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Éducation et laïcité marchandes Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-01-2017 23:15

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Éducation et laïcité marchandes
Laïcité de masses : productions marchandes comme
la débauche d’abondance d’un supermarché occidental !
Le régime républicain se radicalise
contre les libertés tout en radicalisant l’ego
radicalisant ainsi l’effondrement du Soi.
Cupidon le Cul a prit le pour-voir.
 
 
Éduquer les masses urbaines, soit éduquer les patates-marchandises.
Culte de l’ego.
Et si les femmes sont « libérées », que vont devenir les hommes ?
Et une fois que les hommes seront « libérés », que vont devenir les femmes ?


Comme maintenant en civilisation du tout confort tout est régenté par le plaisir : dehors l’amour, le mariage et la procréation, place uniquement au plaisir sexuel, donc aussi à la douleur, plaisir étant inséparable d’elle comme autrefois mari et femme étaient inséparables aux yeux, aux opinions, de l’Église. Maintenant on ne fait pas dans l’Instant mais dans la consommation immédiate, sur place, ou à emporter, comme du tout préparé en cuisine industrielle : les amants n’ont plus droit ni de se montrer jaloux, ni de faire de la fidélité une condition d’union érotique, date de péremption oblige : on jette après consommation et on respect la date limite !!! C’est le monde hôtel de Jacques Attali, un nomadisme sexuel : tout circule, comme l’argent, tout n’a plus d’odeur puisque même l’argent est devenu virtuel. Ainsi la sexualité devient « hôtel » ou « maison de passe partout »… Pas besoin d’interdire les bordels !
Les femmes « libérées » vont pouvoir consommer du mâle (ou du féminin) comme des folles, devenir sexuellement insatiables et « user » les mâles (ou les femmes) et les jeter quand ils ou elles sont hors d’usage comme on jette ses produits périmés et consommés. La femme « libérée » sera d’autant plus calculatrice et réfléchie dans sa façon d’utiliser sa sexualité, parce qu’elle se sentira pousser des ailes, mais surtout parce qu’elle ne se sentira pas impliquée affectivement : consommer, consommer, et ne dépassez pas la date de péremption, sinon, que ferons les mâles qui attendent insatiablement, comme les ouvriers dans leurs usines devant produire des produits à date de vie courte afin de leur procurer sans arrêt du travail. D’autre part, au point de vue biologique le potentiel sexuel de la femme semble illimité, ce qui n’est pas le cas de l’homme ! Là encore, l’égalité ??? Du moins depuis la Chute…
 
Avec le triomphe de l’ego il n’y a plus d’amour car c’est la guerre de tous contre tous (on n’arrache l’être humain à l’oppression que pour le livrer à la corruption), ou le « exploitez-vous les uns les autres » : dans cette civilisation du tout confort, hommes et femmes abordent les relations sexuelles avec conscience aigüe des risques émotionnels qu’elles représentent. Alors dans la tyrannie de l’opinion, ils se manipulent les émotions des uns et des autres tout en se protégeant eux-mêmes de toute souffrance affective, toujours au nom du SÉCURITAIRE, et TOUJOURS AU NOM DU SOCIAL, DONC TOTALEMENT SUPERFICIEL, en un détachement cynique, une attitude arrogante de winner et de compétiteur (il faut rentabiliser). Mais ça ne marche pas tant que ça, l’être humain étant un HOMO RELIGIOSUS il attend de l’amour une extase quasi religieuse. Même la pub singe l’Instant, le Soi, quand le slogan de la bière Schlitz affiche : « On ne fait qu’un tout dans sa vie, alors prenez-en ce qu’elle a de meilleur », cité par Christopher Lasch, dans : La culture du narcissisme. Voir aussi la deuxième vidéo en fin de page. Singer l’Instant : tout tout de suite, tout pour l’ego, tout pour le plaisir et son contraire la douleur.

Qui n’en veut du genre ? Qui n’en veut du Super Grégarisme (Grenelle) ?
Qui n’en veut du gratuit ou laïcité ? (1)
Qui n’en veut de ma société permissive organisée en fonction des plaisirs de la consommation ?
L’interdiction des fessées en France s’inscrit dans le système de la société de consommation : interdiction d’empêcher le plaisir de consommer, donc interdiction de faire souffrir, ce qui va engendre une nouvelle frustration qui sera beaucoup plus douloureuse que de recevoir une fessée ou le martinet que l’on trouvait encore chez le « marchand de couleurs » dans les années 1950 à Paris, où on y trouvait aussi bien des bassines en tôle galvanisée, de la porcelaine, des couleurs pour peindre les murs, et même des Hula hoop en plastique coloré.

Pauvre, pauvre enfant auquel le père, ou la mère, ne donne jamais plus de fessée quand il a fait des bêtises ! Ainsi l’enfant sera frustré car ce père, ou cette mère, ne lui donne pas ce dont il a besoin pour devenir une personne, à moins que très doué il se soit déjà dirigé vers la Réalisation du Soi-Instant !!!
Pensez-donc, en France on interdit la fessée mais on pratique l’avortement ! Il y vraiment un étatisme très malade ! C’est tout confort : les gens ne veulent plus souffrir, ni voir souffrir comme au temps de la Guillotine en publique. On ne donne peut-être plus de fessée mais avec l’avortement programmé et étatique on assassine en toute légalité des enfants. Le « sans fessée » gâte les enfants comme un Père Noël étatique, et de l’autre le même Père Noël État les tue : c’est la même main étatique qui massacre des innocents et qui les bourre de caresses. Bref, on fait des sacrifices à ces nouveaux petits Dieux privés de fessées. Gustave Thibon cite, dans Diagnostics, un père de famille qu’il a connu et qui avait tué quatre enfants de son sein « (non par malice, mais par faiblesse, par manque d’instincts solides et d’encadrement social) et qui trouvait monstrueux qu’on pût frapper un enfant pour le corriger… Cet écart entre la sensibilité affective et les mœurs profonds, c’est la distance entre l’enfant assassiné et l’enfant gâté qui nous en fournit la mesure ». Comme l’écrit Thibon, « la décadence des mœurs a isolé, atomisé les individus », décadence productrice de multiples séparatifs d’ego allant cahin-caha coincés dans leur dualité sujet-objet et qui se croient aux pays républicains de « la liberté d’expression ».
Nombre d’étatisme interdisant la fessée se trouvent évidemment en Occident, surtout dans des régions froides, ce qui est étrange, car la fessée faisait pourtant chauffer les fesses, et en confort, puisque c’était le « bourreau » qui se cassait le cul, si je puis écrire !!! De plus, certains homos adeptes de la fessée (sens érotisme) vont être terriblement frustrés… Donc il y aurait des fessées à deux vitesses, comme de tout en régime républicain ! Remarquez : FESSES = CACA, MERDE, OR, BOURSE, GROSSES COMMISSIONS, BESOINS… DONC AUSSI ÉROTISME SUR LE MARCHÉ… et comme pour l’avortement, à deux vitesses…
Il est étonnant que l’on parle de « la cuisse de Jupiter », et point de la, ou des « fesses de Jupiter » ?!

Les contes de fées de nos enfances d’avant la tablette informatique et le tétéphone portable faisaient la partie de la sagesse populaire, de la Tradition, sans avoir recours à celle de la nouvelle judéo-maçonnerie spéculative sortie de Londres en 1717. L’étatisme préfèrent les « spécialistes » (ceux qui digèrent pour nous) : la morale de cette judéo-maçonnerie genre GODF et sa chefferie qui veut protéger l’enfance de ces histoires pouvant amener l’enfant à se « radicaliser » (contre l'État), comme disent chefferie et merdias de nos jours. Il y a donc une Inquisition exercée sur les contes de fée et la littérature jugée « inappropriée » au monde du marché de la City de Londres et de son Wall Street. Au nom du culte du socialo-capitalisme, notre mental des enfants est interdit de sublimations source de tous les dangers dans cette civilisation de plus en plus sécuritaire (cadenassée), de peur que les enfants se « radicalisent » comme se « radicalisèrent » les Vendéens en 1792 contre le régime républicain.
Un Yahviste comme Bruno Bettelheim fait dans la pensée unique et formaté quand il veut l’égalité parents-enfants : supprimer le gouffre existant entre le monde de l’enfant et le monde de ses parents « adultes ». Autrefois, le conte de fées et la religion produisaient suffisamment de matière à l’univers enfantin pour offrir aux enfants une vision convaincante du monde dit « réel ».
Tout cela ayant volé en éclats depuis 1789 en passant surtout par 1914-18 et 1939-45, les jeunes générations paralysées par les technologies et l’entertainment et l’éducation nationale obligatoire se réfugient dans les jeux informatiques et le tout connecté d’une façon des plus primaires, qui va naturellement avec la sorcellerie et le côté négatif de l’occultisme, quand ce n’est pas vers les sectes.

Tout cela a aussi volé en éclat à cause de la surabondance des informations, une explosion des connaissances « bourrage du mental », une culture traditionnelle récupérée par les « spécialistes » (ceux qui digèrent pour nous, comme « la société civile » qui prétend parler « au nom des peuples », bref : la chefferie, le groupe de pression). Cependant aucun de ces phénomènes actuels n’affecte l’expérience quotidienne ni ne forme la culture populaire comme les contes de fées le faisaient auparavant.

CAPITALO-SOCIALISME.

L’arrivée au 19è siècle des banques et du travail en usine, donc en « social », laissa encore intactes les fonctions de la famille. La socialisation à partir de l’usine et de la production va agir sur la façon dont seront « reproduit » les enfants et futurs contribuables du régime républicain : ils devront devenir responsable, non plus envers leur famille, MAIS DEVANT L’ÉTAT ET PAR LÀ MÊME DEVANT L’INDUSTRIE PRIVÉE, capitalo-socialisme oblige. Cela va avec l’avénement progressif de la culture de masse, de l’industrie de la publicité, les merdias et de l’entertainment naissant, des institutions d’éducation de masse, tous « ismes » qui s’emparent d’un grand nombre de fonctions socialisantes exercées auparavant traditionnellement par la famille. C’est l’État qui devient le spécialiste de l’enfance et de son futur esclave. L’État et ses écoles judéo-maçonnisées se sont appropriés de nombreuses fonctions et formations jadis assurées par la famille, qu’il s’agisse de travaux manuels, d’enseignement moral et des manières de se comporter avec les autres, et de l’éducation sexuelle. Désormais l’école judéo-maçonnisée doit maintenant se charger de la formation sociale, physique et mentale de l’enfant. Ainsi, selon le républicanisme, les familles c’est dépassées, dans notre monde actuel elles ne peuvent plus assurer leurs obligations. Place aux « spécialistes » : médecins, psychiatres, experts en « développement de l’enfant », représentants des cours de justice pour adolescents, conseillers matrimoniaux, animateurs du mouvement pour l’hygiène publique, etc.

Selon la mode du social :
« Dans la république sociale, l’enfant est, en tant que futur citoyen, un bien de l’État, et non la propriété de ses parents. Son bien-être est donc directement une responsabilité de cet État ». (Ellen Richards, en 1910, fondatrice de l’assistance sociale dans sa forme actuelle, cité par Christopher Lasch).

ÉTAT : oligarchie qui veut « aider » ou « secourir » à chaque recoin de la société. Ainsi il faut extraire les « déviants » pour les confier à des « spécialistes ».

INVENTION DU CAPITALISME ET DE LA PRODUCTION FOLLE.
Devise capitaliste des frères Abraham et Simon Oppenheim en 1840 et mise en pratique de la « fin des temps » au profit du DORG (Demain On Rase Gratis) :
« Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ».
Ces frères sont tout simplement des PSYCHOPATHES (manipulateurs).
S’il y a quelqu’un qui créé des besoins c’est bien l’industrie de Hollywood (Universal, Fox, Paramount, Warner Bros, MGM, RCA, CBS sont toutes des créations d’immigrés juifs d’Europe de l’Est).
Jacques Attali citant la devise des frères Oppenheim, dans son livre Les Juifs, le monde et l’argent, écrit que les Juifs en 1154 seraient les premiers a avoir fabriqué des billets de banque, en jute : « sur les quatre côtés d’une plaque d’impression retrouvée récemment, on pourrait lire comme des caractères hébraïques »


Le culte de l’ego est surtout présent dans l’Empire USionistan : fascination de la célébrité, du winner et de la renommée (2), angoisse face à la compétition et la rentabilité, incapacité à se laisser aller au merveilleux, superficialité et grande fragilité des relations personnelles encore plus fragilisées par les « réseaux sociaux » et la tétéphonomobile, angoisse de la mort (voyez les transhumanistes et leur « homme augmenté »).
Cet « homme augmenté » est nécessairement identique à cette société permissive et du tout contrôlé, tout connecté. Même la chefferie a recourt aux « spécialistes », chaque fois que cela est possible, de manière à pouvoir se vendre comme « conseillers », « médiateurs » ou « amis ». Désormais les parents de reposent sur les médecins, les psychiatres, etc. Nous sommes prisonnier de la civilisation du « NOUS POUVONS FAIRE CELA POUR VOUS » (à condition que vous puissiez payer, parce que nous ferons toujours mieux que vous). C’est la civilisation du « votre assureur, votre député, votre voyante, votre ceci et votre cela), donc TOUT À L’EXTÉRIEUR, TOUT RÉCHAUFFÉ, JAMAIS FAIT MAISON, TOUT FAIT PAR LE GOUVERNEMENT DU RÉPUBLICANISME. Tout doit être fait par « l’expert » (entendre le diplômé, donc le winner), et comme depuis 1789 nous serions tous roi, il est étonnant qu’il faille autant « d’experts », de « conseillers » !? Ça peut en partie s’expliquer puisqu’il n’existe quasiment plus de corporation au sens de l’Ancien Régime, ce qui rejoins ce qu’écrit Gustave Thibon dans : Diagnostics : « Le régime a d’autant plus besoin d’être inhumain qu’il a plus sapé, pour s’établit, le sens de la responsabilité personnelle et de la résignation sociale, qui est la base vivante de toute communauté humaine ».

Telle que, cette civilisation fonce dans le mur, vous allez voir que prochainement, ceux qui feront les lois seront LES PSYCHIATRES, car les futurs citoyennisés devront être conforme aux dogmes de la vie quotidienne, édictés par quelques têtes d’œufs ayant séjourné dans une loge genre GODF en cheville avec les psychiatres au pouvoir.

Pour terminer : la civilisation industrielle et à technologie avancée exige des masses humaines robotisées, résignées à effectuer un travail sans intérêt, et disposé à ne chercher satisfaction que dans les heures et mois consacrées aux loisirs et à la « culture ». Ce système de production fonctionne parfaitement dans cette dualité winner-loser, particulièrement en USionistan. Du point de vue humain, c’est une catastrophe : un monstrueux gaspillage humain ; un gaspillage de la vie.
Cette guerre de tous contre tous commence que l’humain comme maintenant exploite l’humain au profit d’une chose virtuelle, comme le terrorisme organisé par l’étatisme ; ET CE VIRTUEL LÀ, COMME TOUT VIRTUEL, N’A PAS DE LIMITES, COMME LE CAPITALISME ET SA CROISSANCE : L’HOMME IMMOLE L’HOMME, ET LES MASSES, CAR UNE ABSTRACTION A DES ENTRAILLES SANS LIMITES, COMME L’ARGENT SIGNE OU ARGENT VIRTUEL. L’HUMAIN ACTUEL EST DÉVORÉ CORPS ET ÂME PAR LE TOUT VIRTUEL ÉTRANGER À LA NATURE HUMAINE ET PAR LÀ MÊME INSATIABLE DE SANG HUMAIN, PIRE QUE LE PLUS CHÉTIF TERRORISTE. « Pour faire la révolution, on a tari la santé spirituelle du peuple, et rien ne compense plus maintenant la rigueur matérielle de l’existence. Le joug à l’extérieur, le poison à l’intérieur. Le reflet, le commencement de l’enfer sur la Terre… » écrit Gustave Thibon.

Ce qu’il y a de particulièrement catastrophique dans le régime républicain ou étatique qui gangrène la planète, c’est, quand tout est, presque, devenu virtuel, l’humain exploite son semblable, non seulement pour satisfaire son ego, son pourvoir, mais au profit de choses devenues presque totalement virtuelles, comme l’argent, le social, etc., donc au profit de l’abstraction, digne de « l’homme augmenté » des transhumanistes.

Notes.
1. En effet, Gratuit et Laïcité sont du même thème : liberté, abondance, choix, le « tout est possible », la « liberté de penser », donc autant d’abondance que dans un supermarché occidental. Parce que vous avez surement remarqué que pour avoir du gratuit, notamment avec une « carte de fidélité », il faut en général acheter plus pour obtenir quelque chose de « gratuit », ce qui rejoins le phénomène marchand, pardon, religieux, nommé « solde ». Ça c’est la Super Carotte comme la « fin des temps » ou le «paradis ».

2. La culture de masse fabrique le winner, donc encourage « l’homme ordinaire » à se dépasser, à être « compétitif », à s’identifier à la minorité ayant le vent en poupe (comme les LGBT, les migrants, etc.) en prenant parti contre « les autres », et à partager avec ces minorités devenues les winners une existence de confort et de raffinement des cinq sens, donc de l’ego. D’ailleurs la mode du survivalisme participe de ce triomphe de l’ego. Mais ce culte du winner ou Superman dans cette civilisation de la marchandise et du tout à l’extérieur favorise du même coup le dénigrement, l’ignorance totale de soi, du Soi, et rend ainsi très malheureux. La tendance première de consommation de masse est la socialisation de cette civilisation urbaine qui était auparavant exercé par la famille et l’Église.
RAPPEL : il n’y a rien de plus superficiel que le social : voir la « couverture sociale »
 
 
 
 
 
 
 
Coup d’œil intéressant d’un mignon jeune homme sur la date de péremption. Il en est de même du sexe !!! C’est aussi ça l’égalitarisme. Remarquez, la bougie est programmée, en quelque sorte, quand elle a fondu, il faut la changer ! Mais ce n’est pas normal avec une ampoule électrique. Bref, cela rejoint la fabrication du besoin énoncée dans la devise des frères Oppenheim.
En revanche, pas d’obsolescence programmée chez les transhumanistes. Eux ils veulent vivre, ici-bas, une éternité, être « inusable » avec leur homme augmenté dont on changera les pièces usagées  !!
 
 
 

Dernière mise à jour : 03-01-2017 23:53

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