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Choix-Sir Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-10-2016 00:43

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Daesh, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Impur, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Pur, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Choix-Sir
Monde de la dualité
 
 
Bientôt le temps de Choix-Sir :
- On opte pour l’éternité ou pour la « fin des temps ».
- Ainsi on opte pour le Dieu qui s’est fait homme ;
- Ou on opte pour l’homme qui s’est fait Dieu (notamment « L’Homme augmenté » du transhumanisme).
- On opte pour la réalité invisible d’une éternité sans « fin des temps » (avenir) ;
- Ou on opte pour cette Super Carotte « fin des temps », soit le mirage d’un avenir sans éternité (fixé une fois pour toute, et par certains).

Le temps de choisir pour être HORS (OR - OR-DONNÉ ou LIBÉRÉ), sortir (de la MEUTE), être infidèle.
 
Il faudra Choix-Sir entre ce monde du confort et son sécuritaire chloroformique et son « progrès », et les barbares, les « sauvages », les «terroristes » et les losers.
Progrès = agitation inféconde de l’ego tournant autour de lui-même tel l’Ouroboros dans son aspect négatif.
La religion de la City de Londres, les progrès de la médecine, la fièvre de l’égalitarisme et la diarrhée des lois du républicanisme ont radicalement transformés le troupeau humain dans lequel les animaux se ressemblent de plus en plus d’un bout à l’autre du mon-de ; là où maintenant chacun chemine prudemment sur la même voie, avec de minuscules et confortables écarts. Égalitarisme de cette hyper-civilisation où tout s’avilit dans le mélange (voir par exemple la « théorie du genre » et le « unité dans la diversité »).
Les grands risques ont disparu (du moins jusqu’à décembre 2016), et si le nucléaire n’élimine pas les trois quarts des Terriens, ceux qui restent et qui font la partie de l’actuelle oligarchie seront sur des voies toujours plus confortables dont on aura bouché les fondrières, relevé les tournants, adouci les pentes, et qu’à intervalles réguliers des plaques indicatrices invitent à des refuges pour se protéger des miasmes de la troisième guerre mondiale nucléaire.

Mais, où est encore le Merveilleux ? Où sont les sentiers d’autrefois où l’on pouvait tomber, s’égarer, là où le mystère et l’imprévue, le non-confort remplaçaient toutes les magies ? De nos jours le voyage est si facile et facilité pour que tout ceux qui ont de l’argent puissent circuler et faire circuler leur argent, puisqu’il n’a point d’odeur. Voyage si facile dans le tout connecté, le prochain tout virtuel, que le prochain humain en oubliera sa condition de voyageur. Il sera dans le « La vie est un songe ».
Pensez-donc, l’étatisme et son complexe militaro-industriel a construit tant de garde-fous au bord du moindre abîme, que paradoxalement les peuples courent partout tout en courant de moins en moins tant ils ont peur de tomber dans l’inconnu, le terroriste de demain. Protégés contre les flammes du Destin, nous croyons échapper à la miséricorde du Tout. La fatalité vaincu entraîne la mort du Divin : c’est l’humain qui désormais entretient son Vaisseau (son corps ou son mental). La route est sûre, qui va de Jérusalem à New York (s’il existe encore) ; il n’y a plus de « terroristes » (ou de brigands) cachés derrière des arbres sur les bords ; mais la Gratuité n’aura bientôt plus d’emploi… à cause de ceux qui bâtissent à coups de compas-équerres leur « destinée future » (fin des temps), qu’ils auront, au choix : confortable et voluptueuse, ou savante et guerrière.

CHOIX-SIR - DI-ABLE (et DIA : à travers, comme la DIAgonale).

ABLE : du latin abilis : qui peut être, qui est capable. DI-Able : capable de Deux : qui ne se sépare pas de l’Origine ou Source, qui permet la Réalisation du Soi-Instant. Dia-ble POINTE L’EGO, TISONNE L’EGO POUR LE FORCER DANS SES RETRANCHEMENTS, LE « RETOURNER » DANS LES APPARENCES. On dit que le Diable doit laisser naître celui qui doit le renverser ; ou encore le Dragon doit être dompté par le Dragonnier. AINSI LE DIABLE N’EST PAS LE MAL-IN OU « PRINCE DES DÉMONS » OU LA PERSONNIFICATION DU MAL QU’EN A FAIT L’ÉGLISE DE ROME ET LES ENNEMIS DES PAÏENS ET DE BAAL. DIA = LA STARGATE : à travers. D’ailleurs, le roman de la Comtesse de Ségur : « Un bon petit diable » tente de minimiser l’opinion de l’Église portée sur le mot Diable bien que le roman recouvre une certaine leçon de morale et de manière de vivre comme dans beaucoup de contes.
RAPPEL : tout ce qui est SACRÉ EST TOTALEMENT AMBIGUÏTÉ. Devant un Saint, cherchez le Diable… et pour cause… de pointage de l’ego… Travail d’Hercule car travail dans le temps qui coule ! « Croire » c’est la conscience dans le temps.
Désir de l’ego humain de GLOBALISER, MONDIALISER, mettre en BOULE (gonfler, enfler, emballer, projectile, jeter), installer la pensée unique et son « social ».

Dans notre époque du culte du narcissisme (selfirisation de la société et de l’individualité voulant s’engrosser du « vivre ensemble »), tous les secrets jetés dans l’haleine de Big Brother-NSA deviennent autant de mensonges.
La comédie mondiale et son virtuel sera d’autant plus parfaite, réelle, que si elle a toute l’apparence du vrai : SIMULACRE DE LA SINCÉRITÉ ! Le « comme en plein jour » ou en « pleine lumière » (des philosophistes du même siècle et de ses lumières ou GAIN) encourage d’autant le mensonge. Regardez comme on éclaire les rues depuis le 19è siècle pour empêcher les voleurs, et de nos jours de caméras de surveillance pour empêcher la contestation. Tout ça entraîne à tricher, à cacher, donc travail de l’ego.
Par projection vers l’extérieur la selfirisation du monde encourage à croire aux autres plus qu’à nous même, alors la compassion ou la gratuité disparaissent.
 
 

Dernière mise à jour : 18-10-2016 00:56

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