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Instant, Spir, Spiration, Inspiration Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-04-2017 01:04

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Instant, Spir, Spiration, Inspiration
SPIRE : TORE, Tour complet.
SPIR : SOUFFLE, SPIRITUS, RESPIRE
Notre état est d’être INSPIRÉ,
NOUS SOMMES EN RÉCEPTION.

eS-prit / S-pirit : le cerveau est
empli par la raison ou l’intellect,
c’est un phénomène de conscience collective, ce
qui sert à se représenter, à inventer le monde.


Page sur les coupés en morceaux ou Eucharistie-Putréfaction.
Formule exacte de l’Alchimie : PUTRÉFIE (1) !
 
 
 
D’après une légende autour du maître chan Shâkyamuni, relatée par Kôdô Sawaki (1880-1965). Tant sa renommée commençait à grandir, qu’un jour un Réalisé vivant fut convoqué devant le roi du pays.
- On dit que tu pratiques la patience (2) comme aucun de mes sujets. Si c’est vrai, quoi qu’il arrive, tu ne te mets jamais en colère ?
- C’est exacte, j’ai la faculté de tout endurer, répondit le Réalisé.
- Nous allons voir si tu dis vrai.
Le roi prit aussitôt son sabre et lui trancha les mains et les pieds, puis le découpa en cinq morceaux, puis en petits cubes de trois centimètres de côtés (on se croirait dans le film Cube). Les témoins rapportent que le Réalisé resta impassible. On pourrait penser qu’il aurait dû mourir après avoir eu le cou tranché, mais on rapporte que même réduit en poussière, il n’avait aucune blessure. C’est impossible ! diraient les septiques occidentaux. C’est parfaitement possible chez un Réalisé vivant de la trempe de celui-là qui était sans ego, sans aspect humain, sans conscience profane, sans âge ; qui n’avait pas de « moi », qui n’avait ni naissance ni mort. Par conséquent, quoi qu’il advint, il était toujours dans l’Instant et dans l’Instant il retrouvait son état originel. Ce qui correspond parfaitement à l’ÂGE D’OR, quand la chair d’animaux ou d’humains était dépecée elle repoussait aussitôt ; les objets et les êtres volaient, les animaux pouvaient se métamorphoser en humains, et réciproquement. C’est l’ÂGE D’OR. Et le Réalisé vivant réduit en poussière par le sabre du roi se reconstituait aussitôt. Le Respirianisme ou Inédie est un « souvenir » de cet Âge d’Or, souvenir de l’Eau primordiale avant la catastrophe Oxygène, au temps des Grands Anciens un peu évoqué par Howard Phillips Lovecraft, quand il y a des courts-circuits entre l’Âge d’Or et l’âge de fer âge actuel.
 
La Chute ou oublie de cet Âge d’Or va provoquer l’Histoire-Opinion-Temps qui coule : ego, corps, conscience conceptualisante et chronologie tueuse. Le Réalisé vivant décrit ci-dessus avait aboli ces quatre obstacles qui sont cause de toutes nos souffrances, ainsi il restait intact comme au « premier jour ». Son état de conscience est appelé Lumière de l’Essence, qui n’a rien à voir avec l’inconscient collectif de C.G. Jung ou la Noosphère de Teilhard de Chardin qui est encore du domaine mental de ses noms-les-formes dépendantes des cinq sens. Un état de conscience en Lumière de l’Essence aussi appelée au Japon « Concentration du Diamant » (kongô-zanmai), et en sanskrit vajrasamâdhi (ou vairâgya : absence de passion, détachement (3) : le plus haut niveau de concentration qui en comporte huit. À ce plus haut niveau il y a transparence totale, plus aucun obstacle, seules subsistent l’impassibilité et la Vraie Création, la STARGATE.

Le Réalisé vivant découpé en morceaux ressemble à la fois à Osiris et à un Alchimiste authentique ayant réalisé la Pierre : aucune chronologie ne peut s’attacher à ces entités. On ne peut que parler de « kalpa » : « temps » requis pour faire disparaître par usure naturelle un bloc de Calcaire dur de dix-huit kilomètres de côté, quand une fée s’y pose et l’effleure une fois tous les cent ans avec sa traîne de plumes. C’est le kalpa de Calcaire dur. Un autre kalpa sera celui de coquelicots. Un énorme silo de dix-huit kilomètres de côté, rempli de coquelicots forme un kalpa en temps nécessaire pour le vider en prélevant une graine tous les cent ans !
Tout ça indique que le temps qui coule n’est qu’une conception du mental, une duperie de l’ego et de ses cinq sens. Alors nous détestons souffrir, l’extérieur nous vend sans arrêt du sécuritaire, et de l’autre côté il nous vend du plaisir : nous détestons travailler et préférons dormir. Alors tout ça se transforme en speed : la civilisation et sa « fin des temps » : courir toujours vers la Super Carotte : courir toujours DANS LA DISTANCE, DANS LE SPATIO-TEMPOREL. C’est l’âge du Faire/Fer, le contraire de l’homme tranquille du Réalisé vivant. C’est l’âge de la dualité guerrière, du bon-mauvais ou du pur-impur, etc.

Après la souffrance vient le plaisir, après le plaisir vient la souffrance. Ça n’a pas de fin, c’est du Kronos bouffant ses enfants, de l’évolutionnisme imbécile (dont certains en on fait leur business mondial comme en sont maîtres les mutilés au huitième jour de naissance ; eux ils savent qu’ils sont nés, on leur coupe le prépuce à cette fin !!! Alors ces gens courent, surtout en travaillant du chapeau ; ils courent en réseaux informatiques, en avions, en puces de cartes bancaires, en algorithmes de Wall Street, toujours plus speed, toujours plus connectés. Il ignorent la Fixation Cavalante ou Sagesse Immobile.
L’ego fait tant de ravage qu’il fait s’interroger sur la Super Carotte : Après-Vie, récompense (Paradis) ou punition (Enfer). Carotte, Carotte, Carotte :
Timour Leng (ou Timur Lang) a convoqué Nasr Eddin pour une affaire sérieuse.
- Nasr Eddin, tu as acquis, dit-on, la connaissance des mystères. Je voudrais donc que tu me dises ce qu’est une certaine science occulte appelée « ésotérisme », paraît-il.
- Par la barbe du prophète, seigneur, je n’ai jamais entendu parler de cette science-là !
- Eh bien, informe-toi, questionne. Je veux que tu me fasses un rapport là-dessus dans un mois.
Un mois plus tard, Nasr Eddin, qui entre-temps s’est borné à cultiver son jardin et à bichonner son âne comme d’habitude, revient à la cour, mais les mains vides.
- Nasr Eddin, je vois que tu as oublié ce que je t’avais demandé.
- Oublié ? Ô maître du monde ! J’ai parcouru des provinces entières, j’ai questionné les plus grands sages, j’ai lu des centaines de traités. Et qu’Allah me maudisse si je mens !
- Mais alors donne-moi ton rapport. Je ne le vois pas.
- Mon rapport tient en un seul mot !
- Comment ? fait Timour stupéfait, un seul mot pour expliquer toute une science secrète ! Dis-moi donc lequel.
- CAROTTE ! crie soudain Nasr Eddin aussi stupidement que glousse un dindon.
- Comment carotte ? Que signifie cette incongruité ?
- CAROTTE ! répète sur le même ton Nasr Eddin. J’ai appris deux choses sur « l’ésotérisme ». La première, c’est que beaucoup d’ânes s’y intéressent. La deuxième est que, fort heureusement, la partie la meilleure en est cachée.
[D’après l’édition préparée et présentée par Jean-Louis Maunoury, Phébus Libretto]

Après-Vie qui va avec la Réincarnation : Combien de fois suis-je né ? et idem pour la mort. Alors on pense karma, ou Réalisation du Soi. Avoir peur de la mort est le propre de l’ego. Dans un incendie dans un local où il y a foule, les ego marcheront sur les plus faibles qui seront tués ; c’est le « chacun pour soi » animal et individualiste. Grande différence entre entre être à la merci du karma et se réaliser librement !

Nous sommes l’Univers nous sommes dans l’O-céan (Océan primordial, ICI et MAINTENANT). O-Céan : O, Tout est ici et maintenant, il y a beaucoup d’O (« La Nature a horreur du Vide »).
O-Céan : rien dans le Tout et tout dans le Rien ; la réalité finie et limitée est en même temps, par la grâce du Soi, infinie et illimitée (et non par la grâce des transhumanistes).
Une des rares vérités, et ÉGALITÉ, que même ne peuvent résoudre les transhumanistes : personne ne peut résoudre l’énigme de la mort ; puisque s’il y a une naissance il y a obligatoirement une mort, même pour les transhumanistes ! Si vous fabriquez une « machine éternelle » elle aura bien une date de naissance, et au bout de x temps, qui pourra lui décerner son « diplôme d’éternité » ? La seule éternité possible ne peut qu’être l’INSTANT, le ici et maintenant ; chaque jour, chaque Instant est unique, pas de double, rien n’est pareil à chaque Instant ; la routine est une illusion de l’ego, de même que la certitude (opinion).

Vie et mort sont comme l’effet domino, mais DANS LES DEUX SENS, comme les nuages sont sans pourquoi : ils passent, ils sont nuages. Effet domino dans les deux sens, comme le pontife ou initié passant le pont entre vie et mort. Rien n’est pareil à chaque Instant, rien n’est fixe. Même un état de « Concentration du Diamant » n’est pas « la fin des temps » modèle « Circulez ya plus rien à voir ». Tout ne s’arrête pas, on est dans la Vraie Création que symbolisent le Tapis Volant ou le Jardin (Paradis). La vie et la mort sont le Tapis Volant, il vole parce qu’il est Vraie Création ou « terrain de jeux » du Réalisé vivant. Le Tapis vole dans les airs au gré du Vent, car il n’y a rien à cacher, rien à fuir ; il est porté par vie et mort ou Soufre et Mercure.

Voler sur le Tapis = non-production : pas de production de vie, pas de production de mort. Mais, s’il y a non-production, comment il y a mouvement ? Seulement par le ici et maintenant, le Soi ; il n’y aura plus « distance » vie et mort puisque l’Univers lui-même est vie et mort, Soi. La Chute commence quand il y a division winner-loser ou riche-pauvre. Dans un pays où n’existe que des pauvres il n’y aura aucun riche ! Ce sera la pays de ceux qui retrouvent leur Origine, leur vraie Vie, avant de chuter dans la matière. Le « enrichissez-vous ! » de l’après 1789 et attribué à Guizot voulait faire un monde où il n’y aurait que des riches… Plus de deux cents ans après nous en subissons encore les conséquences infernales !
Bien mieux : Sans richesse, pas de pauvreté ! La dualité c’est la guerre : laideur-beauté, désirs-répulsions, vie-mort, etc.
NON-PRODUIT = NON-DIVISION, NON-RELATIF. S’il y a non-relatif, il n’existe plus le relatif guerrier : bonheur-malheur, plaisir-souffrance, amour-haine, honneur-honte, bien-mal, naissance-mort. AUCUN BUT À ATTEINDRE.

LES CABINETS D’AISANCE, TEMPLES AUX GRAFFITIS (graffitis les billets et leurs planches comme planche des loges judéo-maçonniques spéculatives, graffitis obscènes des animaux humains). Telle est la voie de la religion de la merde ou on fait caca et de l’eucharistie : la GRAVITATION modèle Newton et sa pomme.
Temples aux graffitis : LOI DE SUCCION ou d’ATTRACTION de dualité sujet-objet. Attraction : traire, spiration a-spiration : privation de spiration, comme a-muser est privation des muses. Attraction ou Aimant. Modèle Centripète.
Traire, téter : boire le lait pas succion répétée. Le tétéphone est une succion symbole d’un manque de quelque chose.

Temples aux graffitis : LOI DE SUCCION ou d’ATTRACTION de dualité sujet-objet. Il est bien connu que quand on est isolé, au cabinet sur le trône seul avec soi-même, on travaille du chapeau, ou au pire on lit un journal. Et comme on est encore dans son ego, on griffonne sur les murs des cabinets d’aisance à l’extérieur de son habitation des dessins obscènes illustrant ce qu’il y a en dessous de la ceinture. Évidemment, ça c’est valable dans les lieux d’aisance en dehors de son habitation. Chez soi en principe on ne dégrade pas son lieu d’aisance ! Bref, beaucoup d’Histoire-Opinions-Temps qui coule sont faites sous le regard d’autrui, du social, là où la couverture sociale est aussi mince qu’un papier hygiénique. Seulement le Vrai Temple ce n’est pas le cabinet d’aisance, mais soit, la forêt, le désert, ou la montagne. Là, la couverture sociale disparaît : on ne peut plus mentir et se mentir à soi-même, on ne peut plus exercer la tyrannie de l’opinion, qui continuait d’ailleurs à être exercée sur les murs des cabinets d’aisance à l’extérieur de chez soi.
Quand on ne peut plus mentir à soi-même, on est désert, forêt ou montagne. À cela il faudrait aussi ajouter la mer : navigateur solitaire et en longue durée… Mais pour se réaliser, pas besoin de ces lieux, « tous lieux se valent pour moi » disait le chat qui s’en va tout seul de Kipling.

AISANCE : se soulager. Les excréments sont considérés comme réceptacle d’énergie : voyez les mouches « à merde »… Ce qui sort de l’humain est puissance biologique qui peut avoir un sens sacré, donc ambigüe par principe. Voir la bouse du Scarabée et la bouse de vache pour chauffer, ou le fumier pour aussi « chauffer » la terre. Or métal et excréments se rejoignent dans de nombreuses traditions. Or-dures. Et dans l’histoire ci-dessus où le roi réduit en « poussière », ou excrément le Réalisé, indique que cette réduction est comme une énergie permettant la reconstitution instantanée des parties du Tout du Réalisé. Le roi avec la complicité du Réalisé obtiendrait ainsi une sorte de Pierre Philosophale
D’ailleurs une épopée irlandaise, texte : Aided Cùroi (Mort de Cùroi) va dans le même Thème : après un bataille où le partage des dépouilles a été particulièrement inégal, le roi de Leinster, Cùroi, n’a rien reçu, bien qu’il ait prêté aux Ulates un secours très précieux. Pour se venger, il vainc le jeune héros Cùchulainn en combat singulier, le scalp, et le jette à terre pour lui enduire la tête de bouse de vache. Mais, par cette action, Cùropi n’a pas rabaissé son adversaire, mais l’a augmenté, lui a donné des forces nouvelles comme pour se reconstituer. Bref, ici la merde est parfaite Pierre Philosophale régénératrice totale d’un être, comme une MÉDECINE UNIVERSELLE (attention, ne mangez pas vos excréments…). Réf. article Excrément, du dict. des symboles, de J. Chevalier et A. Gheerbrant. L’eucharistie entre bien dans ce même Thème…

Dans le cabinet d’aisance de son habitation on est seul, on ne partage pas ; alors que dans un cabinet d’aisance à l’extérieur, on partage en griffonnant des obscénités sur les murs !
Il n’en était pas de même sous l’Empire romain où l’on faisait caca à plusieurs comme de nos jours on boit son petit rouge ou son café au bistrot en refaisant le monde en compagnie des autres consommateurs. Bref, il y a isolement et isolement par l’opinion. La forêt ce n’est pas social. Le vil du village de la ville du citoyen ou du bourg du bourgeois c’est le social et le contraire de la réalisation, le contraire du vrai social : inné-igné ou résolution du dilemme indivisualisme-collectivisme (lié et délié).

Le Thème des coupés en Morceaux comme le Réalisé mentionné plus haut et Osiris représentent LA PUTRÉFACTION : corruption / saturne. Renoncement [renoierie] / digestion / abandon. Faire acte de renoncement à l’opinion, à son intelligence. Laisser un grand repos à son mental ; le LAISSER DIGÉRER.  LACHER PRISE / FLUIDE / COULER / COLON.
L’Esprit remplit ce qui est Vide (Nature a horreur du vide).
RENONCEMENT [RENOIER) [NOIER] [NIER] : TUER, NOYER.
BLANC + ROUGE = ROSE ou OR (Pommier).
Dans le sens anonciation ou suspendre un temps, la Putréfaction est comme un SILENCE, c’est une sorte de SEPT : BLANC (potentiel des sept Couleurs), et aussi jour de repos.
- Dans la Fermentation, Feu acide et froid (levain, moisissure-émetteur ou enzyme) le corps change de Nature.
- Dans la Putréfaction, Feu alcalin et chaud (matière Vase et Fourneau puisque le Feu introduit est le Feu Naturel qui cuit la Matière), le corps échange ses vêtements (il jette ses vieilles nippes pour endosser de la belle toilette).
C’est donc la phase qui suit la Fermentation.

LE MAÎTRE DU MONDE (Royaume de Dieu (juif) sur Terre) : LE MENTAL OU RAISON !
Certains veulent le maîtriser, d’autres veulent l’exalter. Alors, où est la Paix dans cette division élus-non élus ou winner-losers ? Ceux qui font de la publicité et ceux qui la gobe ?
Al-or-s, de quel Or s’agit-il ? (Alors ayant pour étymologie heure, et sens de ici et maintenant). Al le Soleil, Or le métal, et S de ESS-ence ou S en Ce, S en Ciel, ES-compter (ne pas compter, ne pas tendre comme a-t-tendre)…
S’agit-il de l’Or des Juifs ? Ou de celui des autres ?
Division, division, division… comme toutes opinions.
Osiris comme le Réalisé coupé en morceaux, comme Christ-Jésus RESSUSCITENT comme la végétation au printemps (cycle-rythme). Osiris à rapprocher de Baal-Marduk, tous deux prototype, comme Ptah, comme Christ-Jésus, de la Réalisation du Soi ou Instant, le retour à l’Eau primordiale avant la catastrophe Oxygène. Bref, il n’existe ni naissance ni mort !!!
Le Réalisé rédempteur, ou l’Osiris ou Christ-Jésus rédempteur, et plus lointain Path, SONT LA VIE et le mariage naissance et mort formant l’Unité, le non-né (aucun Big bang).


Notes.
1. PYTHON : animal chthonien, Serpent monstrueux né de la boue de la Terre GAÏA, laissée par le déluge de l’un des quatre âges, l’âge de Bronze, et de Tartare. Python fut tué par APOLLON Dieu Grec de la Lumière (origine ouranienne). La Putréfaction du Serpent fut le triomphe d’Apollon en même temps que le Soleil (RAYON ou FLÈCHE. Après Apollon, les oracles ne viennent plus du fond de Gaïa, mais du Ciel de Delphes (voir plus haut excréments et cabinet d’aisance).
PYTHON = GUEULE. Combat symbolique en dualité conscience-inconscience.
Python semble représenter dans la notion de Dieu solaire, ce qui est bon et ce qui peut être néfaste : le Soleil apporte des vitamines pour le corps humain, mais il brûle aussi la peau et les yeux si l’on n’y prend pas garde.
Son pendant TYPHON est un monstre de la légende grecque. Il engendre CERBÈRE, L’HYDRE DE LERNE, la CHIMÈRE etc... Il a faillit vaincre ZEUS ! C’est donc l’ennemi de l’Esprit.
Selon H.P. Blavatsky, Typhon vient de l’Égypte ou l’inondation du Nil était appelé Typhon, en Basse Égypte les tertres élevés le long de la rivière pour empêcher les inondations fréquentes, portaient le nom de Typhoniens ou Taphos.
Typhon dans l’un de ses symboles est représenté par un âne (voir la symbolique des premiers chrétiens nommés « âniers ». Enfin Typhon représente aussi un gaz dangereux (Volcans).

2. Patience, patient : 1120, du latin patientia, de pati (souffrir). Étymologie de passion (endurer, supporter, tolérer, sang-froid). Pacient : le mari qui souffre patiemment les infidélités de sa femme ; Patinous : misérable, qui souffre beaucoup (réf. Glossaire de Du Cange).
Normalement nous n’avons pas à souffrir, la Félicité étant notre état naturel… Alors NOUS SOMMES PATIENT et PATIENTE, TRANQUILLE : ‘Je’ est Dieu, le « Je suis » (dénué d’ego) comme l’indique Ramana Maharshi à l’entretien 226. Nous sommes dans PER (maison en égyptien) maison ou Demeure du Sans Pourquoi. PER comme PERfection, PERception. PER maison ou VAISSEAU.
RESTER TRANQUILLE = QUI SUIS-JE ? Puis l’abandon total, sans trace d’individualité. « Le sentiment d’être celui qui agit est la servitude et non les actions elles-mêmes », dit R. Maharshi à l’entretien 354, exprimant la non-distance, donc l’état tranquille, patient, sans penser.
ÊTRE TRANQUILLE = ÊTRE SACHANT (et non plus être « croyant » ou en pensée, en raison, comme depuis des millénaires).

3. Vairâgya : détachement amenant à la concentration avec absence de pensée dispersée. « On peut choisir Dieu ou un mantra. Le mental acquiert alors la force de capter ce qui est subtil et de s’y absorber », dit Ramana Maharshi à l’entretien 28.
« Abandonnant, sans rien excepter ni rien laisser, tous les désirs nés de la volonté de désir [penser pour soi], et maintenant les sens par le mental afin qu’ils n’aillent pas courir de tous côtés [principe du vagabondage mental], on doit lentement faire cesser toute action mentale par un intellect maintenu dans l’étreinte de la stabilité, et, ayant attaché le mental au Moi supérieur [le ‘Je’], on doit ne plus penser à rien ». Bhagavad-Gîtâ, chapitre 6, 24-25.
 
 
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Dernière mise à jour : 14-04-2017 01:45

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