demain, bonne nuit.
Et il se met à ronfler laissant Nis éberlué.

La nuit, complexe funéraire de Saqqara, éclairage aux lampes à huile et avec quelques feux au sol. 6 ouvriers en pagne blanc s’activent à la fabrication des briques. On distingue (en partie) un four rudimentaire rougeoyer.
2 ouvriers mélangent la terre argileuse. Un autre charge un compagnon qui va déposer son moule de bois. Un autre assemble les moules de bois fait avec des tenons et des mortaises.
Le 6ème, un vieil ouvrier à cheveux blancs et poils blancs sur la poitrine, resserre sa houe appuyée contre une partie des briques constituant le four.
Une jeune femme vient leur apporter dans une corbeille des petites jarres d’eau ou du vin. L’ouvrier qui vient de charger le compagnon boit une rasade, celui des moules en bois fait la même action.
(Ici les briques sont cuites au feu et non séchées au soleil comme traditionnellement. Il n’est pas irrespectueux d’imaginer que c’est une technique inventée par Imhotep).
Pendant leur travail, les ouvriers chantent :
- CHANT DES BRIQUETIERS :
1 Le chef des travaux nous dit de mouler l’argile,
Nous moulons 100 briques.
2 Le chef du chantier nous dit de chauffer les briques,
Nous cuisons 1000 briques.
3 Le grand maître des fours nous dit d’activer les feux,
Nous mettons du bois.

(Inspiré de J.P. Lauer : Saqqarah une vie).

Le jour au complexe funéraire de Saqqara. Nis sans harpe et Yamourap chacun dans une chaise à 2 porteurs. Les 4 porteurs avancent rapidement le long des murs surmontés de cobras.
- NIS (à Yamourap) : Pourquoi tu as parlé de pyramide à Djéser quand il a voulu me faire un cadeau. Tu ne te rappelais pas que je déteste les richesses ? Je n’aurais pas dû m’enfuir, car depuis cet accident, on n’arrête pas de me faire des cadeaux.
- YAMOURAP : Peut-être est-ce pour domestiquer ta puissance ! Et a qui est donné, est obligé de garder !
- NIS : C’est bien le minimum que je puisse faire pour la gloire de notre Roi, vie santé force.
Un moment après les deux chaises à porteurs s’arrêtent devant une partie de la future pyramide de Nis. Nis et Yamourap en descendent. Les 4 porteurs les saluent. Nis et Yamourap visitent à pied le chantier.
6 ouvriers s’activent à un endroit de la future pyramide. De temps à autre 2 jeunes femmes passent avec des corbeilles de fruits et des petites jarres d’eau et de vin.
Elles proposent gratuitement ces douceurs aux ouvriers et aux visiteurs. Assez loin, on peut apercevoir Imhotep avec sa longue robe et ses bracelets aux poignets discutant avec Sechy.
- NIS : Regarde Yamourap, il y a déjà assez de pyramides comme cela dans le coin. Tu ne crois pas qu’avec toutes ces briques, Djéser aurait pu faire construire plus d’habitations pour les paysans ; et toutes les pièces de cuivre que cela doit coûter, que de vêtements on aurait pu faire tailler !
Nis boit une jarre d’eau que vient lui proposer l’une des 2 jeunes femmes ; puis il s’assied sur un tas de briques.
- NIS : Yamourap, dit moi pourquoi la pauvreté ne peut avoir raison ? le monnayage semble le seul maître ?
- YAMOURAP : Je ne sais pas ! Toi tu agis légèrement à rebours du sens commun, j’aime cela.
Yamourap s’assied et bois une petite jarre de vin que lui propose une jeune femme.
- NIS : Je pense souvent à Sataï… Qu’avons-nous fait aux Dieux pour qu’ils nous unissent seulement dans la mort ?
Alors apparaît Miou.
- NIS : Tiens, tu vois, lui il a compris !
Dans le lointain, on entend le chant des briquetiers.
- YAMOURAP (un peu joyeux) : Tu ne dois pas connaître ce petit poème :
Un petit chat gris
Qui faisait pipi
Sur un tapis gris.
Sa maman lui dit :
Ce n’est pas poli
De lever la patte
Devant les notables.

- NIS (en caressant Miou) : 5 syllabes, tu veux prendre ma place de chanteur ? (il regarde Yamourap).
- MIOU : Oh non ! (on saura qui il est vraiment à la fin).
- NIS : Yamourap, tu as une drôle de voix ?
- YAMOURAP : C’est la poussière de la terre mélangée au vin, ça me fait des briques dans le gosier.
Nis s’est mis à plat ventre sur le sable, et interrogateur il examine Miou.
Le jour nous sommes sur les bords du Nil en face de Saqqara, à côté d’un ensemble de temples se reflétant sur la surface du Nil ; travelling sur l’ensemble.
On découvre Ptah jouant à la toupie sur le pavage en grosses pierres du sol.
Il s’amuse avec les enfants de Nis (ils ont maintenant : Jeb 7ans et Sa 4 ans, le temps a passé), et les 4 enfants de Djéser. Proche de là se trouvent 2 servantes.
Un peu plus loin Saky joue sur sa propre harpe un air de musique à Neferi. Dans le fond, un cortège d’une dizaine d’ouvriers transportent le mobilier funéraire dans la pyramide de Nis : divans, sièges, armes, poteries variées, coffres en vannerie et en bois peint. Les toupies roulent tellement loin que les 6 enfants et Ptah s’éloignent de la musique que fait Saky, pour se rapprocher de la musique lointaine de la harpe de Nis qui leur parvient aux oreilles. Les deux servantes inquiètes pour les enfants se sont rapprochées. Ptah les appelle et leur confie les enfants. Ensuite il s’éloigne vers la source musicale de Nis.

De jour, complexe funéraire de Saqqara, devant une partie de la pyramide terminée de Nis. Nis et Djéser sont assis sur des briques, à leurs côtés se trouve Miou, 3 courtisans, 3 grands prêtres à jupe plissée, et un scribe. Tous écoutent la chanson de Nis.
- NIS : … Et voici pour toi, afin de te reposer de l’ingratitude de la politique, le contraire du bouillant, du trépidant : la chanson du Silencieux.
(La mélodie devient plus prenante).
Le vrai Silencieux se met à l’abri :
Il est comme l’arbre qui pousse dans un verger,
Il verdit et double ses fruits.
Il est dans le parvis de son Seigneur.
Ses fruits sont doux, son ombre est agréable
Et il finit dans le jardin.

(Civilisation de l’Égypte pharaonique, de F. Daumas).

Pendant la chanson Ptah arrive. À la fin de la chanson, tous semblent endormit, sauf Ptah et Djéser qui est sous l’emprise de la mélodie composée pour lui, il se met à chantonner la musique les yeux perdus au loin. C’est le moment qu’attendait Ptah. Il fait signe discrètement à Nis de venir tout en continuant à pincer les cordes de sa harpe. Il fait signe aussi à Miou qui les suit en trottinant.

Le jour devant une partie de la pyramide de Nis. Ptah et Nis marchent côte à côte, le chat Miou les suit.
- NIS : Je ne t’avais pas reconnu, tu es le vieil homme qui m’a payé une soupe, il y a beaucoup, beaucoup de jours. Mais tu es aussi l’habitant du Pays d’en bas !
- PTAH : … Et celui qui a fabriqué ta harpe.
Nis ne comprend pas.
- PTAH : C’est moi qui ai pêché les poissons et tué les oiseaux.
Miou fait de drôles d’yeux.
- PTAH : Tu me pardonneras pour Sataï dans le Royaume d’en bas, car personne n’est autorisé à en revenir. Je suis ton père le Dieu Ptah, et le chat que tu as nommé Miou, c’est mon double chargé de te protéger. Et Miou n’a pu prévoir la mort de Sataï, c’était un coup mauvais d’Apophis.
Et Ptah fusionne avec le chat pour devenir « Ptah tout simplement » (trucage).
Nis tombe à plat ventre devant Ptah. Celui-ci va le relever.
- PTAH : Cher Nis, qu’est-ce que tu m’en as fait voir avec tes chiens de chasse ; ils me courraient toujours après !
- NIS (moitié riant et pleurant) : Oh tu exagères, ont les as bien dressés avec Iri… Ainsi tu es celui qui fait respirer les gorges et donne de l’air à tous les nez ? (Ptah fait oui de la tête). Tu es celui qui est au Sud-de-son-mur ? (Ptah fait oui de la tête).
- PTAH : J’ai bien fais de t’aider à construire une harpe, tu sais si bien la faire vibrer.
- NIS : Tu veux que je te chante une chanson ?
- PTAH : Non, Djéser va bientôt venir te chercher. Sache encore ceci : j’ai chuté dans la Matière, c’est pour cela que sur les murs des temples, je suis représenté emmailloté, ligoté au plus profond de cette matière ; ce qui fait de moi le moteur secret de ta vie. Et toi Nis, tu es ma deuxième création après Imhotep. Propage les vibrations de la harpe le plus loin possible… J’ai sommeille… je retourne au Sud-de-mon-mur du Jardin de la Pensée et de la Parole. Je te laisse cher fils (il embrasse Nis sur la joue), et souviens-toi… Tout n’est que vibrations… Vibrations… Vibrations… Noun… Noun… Noun.

Nis pleure la disparition de Ptah. Il s’assoit à l’endroit où Ptah a disparu et joue une musique en contrepoint avec ses pleurs (musique joyeuse et entraînante, presque bruyante, donc avec des ajouts de percussions et d’instruments à vent).
Il se produit alors un phénomène dû à la vibration de l’air par la musique de Nis : les cailloux petits et gros se mettent a sautiller en faisant comme une sorte de petit ballet sur le sable, qui lui aussi se met a vibrer et a onduler. (Trucage). On entend aussi les cris d’une grande quantité d’oiseaux s’approcher.

On termine l’histoire sur le sable avec en sous-titre :
Et ils passèrent leur Temps dans le Quartz, qui un jour se réveillera.
(Sous-entendu : la civilisation Égyptienne accéda à l’éternité en travaillant la Pierre et en vivant du limon du Nil, et en étant engloutie, absorbée par la silice du sable, comme l’Atlantide fut engloutie par l’eau ; cause et effet, loi de l’alternance ; mais elle ne fait que dormir momentanément…).

FIN

Michel Roudakoff - Mars / Mai 2001

DISTRIBUTION (CAST) pour les séquences ci-dessus :

NIS L’ÉGYPTIEN : (25 ans) chanteur pour le Roi Djeser
SAKY : frère de Sakay et fils de Sak
CHAT MIOU
ROI DJESER : (45-50 ANS)
YAMOURAP : intendant du Roi Djeser
SERVANTE (de Nis)
SERVITEUR (Maison de Nis)
JEB : le fils de Nis
SA : deuxième fils de Nis
PORTIER (de la Maison de Nis)
GARDE D’ENTRÉE (de la Grande maison)
LES OUVRIERS DE LA BRIQUETERIE
KEREP : briquetier en chef
LES FEMMES PORTEUSES DE NOURRITURE
4 PORTEURS DE DEUX CHAISES
SECHY (30 ans) : Chef des dessinateurs
IMHOTEP (35 ans) : architecte du Roi Djeser
PTAH : Dieu de Mur-Blanc, Réalisé et prototype d’Osiris, de Jésus, etc.
CINQ ENFANTS (de Djeser)
NEFERI : fille cadette de Djeser, une des 5 enfants
TROIS COURTISANS (de Djéser)
TROIS PRÊTRES (de Djéser)
GARDES (de la Grande Maison)
SCRIBE (de la Grande Maison)
PLUSIEURS PERSONNES
DES SOLDATS (de Djéser)
 
 

Dernière mise à jour : 16-07-2016 01:08

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