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Andrew Jackson criminel esclavagiste Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 28-05-2017 23:52

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Chimère, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Fusible, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Usure, Vase, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Andrew Jackson criminel esclavagiste
sous le Thème Winners de Donald la Trompe :
ego, winnerisme, mensonge, Big Brother,
qui se résume par le mot POUR-VOIR.


L’Europe et l’anglosaxonisme esclavagiste.
Il est certain que nous n’avons JAMAIS été en démocratie,
mais que nous sommes sous tyrannie de l’opinion d’une chefferie.
 
 
PERRUQUES POUDRÉES et POSTICHE = WINNERISME, MASQUE, PERSONA, COUVERTURE SOCIALE et SUFFISANCE : la perruque a été à la mode tout le temps qu’ont prédominé les Jésuites, et l’apogée de son prestige se trouve sous le roi absolu : Louis XIV. Perruque est symbole de paroisse : appartenir à une classe de gens riches (les paysans ne portent pas de perruque), une paroisse. Les cheveux sont censés représenter une personnalité, bref : un corps, aussi des Amérindiens s’emparaient-ils des « postiches » des blancs comme pour posséder leur énergie, leur persona. Se rappeler que l’entrée dans l’état monastique implique la coupe des cheveux (tonsure). La symbolique des cheveux se rattache aussi à l’herbe, donc à la végétation (un forêt chevelue comme « La Gaule chevelue » Gallia comata), la croissance, l’ascension, d’où l’apothéose des perruques sous le règne de Louis XIV considéré comme le Graal de civilisation (voir le château de Versailles et le style d’époque)… Cheveux = puissance : les rois avaient seuls droit aux cheveux longs, Samson est totalement en symbole de ses cheveux longs, etc.
Le winnerisme, dans la trame des religions messianiques du Salut, celles qui ne bouclent pas en Circulus mais font dans la géométrie de la ligne droite : l’évolutionnisme, soit le marxisme et le darwinisme.
Donald la Trompe a maintes fois cité son modèle le président américain Andrew Jackson, qui obtient deux mandats entre 1829 et 1837.
Autre lien sur L’Obs.
 
Voici ce qu’en dit l’historien des Etats-Unis, Howard Zinn :

« C’était Andrew Jackson. Il fut un spéculateur foncier, un marchand, un marchand d’esclaves et l’ennemi le plus agressif des Indiens de toute la jeune histoire des Etats-Unis. Il devint le héros de la guerre de 1812, qui ne fut pas comme le disent les livres d’histoire, seulement une guerre contre l’Angleterre pour la survie de la nation américaine, mais une guerre expansionniste d’une nouvelle nation, vers la Floride, le Canada et dans les territoires indiens. […] Si vous lisez les manuels d’histoire, vous y trouverez Jackson l’homme de l’expansion vers l’Ouest, Jackson le soldat, le démocrate et l’homme du peuple, mais jamais Jackson le spéculateur foncier, le bourreau des soldats dissidents ou l’exterminateur d’Indiens… »
Andrew Jackson a proposé et signé l’Indian Removal Act ou loi sur la déportation des Indiens. Le principe de tout empire est la COLONISATION ESCLAVAGISTE selon le principe évolutionniste en géométrie de la ligne droite.

Dès 1783 le vrai capitalisme se situe à Londres, et à cette date l’Angleterre est déjà le centre du monde de cette religion de l’argent. Les États-Unis n’ont qu’un capitalisme en second, mais qui va s’étoffer pendant les guerre anglaises contre la France républicaine et ensuite impériale (1793-1815).
Au 17è siècle l’Afrique devient la City de Londres : TRAITE DES NÈGRES. L’Italien Gio Antonio Cavazzi, qui séjourna en Afrique de 1654 à 1667 note « que pour un collier de corail ou un peu de vin, il arrivait aux Congolais de vendre leurs propres parents, leurs enfants, leurs sœurs et leurs frères, jurant en même temps aux acheteurs qu’il s’agissait d’esclaves domestiques », cite Fernand Braudel dans : Civilisation matérielle, économie et capitalisme, 15è-18è siècle, vol.3 : Le temps du monde, chapitre : Le monde pour ou contre l’Europe.
Braudel écrit que les Européens ont attisée consciemment la convoitise. Par exemple les Portugais ont le goût des vêtements comme signe de rang social, etc. Un Portugais propose en 1667, à Sofala, d’obliger les Noirs du commun, qui vont tout nus sans vergogne, à porter des pagnes ; alors « tout le tissu que peut produire l’Inde ne suffira pas à assurer les besoins de la moitié seulement des noirs ».

Fernand Braudel précise : « En Afrique, un commerce des hommes , c’est que l’Europe l’a voulu et imposé, certes. mais c’est aussi que l’Afrique avait la mauvaise habitude de le pratiquer bien avant l’arrivée des Européens, en direction de l’Islam, de la Méditerranée et de l’océan Indien. L’esclavage est, chez elle, endémique, quotidienne structure, dans un cadre social qu’on voudrait en vain mieux connaître ».

L’esclavage se présente sous plusieurs formes, en corrélation avec les diverses sociétés : esclaves de Cour, esclaves incorporés dans les troupes du prince, esclaves domestiques ou de case, esclave d’agriculture, esclaves d’industrie, de courrier, d’intermédiaire et même de marchands.
Les recrutements sont à la fois internes, locaux (la délinquance en Occident conduit aux galères, puis plus tard aux bagnes, et longtemps à la peine de mort ou à l’esclavage) ; ou en externe : à la suite des guerres ou de razzias contre les peuples voisins, comme du temps de la Rome impériale.
Évidemment à force d’habitude et de son tout confort, guerres, raides deviennent une industrie, un « isme ». Les esclaves de la récolte guerrière deviennent si nombreux qu’ils vont se retrouver au chômage, comme de nos jours ! Il faut donc les vendre sur les marchés extérieurs, donc les faire migrer pour envahir l’extérieur de l’Afrique.
Dès le 16è siècle les Tartares de Crimée deviennent pourvoyeurs d’esclaves russes, à la demande d’Istanbul.

Les sectes politiques et « sauveurs » de la « Nation » et la tyrannie de l’opinion.
Ici je remet en refrain la prose du judéo-maçon spéculateur Armand Bédarride (1864-1935) mentionnée par Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux :
« Si vous voulez un livre qui soit à la mesure de notre temple, faites-le avec ce qu’il y a de plus sage, de plus pur, de plus saint, de plus héroïque, de plus noble, de plus culturel, de plus beau, dans tous les livres qui servent de guide à la vie de l’Esprit, dans ceux qui ont servi et servent encore de flambeaux aux consciences dans leur marche vers la perfection toujours fuyante ; adressez-vous à tous les pasteurs d’âmes, qu’ils se soient donnés comme représentants de la Divinité ou de la Raison... Des profondeurs des ténèbres primitives la pensée humaine a marché peu à peu vers une lumière toujours plus grande : en des langages divers l’Esprit a tracé les annales de son progrès... N’ayez pas peur de les rapprocher, de les confronter, de les exalter les unes par les autres ; au contraire, vous avancerez ainsi dans la direction de la « Parole Perdue » [symbole judaïque] ».

Ce judéo-maçon voudrait reconstituer et voir simultanément toutes les faces du polyèdre et ce serait en cela que, selon lui, est la « vraie religion ». C’est exactement celle du POUR-VOIR, celle de Lucifer qui veut être Dieu à la place de Dieu, celle du VOYEUR puisque travailleur du chapeau ou de l’ego. Mais ce judéo-maçon résonne comme un évolutionniste en progrès permanent qui mène nulle part, sinon dans le mur. La Connaissance n’est pas un bagage intellectuel comme le rêve Bédarride, un savoir scolaire et universitaire bardé de diplômes, honneurs et médailles.
Seul celui qui ne cherche plus à posséder peur découvrir et con-naître (naître avec), car comme le nom l’indique, la Connaissance ne peut se faire dans la dualité sujet-objet, mais se fait uniquement DANS L’INSTANT, PANique, PAR ÉMISSION DU TOUT DANS L’INSTANT et hors de l’ego de l’individu.
La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties.

L’être humain actuel est comme un enfant qui veut « sauver » un insecte ou « apprivoiser » un être qui va en faire son repas, comme les losers crétins qui récoltent une forme de vie extraterrestre, font leur cinéma de sentiments, pour finalement se faire bouffer par le E.T., comme l’exprimait déjà Tchouang-tseu dans : Le monde des hommes. Le Alien des séries de films hollywoodiens y est déjà exprimé.
« Un homme aimait passionnément les chevaux au point de mettre précieusement leurs excréments dans un panier et leur urine dans un coquille d’huitre. Il jour qu’il frappa intempestivement les moustiques qui s’amassaient sur les chevaux, ceux-ci s’emportèrent, cassèrent les mors et lui brisèrent la tête et la poitrine. Bien que son intention fût bonne, cet homme n’a pas atteint son but. Cela ne nous invite-t-il pas à la prudence ? » (traduction : Liou Kia-hway).
Bref, les « sauveurs du monde » genre judéo-maçons et club « Le Siècle » SONT EN DÉCALAGE (surtout par rapport au peuple : ils sont une chefferie coupée du peuple…).
Je préfère l’œuvre de Tchouang-tseu à celle d’un Lao-tseu. Tchouang-tseu triomphe de son adversaire par sa spontanéité, alors que Lao-tseu triomphe par son déguisement en loser (c’est nettement plus tordu !).

« La terrasse de l’âme est dirigée par quelque chose. Mais personne ne connaît ce par quoi elle est dirigée et ne peut donc la diriger » (Tchouang-tseu, chapitre Keng-sang Tch’ou). C’est-à-dire que la conscience morale de chacun de nous relève de quelque chose qui n’est pas conscience. Personne ne connaissant la terrasse de l’âme (pas d’inconscient collectif à la C.G. Jung) ni ce qui la dirige, personne ne peut la diriger non plus. Ici le TAO correspond à ce qui ne peut être dirigé et qui est comparable au Principe Originel Universel.

Une certaine judéo-maçonnerie travailleuse du chapeau comme le Grand Orient de France se veut SUBTILE : Elle trame, tisse dans le secret la construction du monde dont l’ego de son égrégore (grégarisme, grumeaux en réseaux) rêve. Subtil a pour étymologie Trame, Tissage. Tissage totalement comparable au dallage de carreaux noirs-blancs des loges maçonniques actuelles, qui figure l’opinion-carrelage qui construit l’opinion, LA TRAME DANS LA DUALITÉ. Ce carrelage nous apprend que les idées que nous nous faisons du monde et des choses, que nous les fabriquons par notre mental, sont la résultante d’expériences réalisées dans l’espace-temps, donc aussi dans le mental. Conséquence : toute opinion est comme une construction géométrique (GADLU, Grand Architecte De L’Univers) dont les paramètres sont en écho de dualité sujet-objet dépendants des uniques cinq sens de l’humain. Or, les appétits, les besoins de l’âme d’une part, et d’autre part les temps et les lieux de l’expérience du vécue, étant indéfiniment divers selon les lieux géographiques et l’aspect social, il n’existe pas deux opinions identiques. Ainsi mathématiquement il est illusoire de rechercher « la Paix » dans la prétendue possibilité fantasmée de l’unité d’opinion format « vivre ensemble », comme le voudrait la chefferie et son mirage démocratie.

Effectivement le carrelage illustre un cheminement en un CROISEMENT, UNE TRAME PERMANENTE figurée par le carrelage ; croisement permanent de deux aspect du fil, l’un noir et l’autre blanc comme le Yin et le Yang ou le Plus et le Moins, ou Soufre-Mercure, provenant du Jet du Principe Originel Universel. À chaque Instant, donc à chaque CROISEMENT, on peut résorber la Chaîne et la Trame pour vivre l’Instant : « Je SUIS », ce qui EST, comme l’A-venture, du A privatif, ou A-cheminenemt, du A privatif et cheminement : SANS CHEMIN, SANS BUT, PAS DE BUT À ATTEINDRE (à teindre).

Cette judéo-maçonnerie à Pour-Voir dont est issu un Armand Bédarride salope la Trame et sa Subtilité cachée, car toute Trame comme son sens l’indique est caché, subtile, comme LA TRAME DU TAO.
ÂME, A-ME : non personnel, pas d’ego, pas prisonnier du mental, mais SINGULIER, ORIGINAL. Par contre celui qui a A sous ME (assumer) comme Adolph Hitler a mal fini puisqu’il se voulait A-NI-MÉ (A nie ME) en prenant sur lui la responsabilité de l’Allemagne...
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 29-05-2017 00:34

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