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Droits de l’Homme et érection Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-10-2016 23:02

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Daesh, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Impur, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Pur, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
raide_comme_justice.jpg
 
 
Droits de l’Homme et érection
des millénaires du patriarcat
qui depuis les « Commandements »
d’un certain Moïse, dressent, font l’érection,
le droit, la règle,
la géométrie euclidienne de la ligne droite !
Et les compas-équerres de 1717 ces
Pères-la-morale et redresseurs de torts
sont toujours en érection-élection pour
remettre les citoyens sur le « droit chemin ».
On dit bien « Raide comme la Justice », ou
« un raid sur un pays » et il y a
intérêt à « filet droit » comme le
« Circulez ya rien à voir ! ».

Monde en érection informatique avec
ses bites et ses informe-ations !

MONDE DU RECTUM OU DROIT et DES BOURSES DES COUILLES EN OR. 
  

Êtes-vous sain (Saint) d’Esprit ?
Bienvenue dans une monde « d’âge de raison » ou du Fer/Faire et du Rectum et son monde des RATS
 
 
DROITS DE L’HOMME OU RECTITUDE OU ÉVOLUTIONNISME DES COMPAS-ÉQUERRES.
PATRIARCAT ou DROIT PHALLIQUE : TUER LE PÈRE, TUER LA CHEFFERIE et autres PRÉSIDENTS. TUER L’AUTORITÉ, TUER L’INTERDIT. TUER LA DUALITÉ CAUSE-EFFET.
BEAUCOUP DE PHALLUS DE PAR CE MONDE : MINARETS, CLOCHERS, TOURS ou BUILDINGS ET PIERRES LEVÉES, À Y JOUTER LES SEINS-DÔMES ou BULBES (de l’urètre).


LE DROIT : KILLER DU SOI-INSTANT : un être a-droit est privé, délivré, de droit. Le Droit c’est comme le senti-ment de masse (égrégore), comme la propagande électorale et ses élections-érections. Laïcisme, républicanisme ou Église bourgeoise ou ouvrièriste = senti-ment.
Le D de Droit ou Guillotine-Hache-Sabre de la « justice ». Ce D qui se veut « corriger ». Ce D de Direction, de Distance et évidemment de Déterminisme… My God, pauvre mental, que de ravages, ra-vagues tu fais avec ta Dualité cause-effet !

Dans Droit il y a Diriger (comme le Raid), donc spatio-temporel, de la dualité sujet-objet, y compris dans le mot « règle ». Le « Roi » est un dirigeant. Le Droit renvoie à son contraire la Gauche. Le ‘je’ renvoie au ‘Je’ et l’inverse (Tout ce qui est en Haut est comme Tout ce qui est en Bas, et l’inverse).
Trinité et TORE sont pure con-templation : en dehors du droit ou rectitude de l’idéation et donc du temps qui coule à cause des mots/maux.
 
Depuis les perruques poudrées du siècle des « lumières », la raison, donc le « droit », et par là même l’évolutionnisme, gouverne le monde. Les « ismes » vous apprendrons à faire là où on vous dit : MARCHER DROIT, sinon, on vous envoie dans une « MAISON DE REDRESSEMENT » (de nos jours un asile de fous). Les Mal-à-droit ne sont pas bien considérés dans cette civilisation du winners-losers et de la « compétitivité » à toutes secondes du jour.

Non seulement les « ismes » entrent dans la rectitude (du jugement et des juges droits comme la justice-justesse) mais aussi la thermodynamique ! TOUT CELA ENTRE DANS LE SENTIMENTALISME EXPLOSIF : CE QUE CERTAINS APPELLENT PAR CONFORT : « NORMAL ».
« ÊTRE NORMALE » ça vaut dire :
- Être dépendant du grégarisme ou égrégore ;
- Ou être dépendant d’une loi pondue par une tête d’œuf pour le « bien » supposé d’une collectivité.
NORME : du latin norma (équerre, règle), donc tout ce qui est ANTI-CRÉATION (anti-Nature).
nORMAL = MORAL, et les judéo-maçons spéculatifs genre GODF sont des Pères-la-morale.
ORTHO : du grec droit, correct. Ces deux mots sont habituellement confondus ; par exemple le chiropracteur parlera de « corriger » la colonne vertébrale, la rendre « correcte ». On parle alors d’appareil ortho-pédiques. L’ortho-phoniste « corrige » (rigidifie) les troubles du langage. Puis l’ortho-doxie est censé être conforme à la « vraie doctrine ».

Droit se retrouve dans « élever un enfant », donc physiquement l’aider à marcher. On dit : « ÊTRE BIEN ÉLEVÉ ». Ensuite « être correcte avec quelqu’un c’est « être réglo ». On parle aussi de « suivre la bonne direction ». Le chef est un « directeur » (de quelque chose). Nous devons « régler notre conduite ». Les « règles » d’une femme qui pourra dire : « Je suis régulière » (ou le contraire). Pour un homme la règle sera d’être « dressé droit », donc en érection.

La « morale » n’est pas une science en soi, elle ne vaut que par ses références à l’Être : Je suis ce JE SUIS. Est moral tout acte qui respect les lois de la Nature. Est immoral tout artifice qui viole la Nature. À défaut de Réalisation du Soi, les seules lois morales valables, individuelles ou collectives, ne peuvent être que de circonstance, donc avec naissance et mort.

Le mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial étant une opinion humaine, donc de l’Homo Religiosus, un certain nombre de gens possédés par leur ego très malsains cherchent à « catholiciser » le monde, « redonner forme au monde entier », le reformater comme on efface son disque dur, c’est-à-dire enfermer le monde dans leur égrégore rendue comme une opinion universelle (genre « république universelle »). Mais cette vision catholicisante est réalisé en creux, à l’envers, alors que la tâche de l’universalité catholique l’est à l’endroit (indépendamment de toutes religions qui ne sont qu’opinions ou ‘ismes’) !
Depuis 1789, le monde occidental ressent de plus en plus le besoin de synthèse, d’universalité, de catholicité, d’eschatologie (tous termes sensiblement synonymes), et cela par raisonnement, mental, ego, et non par perceptions vécues.
« La grande théologie métaphysique du XIIIè siècle a échoué dans sa recherche de cette unité de perception, parce que la distinction analytique du métaphysique et du physique n’était pas accomplie. Aujourd’hui, elle l’est trop bien, au point que la notion du métaphysique en tant que réalité vécue, ou pour le moins vivable, n’est plus guère acceptée ; en sorte que l’Occident chrétien vit dans la dualité du physique et du religieux, avec conséquence que la foi n’est plus soutenue par des perceptions métaphysiques directement vécues, mais seulement par des a-priori moraux et une banale sentimentalité sociale », écrit si justement Jean Coulonval, dans : Synthèse et Temps Nouveaux. Ainsi, devant le capitalo-socialisme il est normal que l’Église d’aujourd’hui soit en grand désarroi devant cette nouvelle « catholicité » du républicanisme et ses « valeurs » de super grégarisme du « vivre ensemble », forme de « rectitude » droit de l’hommiste ou compas-équerres et finance internationale de la City de Londres, là où est née en 1717 dans une taverne cette même judéo-maçonnerie qui emprisonne le monde.

GRÉGARISME = RAISON : faire comme tout le monde. Selon Pierre Legendre (voir ci-dessous), la Raison c’est « la construction culturelle dans une image fondatrice, grâce à laquelle toute société définit son propre mode de rationalité ». Pierre Legendre raisonne totalement non seulement en matérialiste et en grégarisme, mais en socialiste : ce sont les accidents ou monde spatio-temporel qui engendrent les Essences. IL Y A INVERSION DE L’UNIVERSEL ; IL Y A SURTOUT SUPER DUALITÉ CAUSE-EFFET OU SUJET-OBJET qui vont donner ce que certains appellent en Occident « État de droit ». Et que c’est cet « État de droit » qui serait à même de « transmettre la raison », de perpétuer par grégarisme la dualité à travers les générations. My God, bonjour la dictature et bienvenue dans l’Histoire-Opinion-Temps qui coule !!! Ainsi, NOUS SOMMES TOUS CONTAMINÉS PUISQUE DEPUIS LA RAISON DES PERRUQUES POUDRÉES NOUS SERIONS TOUS RAISONNABLE  ! Ainsi la « folie » serait une perte des compas-équerres, une démolition (contrôlée ou simulée ou non), on dit que le mental se défait : de-mentia, de l’étymologie mentir. Mais c’est tout le mental qui est l’univers du mensonge ! DÉMENT DEVRAIT POUVOIR SIGNIFIER : PRIVÉ DE MENSONGE, D’ARTIFICE.

Aucun peuple, aucun individu, ne peut échapper à la nécessité de la spiritualité, qui n’est autre que le besoin vital de trouver à l’existant un centre immuable, un Centrum Centri ou Soi-Instant, un Axe, qui ne peut que se situer au-delà du spatio-temporel.
 
Étant donné que depuis Moïse nous sommes coincé dans le patriarcat, il est logique que le « droit », donc l’érection, ce soit non seulement le PÈRE, mais aussi la RAISON. Un type à la fois juriste et psychiatre freudiste comme Pierre Legendre, dans : Le crime du caporal Lortie, écrit que « l’office du père est indissociable du principe de Raison, dont il est, en somme, la traduction juridique. Tout parricide le dévoile : le meurtrier s’attaque à la construction de la Raison ». Cette fameuse raison si à la mode depuis les perruques poudrées et qui détruit le monde !!! Comme le disent nombre de Réalisé et sa Sages, dont Ramana Maharshi, c’est bien le mental qui est cause de la souffrance dans ce monde.
Évidemment le droit c’est depuis l’après 1789 LA DOGMATIQUE INDUSTRIELLE (comme l’écrit P. Legendre).

Big Brother ou « contrôle social » c’est bien le « droit » et ses « droits de l’homme » et l’institutionnelle principe de la Raison, donc du ‘je’ ou ‘moi je’ renvoyant à la religion de l’homme soit disant « libre » (entendre de l’Église et des rois) !
Selon Pierre Legendre, le Droit c’est la filiation (donc la dualité cause-effet). Mais Pierre Legendre met bien le doigt là où ça fait mal et mâle : « Folie et Raison se jouent sur une question et une seule : la vérité dans l’espèce humaine est-elle une affaire de viande ? [donc d’ego] Autrement dit, la vérité de la filiation est-elle du côté du corps ? Comment le savoir, c’est-à-dire comment élaborer des réponses qui ne soient pas folles ? Nous entrons dans la civilisation des interprètes [donc de l’opinion] et c’est à ce montage là que l’hitlérisme s’est attaqué [conception « bouchère », viande, quantitatif, de la filiation]. Oui, tout le drame vient de l’ego. La viande de Hitler était une pure filiation de corporalité, ou ego. « Un saut a été franchi, du corps comme voie d’accès à l’interprétation (la circoncision), au corps comme argument de suppression de l’interprète (biologisme racial). Dans ces conditions, la problématique de la ligature généalogique s’éteint, il ne saurait désormais être question que de la viande humaine [comme de nos jours nous sommes tous des marchandises enregistrées comme avec des codes-barres] ». Pour employer les mots de Legendre, NOUS SOMMES DANS UNE GESTION COMPTABLE D’ESSENCE BOUCHÈRE. Legendre précise que les textes hitlériens sont le prototype de la conception comptabiliste du droit, comme gérer une grande entreprise mondialisée. Il est vrai que la filiation des Juifs rabbiniques se veut particulièrement solide, par transmission maternelle de leur « religion » sans se casser le cul, sauf un bobo en mutilation au huitième jour de naissance.

Réaliser le Soi : sommes-nous tous des parricides ? en coupant tout cordon ombilical ou filiation ? Sommes-nous tous orphelins ? Des effets sans la cause, donc plombés par la dualité ? Le « Père » est-il le Destin (Démon), la Fata ou Fée, « l’Instant fatal » ? Se couper des Dieux est-il un parricide ?
Il est certain qu’Instant et Fatal sont du même thème ! Mais comme si l’un était plus positif que l’autre.

Notez que la Marianne chère à la judéo-maçonnerie spéculative qui se dit ne « pas faire de politique » est le retour inversé à la Mère Divine d’avant son massacre par les trois religions patriarcales anti-idoles. La République est singerie de la Mère Divine des Païens ou Paysans qui sont devenus malgré eux des Citoyens ou habitants des villes, donc des bourgeois ou habitants des bourgs… D’ailleurs, mieux vaut le Matriarcat de la Mère Divine, parce que selon une vielle adage : « La mère est absolument certaine, le père est toujours incertain » (enfin c’était valable avant la GPA et autres technologies alphabétiques de Pour-Voir !).

Je répète que le droit c’est le spatio-temporel, la dualité sujet-objet ; et non ce qui est directe comme la déesse égyptienne Maât. UN CRIME DOIT ÊTRE MESURÉ, donc dualité cause-effet et spatio-temporel du temps qui coule. Un crime est spectacle, histoire sous synopsis se résumant au mot TRANSGRESSION. Et ça met en érection certains ! Mettre en scène le crime comme preuve soi-disant « tangible »… Là encore nous sommes plein pot dans l’ARTIFICE : « Ainsi l’enchaînement des causes qui conduisent un individu à commettre un forfait n’est-il pas seulement affaire individuelle ; il intéresse la société entière [d’où l’aspect spectacle], en ceci que tout acte mettant en question l’interdit [donc le compas-équerre], pour être imputable à quelqu’un, doit être rapporté au principe de légalité - ce principe fondateur qui rend possible de faire de ce quelqu’un un sujet au sens psychique », écrit P. Legendre. MAIS C’EST HORRIBLE, l’individu n’est pas ainsi lui-même, il est façonné par les autres ; et Legendre a le toupet de parler de « Destin » et de « pédagogie » ! Il parle en plus de « découverte moderne de l’inconscient » !!! Donc de l’inconscient collectif à la Teilhard de Chardin et C.G. Jung.


DROIT = RELIGIONS DE LA DÉCHÉANCE HUMAINE : LA CHUTE (éjection du Paradis) et CULPABILITÉ (péché).

En effet, le droit pénal du monde occidental est en partie lié au montage culturel de la théorie du péché, donc lié au sentiment.
Ainsi ce genre de Droit EST UNE RELIGION :
« Schématiquement, un procès criminel joue par principe la triangulation du sujet inculpé. Celui qui fait face à son accusateur et répond du crime devant ses juges, lesquels exercent l’office de rendre une sentence juridiquement fondée sur l’interprétation du cas rapportée au Corpus des textes [donc des opinions]. En d’autres termes, les juges interviennent comme représentant de l’Au nom de fondateur, c’est-à-dire en représentants légaux de LA RÉFÉRENCE ABSOLUE [comme s’ils étaient possesseurs de la Vérité] », écrit P. Legendre. Il précise que l’on retrouve cette triangulation politique : Juges-Dieux, accusateur, accusé, dans tout ce qui est compas-équerres ou normalisable, donc ARTIFICIEL. Et ce n’est pas au psychiatre de dire ce qui est « normal » ou ce qui ne l’est pas !!! Bien que les deux interdits majeurs chez l’humain reste l’inceste et le cannibalisme (quoique en temps de guerres, les deux peuvent sauter facilement…).

Êtes-vous sain (Saint) d’Esprit ? Ce qui rejoint le tribunal de l’Inquisition demandant à l’accusé le pourquoi il est là. « Être déclaré coupable par un juge signifie, par conséquent, être identifié comme sachant le fait dans son essence », écrit P. Legendre qui par là-même défini aussi la laïcité qui fait semblant de ne pas s’imposer tout en s’imposant violemment, afin évidemment de profiter à « l’intérêt général », d’être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà, comme s'il était issue de Dieu ou instinctif ! Donc posséder dans son mental le code écrit de la laïcité publique française qui est d’une extrême subtilité (puisque c’est judéo-maçonnique) qu’il faut, premièrement, maîtriser et, deuxièmement, décoder… Avec ce système juridique nous serions tous « responsables », du moins après l’âge non-mineur ou « âge de raison » !
La laïcité étant comme une religion ou n’importe quel parti politique, elle impose de force le libre arbitre tout en le niant, et en même temps exige du citoyen une abnégation volontaire : le libre arbitre est à la fois affirmé et nié. Il nie que l’individu eût la possibilité de choisir entre deux solutions et en même temps il exige qu’il choisisse en permanence la bonne (la possibilité de choix est à la fois née et affirmée) ; (pour faire référence à Roubachof et à la « dialectique matérialiste et historique » cité par Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux).

La RAT bouffe comme le républicanisme et son Droit. Le Rat propage la peste comme le républicanisme propage sa démocratie. Le Rat renvoie aussi au capitalo-socialisme avec symbolisme phallique reliant à la notion d’argent et de richesse : la merde qui vibre en radiesthésie comme l’Or métal. Le Rat renvoie à l’avarice et à la cupidité, à la clandestinité aussi (les Rats dans les égouts). Le Rat est parasitaire et prolifique, d’où d’ailleurs le « rat d’hôtel » ! RAT = JOUISSEUR.

RAISON = HISTOIRE-OPINION-TEMPS QUI COULE ou évolution. Raconter une histoire et le Merveilleux est tué : dans la mesure ou la parole devient killer, le sens pur semble s’éteindre, se fixer ou se solidifier, s’appauvrir, il devient prisonnier ; or un symbole est toujours mouvement. Le mot « FIN » sur un écran comme la « fin des temps » est LE KILLER ou ÉTEIGNOIR DE LA CHANDELLE.

Les sociétés technico-capitalistes sont prisonnières d’une croissance ou engrenage-grégarisme : des diarrhées aveugles de moralisation et de répression, entrecroisées dans le discours du républicanisme qui voudrait que l’individu soit « libre » et « responsable ».

Qu’est-ce qui différencie l’assassinat privé de l’acte terroriste organisé par un État ? (Voir la création de « l’État islamique »). Et après ça, la police va se plaindre auprès du « Père » que des jeunes lancent des machins incendiaires sur leurs bagnoles et rôtissent des flics/fric !!! Vraiment ce monde est malade, surtout sa chefferie qui contamine jusqu'à ses brebis !

« J’ai connu ce sentiment océanique où le ‘je’ personnel est identique au ‘Je’ de l’humanité totale [plutôt du Soi-Instant mais au-delà de la partie inconscient collectif], où l’on vit l’identité de l’être individuel et de l’Être global, où se dissout l’antagonisme de l’individuel et du collectif. On n’a pas à y sacrifier son ‘Je’ à la pérennité du collectif. On n'a pas à y nier le collectif pour affirmer son ‘je’ à soi [son ego].C’est peut-être en ce lieu que ce réalise ce que l’Église appelle La Communion des Saints. Si tous les humains pouvaient vivre, ne fût-ce qu’un Instant, un tel état, alors le mot « démocratie » ne serait pas un vain mot, un masque sur les oligarchies qui règnent sur les partis et, à la limite, la dictature et l’infaillibilité d’un Numéro 1, singerie de l’infaillibilité papale. Car un tel état qui, apparemment, est fugitif est en réalité impérissable, parce qu’il se vit dans une forme de temps autre que le temps de l’horloge, le temps de l’Histoire. C’est ce temps de l’Esprit [du Soi] où l’oubli n’existe pas parce qu’il est Éternité, et on en perçoit des éclairs.
Ce qui est en jeu, c’est le concept même de « Parti », du général qui prend le masque de l’universel par une singerie qui atteint sa perfection dans le Numéro 1 », écrit si justement Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux, lettre du 1 septembre 1974 à Aimé Michel. Coulonval décrit la réalisation du Soi-Instant vécue exposée par Ramana Maharshi.

Religions, partis politiques, laïcité à la judéo-maçonnerie spéculative style GODF = endroit et envers d’une tapisserie : les deux côtés sont tissés avec les mêmes fils, puisque la tapisserie est l’Homo Religiosus.
 
 

Dernière mise à jour : 12-10-2016 23:44

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