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Corps physique = Espace Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 11-10-2016 00:29

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Daesh, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Impur, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Pur, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Corps physique = Espace
NON, l’espace est encore
UNE OPINION !
IL N’Y A PAS DE DÉPART (Big Bang ou Adam)
IL N’Y A PAS DE RETOUR (à l’Origine).
 
 
A-gir : privation de mouvement (gir, giration, vortex, tout tourne), privation de vibration. La ligne droite ou évolutionnisme n’existe pas.

Étant donné que nous sommes SINGULARITÉ ou IDIOTÈS, rien n’a jamais touché à rien !

E-Space : comme E-tendue, E-vident, E-ternel, E-volué, E-fficace sont de l’E-Space ou manifestations terrestres ou spatio-temporel qui d’É-coulent de l’Essence ou Principe Originel Universel.
 
 
VIDE = SILENCE : IL EST LA MATIÈRE.

« L’espace est en vous. Le corps physique se trouve dans l’espace, mais pas vous » (Ramana Maharshi, entretien 304).
« Tant que le mental sera considéré comme une entité de ce genre, les doutes persisteront. Mais, qu’est-ce que le mental ? Réfléchissons-y. Quand l’homme sort de son sommeil, il perçoit le monde. Cette perception vient après la pensée ‘je’. Puis, la tête se soulève et le mental devient actif. Qu’est-ce que le monde ? C’est l’ensemble des objets répandus dans l’espace. Qui contient cet ensemble ? Le mental. Mais le mental qui contient l’espace (akasha) ne serait-il pas lui-même espace ? L’espace est l’éther physique (bhûtâkâsha). Le mental est l’éther subtil (mano’ kâsha) qui est, lui, contenu dans l’éther transcendantal (chidâkâsha). Le mental est donc le principe éther (akasha-tattva). L’éther étant le principe de la connaissance (jnâna-tattva), la métaphysique identifie le mental à l’éther. Le considérant comme tel, il ne devrait plus y avoir de difficulté à réconcilier la contradiction apparente contenue dans la question. Le mental pur (shuddha-manas) est éther. Les aspects dynamiques (rajas) et engourdis (tamas) du mental se manifestent sous forme d’objets du monde grossier. Par conséquent, l’Univers entier n’est que mental [j’ajoute qu’il est « plancké » dans l’opinion de Max Planck !].
Prenez encore l’exemple d’une personne qui rêve. Elle s’installe dans une pièce dont les portes sont fermées de façon à ne pas être dérangée durant son sommeil. Elle ferme les yeux pour ne voir aucun objet. Et pourtant, lorsqu’elle rêve, elle voit tout un monde dans lequel les gens se meuvent et elle-même parmi eux. Tout ce monde est-il entré par la porte ? Non, il lui a simplement été présenté par son cerveau. Mais s’agit-il du cerveau du dormeur ou du cerveau du personnage du rêve ? Bien entendu, de celui du dormeur. Comment se peut-il alors qu’un monde aussi vaste puisse être contenu dans des cellules aussi minuscules ? L’explication en est que l’Univers entier n’est qu’une pensée ou une série de pensées [pensées en séquences, comme dans l’actuelle informatique] ». Ramana Maharshi, entretien 451 ; il précise entre autres que même le « mal de dents » est une pensée.

« Le Silence est permanent et rend service à l’humanité entière » (Ramana Maharshi, entretien 20). Dans ce même entretien : « Le Silence veut dire éloquence. Les conférences ne sont pas aussi éloquentes que le Silence. Le Silence est éloquence incessante. Le Maître primordial, Dakshinâmurti, est l’idéal. Il enseignait ses disciples-rishi par le Silence ».

Il m’est apparu que la deuxième méthode est la plus libre et libératrice :
« Quelle est la meilleure méthode : prêcher à haute voix sans obtenir aucun résultat [comme les gens de l’étatisme et leurs discours], ou bien garder le silence en répandant autour de soi un courant de forces spirituelles qui agissent sur les autres ?
Comment le langage se créé-t-il ? Il y a d’abord une connaissance abstraite (non manifestée). De là, s’élance l’ego, d’où s’élèvent successivement les pensées, puis les mots.
1 Connaissance abstraite [Vraie Télépathie]
2 Ego
3 Pensées [idéation]
4 Mots [et maux !]
Ainsi les mots sont les arrière-petits-fils de la source originelle. Si les mots peuvent produire un effet, combien plus grande sera alors la prédication par le Silence ! [et donc aussi la Vraie Télépathie]. Jugez par vous-même ». (Entretien 285).

Sur le Mauna (le Silence), à l’entretien 60 du 5 juillet 1935.

Le Silence de la solitude est forcé. la retenue de la parole en société équivaut au Silence. Car c’est alors que l’homme contrôle sa parole. Il faut que celui qui parle existe avant de parler [on ne peut faire société avec les autres avant d’avoir fait société avec soi-même]. S’il est engagé ailleurs, la parole est retenue ; le mental tourné vers l’intérieur est occupé à autre chose et ne tient pas à parler.
Le Mauna, conçu comme une mesure de discipline, a pour objet de limiter les activités du mental provoquées par la parole. Si le mental est déjà contrôlée, la discipline de Mauna n’est pas nécessaire, car alors, le Mauna devient naturel.
Vidyâranya a dit que douze années de Mauna forcé entraînent le Mauna absolu, c’est-à-dire rendent incapable de parler. Cet état ressemble plus à celui d’un animal muet qu’à autre chose. Cela n’est pas le Mauna. le Mauna est éloquence incessante. L’inactivité est activité constante.

« Le Silence est discours sans fin. la parole émise fait obstacle à la parole silencieuse. Dans le Silence on est en contact intime avec son environnement. Le Silence de Dakshinâmurti fit disparaître les doutes des quatre sages. Mauna-vâkhyâ-prakatita-tattvam (La Vérité exposée par le Silence). On dit que le Silence est un enseignement. Le Silence est tellement puissant ! » (entretien 68).

« Le Mauna est l’état qui se manifeste spontanément après l’annihilation de l’ego. Cet état est au-delà de la lumière et de l’obscurité, mais est encore appelé lumière parce que aucun autre mot approprié n’a pu être trouvé » (entretien 122).

LE SILENCE OU VRAIE TÉLÉPATHIE EST LE MEILLEUR LANGAGE (en référence à R. Maharshi et l’entretien 189). Meilleur Langage donc meilleur Énergie.

« La méditation sans activité mentale est Silence. La maîtrise du mental est méditation. La méditation profonde est éternelle éloquence » (entretien 230).

Comment communiquer sa pensée avec autrui si on ne parle pas ? « Cela n’est nécessaire que tant qu’il y a la notion d’être deux » (en réf. de l’entretien 238).

VRAIE TÉLÉPATHIE : « Le langage n’est qu’un moyen pour communiquer à l’autre ses pensées. Il n’intervient qu’une fois que les pensées se sont manifestées. D’autres pensées s’élèvent après l’apparition de la pensée ‘je’ ; la pensée ‘je’ [opinion] est donc la racine de toute conversation. Quand on reste sans pensée, on comprend l’autre grâce au LANGAGE UNIVERSEL DU SILENCE ».
Le Silence parle sans cesse ; il est un flot incessant de langage ; il est interrompu par la parole. Les mots entravent de langage muet. Imaginez l’électricité dans un fil. Grâce à une résistance sur le courant, l’électricité alimente une lampe ou fait tourner un ventilateur. Mais dans le fil, l’électricité reste sous forme d’énergie. Il en va de même pour le Silence, c’est l’éternel flot de langage, obstrué par les mots.
Ce qu’on n’arrive pas à comprendre au cours de conversations sur plusieurs années peut être compris en un instant dans le Silence ou en face du Silence. Ce fut le cas pour les quatre disciples de Dakshinâmurti. Le Silence est le langage le plus élevé et le plus efficace ». (Entretien 246).


La « perte du Nom Divin » d’une certaine judéo-maçonnerie spéculative née à Londres en 1717 est une opinion de plus, et se situant dans l’évolutionnisme (1).

Réfléchissez à ce qui doit être perdu. Y a-t-il quelque chose à perdre ? Ce qui importe vraiment, c’est seulement ce qui est naturel [l’Instant]. Car c’est éternel et ne peut faire l’objet d’une expérience [pas d’empirisme à la John Locke et ses suiveurs républicains]. Ce qui est né doit mourir. Ce qui est acquis doit être perdu. Êtes-vous né ? Vous existez depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu. (Ramana Maharshi, entretien 20).

Le TAO (la « Voie »), un TOUR, un TROU DE VER (wormhole) ??

En méditation, la Réalisation du Soi ou Connaissance : le Tout, le SILENCE, EST LA CONNAISSANCE OU VRAIE CRÉATION : comme les sucres ou effet domino (mais dans les deux sens) : par intermittence : tantôt mouvement, tantôt fixe, etc....




Note.
1. « La tradition attend avec impatience l’ère future où les conditions seront réunies pour rétablir l’authentique méthode de prononciation [donc le truc, le ‘isme’], l’homme rejoignant ainsi le Dieu dont il est issu, et pouvant prononcer le Mot dans toute sa puissance pour commander aux forces latentes dans sa propre divinité », écrit un judéo-maçon du 33è degré comme C.W. Leadbeater, dans : Rites mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, définissant ainsi le principe de cette judéo-maçonnerie spéculative : le Pour-Voir (pouvoir), donc nullement la mort de l’ego. Ce qui se perd c’est l’ego, la pensée ‘je’. Le vrai ‘Je’ est « Je suis ce JE SUIS » (entretien 164).
Le Pour-Voir est la dualité sujet-objet : « Tout ce que vous observez doit avoir une fin ; ce qui a été créé a sa destruction ou sa fin. Ce qui n’est pas créé n’a pas de fin. Ce qui existe ne peut être observé. C’EST INOBSERVABLE. Nous devons découvrir la nature de ce qui apparaît ; la destruction de ce qui apparaît est la fin. CE QUI EXISTE EXISTE POUR TOUJOURS ; CE QUI APPARAÎT DISPARAÎT TÔT OU TARD. (Ramana Maharshi, entretien 186). Ainsi : « La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties ».
 
 

Dernière mise à jour : 11-10-2016 00:43

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