RUGUEUX : de rugos (ridé), 1350 du latin rugosus, de ruga (ride). Ce qui ressemble aux « sucres » ou effet dominos.
GRAIN, GRAVIER, SABLE et temps qui coule dans le Sablier ou au fond de la rivière : Graua en gaulois, déduit du nom de lieu : Grosnes (Saône-et-Loire) et Grouesme (Côte-d’Or), reconstitué à partir de grave, gravier, grève, groue, et du provençal grava, comparable au vieil irlandais griän (gravier), au gallois gro, au vieux cornique grou (sable), au breton gro (sable de rivière). Remonte à une forme graua issue de groua, qui provient peut-être de la racine indo-européenne ghreu (écraser). (Réf. Dictionnaire Français-Gaulois, de J.P. Savignac).
Grain : FRAGMENT.

L’Occident et les religions abrahamiques fonctionnent dans l’évolutionnisme selon la géométrie de la ligne droite, en variations continues sans fin et selon « l’âge du capitaine » ou de l’opinion du moment ; alors que l’Orient et la Nature fonctionnent de manière « rugueuse » ou en « sucres » (effet dominos).
La Nature, TOUT n’est que CYCLIQUE : DES CYCLES À L’INTÉRIEUR D’AUTRES CYCLES.

 

La ligne droite ou évolutionnisme façon Euclide ne fait que dans le tout confort : la droite, l’entier ou Big Brother. Bref, la dimension fractale ou naturelle est comme la citation énoncée par Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties ». C’est-à-dire que ce TOUT est CYCLIQUE (CIRCONSTANCES), en « sucres », en « petits bouts » et pas linéaire, et cela rejoint l’INFLUX :
INFLUX : représentation « mécanique ». Chaque « poil » ou « sucre » ou domino peut basculer dans les 2 sens, agissant ainsi sur son voisin.

 

 

WAVE’S Principle, mais dans l’Influx nerveux, il y a DISCONTINUITÉ. Discontinu ou « à la Terre ». Continu ou sens. Par exemple : « Le MOT est comme le NID, le sens est l’OISEAU » (Jean Coulonval). Une Discontinuité qui va donner ce que les ingénieurs en électronique nomment « bruit », bruit qui eux-mêmes seront « Le Tout et autre chose et plus que le total des parties ». Il en est de même avec le relief côtier objet fractal : sa longueur varie selon L’ÉCHELLE à laquelle on le mesure ou observe. Plus l’unité de référence est petite (une crique, un rocher, un grain de sable), plus la longueur de cette côte tend vers l’infini.
Les fractales sont déjà énoncés dans ce poème tibétain qui en arrive au frère, lequel est bien infini ! De même qu’à toutes les échelles le nuages se ressemblent (impossibilité de déterminer la taille d’un nuage à partir d’une photo).

Je vis quelque chose au loin,
et je crus que c’était un animal.
Je m’approchai, et je m’aperçus
que c’était un homme.
Je m’approchai encore, et je compris
que c’était mon frère.

L’ALCHIMIE C’EST COMME LES FRACTALES, LES SUCRES OU EFFET DOMINOS : THÈME ET VARIATIONS QUI DEVIENDRONT À LEUR TOUR THÈME, ET AINSI DE SUITE. Donc effet dominos DANS LES DEUX SENS : le « plus jamais ça » ou le « à jamais » prononcés par l’opinion de quelques humains est totalement contraire aux « sucres » ou CYCLES pouvant circuler dans LES DEUX SENS, il ne faut point oublier la SYMÉTRIE : circulation dans les deux directions. Bref, « la flèche du temps » ne circule pas que dans une seule direction à la mode évolutionniste et parce que ce temps est une conception du mental, de même que l’espace ! Dans la non-dualité les « directions » et « sens » sont infinies.
Il n’existe pas de mot « fin », car chaque « fin » n’est qu’un commencement, comme il y a un « nombre infini » de morts et de renaissances.

Dans le Flocon de Kock (Triangle équilatéral) on retrouve la citation de Coulonval où « Le Tout est autre chose et plus que le total des parties ».
Même phénomène avec l’ensemble de Cantor (photo en haut de page).

La Déesse Maât est fractale : plus c’est gros moins ça vibre proche de l’Instant, plus c’est petit plus ça vibre proche de l’Instant. Maât ou Mathématique !!! Soit : À MESURE QUE L’IGNORANCE S’ESTOMPE, NOUS DEVENONS SIMPLE, SINGULIER. L’HARMONIE OU BEAUTÉ NE SE TROUVE QUE DANS LE SIMPLE.

Dans une précédente page consacrée aux destructions par la chefferie de la voie de l’Agriculture, et en ajoutant la pratique de Tabula rasa de toutes révolutions ou coups d’État comme 1789, 1917 en Russie, les destructions sont synonyme de vouloir nous couper de notre passé, de nos origines. Et depuis la première guerre mondiale le principe tabula rasa s’accélère à grande vitesse. C’est la croissance, l’économie religieuse de la City de Londres en perpétuelle progression pour un certain nombre de prédateurs parasitaires et leur violence prouvée par la concurrence et la rentabilité, c’est le chaos humain et la peur qu’il engendre avec la mode du sécuritaire face au « terrorisme » fabriqué par l’étatisme actuel.

Tout n’est que CYCLES :
- Le Satya Yuga était le dernier Âge d’Or : paix, sagesse, et absolue élévation spirituelle ; longévité de vie quasiment immortel nécessairement en accord avec l’absolue élévation spirituelle.
- Arrive ensuite le Tétrâ Yuga ou Âge d’Argent, aux possibilités 25% moins élevées que durant le Satya Yuga. Dans cette baisse du niveau de conscience spirituel le niveau de vie atteint encore les 10.000 ans.
- Puis arrive le Yuga Dvâpara ou Âge de Bronze, aux possibilités dégradées de près de la moitié par rapport au premier âge ; là les humains ne vivaient plus qu’autour de 1000 ans.
- Enfin arrive le Kali Yuga, là où nous sommes, et c’est l’Âge de Fer/Faire où âge des ténèbres ou rarement l’être humain dépasse une durée de vie de 100 ans. Cependant nous sommes à la fin du Kali Yuga, ça se sent avec la montée en puissance des consciences de nombre de groupes humains.
Dans notre âge du Fer/Faire triomphe la chefferie et sa « démocratie », ses « valeurs » et ses impôts ; triomphe les addictions de toutes sortes de passions ou drogues ; triomphe la famine et la mort et la violence qui frappent les masses humaines ; triomphe le nombre important de gens sans défense et victimes d’abus de toutes sortes.
Le Kali Yuga correspond à la PUTRÉFACTION en Alchimie, la seule permettant une future élévation de conscience de notre être. Putréfaction qui correspond exactement au SILENCE.

Pour en revenir aux « sucres » ou « fraction » (fractale), ils définissent ce qu’il se passe dans la Nature, là où n’existe pas de « ligne droite » ni de courbes, conception mental. Il n’existe que des « sucres » ou « dominos », des GRAINS fonctionnant DANS LES DEUS SENS qui peuvent prendre la forme de montagnes, de nuages, d’arbres, de fleurs, d’éclairs d’orage, d’humain, qui vont donnez DANS LEUR THÈME : « UN EST LE TOUT », comme dit admirablement la devise alchimique. Je cite à nouveau l’admirable note de Cyprian Piccolpassi et son GRAIN, dans : Les trois Livres de l’art du Potier : « Grande  vertus gisant es chouses petiotes créées par Dieu », il parlait déjà des fractales, du GRAIN et de l’Alchimie aussi bien avant un Benoit Mandelbrot. Car effectivement la nature construit avec ses « chouses petiotes », et chacune d’icelles est composé d’éléments similaires (thème) sans être toutefois identiques (variation) ; les Mandelbrot parlent « d’autosimilarité ».

UN EST LE TOUT, TOUT EST FRACTAL OU « SUCRES ».
Le UN : la SIMPLICITÉ, l’Origine, le « sucre » (GRAIN). Elle vient dès la première fois en un seul coup, selon certaines Circonstances ; sinon il faut tout démêler pour retrouver la Source de la Simplicité.
Bible : Livre de la Sagesse : Ce qui est à notre portée nous ne le trouvons qu’avec effort.
Nature ne connaît que la Simplicité. (Elle est directe, Maât).
Avec la Simplicité, on peut enrichir, mais avec le compliqué c’est difficile.
La Vie est un abîme de simplicité. Un abîme, c’est-à-dire une infinité de possibilités.
Par là, plus une chose est simple plus elle est compliquée, puisqu’elle offre une infinité de possibles, ou de Thèmes et Variations.
« Seule l’abondance mène à la clarté, et c’est dans l’abîme que demeure la Vérité ». Vers de Schiller, cité par Werner Heisenberg, dans « La Partie et le Tout ».
Alors on peut facilement comprendre cette citation d’un poète anglais : « Qui cueille une fleur dérange une Étoile ».
Notre époque d’âge du Fer/Faire est la totale perte de simplicité, mais pour bientôt la retrouver…
SIMPLICITÉ = GRAIN, VERMISSEAU. D’ailleurs, le populaire emploie parfois l’expression : « Il a un Grain » (pour dire ”il est fou”, donc il est SINGULIER, SANS DUALITÉ SUJET-OBJET).

Grain et Vermisseau sont aussi SPIRALE, laquelle est partout dans la Nature, voir par exemple une Galaxie, un coquillage, la spirale ADN, ou un simple Vortex spiralée quand on vide l’eau d’un évier plein.
À propos du GRAIN et comme un refrain tant ça me semble important, voici à nouveau l’explication du sens du mot GRAIN en Thème et Variation :
Grain (prt) et Hiver (prt) [en Hiéroglyphes] : dans le sens de faire des provisions pour cette difficile période. Le grain est CAUSE ou son sens abstrait et l’EFFET est l’Hiver, et pas la caractéristique ou effet direct de froideur de l’Hiver, ou son sens concret.
Homonyme de Grain : ‘nxt avec ‘nx la Croix de Vie ANKH. Les Égyptiens jouent sur les mots, et sont champion de l’euphémisme.
Donc tout phénomène est « réactif ». Une cause active (Grain) ne produit jamais un effet direct ou sa caractéristique, puisqu’elle reste abstraite ou cachée, si la résistance manque.
Un autre exemple avec le mot àb, écrit avec la lettre concrète : à, exprime la soif ; le mot ab, écrit avec la lettre abstraite : a, exprime le désir : ab. Ce double aspect d’une fonction : physique et psychique, se retrouve dans le sens donné au mot cœur : àb, selon qu’on entend le cœur organe, ou le cœur sentiment.
Cela correspond aux phénomènes des Interférences lumineuses et sonores : lorsqu’une résistance, de même nature que la cause agissante, absorbe cette cause et l’annule, le premier croisement est comme « une mort » ; la résistance réagissant, devenant active à son tour, donnera un phénomène-Vie (2ème croisement ou Thème).
(La lumière n’est pas le contraire de l’obscurité : voir le cas des interférences révélant l’aspect ondulatoire de la lumière qui peut se superposer à elle-même. Expérience de Thomas Young en 1801). L’eau coule vers ce qui est humide. Le feu coule vers ce qui est sec (Yi-King). Différent parce que deux, mais semblable, car ils coulent tous les deux ! Un acier fabriqué en dehors de l’Égypte par exemple va rouiller s’il est apporté en Égypte, tandis que l’acier du pays d’Égypte, lui reste inoxydé. (Fait constaté au 19ème siècle).


Là, ça ne va que dans un seul sens, comme la « flèche du temps » et l’évolutionnisme, et surtout comme l’espace-temps à la Albert Einstein. Ces jeux d’effets dominos ressemblent aux châteaux de sable ou de cartes que l’on met des heures à construire et qui en quelques secondes ou minutes s’écroulent. Celui-là avec 128.000 dominos n’est pas mal non plus et semble n’avoir pas de fin. Qui va ranger ces désastres, ramasser et ranger tous ces dominos, ces grains couchés ?