Le GODF qui rêve de
« liberté absolue de conscience », un assemblage de mots/maux qui ne veulent rien dire, ou plutôt qui renvoient au triomphe de l’ego (s’il n’y a pas de définition du mot
« conscience », mot devenant fourre-tout comme le mot
« démocratie ») !
Cet ego QUI SE VEUT AU SERVICE DU PLUS GRAND NOMBRE. Nous sommes donc les deux pieds dans la CHEFFERIE, dans L’ÉTATISME JACOBINISTE OU DU NOUVEL ORDRE MONDIAL. Le GODF sauveur du monde et son
« pacte républicain qui constitue plus que jamais pour la France le levier d’un progrès au service du plus grand nombre »,
mais surtout au façonnage du plus grand nombre à travers de son école laïque et obligatoire pour « a formation du futur citoyen » ou habitant des villes. Merci Petit-Père-des-Peuples ou le matriarcat de la Marianne judéo-maçonnique singeant le Mère Divine ! Vous signez-là votre pacte de religion à l'envers tel le socialisme ou communisme, donc la dictature du N.O.M.
La judéo-maçonnerie spéculative à Pour-Voir née à Londres en 1717 est une singerie du christianisme au sens de leur GADLU (Grand Architecte De L’Univers), donc au sens du mental puisque l’Univers de peut qu’être dans le mental : on ne peut pas « sortir de l’Univers » pour
« l’examiner » pour l'étudier. Ce qui est identique au double paradoxe suivant : le
« Connaître toi-même par toi-même » : la Félicité ou le Soi notre état naturel ; et la connaissance de soi-même, c’est le sujet qui réfléchit sur lui-même (comme
« pris dans les glaces »).
La Félicité étant notre état naturel, il n’y a aucun besoin de « maîtrise de soi » ! Le « Je veux être moi-même » est le parfait piège du mental ! Même chose avec le verbe « se réaliser » à la mode depuis la période
Hippie et le
new age, une variation du thème de société de consommation. Comme la Félicité est notre état naturel, le terme
« être soi-même » est une imbécilité de plus comme le
« aujourd’hui » parfait doublons comme annulant le premier (interférences).
« Se réaliser » : le
‘se’ se retourne sur le sujet en inversion de la Super Tautologie à la Moïse :
« Je suis ce JE SUIS ».
Or,
Un est le Tout, dit la Tradition, et encore plus parlant :
Ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas, et l’inverse. C’est-à-dire qu’il n’existe pas d’évolution genre GADLU ou Big bang et ses compas-équerres qui assemblerait selon leur opinion des pièces de matière inerte pour
« à la fin des temps » dans une
« Jérusalem céleste » leur insuffler la vie ou mouvement.
Le monde actuel procède selon la méthode du GADLU du GODF et autres grosses obédiences à pour-voir comme le procède un
Bédarride.
Le monde actuel fonctionne selon ce procédé de l’évolutionnisme et de thermodynamique avec ses constructions de machines du « tout connecté » (une « fraternité
» robotisé), voire des cerveaux électroniques de toutes « informations », à y ajouter le rêve « d’immortalité » des transhumanistes. Bref, tout ceci N’EST PAS LA VIE (qui comme le mot Science ne se coupe pas en science d’un côté et de l’autre en technique ; tout comme l’être humain ne peut pas se couper en spirituel d’un côté et en laïque ou temporel de l’autre !).
Voici à nouveau en refrain et parce que c’est important l’exemple du judéo-maçon Armand Bédarride donné par Jean Coulonval dans son livre :
Synthèse et Temps Nouveaux :
« Si vous voulez un livre qui soit à la mesure de notre temple, faites-le avec ce qu’il y a de plus sage, de plus pur, de plus saint, de plus héroïque, de plus noble, de plus culturel, de plus beau, dans tous les livres qui servent de guide à la vie de l’Esprit, dans ceux qui ont servi et servent encore de flambeaux aux consciences dans leur marche vers la perfection toujours fuyante ; adressez-vous à tous les pasteurs d’âmes, qu’ils se soient donnés comme représentants de la Divinité ou de la Raison... Des profondeurs des ténèbres primitives la pensée humaine a marché peu à peu vers une lumière toujours plus grande : en des langages divers l’Esprit a tracé les annales de son progrès... N’ayez pas peur de les rapprocher, de les confronter, de les exalter les unes par les autres ; au contraire, vous avancerez ainsi dans la direction de la
« Parole Perdue ».
Armand Bédarride et ses sbires genre Grand Orient de France voudraient reconstituer et voir simultanément toutes les faces d’un polyèdre et c’est en cela que, selon eux, est la vraie religion : le Pour-Voir (pouvoir). Une religion de travailleurs du chapeau ou
« tuileurs » : ceux qui « sont à la tête » (le mental dans sa splendeur, le GRÉGARISME EN RÉSEAUX). C’est effectivement la religion de l’Homme,
MAIS AUSSI CELLE DE LUCIFER, CELLE DU VOYEUR ((Pour-Voir), non celle du sens du mot CHRIST : « Connaître toi-même par toi-même », donc le Soi-Conscience ou Instant, le Cercle devient Point ou Stargate. C’est rejoindre son UN qui est le UN de chacun… Ce qui n’est absolument pas
« croire un Dieu » (
‘Vous serez comme des Dieux’ disait le Serpent… ou Vibration provoquant interférences et résonance en cacophonie !)
Jean Coulonval rapporte une citation du Jésus de Nazareth, celui de la Croix : « Lorsque viendra l’Esprit de Vérité, il vous fera accéder à la Vérité tout entière ».
Ainsi la Vérité tout entière par exemple ne peut pas venir de l’invention ou de l’opinion d’un Moïse.
« La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties », écrit Jean Coulonval dans :
Synthèse et Temps Nouveaux.
Si ce genre de judéo-maçonnerie est du sentiment, l’autre église aussi, car opinion et accidents dans le monde spatio-temporel qui engendrent des structures psychologiques et sentimentales antagonistes. L’ÊTRE, le JE SUIS, donc le CHRIST est au-delà du sentiment.
L’évolutionnisme, le capitalo-socialisme et le GADLU fonctionnent selon l’inversion déjà imposé par un Joseph Staline qui énonçait : « S’il est vrai que la nature, l’être, le monde matériel est la donnée première, tandis que la conscience, la pensée est la donnée seconde, dérivée ; s’il est vrai que le monde matériel est une réalité objective [sic] existant indépendamment de la conscience des hommes, tandis que la conscience est un reflet de cette réalité objective [sic], il suit de là que la vie matérielle de la société, son état, est également la donnée première [laïcité donc] tandis que sa vie spirituelle est une donnée seconde, dérivée ; que la vie matérielle de la société est une réalité objective existant indépendamment de la volonté de l’homme ».
Dans sa lettre à Étienne Gilson, Jean Coulonval commente ce passage : « Ainsi donc, Staline renverse les rôles. D’objet fabriqué, il décide de devenir sujet fabricant [comme les judéo-maçons du GODF]. Et il peut bien nous dire que la vie matérielle de la société existe indépendamment de la volonté de l’homme, il n’en décide pas moins, lui un homme, de ce qu’elle doit être pour « fabriquer » des hommes à sa convenance [comme ces mêmes judéo-maçons spéculatifs le pratiquent en cachette]. Et cela réussit dans la mesure où les hommes n’ont pas atteint l’autonomie intellectuelle [ou plutôt ne sont pas délivrés de leur ego !] Ce renversement des rôles, par Staline et tout dictateur en général, ne serait pas possible si le spirituel, en tant qu’essence ontologique [l’
Homo Religiosus], était issu de la matière par évolution. Car l’évolution, au sens marxiste aussi bien que teilhardien [Teilhard de Chardin et Inconscient collectif à le C.G. Jung], est une conception linéaire dans le temps et irréversible [géométrie euclidienne de la ligne droite].
Renversement des rôles, de fabriqué physique devenant fabricant de la spiritualité, du psychisme des autres, Staline se pose en démiurge (Staline est mort, mais cela est vrai de tout le « clergé » marxiste). Il est le dictateur à l’état pur dont les sujets ne sont que des objets à pétrir, à façonner, à fabriquer. D’où la technique du lavage de cerveau ».
UN EST LE TOUT.
L’être humain étant un
Homo Religiosus, la laïcité ça n’existe pas : aucun peuple, aucun individu, ne peut échapper à la nécessité d’une spiritualité (entendre une libération de l’ego qui sera alors la Vraie Liberté) qui n’est autre que le besoin incoercible de se trouver à l’existant un centre immuable, un
Centrum Centri qui est le Soi-Instant qui ne peut que se situer en dehors du spatio-temporel, donc du corps ou mental. Mais hélas les religions si elles partent du principe d’aider les autres, par leur « isme », donc leur système, aussi bien l’islamisme, le christianisme, le judaïsme, l’hindouisme, etc., indiquent le « truc », la construction par l’ego, donc par la possession et les sentiments. Ce qui en fait des opinions. Toutes les religions sont opinions comme n’importes quels partis politiques.
Le Réalisé, le Bienheureux vivant le SOI-INSTANT et la Connaissance absolue au-delà de la dualité sujet-objet est comme le Dieu PTAH : le retour à son Origine, sans influence extérieure : IL EST, il est sans pourquoi. Il n’a pas besoin d’un « architecte » ni de « briques » et de « maçons » et de compas-équerre (lois) pour ÊTRE.
POUR JOSEPH STALINE (là où il est) : « S’il y a des pensées, elles se matérialisent. Si elles disparaissent, il n’y a rien à matérialiser. De même, si vous vous considérez comme physique, le monde est physique, etc. Trouvez si vous êtes physique […] Trouvez si votre ‘je’ est différent de la partie divine du monde. Vous n’êtes pas capable de vous aider vous-même et cependant vous cherchez la partie divine pour qu’elle vous aide à aider le monde. C’est le Divin qui vous dirige et vous contrôle. Où allez-vous en sommeil profond ? D’où revenez-vous ? ». (
Ramana Maharshi, entretien 164).
Ainsi il n’y a pas de libération ou de « paix » à obtenir comme on possède des actions à Wall Street : « En ce moment même, vous êtes le Soi [puisque c’est l’Instant]. Mais vous êtes en train de confondre cette conscience (ou ego) avec la Conscience absolue. Cette fausse identification est due à l’ignorance. L’ignorance disparaît en même temps que l’ego. Tuer l’ego [ou le dompter] est donc la seule chose à accomplir. La Réalisation est déjà là. Il n’y a pas lieu d’essayer de l’atteindre. Car elle n’est pas quelque chose à l’extérieur ni de nouveau. Elle est toujours et partout, ici et maintenant [et c’est l’Instant] ». (Ramana Maharshi, entretien 174).