LA SOCIÉTÉ TROU-DU-CUL : DOMINATION PAR L’ANNEAU-ANUS-GAY (fort pouvoir d’achat).
L’Anneau reliant maître-esclave ou sujet-objet du consommateur. L’Anneau du pêcheur. Certains se mettent un anneau au doigt (passer l’anneau nuptial) quand d’autres se le mettent au pénis (passer l’anneau zobien), il y en a même des vibrants…). On n’arrête pas l’érection ou le progrès (voyez la hauteur de certains gratte-ciels où le Fric/Flic domine) !!!
Mais, avec des transhumanistes des Google, bientôt plus besoin de jouets onéreux de bandage ! Certes, autrefois avant le ravalement par la laïcité, il y avait des anneaux magiques… qui hélas se transformaient bien vite en anneaux de Pour-Voir…
Depuis la catastrophe Néolithique l’humain est dominé par L’ANNEAU D’OR : LE DÉSIR : la Con-voitise genre bouffe-pipi-caca : le Pour-Voir.
Le business du corps ou du sexe confirme l’opinion que « le monde est réel » dont il est si difficile de se débarrasser ! « Le monde ne devient pas pour autant plus réel que l’individu lui-même » dit Ramana Maharshi à l’entretien 451. Aussi le transhumanisme même aboutissant à réduire l’humain à un tas de nano-trucs « conscient » n’en sera pas pour autant plus réel !!!

 

LA SOCIÉTÉ TROU-DU-CUL : DOMINATION PAR L’ANNEAU-ANUS-GAY.
Comme Sade fut un des premiers à le comprendre, le plaisir sous domination de la City de Londres c’est permanent, sans frein, et il se confond avec les guerres sans fin, les polémique ou tyrannie de l’opinion à n’en plus finir, tout se calcul, et « libéralisme » = no limit pour la poursuite sans fin et en évolutionnisme du plaisir. Alors il sera même bientôt PERMIS DE TUER SON PROCHAIN, puisque selon le principe du libéralisme et sa démocratie il faut satisfaire immédiatement à n’importe quel désir, aussi pervers ou aussi fou, criminel, ou seulement « immoral » soit-il, mais ce mot ne veut désormais plus rien dire !
Condamner un crime sera considéré comme ANTI-LIBÉRALISME, ANTI-MARCHANDISE, comme une PRATIQUE ANTI-COMMERCIALE, UN FASCISME, UN EMPÊCHEUR DE JOUIR. Celui qui condamne un crime anti-libéralisme sera poursuivit par les obédiences antiracistes, antisexistes… Voyez en cette fin 2016 début 2017 le « crime politique » virtuel envers F. Fillon entretenant cette hystérie collective française. Ce « crime politique » à la française républicaniste et au virtuel informatique ne peut que se fourbir EN SOUTERRAIN. Idem pour le phénomène D. Trump aux USA : il est élu en clair, mais en SOUTERRAIN ça s’agite ; idem pour Kennedy, Lincoln, etc, et toute chefferie étatique… Le Souterrain des Couilles en Or françaises et de la juiverie financière internationale s’active à grands flots pour entretenir le Rothschild E. Macron ; Macron-économie le bienveillant et son sourire et son amabilité commerciale. Tout ça n’annonce vraiment rien de bon et colle en inverse avec l’arrivée de 2020 et ses « froideurs »…
Se masturber pour avoir une érection encore à 99 ans à l’aide de jouets ou d’appareils onéreux montre bien l’exacerbation du narcissisme comprenant LA PEUR DE VIEILLIR, LA PEUR DE MOURIR, QUE VEULENT EFFACER LES TRANSHUMANISTES qui ne feront que développer le culte du moi, même réduit en nano-truc.
Le tout Hollywood ou le tout business qui à coups de dollars se fait refaire le cul et le visage à coups de chirurgie montre cette peur égoïste de vieillir et de mourir et fabrique ce culte du jeunisme, culte du « moi je ». Cela exalte la violence extrême de cette société mercantile et son « pouvoir absolu sadique ». NARCISSE = SADIQUE (allant d’ailleurs avec le masochisme). Notre monde actuel est profondément masochiste : les gens vont voter… ils fabriquent même « l’égalité homme-femme » (pour le business évidemment (la « revalorisation »), les enfants seront bientôt fourbit par les transhumanistes, « faire des enfants » c’est arriéré ! Et ça doit être très excitant un homme avec des gros seins…).

Avec le pénis et des jouets zobiens, on est bien dans les temps de l’hyper narcissisme : LES TENDANCES-THÉORIES, CELLES DE PENSER QUE NOUS SOMMES LES AUTEURS DE NOS ACTES ET QUE PAR CONSÉQUENCE NOUS EN PORTONS LES FRUITS, ce qui est le principe de la saloperie Cause-Effet ! On parle bien de « jouir » de ses fruits (de son sperme) ! C’est bien la société mercantile et de sa voie de l’Agriculture !

SPECULUM : 15è siècle (il n’y a pas de hasard !) du latin spéculum (miroir, donc dualité). Instrument servant à explorer (Pour-Voir) les cavités ou conduit de l’organisme, muni d’un dispositif permettant de les élargir en vue de faciliter l’examen, donc dualité sujet-objet. Spéculum rectal, vaginal, etc.
Le contraire de Spéculum ou Spéculer est A-visé : pas d’opinion, pas de but à atteindre, pas de pouvoir. Rien ne peut être affecté (fait E) par le monde des accidents ou spatio-temporel de la dualité. Le Flux de vie du Jet coule au travers du Vaisseau-corps (I-C-I) et maille : Ma-in-tenant) et Main-tenant.
SPÉCULER C’EST FIXER, S’ARRÊTER SUR QUELQUE CHOSE, DONC TRAVAILLER DU CHAPEAU. « Un mental dénué de pensées et tourné vers l’intérieur. Alors le mental voit sa propre source et devient CELA. Mais il n’est pas comme un sujet percevant un objet » (R. Maharshi, entr. 99)

Il est libérateur d’être A-visé, donc sans but, sans Spéculum dans le Cul, sans travail du chapeau (le pieu dans le Cul) et ergoteries à la Grec en tous genres ! On dit d’ailleurs « le travail de la femme » (accouchement, remplacé maintenant par la salariée), mais avec les transhumanistes, l'accouchement va bientôt être tout confort…

Spéculum-spéculer est du Thème SPECTRE-SPECTACLE-DÉPIT, qui tous sont en parfaite dualité sujet-objet. Le Dépit, du latin despectus c’est la vue d’en haut, d’où le « mépris », ou « mauvaise prise » À CAUSE DE L’ÉCHELLE (1), de specere (regarder) qui se rattache à une racine indo-européenne speck (observer).
SPECTACLE/SPECTRE : illusion, productions du mental.

Si le Spéculum perce, le SECRET aussi ! Secret, de 1175, du latin secretus (séparé, secret, de secernere (écarter… comme le Spéculum !) ; étymologie de certes (latin certus : fixé, « sûr ». Bref : FAIRE UN TROU (Stargate du TROUVÈRE).
Comme écrit sur la page précédente : Compagnie Grand Orient de France et sa MOR-AL, L’exercice du Vrai Pouvoir ne peut que s’exercer en souterrain, par conséquence les élections ne sont qu’illusion pour manipuler les peuples. Parce qu’en triomphant, la libre pensée signait son arrêt de mort, car il est naturellement impossible pour tous régimes politique étatiques de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. Donc le « pouvoir du peuple » c’est du pur Hollywood, et la cuisine républicaine inspirée de celle du monde gréco-romain, si subtil que soit sa cuisine, n’a pu tenir jusqu’à nos jours que parce qu’en souterrain le Vrai Pouvoir est exercé par les sociétés secrètes à Pour-Voir (le sentimento-économique) comme le Grand Orient de France ou les think tanks (sociétés écrans), à tel point qu’en 2010 il y avait déjà 6480 think tanks et qu’en 2012 il y en avait 6603 ! Comme déjà écrit si souvent, l’actuelle judéo-maçonnerie spéculative à Pour-Voir est née à Londres… et que ce monde anglo-américain et son oligarchie et sa City de Londres envahit et parasite le monde entier !
Les judéo-maçons spéculatifs à Pour-Voir ont droit au secret, mais pas les peuples qui sont Big brotherisés de partout par l’Empire USionistan et ses vassaux !
Le Vrai Pouvoir politique, c’est-à-dire dont le vrai sens est la connaissance de ce qu’est l’être humain, vivre le « Je suis ce JE SUIS », a continué à être exercé très consciemment et très occultement quoi elles puissent en affirmer le contraire, par sociétés secrètes, qui évidemment en grande majorité sont très très très loin de la Réalisation du Soi-Instant puisque TOUTES SONT PAR ESSENCE LIÉES À LA CITY DE LONDRES, au FRIC/FLIC. L’argent ne peut pas exister sans ses gardiens : les flics et ensuite la justice.

Politique exotérique et ésotérique dans le monde duel : Il y a toujours quelque chose d’invisible derrière la chose visible : « le Vrai cesse d’être vrai dés qu’il est vue ».
Pour la politique ça ne peut plus marcher dans cette dualité : Conclure (en Philosophie, Religion, Science) à partir du sensible (matière visible) de ce qui doit être l’éternel immuable (le Soi) ce sera une inversion du rôle. C’est la pièce coulée (l’homme) qui décide de ce que doit avoir la forme du moule où il a été coulé/formé, comme si l’humain voulait « faire mieux que la Nature », faire mieux que le Soi, donc SORTIR DE L’UNIVERS (rêve de transhumanistes d’informatique).

Il est significatif que cette nouvelle judéo-maçonnerie spéculative anglo-américaine se réfère à l’Ancien Testament, au temple de Salomon et à Hiram Abiff son décorateur et habile ouvrier :
« Nous sommes en effet dans sa main, et nous et nos paroles, et toute intelligence et tout savoir pratique. C’est lui qui m’a donné une connaissance infaillible des êtres, pour connaître la structure du monde et l’activité des éléments, le commencement, la fin et le milieu des temps » (Sagesse 7, 16-18).
Bref, la Sagesse c’est le TAO, ce qui évidemment n’est pas visible ! Mais on n’en fait pas pour autant une secte !!!
De plus et si parlant : « LE SECRET-DÉFENSE » résume totalement la politique du régime républicain mondialisé et confirme que la Vraie Politique ne s’exerce que dans le secret. Sans cela, le régime républicaine s’effondre.

La dissolution du sens du « Connaître toi-même par toi-même » que permettait, trop peu, l’actuelle religion chrétienne, a été fabriqué par UN GRÉGARISME EXCLUSIVEMENT ÉCONOMIQUE, CAPITALISTE, et l’aspect grégaire, le SOCIAL, a été réalisé le plus grégairement en France, et en Occident européen, mais encore de façon plus grégaire aux États-Unis, Empire du spatio-temporel, du matériel et donc de l’économique. Il n’est pas étonnant que dès l’arrivée à Londres de la JMS elle est pu se propager si rapidement aux USA. Dès l’année 1717 des colons introduisent aux USA de nombreux rites maçonniques, mais ils ne sont pas encore complètement « socialisés ». Il faut attendre 1733 pour qu’une loge se forme à Boston (Loge de Saint Jean), en 1738 dans la même ville un loge de Maître se forme. Après 1717 l’activité judéo-maçonnique la plus forte est évidemment en Angleterre, suivie par la France encore monarchique.
Cette nouvelle civilisation est ainsi construire sur un grégarisme renforcée, parce que l’Église de Rome a considérablement perdu de son pourvoir. C’est la mode du social (des travailleurs) : IL FAUT FAIRE COMME TOUT LE MONDE : TRAVAILLER-ACHETER, donc interdit de se singulariser, INTERDIT DE RÉALISER LE SOI (voir encadré ci-dessous), sinon vous serez un « terroriste », un ou une dévergondée car sortie des gonds du Pour-Voir. NOUS SOMMES TOUS SINGULARITÉ, IDIOTÈS.

Avant la catastrophe Néolitique, et pendant des millions d’années, les êtres humains formait une communauté universelle et indivisée (le moi collectif), puis avec la voie de l’Agriculture la communauté ne sera plus universelle mais divisée : naissance des castes et des classes dans la dualité winners-losers, ou initiés-profanes, ou encore dominants-dominés, et la division avec l’économique ;  le tout se résume au seul mot : EGO (moi individuel). De là va apparaître le Pour-Voir, la chefferie, la trinité armée-police-justice, impôts, comptabilité et langage de l’écrit pour les lois et l’administration (le politique), etc. Comme cela l’étatisme va naître afin « d’administrer », et au fur et à mesure il deviendra un MONSTRE MÉCANIQUE ET FROID seulement « réchauffée » dans le cas du Régime Monarchique, mais totalement froid en régime républicain.

La paradoxe du mental est qu’il faut l’utiliser pour le détruire !
« Détruisez le pouvoir du mental en le recherchant. Quand le mental est examiné, ses activités cessent automatiquement. Une autre méthode consiste à chercher la source du mental. Cette source peut être appelée Dieu, Soi ou Conscience. En se concentrant sur une seule pensée, toutes les autres pensées disparaissent ; à la fin, cette pensée disparaîtra aussi. Il est nécessaire de garder toujours la conscience éveillée pendant qu’on contrôle ses pensées, sinon on s’endort » dit Ramana Maharshi à l’entretien 345.

SPÉCULUM/SPÉCULER = IGNORANCE/VAGABONDER/ÉCHANGER.

IGNORANCE : I-gno—r-ance : connaissance de l’Axe, le I du « Point c’est Tout » à nouveau par le ‘je’ ego. Ça donne la dualité sujet-objet soit l’activité mentale. La Dissolution (alchimique) est la Solution. IL N’EXISTE PAS DE SCIENCE OU CONNAISSANCE DE CECI OU DE CELA. IL N’EXISTE QUE LE I-C-I OU AXE : Con-Essence (2) ou Êtreté (JE SUIS) sont dans l’INSTANT. Ceci définit l’ÉTERNITÉ ou CONNAISSANCE. On perçoit (par soi le ‘je’) que SAVOIR n’est pas VOIR comme le grégarisme ou pensée unique le fait par-être machinalement. C’est ne pas faire de Re-jet, d’Ob-jet ; c’est ne pas se voir (ne pas tomber dans le selfie ou narcissisme), donc ÊTRE (E-troit ou E-trois Trinité…).

Avec son American way of life, le monde anglo-américain protestant de la City a construit le selfie, cette société hyper narcissique et égoïste qui ne pense à qu’à bouffer, baiser, acheter, faire/fer ; totale société du spectacle-spéculum-trou du cul.

S’il y a 10.000 ans SI nous avions choisit la Voie de l’HORTICULTURE, nous ne serions pas dans les chaînes de la City de Londres et de son oligarchie anglo-américaine.
HORTICULTURE = [GART] - [OR] – [ORT] – [HORT]
: JARDIN, VERGER : l’Horticulture (Âge d’Or) est plus ancienne que l’Agriculture, il n’y a pas le mercantilisme de la production (le quantitatif, le grand). L’Horticulteur entretient une relation amicale avec la plante, reconnue comme un être vivant, tout comme le jardinier qui « apprivoise » les plantes. Dans l’Agriculture les Céréales sont coupées, tuées ; d’ailleurs elles vont se venger et donner le POP-CORN et HOLLYWOOD. On dit aussi « Prendre un Pain dans la gueule »… Pop-corn : index glycémique très élevé (se transforme rapidement en pur sucre dans le sang, comme la barre chocolatée, les céréales du petit déjeuner de l’Occidental, le riz blanc, les pains, la pizza). L’idéal est donc de manger DE L’HORTICULTURE : légumes colorés à index glycémique bas.

BIEN PLUS QU’UNE RELIGION, LE BLÉ (dans le sens nourriture et argent) FUT UNE FORMIDABLE ENTREPRISE DE SOCIALISATION : travail de re-PRODUCTION englobant à la fois l’espèce humaine et l’alimentation prodiguée aux enfants (aliment = aussi éducation) ; tout cela pour fourbir à l’État et ses banques les esclaves pour l’industrie privée. Ellen Richards, fondatrice US de l’assistance sociale fut une femme veillant « au grain » : « Dans la république sociale [sic], l’enfant est, en tant que futur citoyen, un bien de l’État, et non la propriété de ses parents. Son bien-être est donc directement une responsabilité de cet État ». Voilà qui va donner du grain à moudre pour les Juifs Bolcheviques des Lénine-Trotsky-Staline et leur « Mère-Patrie » !

BLÉ = DIVISION WINNERS-LOSERS : LA RÉUSSITE à tous les prix, surtout à coups de culture (et de pesticides de la dualité bon-mauvais, dont les « mauvaises herbes »…) ! Réussite en partie car le blé, le flouze, le pèze CONDITIONNE.

REMPLACEZ LE PAIN ET LE BLÉ, SINON PROCHAINEMENT VOUS ALLER PRENDRE UN PAIN DANS LA GUEULE, ET VOUS SEREZ ROULÉ DANS LA FARINE (vous serez croqué par l’opinion et ses belles paroles et ses banques), vous allez aussi croquer la pomme (celle des judéo-chrétiens et leur Paradis).

Voyez ce qu’il se passe avec L’EFFET DU BLÉ sur les cerveaux résidant à Wall Street et à la City de Londres !
Comme à Wall Street, le blé favorise : le stockage de graisse (autour des organes, l’obésité et le diabète, et comme une drogue il donne envie d’en consommer toujours plus puisqu’il agit sur les neuromédiateurs du mental. Son index glycémique étant élevé il provoque des maladies cardiovasculaires et le vieillissement des cellules. Le blé acidifie le corps et décalcifie le squelette.





Notes.
1. ÉCHELLE dans ce poème tibétain :
Je vis quelque chose au loin,
et je crus que c’était un animal.
Je m’approchai, et je m’aperçus
que c’était un homme.
Je m’approchai encore, et je compris
que c’était mon frère.

2. ESSENCE (le Soi) : ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».

Lumière de l’Essence et lumière de la conscience sont donc totalement différentes. « Si ceux qui étudient la Voie ne connaissent pas la réalité, c’est parce qu’ils n’ont reconnu que la partie ”conscience” de l’esprit, racine d’une succession infinie de naissances et de morts depuis des temps sans commencements [évolutionnisme], et que pourtant les imbéciles appellent ”l’être originel” », dit un grand maître chan du 9è siècle du nom de Tchangsha, cité dans Le Secret de la Fleur d’Or.
Le principe du Secret de la Fleur d’Or étant « Le Retournement de la Lumière », cela consiste à correctement retourner la lumière primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente [donc c'est une Réalisation du Soi] ».
Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 de Ramana Maharshi, le guide : « Par « guides spirituels », nous entendons ceux qui sont « spirituels » [entre guillemets parce que ce mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont « matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever ».
Avec la razzia laïcité, de nos jours la foi prend sens de conditionnement éducatif en se faisant une idée de Dieu à partir du temporel. C’est donc une fausse foi comme la démocratie n’est pas une démocratie… Mais la Vraie Foi c’est la Connaissance : voir le temporel à partir de Dieu ou du Soi, et ensuite seulement on peut parler de « création ». Donc la Vraie Foi ou Soi étant notre état naturel, elle ne se cultive pas, ne s’approfondie pas !

« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ».
Les Essences, ce sont les « Maîtres » intérieurs. Le Maître n’est JAMAIS à l’extérieur. « Si le maître était vraiment un étranger dont vous attendez la venu, il serait voué à disparaître lui aussi. Quel est l’intérêt d’un tel être transitoire ? » pourrait répondre Ramana Maharshi sur l’attente de leur messie par les Juifs !!!
R. Maharshi ajoute cette importance, que tant qu’une personne se considère comme le corps, le ‘je’ ou mental, alors le maître devient nécessaire et il apparaîtra avec un corps ; d’où ce judaïsme totalement matérialiste attendant un Guru (Messie), et système purement politique de manipulation des foules, comme du temps de Moïse… et crachats et nouvelle crucifixion de Jésus par un P. Bergé et ses moutons en leur laïcité marchande (liberté d’expression ou d’acheter, c’est kif-kif).

« La terrasse de l’âme est dirigée par quelque chose [correspond à la Lumière de l’Essence qui est au-delà de la conscience conceptualisante qui n’est pas la Lumière de l’Essence]. Mais personne ne connaît ce par quoi elle est dirigée et ne peut donc la diriger [la conscience humaine dépend du Soi ou TAO] ». (Tchouang-tseu, Keng-sang Tch’ou).