Accueil arrow News arrow Dernières news arrow La Vraie Liberté ou FÉLICITÉ
La Vraie Liberté ou FÉLICITÉ Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 17-07-2016 22:29

Pages vues : 7407    

Favoris : 45

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Daesh, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Impur, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Pur, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
flag_of_the_islamic_state_of_iraq_and_vivreensemble.jpg
 
 
La Vraie Liberté ou FÉLICITÉ
On « n’obtiens » pas la paix,
elle est notre état naturel,
seul le mental bloque la paix
« Cherchez le mental,
et il disparaîtra »
(R. Maharshi, entr. 238)

Drame de ce monde :
« Vous ignorez celui qui doute, mais
vous essayez de résoudre les doutes.
Tenez-vous à celui qui doute et
les doutes disparaîtront ».
(R. Maharshi, entr. 238)
 
 
Le monde des Pris-au-nier (ceux qui oublient le Soi) : nous sommes trop fermement attachés à notre existence en tant qu’individualité, avec tout ce qui lui est associé, fabriqué, entretenue et renforcé par le système capitalo-socialiste et sa consommation, DONC PAR NOUS-MÊMES, Y COMPRIS LES MENEURS DU SYSTÈME.

En ces temps si merdiques de « république universelle » et de « démocratie » judéo-maçonniques liés à la religion de l’argent, il ne reste plus qu’à retrouver la VRAIE LIBERTÉ.

VRAIE LIBERTÉ : réside en chacun de nous, et pas à l’extérieur qui ne sera qu’une opinion portant l’étiquette « liberté ». « La solitude est partout. L’individu est toujours seul [on naît seul, on mange seul et on baise seul, on meurt seul]. Ce qu’il doit faire, c’est découvrir en lui-même et non pas la chercher [l’investigation ou vichâra] en dehors de lui [sinon on tombe dans la tyrannie de l’opinion] ». (Ramana Maharshi, entretien 44).
La Vraie Liberté est uniquement en nous, elle est innée et ignée. Comme un anonyme Alchimiste de la fin du 18è siècle, je l’appelle : CENTRUM CENTRI (autre nom du Soi).
Centrum Centri : : le Centre le plus intime de notre Être, et y rester, malgré toutes activités superficielles de notre mental (penser, ressentir, percevoir, mémoriser et oublier, « faire rêver les gens », etc.). Mais tant qu’il existe le vichâra, on tombe évidemment dans la dualité sujet-objet !!!
La Vraie Liberté est comparable à l’œil du Cyclone : quelque soit l’agitation de notre ego ou mental, le Centrum Centri est l’état de Paix. Le propre du mental, de l’ego, c’est son agitation, son speed, son vagabondage comme l’argent circulant partout. Pour retrouver la Paix, le Bonheur, une chose à faire : cesser toute activité, tout speed, et retourner à l’état naturel de l’ÊTRE, comme dans le sommeil profond : Détachement à l'intérieur et attachement en apparence...

Le Centrum Centri est l’art d’Être en restant conscient, mais SANS vagabondage mental, soit devenir une FIXATION CAVALANTE, un Grand Art que l’on peut cultiver comme si, il y a 10.000 ans, les Chasseurs-Cueilleurs avaient choisit la voie de l’Horticulture au lieu de tomber dans celle de l’Agriculture…
Le Centrum Centri semble complexe alors qu’il est notre état naturel, complexe parce le mental cherche à « travailler du chapeau » avec ses pensées, émotions, désirs, peurs, angoisses, attachements, convictions ou opinions anciennes et modernes et autres grégarisme inculqués.

La connaissance de l’être humain par lui-même ne peut pas être une « science », parce que toute science est dans la dualité en balance entre un sujet qui étudie et un objet étudié (voir le vichâra) ; mais l’être humain étant Félicité, le Tout, l’Univers est lui-même, il ne peut pas se poser comme sujet étudiant un objet « Univers » qui lui serait extérieur. Pour étudier l’Univers il lui faudrait en sortir, ce qui est impossible !!!
Ainsi, aucune science n’est démontrable, personne ne peut la prouver « objectivement » à quelqu’un d’autre. Mais nous pouvons faire l’expérience directe, Maât, en notre Centrum Centri, car notre Vraie Nature se révélera dans son état originel et inaltérable.

L’Art d’Être est comparable au Grand Œuvre alchimique : une Fixation Cavalante : l’Art de ne pas agir (le Non Agir de la Taoïcité), le JE SUIS, le SANS POURQUOI. Dans ce Grand Art pas de « tour de main », ni de but à atteindre, et encore moins « d’apprentissage », car il est notre état naturel : nous existons toujours et n’avons besoin d’aucun effort ni d’aucune habilité spéciale pour Être. Être = Non-Agir, le JE SUIS libre de toute distraction en pensée ou en acte, le SANS POURQUOI qui alors apporte une TRANSPARENCE TOTALE, comme un pur Cristal (Christ).

ÊTRE = notre propre existence, notre « conscience » JE SUIS. Sans cette Con-Naissance, il est idiot de chercher à connaître autre chose. Si nous ne connaissons pas la seule Vérité possible à propos de notre propre Être, le JE SUIS, le CENTRUM CENTRI, alors à partir de quoi tout peut être connu ? Et bien, depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, tout peut être connu à partir de l’opinion des uns et des autres, donc UNIQUEMENT À PARTIR DE L’EXTÉRIEUR, ce qui provoque dans le monde des guerres et des horreurs pestilentielles depuis ces 10.000 ans. Car ce que nous savons du monde, de Dieu, de nos sciences et de nos religions, ça n’a aucune valeur pour nous si nous ne savons pas la Vérité sur nous mêmes : tout être humain doit d’abord faire société avec lui-même, au plus intime de son être, avant de se lancer à faire société avec les autres. Des relations sociales authentiques ne peuvent avoir lieu qu’entre personnes authentiques ; c’est pour cela que la pub manipulatrice, comme toutes les publicités, du « vivre ensemble » du capitalo-socialiste est hautement dangereuse et ne peut que mener, je n’hésite pas à l’écrire : à la mort de l’humanité (du moins pour le plus grand nombre). Le système de « démocratie » de la City de Londres est MORTEL.
Les fabricants du « vivre ensemble », les judéo-maçons spéculatifs genre Grand Orient et autres républicanistes, ont tellement exalter l’ego, l’individualisme, le chacun pour soi, qu’ils ne se tiennent plus avec leur « morale » et se voient obligés pour vendre leur « paix » d’avoir recourt à leur nouvelle religion : leur laïcité du « vivre ensemble ».

Pourtant, nous sommes l’Être-conscience « Je Suis », mais depuis des millénaires ça reste confus, parce que, grâce notamment à l’étatisme, nous en restons à « je suis le corps », ou « je suis une personne », ou je suis né à telle date, je signe de mon nom, je fais ceci ou cela, etc. Cette identification-identité est ignorance et matérialiste. Le « Je Suis » n’est pas matériel, mais le corps reste une « masse » INCONSCIENTE PAR NATURE (C’EST LA MASSE) QUE NOUS PRENONS POUR LE « JE » (avec le J majuscule, alors qu’il n’est que le ‘je’ avec le j minuscule).
Cette ignorance provient du mental, notre mental naît seulement quand il imagine un corps. Dans le sommeil profond, nous sommes inconscient aussi bien du mental que du corps, mais dès que nous nous réveillons, notre mental se manifeste et pense : « je suis ce corps, je suis un tel… ». C’est seulement après s’être identifié avec un corps particulier qu’icelui perçoit le monde extérieur à travers ses pauvres cinq sens.
Dans le rêve c’est exactement la même chose : notre mental s’identifie à un corps particulier et aussi perçoit, par les cinq sens de ce corps, un monde d’illusion et extérieur. Au moment du réveil, nous comprenons que ce corps pris pour le ‘je’ (la possession) et le monde vu comme réel et extérieur n’étaient en fait que le produit de notre imagination. Par le rêve nous nous rendons compte de la puissance de notre imagination. Alors, que dire de ce que nous prenons pour « la réalité » !!! Quelle preuve avons-nous que la nature et rêve et du réveil ou état de veille  sont de nature différente ? Même « l’analyse » n’est pas une preuve.

Quand on compare l’agitation du monde que nous voyons à l’état de veille, ou de rêve, à une scène se déroulant sur un écran de cinéma, nous pouvons peut-être dire qu’à l’état de veille et sur l’écran c’est de meilleure qualité et plus impressionnant que dans le rêve (quoi que !), mais aussi bien en rêve qu’en veille ce sont des produits, non d’un agent extérieur, mais de notre mental qui les voit. Donc pas de différence entre rêve et veille. Dans les deux cas il y a le ‘je’ (corps ou possession) et son spatio-temporel. Mais, quelle preuve avons-nous que les choses « vécues » dans notre état de veille existent vraiment hors de notre imagination, et de toute façon « en plus réel » que dans le rêve ? (Nous n'avons que cinq sens).

Quand nous nous penchons sur notre expérience des trois états de : veille, rêve, sommeil profond, nous confondons facilement notre conscience ‘je’ (possession) avec différentes choses à des moments différents. Éveillés, nous prenons notre corps pour ‘je’ (le mental et sa possession) ; dans le rêve nous prenons un autre corps imaginaire pour ‘je’ (aussi le mental) ; dans le sommeil profond nous confondons l’inconscient avec ce même ‘je’, ou tout au moins au moment de notre réveil, ce qui reviens en mémoire : « j’étais inconscient » !
Dans le sommeil profond, pas de mental, pas de corps donc pas de monde, mais TOUJOURS LA PRÉSENCE DE NOTRE PROPRE EXISTENCE OU ÊTRE.

RAPPEL : le mot ÊTRE est le plus usité et pourtant le moins définissable. Le Vrai sens de ÊTRE est : « Je suis ce JE SUIS », et donc n’ex-iste pas à proprement parler, parce qu’il est en dehors du spatio-temporel. ÊTRE = ex-istant. Encore une fois, il n’y a pas de « pourquoi » dans Être. De même toute chose EST, de sorte qu’on dit aussi que Dieu existe alors que, en toute rigueur, il n’ex-iste pas, en devant son « être » à personne. Il n’existe pas, il EST : « Je suis ce JE SUIS » ; Super Tautologie dans Exode 3, 14 : « Dieu dit à Moïse : ”Je suis ce JE SUIS” », le sans pourquoi qui ne pourra que répéter son propre dire, genre FRACTALE.
Ah, ce n’est pas tout confort et sécuritaire de perdre son ego, de renoncer à son individualité, ou la perdre comme le fit Jésus et Ramana Maharshi. Jésus de Nazareth a dit : « Qui perd sa vie la gagne ». Évidemment c’est le contraire du tout confort et technologie de notre « civilisation moderne ». Comme le ÊTRE est notre état naturel, il faudra bien qu’un jour ces paroles de Jésus ne soit plus vrai, ou soit d’une grande banalité ! Donc refuser cette mode du social artificiel et de son « vivre ensemble », soit compter pour un, mon voisin est le deux, etc., donc « compter », par le système être digitalisé dans le corps social de la proche société fourmilière ou totalitaire.

Le fait que nous soyons conscients du sommeil comme état distinct du rêve et de la veille, indique que nous sommes la conscience même, sous-jacente à l’apparition et à la disparition de ce vagabondage nommé « mental ». Conscience qui nous fait dire : « J’existais durant le sommeil, mais j’étais inconscient de tout », ressemble à notre ‘Je’ ou SOI, le « JE SUIS » (et sans pourquoi…), DANS L'INSTANT.
Notre mental, cette conscience qui apparaît et se manifeste dans la veille et le rêve et se retire dans le sommeil profond, n’est qu’une illusion ou CONSCIENTE FEINTE faisant croire à notre conscience fondamentale et au corps matériel et son spatio-temporel.
Ce n’est pas par le mental ou la raison, le corps, que nous pourrons retrouver la véritable connaissance de soi, LA LIBERTÉ. Icelle ne peut se retrouver que par l’expérience immédiate, PAN le TOUT, notre vrai Soi : seul celui qui ne cherche plus à prendre (apprendre) peut dé-couvrir et Con-Naître (naître avec), LA FIN DE LA DUALITÉ SUJET-OBJET SE FAIT PAR NAISSANCE INSTANTANÉE (con : avec), par émission du Tout-Instant hors du ‘je’ ou individu, et non par « bagage intellectuel » ou diplômes des écoles…

Si nous comprenons vraiment que nous ne sommes pas un corps qui consomme et consume, ni une « raison » façon républicanisme et démocratie de perruques poudrées du 18è siècle, nous allons être délivré de cette fausse identification en redécouvrant qui nous sommes réellement. Pour cela, se focaliser uniquement sur la seule Réalité : Nous, le Centrum Centri.
Tant que nous nous occupons d’autre chose que du ‘Je’, notre mental reste actif et épaissit la transparence naturelle de notre conscience du Soi. Plus fortement nous nous laissons absorber par le ‘Je’, plus mental, le Dragon, va être dompté et il fera place à la transparence.

Tous les problèmes actuels, guerres, chagrins, mécontentements et problèmes, détresses éprouvés actuellement sont uniquement dus à notre IGNORANCE DE CE QUE NOUS SOMMES RÉELLEMENT. Tant que sommes prisonnier du ‘je’ ou mental, nous éprouvons le désir de CONSOMMER-CONSUMER soit disant pour notre « survie »… et de nos jours pour notre confort et plaisir. Cela va amener la division PUR-IMPUR ou BIEN-MAL, considérée comme une menace pour notre corps ou mental (le problème "terrorisme" est identique). Et n’obtenant pas ce que nous désirons et aimons, ou ne pouvant éviter ce que nous craignons, alors nous sommes mécontents, déprimés, Et les meneurs et têtes d’œufs chient des lois à n’en plus finir, ce qui ne peut que conduire à la mort du plus grand nombre.
SOUFFRANCE (du corps ou mental, le ‘je’) = DÉSIR ET PEUR, fascination-répulsion.

MAÂT : déesse égyptienne, symbolise le Soi, le fait d’ÊTRE. Le VICHÂRA : questionnement ou enquête, examen mental (âtma-vichara) investigation sur la nature de sa propre réalité, le QUI SUIS-JE ? : la pensée ‘je’ devient plus claire à l’examen ; la source du ‘je’ est le Cœur ou Centrum Centri. À l’entretien 27, Ramana Maharshi dit que si l’aspirant, par tempérament, n’est pas fait pour le vichâra-mârga (introspection analytique, le QUI SUIS-JE ?), il doit développer la bhakti (dévotion) vers un idéal, que ce soit Dieu, le guru, l’humanité en général, l’idée de beauté.
Le vichâra n’est pas Maât, il est encore dualité sujet-objet, idem pour celui qui prie Dieu : toujours sujet-objet, ou Dieu et le prieur. C’est la bhakti ou dévotion. La méditation (dhyâna) en est proche : sujet-objet ou S’OUBLIER en méditant sur par exemple « Je suis le brahman », « cela le conduira finalement à l’Être, qui subsiste en tant que brahman ou Shivan et il réalisera que Celui-ci est l’Être pur, c’est-à-dire le Soi », dit Ramana Maharshi à l’entretien 172.
Ce qui est Maât ignore le spatio-emporel et est « non-local », non-duel.

Bien avant Ramana Maharshi, un maître chan du XIIè siècle : Dahui (Ta-hui), disait : « Le bien et le mal viennent de votre propre mental. Mais, qu’appelez-vous votre mental [votre ‘je’] en dehors de vos actes et de vos pensées ? Et d’où vient votre mental ? Si vraiment vous savez d’où vient votre mental, une infinité d’obstacles créés par vos propres actes disparaîtront aussitôt. Ensuite, toutes sortes de possibilités extraordinaire s’offriront à vous, sans même que vous les cherchiez ».
Le vichâra, dans la mystique taoïste, et appelé « Retournement de la Lumière », soit passer du mental limité et conditionné, la conscience ‘je’, au Soi ou « Principe Universel Originel ». Dans Le Secret de la Fleur d’Or, le terme « Retournement » correspond à Maât en contact avec le Principe Universel Originel. ON PEUT ÊTRE CRÉATIF SANS POSSESSIVITÉ ; c’est pourquoi « la propriété intellectuelle » et ses « droits d’auteurs » est une abomination de socialo-capitalisme et de sa démocratie.

[En référence à la Non-Dualité et à Venkataramana, nom d’enfance qui deviendra le diminutif « Ramana » : trois A bref ; avec étymologie ram ; arrêter, reposer, rendre calme et tranquille, réjouir, rendre heureux ; comme nom il signifie joie ou ce qui donne de la joie, ce qui est plaisant, charmant ou délicieux, et sert de terme affectueux pour parler d’une personne aimée. Bhagavân, de Bhagavân Sri Ramana Maharshi, est un titre honorifique et affectueux : Seigneur glorieux, adorable et divin, et est employé comme titre de vénération envers une incarnation divine ou un Réalité tel Jésus de Nazareth, Bouddha, etc. Le mot « Sri » est un terme monosyllabique indiquant : lumière, brillance, rayonnement, comme l’auréole des saint du christianisme. Comme préfixe révérencieux il signifie ‘sacré’, ‘saint’, ‘vénérable’, mais il est également employé comme simple titre de respect devant le nom de n’importe quelle personne, comme ‘monsieur’ en français. Maharshi veut dire : grand, voyant. Les fidèles préfèrent l’appeler ‘Bhagavân’, pour marquer leur respect et leur affection]
 
(J’ai mis en haut le drapeau de « l’État ismalique » parce que ces gens là sont aussi de la famille des Terriens, ils sont aussi « Nous » ; et que le mot « démocratie » m’apparaît de plus en plus comme une mauvaise blague de cancres de cours de récréation de l’école de Jules Ferry et du naja  Belkacem, une blague des plus mortelles… )
 
 

Dernière mise à jour : 17-07-2016 23:06

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >