En voiture pour la ligne Siegfrid USionistan
et ces « grandes personnes » qui ne savent pas jouer
car LE JEU C’EST SÉRIEUX,
tant il dépend du langage et certainement
pas de la ligne Siegfrid de tout étatisme.

Une troisième guerre mondiale et nucléaire : c’est bon pour amener le nombre des Terriens à moins de 1 milliard et ainsi le contrôler totalement.

 

 

L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode et la politique étatique du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !

 

L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l’histoire).

L’Histoire « officielle » (celle de l’étatisme), ne peut qu’être fabriquée par les modes politiques du moment et protégée comme n’importe quel dogme par la chefferie qui a commandité le plus souvent la fabrication artificielle de l’Histoire dite « officielle ». On fait dire justement à Napoléon Bonaparte que « L’histoire est écrite par les vainqueurs », donc par la chefferie au Pour-Voir (pouvoir). Dans notre société du tout information-informatique l’Histoire-Opinion-Temps qui coule se transmet de générations en générations par le langage écrit, donc totalement artificiel.
RAPPEL : les premières lois sont issues du langage et de la culture de l’écrit. Par exemple les Anciens Grecs étaient des ergoteurs de première classe : toujours portés à la discussion, au verbiage, et les sujets qu’ils abordaient ont été déjà influencés par l’accumulation de documents écrits ; c’était le départ de la diarrhée de l’information, donc de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule. Contrats et témoignages ont commencé à supplanter le langage oral, et dès le IVè siècle, une loi athénienne exige que l’on ait recours au témoignage écrit ; des écrits et textes qui sont figés, fixés, auxquels l’ego donne de la « valeur » et que l’on croit comme si c’était « la vérité », alors que ce ne sont que des ergoteries du mental ou ego.
En 1066, après leur victoire, les Normands pour établir leur pouvoir et légitimer le contrôle qu’ils exercent sur le peuple conquis établirent des documents écrits, et peu importe qu’ils soient éventuellement aux formes orales traditionnelles. (Réf. D.R. Olson, L’univers de l’écrit). Et le mot Tradition renvoie à Vérité : on ne ment pas par respect de ses Anciens, de ses Ancêtres.

L’écriture est l’instrument du pouvoir royale : contrôler les marchés, collecter les impôts, contrôler les fonctionnaires, et travailler à son prestige pour le présent et l’avenir.
D’un autre côté, avec l’invention de l’imprimerie, pour les théologiens de la Réforme c’était la « liberté » : disposition facile des écritures à tous ceux qui savaient lire et qui pouvaient s’acheter ces livres, donc qui pouvaient contourner le dogme de l’Église de Rome ; chacun pouvait désormais « rencontrer Dieu », par une lecture personnelle, sans l’encombrement d’un prêtre. Puis les Évangiles se répandirent rapidement bien mieux que par le langage parlé. Mais la contrepartie ce fut le développement considérable de l’opinion et de son danger, avec la fameuse « liberté d’expression » si à la mode actuellement ! Symptôme parfait de cette dictature molle qui se nomme « république universelle » ou « démocratie » (mots qui chlinguent les pires horreurs et depuis plus de 200 ans). À partir de la Renaissance le mot Science allait se transformer uniquement en technique : nous en vivons l’étonnante et dangereuse amplification de la technologie dans tous domaines ; et exit la Science ou Connaissance (surtout de et du SOI) parce que maintenant tout est lié à l’argent.

LANGAGE ÉCRIT = ÉTATISME ET SON ADMINISTRATION.
SCOLARISATION = CULTURE DE L’ÉCRIT et DE L’ÉTAT.

Au départ le langage écrit est celui de spécialistes, d’élite, et de chefferie et de bureaucrates : ceux qui savent lire et sont fortunés, et surtout cela met en grand danger LA MÉMOIRE, qui sera bien plus facilement transmise par le langage parlé, ce qu’on nomme aussi la TRADITION, qui concerne cet autre langage oral qui est la Langue des Oiseaux : LE SON, LE GAZOUILLIS DES OISEAUX, donc ce qui est céleste ou intermédiaire entre les humains et le Divin. Les Oiseaux symbolisent la liberté, la liberté de « parole » ou du chant. Le mot « Verboier » (Verbe ou parole) était autrefois utilisé pour définir le chant modulé des Oiseaux et le bavardage des humains. C’était le temps où le plaisir de la conversation tenait autant, sinon plus, dans les jeux de mots et les images expressives que par, en contraire comme maintenant, la transmission est exclusive avec seulement des informations. D’ailleurs, cette imagerie expressive saute aux yeux à chaque page de manuscrits et de sculptures sur pierres et d’orfèvrerie à l’époque du Moyen-Âge.
De nos jours comme depuis l’aube des 10.000 ans, la chefferie ou les cancéreux du pouvoir veulent amener leurs brebis à « penser (panser) ‘naturellement’ », c’est-à-dire comme eux. Leur main-mise sur le langage autant parlé qu’écrit est essentielle. Ils savent qu’en changeant le sens de certains mots et en suggérant fortement de l’accepter au nom de la « modernité » ou de la « cohésion sociale » ils seront tranquilles pour un bon moment. Pour ces cancéreux il s’agit d’uniformiser le langage, l’enrégimenter !

Tout cela est encore la conséquence des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture : sédentarisation et installation du commerce, de la production, et pour gérer tout ça un État s’installe avec sa chefferie, ses comptables et évidemment ses règlements, comptabilités et lois écrites, et la trinité armée-police-justice qui va nécessairement avec, soit LE COUPLE FRIC/FLIC.

Le déclin de la féodalité a facilité le renforcement de l’individualisme, donc de l’ego, qui va grandement faciliter le capitalisme maintenant déguisé en « socialisme » pour faire croire à un « vivre ensemble » laïcisé remplaçant la religion chrétiennes, pourtant toujours en place mais très diminuée puisque restant du domaine du sentiment, donc de l’ego.

Mais, en l’oubli de la Vraie télépathie, aussi bien langage parlé qu’écrit peuvent être source d’erreur : « réalité » difficile à voir ; en justice, on a besoin de témoin pour raconter un fait : une personne aura vu un chat blanc, une autre aura vu un coq noir. Pour le « scientifique », il faut un appareil de mesure pour appuyer une théorie, sinon on ne le croira pas.
On a fabriqué des conventions : mètre étalon en Platine, de peur que chacun fabrique la longueur du mètre qui lui plait ! Il y a aussi le départ du temps de l’ère Chrétienne. (L’an zéro, après l’invention du zéro).
Alors Réalité ? illusion ? Peut-être pas pour certains bien réveillés : c’est-à-dire ceux qui Réalisent le SOI-INSTANT : « Je suis ce JE SUIS ». Soit les 50 à 200 personnes qui ont su et continuent de savoir ce qu’est la Longueur Largeur Hauteur, ou monde des accidents.

Depuis la Renaissance nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée ; l’imprimerie et son support papier en fut le modèle et l’informatique d’aujourd’hui n’en est que la conséquence directe grâce à la technologie du binaire et de la Fée électricité. Alors notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, en quelque sorte, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier, et naguère gravée dans la pierre symbolisant l’AXE DU TEMPS, DE LA DURÉE. Avec l’écriture sur papyrus, les civilisations se sont organisés dans l’espace (diffusion). Avec l’écriture remplaçant le langage parlé et la mémoire, les définitions deviennent explicites, les analyses logiques ; ainsi s’installent durablement le renforcement du mental ou « raison », le triomphe de l’ego. C’est la fin de l’enchantement, la fin de la poésie et le début du « monde moderne ». C’est surtout le départ de l’anti-Création !

Dans une société au langage uniquement oral, un être doit tenir sa parole ; il la confirme en faisant un serment. Sous le régime du langage écrit, les serments ont disparus et sont remplacés par L’ENREGISTREMENT (Histoire-Opinions-Temps qui coule et prélude au stockage des données ou informations sur des disques durs), et seul compte cette « mémoire » fixée, morte, si à la mode depuis l’après 1789 et surtout après 1945 grâce au fulgurant progrès de LA FÉE ÉLECTRICITÉ dans les chaumières et DE SES TRANSISTORS.
Vivre sans électricité (du réseau officiel), sans téléphone (du réseau officiel), sans carte bancaire (du réseau officiel, c’est vraiment se délivrer de ce RÉSEAU du N.O.M. mortifère en réunion de bandes organisées avec leur Super Grégarisme du « tout connecté » singeant une religion qui se voudrait mondiale.

LE JEU C’EST SÉRIEUX.
Espace-temps ou monde des Accidents : [SPATIUM] O-CÉAN / ICI / DEDANS.
O-CÉAN O : Tout est ICI, il y a beaucoup d’Eau dans l’Eau-séant (étymologie de seoir : être ici, demeurer) et en arriver à la S’Eau-sieds-T, soit : on ne peut faire société avec les autres sans avoir fait AVANT société avec soi-même, donc sans avoir d’abord pratiqué la réalisation du « Connaître toi-même par toi-même ».