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CHUTE dans les lois et nombres Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-03-2017 22:52

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Vide, Volonté, Yokaï

 
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CHUTE dans les lois et nombres
parce que le monde n’est pas un objet
avec date de péremption ou ayant
une naissance (Big Bang) et une obsolescence !
 
 
Mazu : Ainsi, ceux qui recherchent la Loi ne doivent rien rechercher. Il n’est pas de Buddha en dehors du Cœur [le Soi], il n’est pas de Cœur en dehors du Buddha. Ne vous attachez pas au bien, ne rejetez pas le mal, ne vous appuyez pas sur les deux extrêmes de la pureté et de l’impureté. Ainsi vous comprendrez que la nature des fautes commises (anupalabhya : l’irréel, l’impossible) est Vacuité. Les pensées ne peuvent être atteintes, car elles n’ont pas de nature propre. Le triple monde n’est que le Cœur (1). L’univers et ses myriades de formes ne sont que le sceau de la Loi unique. Toutes les formes que l’on voit sont des visions du Cœur. Le Cœur n’existe pas en soi, il existe à travers les formes. Mais à chaque fois que vous parlez du Cœur, comprenez que les phénomènes et l’Absolu sont sans obstruction réciproque. Ainsi en est-il du fruit de l’éveil. Ce qui est produit par le Cœur est appelé forme. Lorsqu’on sait que la forme est vide (2), la production devient non-production [ou Vraie Création (3)]. Ayant compris le sens de cela, vous pouvez agir selon les circonstances [dans le Spontané ou le Wou-wei ou Wuwéi : le "non-agir", ou plus vulgairement : le "lâcher-prise”], vous vêtir, vous nourrir, entretenir longuement l’embryon saint (4) et vivre en accord avec le spontané [l’Instant]. Je n’ai rien d’autre à vous enseigner. Écoutez ma stance :
La terre du Cœur s’exprime selon les circonstances,
L’Éveil n’est qu’apaisement.
Les phénomènes et l’Absolu sont sans obstruction,
Il y a simultanément production et non-production.
 
 
Mazu Daoyi (709-788) parle du Soi (la Voie, le TAO) :
« La nature propre est originellement parfaite. Celui qui ne stagne pas dans les phénomènes bons ou mauvais [les noms-les-formes] est appelé ”celui qui cultive la Voie”. S’attacher au bien, rejeter le mal, contempler la vacuité, entrer en contemplation (samadhi), tout cela n’est que création (du mental). Ceux qui recherchent la Voie à l’extérieur s’en éloigne sans cesse de plus en plus. Qu’ils épuisent les pensées du Cœur de ce triple monde ; mais qu’une seule pensée subsiste dans le Cœur, et la racine fondamentale de la transmigration dans le triple monde demeure. Lorsque cette seule pensée disparaît, la racine fondamentale de la transmigration est éliminée et l’on obtient le trésor précieux et suprême du Roi de la Loi [Dharmaraja : épithète du Buddha].
Depuis les innombrables kalpa [mesure de temps dans les textes bouddhiques], les pensées fausses des êtres ordinaires, leurs ruses, leur fausseté, leur orgueil et leur arrogance sont unis au corps de l’Unité. Il est dit dans le (Vimalakirti) sutra : « Ce corps est un assemblage de nombreux dharma [loi, règle, devoir]. Quand il naît, ce sont seulement les dharma qui naissent ; quand il périt, ce sont seulement des dharma qui périssent. Quand ces dharma naissent, ils ne disent pas : « je péris ».
Lorsque la pensée d’avant, la pensée d’après et la pensée du milieu ne sont pas reliées entre elles, chaque pensée est dans l’extinction (nirvana) et l’on appelle cela : « Samadhi du sceau de l’océan », qui englobe toutes choses, pareil à l’océan auquel retournent les cent mille cours d’eau différents, et qui tous sont l’eau de l’océan à la saveur unique et comprenant toutes les saveurs [le JE SUIS].
Celui qui demeure dans le vaste océan se fond dans tous les cours d’eau, celui qui se baigne dans ce vaste océan utilise toutes les eaux. Alors que l’auditeur est à la fois éveillé et égaré, l’être ordinaire est à la fois égaré et éveillé. L’auditeur n’a pas compris que le Cœur saint ne comporte fondamentalement ni causalité, ni degrés, ni pensées fausses. Ainsi il cultive la cause pour réaliser le fruit et demeure pendant vingt mille, quatre vingt mille kalpa dans le samadhi de la Vacuité. Bien qu’il soit déjà éveillé, cet éveil est un égarement. Tous les bodhisattva considèrent cela comme subir les souffrances de l’enfer. L’auditeur, ayant sombré dans la Vacuité et stagnant dans l’extinction (nirvana), ne voit pas la nature de Buddha [parce que fixation].

Ceux qui ne savent pas retourner à la source s’attachent aux noms, poursuivent les phénomènes, de sorte que s’élèvent passions erronées et pensées fausses, et ils cultivent toutes sortes de karma. Mais pour qui est capable en une seule pensée de retourner à la source [Retournement de la Lumière ou Réalisation du Soi], son être entier devient le Cœur saint ».

Notre monde de l’après 10.000 ans de la voie de l’Agriculture est un FÉTICHE, UN ARTIFICE, UNE FABRIQUE DE LOIS ET DE « ISMES » QUI RASSURENT ET ENCHAÎNENT.

FÉTICHE : de 1669, du portugais feitiço (artificiel) ; du latin facticius (artificiel) ; étymologie de faire. Ce sont les blancs, les « civilisés » qui ont inversés, ou inventés ce terme, comme pour dévaloriser les « primitifs ». La CROYANCE-CRÉDI-CRÉDO de toutes religions et du système marchand de la finance de la City de Londres est du pur fétiche !

Darwin entre en piste dans le fétichisme de l’après 1789. Il fétichise ce qu’il nomme « sélection », donc il divise comme tous bons Occidentaux !!! Parce qu’il était sous la coupe de l’opinion du capitalisme, où la sélection faisait la partie du fétichisme du Super Grégarisme (Égrégore actuel) se mettant en place dans l’après 1789.

L’être humain NE PEUT PAS « descendre » du singe. Il est d’une structure antérieure aux singes, qui a produit une succession de « races » (vagues de vie) dont l’humain. Nous sommes d’une vague de vie de primate supérieure, et cette vague de vie descend elle-même d’autres vagues de vie (tout est transformation). Comme l’exprime Mazu, on remonte à la Source créatrice de tous ces phénomènes de vagues de vie.
Donc, l’être humain n’est pas créé à un moment donné, comme un menuisier fabrique une table à telle date et à tel endroit, l’être humain exprime LA FIXATION CAVALANTE permanente, dans un monde qui se veut de plus en plus construit : sorti de l’Eau avec l’arrivée de la catastrophe Oxygène, développement cellulaire et vagues de vie de plus en plus organisées, c’est-à-dire une vie dense, opaque, ramassée ; ce qui va développer le mental, le langage parlé, le produire, la solidarité, etc. (Il existe même une solidarité entre les Arbres, je dirais même qu’elle existe aussi dans les Cailloux : UN EST LE TOUT). 

Bref, malgré l’apparition de l’Oxygène, il était naturel qu’apparaisse la solidarité, mot qui possède un horrible sens : solide, compact, sous (pièce d’Or), bon état. Solidaire contient SOL, le G de ground (raison, base, territoire, etc.)… Alors que TOUT EST FLUIDE ET TRANSPARENT (contraire d’épais, d’opaque, de trouble). Sol se rapproche de Solennel (rite et fétichisation, grégarisme ou égrégore, pompeux). Évidemment, Sol se veut aussi se rapprocher de la base, de l’Origine… Plutôt que Solidaire, le mot de Compassion conviendrait mieux… Mais il n’est pas à la mode où le mot « social » est employé à toutes heures des journées actuelles de Super Grégarisme. Proche du mot Compassion, et peut-être mieux, est le mot du catholicisme : COMMUNION. Mais il a été totalement dévoyé, détourné par cette Église romaine du senti-ment, puis par les Juifs bolcheviques de l’URSS et leur « communisme », puis par nombre de sectes et partis politiques et tous « ismes » qui divisent entre intérieur et extérieur ou initié et profane.
COMMUNION = RÉALISATION DU SOI : TRANSPARENCE, sagesse intuitive non-duelle, Lumière primordiale qui EST la Connaissance. « Lorsqu’on est en accord avec l’Absolu, on parle d’éveil, lorsqu’on est en accord avec les phénomènes [donc avec le corps], on parle d’égarement. Être égaré, c’est avoir perdu le Cœur originel et sa propre demeure [son Soi]. Être éveillé, c’est être éveillé à sa nature originelle et à sa propre demeure. À partir du moment où l’on est éveillé, on l’est pour toujours, et l’on ne retourne pas à l’égarement, tel le soleil qui une fois levé ne peut plus être obscurci », écrit Mazu.

COMMUNION = NON-DUALITÉ. Le ‘toi’ et le ‘moi’ sont transcendés dans le ‘Je’ qui les unifie par triangulation, écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux :

      JE (Soi)

MOI       TOI

« C’est dans le ‘Je’ [le Soi] que se réalise ce que l’Église appelle la « Communion des Saints ». Ce qu’exprime le Christ en disant : « Je suis le cep (‘Je’) et vous êtes les sarments (‘moi’-‘toi’-‘nous’-‘vous’) », écrit Coulonval, décrivant parfaitement la Circumincession ou Circulus formant l’Unité (le NOUS). C’est ce qui va créer la Vraie Personne, le JE SUIS, qui va se fondre dans le seul Universel, en lequel il se réfléchi, et qui réfléchit ce JE SUIS, qui est le non-différencié, la non-dualité, la non-pluralité. C’est cette plénitude qu’à vécu deux fois Jean Coulonval, et moi une seule fois en rêve en forme de Tore en couleurs de l’Arc-en-Ciel (avec l’Instant en Blanc) ; « un fait vital dont ne rendront jamais compte les électrodes sur le cortex cérébral, ni les observations d’entomologistes des cinglés de sciences sociales. Le plus surprenant, c’est que ces imbéciles font prime sur le marché universitaire et disposent de budgets énormes », écrit si justement Coulonval, dans sa lettre d’avril 1975 à Arthur Koestler.

La vie de l’Un (JE SUIS) est dans la communauté, et la communauté est toujours en l’Un ; ce que n’avait pas compris le psychiatre de courant C.G. Jung : Pierre Solié, quand il écrit dans : Médecines initiatiques, aux sources des psychothérapies, page 54 : « Autrement en est-il des mystères helléniques et surtout hellénistiques (après Alexandre), où l’on voit alors la vie individuelle du myste occuper la place centrale. Tous les initiés, individuellement, ont désormais accès au monde de la lumière, où ils participent à la vie éternelle. Ce passages des mystères orientaux archaïques aux mystères hellénistiques est important car il signe la transition d’un Moi collectif tribal - pas de victoire individuelle sur la mort - à un Moi individuel, différencié du groupe et capable d’assumer son autonomie face à lui ; ce que jusque-là, seuls les chefs, les sorciers ou les prêtres pouvaient réaliser ». Par cette dernière phrase P. Solié se trompe totalement, parce que les Anciens se méfiaient comme la peste de toute chefferie ! Comme l’explique parfaitement Marshall Shalins, dans Âge de pierre, âge d’abondance, notamment avec l’invention de la pauvreté, typique de la « civilisation » et de sa chefferie, de sa division administrative ; parce que « la pauvreté ne consiste pas en une faible quantité de biens, ni simplement en une relation entre moyens et fins ; c’est avant tout une relation d’homme à homme […] En tant que tel, la pauvreté est une invention de la civilisation, qui a grandi avec elle, tout à la fois une distinction insidieuse entre classes et, plus grave, une relation de dépendance… ».
Non seulement les Anciens refusaient la chefferie, donc l’État, mais refusaient aussi l’économie, qui ne peut que coller à l’étatisme et à son administration, son calcul et ses lois…

RAPPEL : Nous ne sommes que DE PASSAGE ici sur cette Terre. Naître = VOYAGER dans un Vaisseau, le VASE (qu’on retrouve dans la Pistis Sophia gnostique, et dans le saint Graal), le corps, le ‘je’ ou ego.
Comme le disait Ramana Maharshi, naître et mourir c’est encore dans le mental ! Ce qui va engendrer la souffrance ou tristesse quand un proche meurt. Tristesse : phénomène mental. Donc tristesse qui empêche de connaître que la vie ne s’arrête pas à la mort d’une personne aimée.
La civilisation démocratique du capitalo-socialisme absolue est par essence l’ANTI-CRÉATION, L’ANTI-NATURE : voyez ce que rêvent de faire/fer les transhumanistes !!! Dans cette anti-création, le groupe humain n’est plus qu’un ensemble de multiples séparatifs, des ego allant à la dérive prisonniers de leur dualité, prisonniers de leur culte du narcissisme sur le marché du spectacle de la VALEUR, idole suprême des 10.000 ans ! Le faux plaisir est nommé « liberté » (et « libre circulation »… de l’argent), soit le « pouvoir d’achat » de consommer-consumer ! Donc l’humain actuel a une relation aux autres, ou a un social pathologique, totalement faussée. Dans cette maladie de cette mode du « tout social » (Super Grégarisme), l’autre, n’est qu’un « faire valoir » : une marchandise, une utilité, un objet, COUPÉ DE TOUTE COMMUNAUTÉ, ALIÉNÉ, NON GRATUITÉ. Donc puisque l’humain actuel s’est coupé du Cosmos et de l’universel, la mort devient un drame, une peur effroyable que l’on cache ; cette mort sera comme une réactivation ou enrichissement du Super Grégarisme. Chez les Anciens, la mort est accepté naturellement comme un Amour renaissant : du A privatif et mort (mour) : privation de mort. Alors il n’y a ni naissance ni mort mais éternité !
« Il en va de même de la naissance et de la mort qui sont, elles aussi, des rêves dans un sommeil. En vérité, il n’y a ni naissance ni mort » (Ramana Maharshi, entretien 244).
On retrouve cette éternité dans le judaïsme, mais coincée, y compris chez les premiers Hébreux !… Les Hébreux étant des copieurs, ils apercevront cette vie éternelle chez d’autres, les Perses et le courant indo-européen notamment (voir le mazdéisme, le zoroastrisme).

Donc le plaisir, la renommée et le compétitif et ses médailles et diplômes, le jouir actuel va se transformer en une sorte d’universalité en forme de narcissisme ou exaltation extrême de l’ego. Donc exaltation extrême de la passion, du plaisir, qui va engendrer son inévitable contraire la douleur, qui va engendrer le business mondial de la drogue, légale ou illégale c’est la même chose car sans cette industrie, l’économie de la City de Londres s’effondre. Le jouir de la City c’est le social actuel : la rencontre de l’autre devenu objet de consommation ; il n’y a pas addition mais multiplication, le quantitatif ou production.
« Le bonheur est notre condition naturelle ou notre nature. Le plaisir et la douleur sont relatif ; ils tiennent de notre état limité et se développent en fonction des satisfactions des désirs [l’ego] » (R. Maharshi, entr. 28).
À l’entretien 203 : « Plaisir et douleur sont tous deux des créations mentales ».


Notes.
1. Le triple monde ou les trois royaumes (Traolokya) : monde du désir (kamadhâtu), monde de la forme (rupadhâtu), et monde du sans forme (arûpadhâtu). Triple monde ou Cœur. Le triple monde désigne parfois dans le chan : monde de la cupidité, monde de la bêtise, monde de la colère, soit les trois mondes des trois poisons. Mondes à retourner en monde des préceptes (jie), monde de la concentration (ding) et monde de la sagesse intuitive (hui).

2. Sûtra du Cœur : « La forme est la Vacuité, la Vacuité est la forme, la forme n’est pas différente de la Vacuité, ni la Vacuité de la forme ». Ce qui rejoint l’entretien 264 de Ramana Maharshi, si souvent cité dans le site :  « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous les deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».

3. CONSTRUIRE C’EST S’IDENTIFIER À CELUI QUI AGIT, QUI TOMBE DANS LE FAIRE/FER.
CONSTRUIRE C’EST AVOIR L’INTENTION DE… C’EST CALCULER, ANALYSER…

4. Embryon saint ou Shengtai : dans les écoles d’Alchimie influencées par le chan, le terme Shengtai peut être interprété comme techniques psycho-physiologiques taoïstes et désigner l’embryon de lumière formé à l’intérieur du corps de l’Adepte et capable de s’extérioriser en sortant par la fontanelle. Bref, Shengtai est un terme complexe. (Réf. Les entretiens de Mazu, trad. par Catherine Despeux).
 
 

Dernière mise à jour : 25-03-2017 23:24

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