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LA CLÉ : dilemme individualisme-collectivisme Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 02-03-2017 00:18

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Vide, Volonté, Yokaï

 
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LA CLÉ : dilemme individualisme-collectivisme
C’est la clé de Tout dans les 3 Règnes
Minéral, Végétal, Animal.


La Culture ! Quelle glu pour les âmes !!
(Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux)
 
 
PARTICULIER/PERSONNALITÉ : triomphe depuis l’après 1789 en se faisant passer pour Dieu : « l’humanité » (humanisme) se fait passer pour Dieu : un état originel à partir duquel des noms-les-formes se produisent et se distinguent les unes des autres (autres mots pour désigner « l’organisation du Chaos », ce qui va engendrer en croissance les problèmes).

Comme dans le Paradoxe de la Réalisation du Soi, les êtres humains veulent être « libre » (individuel) et « ensemble » (le social ou collectivisme). L’humain actuel devenu « urbain » en son univers bétonné s’est coupé de la Nature qu’il détruit allègrement (d’ici la fin du siècle disparition de notre planète de la moitié des animaux). C’est comme si « l’humanité » remplaçait la Nature qui deviendrait moindre comme ravalée au rang de « primitif », « d’enfant sauvage » (voir la fin de l’article précédent : Capitalisme = Unité dans la diversité).
Je cite Marshall Sahlins dans : La nature humaine, une illusion occidentale : « Charles Kahn a montré que pour un Grec, nature et société étaient des termes interchangeables. Ce sont les philosophes du Vè siècle qui ont tenté d’instaurer une séparation entre les deux : nature et société deviennent des contraires ”suite aux débats sur le rapport entre physique [la Nature] et nomos [la loi, donc l’opinion]”. Ce dualisme constitue la base même de notre triangle métaphysique : les systèmes culturels de l’égalité et de la hiérarchie tentent de contenir et de maîtriser une nature humaine présociale ou anti-sociale ». Alors si « nomos » c’est la « loi », la Nature c’est le Chaos, le « sauvage » !!! Imbécilité d’ergoteurs Grecs ! Comme tous sophistes genre Glaucon dans La République de Platon, qui fabrique la dualité entre la loi (mental ou « culture », ou ce qui organise) et la Nature (façon poussée égoïste genre intérêt ou besoin instinctif de faire ceci ou cela « qui caractérise le récit de Thucydide de la guerre civile de Corcyre ». Nature ici vu comme LE SPONTANÉ, qui alors me semble une horreur pour ces ergoteurs Grecs ! Tous les Occidentaux ont horreur du spontané, ça leur fait peur, ils font des lois contre, ils veulent prendre du recule, ils tuent PAN sans cela PANique…).
 
L’humain se veut « individualisme » alors que la Nature serait vu par lui comme « collectivisme ».

COLLECTIVISME : AIMER SON PROCHAIN (le social-société. « Aimer » s’entend « exploiter », « posséder »).
Le social se montre agressif en voulant « socialiser l’enfant », « domestiquer l’enfant » (l’instruire) comme s’il s’agissait de DOMESTIQUER LA NATURE ! COMME S’IL FALLAIT LA « CIVILISER », DONC LA BÉTONNER ! COMME SI LE BÉTON RENDAIT AIMABLE : CIVILISER VEUT DIRE : ÊTRE AGRÉABLE AUX AUTRES, COMME ÊTRE SOCIABLE… ÊTRE CONFORTABLE, CONFORME À SON EGO. RENDRE SOCIAL, POLI, POLIR LES MŒURS, RENDRE CONFORME-CONFORTABLE. On comprendra alors l’importance des deux mots Mœurs et Morale dans cette nouvelle judéo-maçonnerie spéculative ou travaillant du chapeau comme le sont les obédiences à Pour-Voir tel le GODF. Ainsi on comprendra également la puissance et la mode DE LA TYRANNIE DE L’OPINION si présente avec sa « liberté de pensée » ou « liberté d’expression ».
CIVILISATION-URBAIN-BÉTON : le citoyen ou habitant des cités (le cives), soit le bourgeois et son confort.

L’Occidental et sa civilisation-béton considère l’enfant comme un sauvage qu’il faut bétonner, éduquer. Bref, IL FAUT L’ACHEVER (le détruire et non le construire !), comme s’il était UNE ANTI-PERSONNE, un malade mental. Là encore je renvoie à la page Capitalisme = Unité dans la diversité. Parce que l’Occidental se contente en son confort en pensée unique de croire que l’enfant acquière une « personnalité » progressivement, donc dans l’opinion, à coups « d’interactions sociales », en particulier les relations duelles de réciprocité et d’interdépendance, qui vont façonner l’identité UNIQUEMENT SOCIALE de l’enfant. Et c’est ce que dit exactement Francis Cousin dans sa dernière vidéo Skype mise en fin dans la page Capitalisme = Unité dans la diversité. Marshall Sahlins dans son livre : La nature humaine, une illusion occidentale, cite Willerslev qui « remarque que dans le monde des Yukaguires « l’enfant n’existe pas », car les nouveaux-nés sont censés posséder les dons, la connaissance, le caractère et les traits des parents défunts qui les ont animés ». « Les enfants de Java ne sont pas encore ”javanais” (ndurung djawa), par contraste avec ceux qui le sont déjà (sampun djawa), c’est-à-dire un adulte capable d’obéir aux convenances subtiles de la société, de pratiquer son esthétique délicate, et d’être « sensible aux commandements complexes du dieu qui réside, immobile, dans la conscience intime de chaque individu », écrit Shalins citant Clifford Geertz.
L’Occidental étant capitaliste, il fabrique son enfant selon la dualité marchande : offre-demande, ou besoins-désirs, soit tout ce qui ne concerne QUE LE CORPS (Helvétius disait : « Aimer, c’est avoir besoin ». Il ne fait que donner une définition de la dualité sujet-objet !!!). Ce qui aboutit à l’ego-égoïsme de l’enfant et ses désirs transformés en CAPRICES (tant l’enfant est encore « dans le besoin » comme pipi-caca…).
SOCIAL = DÉPENDANCE ENVERS AUTRUI : fait ceci, ne fait pas cela, etc., ce qui va donner l’American way of life : soumission permanente de l’humain à ses désirs corporels, ce que les Zaméricains nomment « liberté » (voyez la taille de leur cornet de glace… de leurs automobiles… et la taille de leurs obèses, et la taille de leur complexe militaro-industriel…). Pour ces individus : liberté = ego, encore une preuve du regret infini de l’Âge d’Or, alors ils s’envoient en l’R PAR LE MONDE, par son spatio-temporel.
Pour les Zaméricains, SOCIAL = PRODUCTIONS COLLECTIVES DES DÉSIRS (consommer comme tout le monde, sinon on passe pour un « sauvage »).

Il est tragique que l’Occidental considère son enfant uniquement dans un corps. Cela va amener la monstruosité dénoncée plus haut : le « sauvage » et « la mauvaise herbe » (comme le dévergondé) CONTRE « le civilisé et urbanisé, bétonné », soit LA DUALITÉ : EUX-NOUS (formule : vous êtes avec nous ou contre nous, de la dualité winner-loser), même dilemme profond universel individualisme-collectivisme. Soit la dualité corps-esprit. Il faut être un politicard de régime républicain pour croire encore à « la nature humaine » !!! Donc croire à l’extérieur.
Le SAUVAGE c’est encore le ou la DÉVERGONDÉE, celui ou celle qui sort des gonds imposés par l’autre, par le social ou éducation. DÉVERGONDÉ = S’ÉCARTER DU SOCIAL. Or, É-cart-er est synonyme de quatre forces : TRIVIAL-TRAVAIL, instrument de torture écartelant… en 3. Faire un écart, petit ou grand, est disperser (d’I) les voiles qui recouvrent en prétendant dévoiler ! Dévergonder c’est se Per-mettre de distinguer (d’I) l’Ivraie : l’I-Vrai : comme opposé à la Vie (on dit séparer le « bon » grain de l’ivraie, à la façon de l’actuel dualité winner-loser). Pour résumer : le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu. Le dict. Le Robert écrit à Ivraie : étymologie de Ivre. Je renvoie à « Maître Puntila et son valet Matti » où l’ivresse est vu comme une forme de domptage de l’ego. Ivresse liée à la fécondité et liée au phénomène lunaire. L’IVRESS EST UN SYMBOLE UNIVERSEL DE LA SPIRITUALITÉ (voir les mystiques chrétiens et musulmans et tous ésotéristes). L’ivresse transcende le mental puisque le Vin est lui-même symbole de connaissance (comme le montre Maître Puntila). L’ivresse DÉLIVRE DU CONDITIONNEMENT SOCIAL et du reste. La beuverie est aussi symbole des exercices de rétention du souffle, liés à l’ascension de la Kundalini.
IVRESSE SACRÉE = CONTACT DIRECT AVEC LES DIEUX DANS L’AUTRE MONDE EN FAISANT SORTIR POUR QUELQUES INSTANTS L’HUMANITÉ DE SON ÉTAT « NORMAL ». Voir l’ivresse de la danse, etc… Mais surtout, TOUTES LES LOIS SONT ABOLIES. C’EST LE RETOUR DE L’ÂGE D’OR, DONC C’EST LA FÊTE, LA LIBERTÉ.
IVRESSE de retrouver la Glande Pinéale et l’Âge d’Or avec des expériences hallucinogènes (LSD, mescaline, etc.) qui sont la preuve de l’existence du Saint Chaos ou Eau Primordiale ; tout comme les expériences pathologiques : syndromes confuso-oniriques, bouffées délirantes polymorphes, « schizophrénie » ou plus simplement et confortable : nos rêves et nos fantasmes. Ce qui prouve encore que nous essayons d’échapper au bétonnage-prison et citadine de notre planète, un enfermement qui commence à la catastrophe Néolithique et ses 10.000 ans de voie de l’Agriculture. Nous sommes enfermés parce que l’imaginaire recule, la culture recule, le merveilleux recule, etc.

L’être humain actuel est à la fois social et anti-social, dans le dilemme individualisme/collectivisme.
Personnalité sonne comme : personne-alité. A-lité signifie qui n’est pas dans son lit, dans son jus ou sang, pas dans sa litière ; bref, pas dans ses pompes comme dit l’expression : « Trouver chaussure à son pied » ; on dit bien « Garder les pieds sur Terre », donc ÊTRE (Je suis ce JE SUIS). LÀ ENCORE ÇA REJOINT LA STARGATE : LE FLUX ou LIT DE LA RIVIÈRE : « Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa Source ». Ainsi les Réalisés vivants doivent maîtriser le Dragon (ego) et non le tuer !
Être dans ses pompes c’est ÊTRE DANS SON AXE : ne pas être désaxé, ne pas être malaxé par les autres et leur « social » et leurs opinions ; alors SE RELAXER : se coucher dans un lit (de la Rivière…) pour atténuer le mental criminel. Se re-laxer pour retrouver un Instant L’ÉTAT DE NATURE (colonne vertébrale à l’horizontale comme celle d’un chat ou d'un poisson). L’Axe c’est le PIEU, l’argot ou Art Goth, gothique ou goult de la Langue des Oiseaux ou Langue diplomatique qui maintient la Tradition du lit : aller au Pieu. On dit aussi de ce Pieu : LE POINT SUR LE I ; ou UN POINT C’EST TOUT.

Comme déjà écrit il y a peu, du grain de poussière volant sous un soleil d’été à un président de l’Empire USionistan, TOUT N’EST QU’INTELLIGENCE, DONC NATURE. Il n’existe pas de « sauvage » ou « primitif » comme il n’existe pas de « mauvaises herbes » ! Mais les êtres humains eux SONT LES SAUVAGES, qui, poussés par leur « croissance » démentielle piégés par leur ego vont semer la terreur, la guerre et la discorde ou le chaos partout : la guerre de tous contre tous, soit le : « Homo homini lupus ». Il n’y a rien de plus pervers que la « nature » humaine, à cause de son mental. Mental qui, quand il est très malade, ou quand il atteint un état où il ne fonctionne presque plus, c’est là où se révèle la Vraie Conscience ou Soi. Ce qui prouve la réalité du Soi qui est partout (et nulle part) ; la Conscience est indépendante du mental d’un humain, simple récepteur et évidemment aussi émetteur.

L’humain et son cerveau, sa culture « se croit » (voir la citation de Coulonval en début d’article). Or il oppose sa « culture » à la Nature (ce qui est « sauvage ») et ne tient pas compte du fait que « l’animal-humain » est généralement bien plus redoutable que « l’animal-naturel », car ce dernier est rarement pervers, vue que son cerveau est plus MAÂT (direct). L’animal-humain est AGRESSIF, comme par exemple faire de l’anthropomorphisme avec les extraterrestres…

NATURE = CULTURE COMME ON CULTIVE SON JARDIN (intérieur, donc son Soi). JARDIN = PARADIS = ORIGINE bien avant l’invention « Homo sapiens ». Culture sonne comme CULTE : ADORER, AIMER.
Comme écrit Sahlins dans son livre déjà cité, « pendant trois millions d’années, l’évolution biologique des hommes a obéi à une sélection CULTURELLE [c’est moi qui grossit]. Nous avons été, corps et âme, façonnés pour vivre une existence culturelle ».

« Qui se sert du crochet, du cordeau, du compas et de l’équerre pour rectifier, offense la Nature ; qui se sert de la corde, de la ficelle, de la colle et de la laque pour consolider les choses va à l’encontre de leurs qualités propres. Qui plie les hommes par le rite et les rompt par la musique, qui les protège par la bonté et les relie par la justice, celui-là corrompt leur nature originelle. […] Comment la bonté et la justice censées unir les hommes comme la colle et la laque, la corde et le cordeau, pourraient-elles avoir quelque influence sur le monde régi par le Tao et la Vertu ? Elles ne provoquent que des égarements ». (Tchouang-tseu, chapitre ‘Pieds palmés’).

Le dilemme individualisme-collectivisme ne peut se résoudre que par la Réalisation du Soi-Instant : découvrir que chacun a une « structure ontologique identique à celle de tout autre homme », comme écrit Jean Coulonval, c’est-à-dire ÊTRE. Par la même, tout étatisme et toute sa chefferie deviendront inutiles.
La « raison » raisonnante ou travail du chapeau, du mental criminel, en partant des perruques poudrées des « lumières » a pondu non seulement le régime républicain de l’après 1789, mais surtout L’ORDINATEUR QUI VA DIGITALISER TOUTE LA PLANÈTE (comme le fait déjà en partie un Google) ; l’être humain va devenir inutile et risque fort de disparaître comme la moitié des animaux mentionnée plus haut. L’informatique et l'Intelligence Artificielle va tuer son créateur ; le mental n’est pas contrôlé et encore moins devenu non dangereux ; c’est pire : il se robotise et en deviendra de plus en plus dangereux, de plus en plus criminogène.

Comme écrit précédemment, les concepts occidentaux de senti-mentaux si présent dans la mode du social et son « vivre ensemble » ont remplacés la véritable ÉTHIQUE (E tu es HI), MORALE (Mor-AL) collectivisme (impersonnel), pour en faire du personnel : la sensation, la culture-culturelle qui va donner l’Éducation (celui qui conduit le E, donc une chefferie).

ÉDUQUER-DRESSER = MALTRAITER L’ENFANT : OBLIGATION D’APPRENDRE : AINSI TEL EST BIEN PRIS-PRISONNIER QUI CROYAIT APPRENDRE, SURTOUT SI ON AJOUTE « PAR CŒUR », DONC MENTAL. PRENDRE C’EST POSSÉDER PAR L’EGO. ALORS SEUL CELUI QUI NE CHERCHE PLUS À PRENDRE PEUT DÉCOUVRIR. LES ÉCOLES DU JUDÉO-MAÇON JULES FERRY SONT DES PRISONS QUI EMPÊCHENT DE NAÎTRE, DE CON-NAÎTRE DANS L’INSTANT, sans la dualité sujet-objet. L’instant ou Soi se réalise ICI ET MAINTENANT par rayonnement du Tout hors de l’individu, et non par possession de diplômes et médailles ou « bagage culturel » de cette culture de masse mercantile.

ON NE PEUT SE CULTIVER QUE PAR LE JEU, DONC PAR LE JARDIN OU PARADIS, ET CERTAINEMENT PAS DANS LES CHAMPS TROP CIVILISÉS. ON NE PEUT SE CULTIVER QUE PAR LA VOIE DE L’HORTICULTURE QUI DRAMATIQUEMENT A ÉTÉ DÉLAISSÉE AU PROFIT DE LA VOIE DE L’AGRICULTURE.
Le JEU est le contraire de subir, or l’Agriculteur subit ; arranger un Jardin même si c’est difficile, il y a moins le subir, sinon le Paradis n’aurait pas été inventé, ni le Tapis volant !
Les citoyens subissent l’État, alors il est naturel qu’ils ne le respecte pas, sauf s’il y a des lois pour le faire respecter, donc les lois sont liées parce qu’une chefferie et ses normes quelconque empêchent les gens de vivre, de JOUER NATURELLEMENT (ils les compenseront en paroissiens de la City de Londres de la consommation qui propose ses JEUX NON GRATUITS. LE JEU C’EST LA GRATUITÉ, LE SPONTANÉ. Autrefois les enfants jouaient tout seuls, avec dans la campagne un bout de bois qu’ils taillaient pour en faire une flûte. Du temps de la chandelle, les soirs d’hiver, c’était gratuit : les gens s’amusaient à la lueur de la chandelle à composer des figures avec leurs mains qui projetaient des figures fantastiques sur le mur. Cette égalité de JEU de l’éclairage se retrouvait chez le châtelain qui vivait aussi les mêmes ombres que les enfants des paysans. Voir les Mémoires d’outre-tombe, de Chateaubriand, où se trouve un château fort (château de Combourg) près de Dinan et encore intact depuis l’époque de 1100.

Le social c’est l’Histoire-Opinions-Temps qui coule, la Maya ou illusion, mais comme nous sommes tous coincés là-dedans, aussi ne faut-il pas accorder de valeur à icelle. D’ailleurs la Bhagavad-Gita nous met en garde contre ce danger D’IDOLÂTRIE DE L’HISTOIRE. Histoire poussée à son maximum par les Hébreux-Juifs et leurs prophètes ; un comble pour des gens qui se disaient lutter contre l’idolâtrie dont ils accusaient les Païens et qu’ils firent exterminer et après eux les Chrétiens prirent leur suite. S’il y a une seule CROYANCE AUTHENTIQUE EN CE MONDE, C’EST BIEN CELLE DU SPATIO-TEMPOREL : ce n’est qu’une croyance, nullement une Connaissance en dépit de tous ce que les physiciens peuvent avancer, parce qu’ils avanceront perpétuellement des opinions, parce que le spatio-temporel a pour principe le Mouvement : il bouge sans arrêt, MAIS N’EN EST PAS MOINS ISSU DU DIVIN-ORIGINE. Et comme écrit ci-dessus, on ne découvre la sacralité du monde qu’à travers LA GRATUITÉ, C’EST-À-DIRE LE JEU DIVIN. LE PAS GRATUITÉ, LE PAYANT, C’EST DE CROIRE QUE CE MONDE N’EST QU’HISTOIRE-OPINIONS-TEMPS QUI COULE, ce qui sera tout bénéfice pour le capitalo-socialisme de la City de Londres, et de la laïcité.... Nous sommes bouffés par l’Histoire-Opinions-Temps qui coule parce que NOUS Y CROYONS : LE CAPITALISME MÉPRISE L’ÉTERNITÉ, IL MÉPRISE LE SOI-INSTANT, IL LUI FAUT DE L’OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE, par contre avec ses déchets nucléaires il pollue la planète jusqu’à 6000 générations (pour certains déchets nucléaires).

De nos jours d’éclairage partout et 24h sur 24 et tout l’an, on a du mal à entrevoir CES JEUX GRATUITS. De nos jours, Hollywood et son tous payants (sauf cas rigolo et salutaire de piratage) on ne compose plus « d’ombres chinoises ». Pensez-donc : tout dans le digital, la 3D ! C’est passif, tout confort pour le mental zombifié des Terriens robotisés. Les jouets aussi sont robotisés, des singeries informatiques pour préparer les enfants de demain à leur esclavage informatique.
Bref, naguère, les enfants qui n’avaient rien vivaient LA GRATUITÉ EN INVENTANT LEURS JOUETS, dans lesquels leur imagination voyait des merveilles. IL EN EST DE MÊME DE LA SUPPOSÉE « ÉDUCATION » : GRATUITÉ = ZÉRO POUVOIR (terminée la chefferie et autres « maîtres d’écoles » de la troisième république et des suivantes. C’est comme ça que commence une communauté sans État, sans chefferie, parce qu’il y a un respect naturel, plus besoin de la trinité de l’horreur : armée-police-justice.

ÊTRE NATURE, SE DÉVERGONDER DU RÉGIME RÉPUBLICAIN, SORTIR DE LA CHEFFERIE ET SON POUR-VOIR, NE PLUS JAMAIS VOTER EN FRANCE RÉPUBLICAINE, IGNORER SES INSTITUTIONS (ses « valeurs ») car c’est lui donner du grain à moudre dans la dualité sujet-objet, mais surtout alimenter son mensonge, sa violence permanente, ses imbécilités.



[En haut de page : dessin de Jean Effel pour son long métrage de dessin animé : La Création du monde].
 
 

Dernière mise à jour : 02-03-2017 01:04

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