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Les prophéties de la Grande Pyramide Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 07-01-2009 23:01

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Catastrophe, Égypte, Grande Pyramide, Prophéties,


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Les prophéties de la Grande Pyramide
par Tony Bushby © Juin 2008


[Article du journal NEXUS n° 60 de janvier-février 2009]
 
 
Irrémédiable et triste vandalisme : au XIIe siècle, les 89000 m2 de parement de pierre blanche furent arrachés des faces de la grande pyramide pour servir de matériaux à la construction des mosquées et fortifications du Caire. Avec leur disparition s'évanouirent « les secrets du Ciel... l'histoire et les chroniques des temps passés... et de ce qui doit venir », et qui jadis furent exposés sur les grandes « parois blanches de la mémoire » (É. Guimet, True Chronicles, vers 1880, tome XVII, p. 41, à partir de manuscrits plus anciens publiés par la Bibliotheca Alexandrina). (Émile Guimet 1836-1918, industriel français).
Cette information fut gravée dans la pierre alors que l'Égypte « avait pour souverains des dieux et déesses qui demeuraient sur Terre avec le peuple, un des dieux étant toujours supérieur aux autres » (Hérodote, Histoires, traduit en latin vers 1450 par Lorenzo Valla).
À l'époque où la grande pyramide fut profanée (vers 1100), il y avait, selon l'historien égyptien Al-Maqrizi (1364-1442) « ... dix-huit pyramides sur le plateau de Gizeh... chacune consacrée à une étoile... quelques-unes sont à gradins, mais la plupart présentent des surfaces inclinées lisses... Elles furent érigées à l'origine parce que les étoiles prédisaient le déluge... elles contenaient toutes sortes de sortilèges et de talismans.., beaucoup de pyramides furent détruites par Karakousch... qui se servit des matériaux pour construire Kela Ge bel (la Citadelle), les murs du Caire et la chaussée sur arches près de Gizeh... Celles qui furent préservées contenaient des couloirs dangereux (1), dont certains communiquaient avec le Fayoum (2) ». La référence de Al-Maqrizi à « dix-huit pyramides » au nord de l'Égypte au XIIe siècle nous apprend que neuf d'entre elles furent démolies avant que le colonel Howard Vyse ne vînt sur place en 1837, car dans son livre Operations Carried on at the Pyramids of Gizeh in 1837, il fournit les mensurations exactes de neuf pyramides situées sur le plateau. Aujourd'hui, il n'en reste que trois.

Un temple gravé surmonté d'un sphinx
La grande pyramide n'était pas la seule structure gravée du plateau de Gizeh, si l'on en croit l'information livrée par les codicilles [ajouts] du fameux Camoos, ou dictionnaire, écrit il y a six cents ans par l'érudit Al-Firazabadi : « Sous le glacis sud-ouest de la grande pyramide se trouve un temple allongé, surmonté à un bout d'un monstre à tête de lion rugissant... destiné à éloigner les menaces provenant des étoiles... il est terrible à voir et tout ce qui s'y rapporte est mystérieux... il éveille l'étonnement de tous les spectateurs... les gens ordinaires le nomment Bal houyah Balbit [Grand Barabij, il s'élève en gradins abrupts tout autour ; il s'incline vers le haut et vers l'arrière.., son sommet plat est assez vaste pour que s'y puissent coucher quatre-vingt-dix chameaux (167 m2 ?)... il possède une porte secrète qui conduit à des salles... des inscriptions d'étoiles, des sphères et des traités de médecine sont gravés sur les faces dressées ».
Telle est la description ancienne du sphinx sous sa forme originelle, c'est-à-dire à tête de lion, qui ne prendra le nom de « sphinx » qu'après la conquête de l'Égypte par les Grecs au IVe siècle avant J.-C. À ce stade antique de son existence, il inspirait tant de crainte aux Arabes que ces derniers l'appelaient Abu al-Hol (le Père de Terreur) (Manuscrit de Abu al-Hol, Bibliotheca Alexandrina).
Le célèbre auteur, chercheur et peintre russe Nicholas Roerich (1874-1947) qui vécut longtemps au Tibet, reconnut avoir « découvert les trésors cachés de l'Égypte dans un monastère tibétain » (matériaux d'archives utilisés pour l'élaboration du Pacte Roerich). En 1939, il traduisit en image son exceptionnelle connaissance du sphinx dans son état d'origine et, pour quelque obscure raison, en fit une représentation en miroir. Dans un style maniéré subtil, il dépeignit la tête de lion au regard féroce orientée vers le haut, la gueule agressive grande ouverte et garnie de dents saillantes.

 
 
Avant la Lune, le déluge
Aujourd'hui, il est couramment admis que la tête de lion fut retaillée au temps des pharaons et que les gradins du sphinx furent remodelés, peut-être érodés par le ressac d'un déluge en voie de régression. On ignore à quelle époque eut lieu ce cataclysme, dont font pourtant état de nombreuses traditions. Les légendes de tribus africaines, d'insulaires orientaux, de Grecs méridionaux, de Mexicains et de Sud-Américains, y compris d'Indiens colombiens des hautes savanes, s'accordent pour dire « qu'une grande catastrophe frappa la Terre avant que la Lune fût dans le ciel » (Harold T. Wilkins, Mysteries of South America, Rider & Co., London 1946) (3). Cela est confirmé par des gravures encore visibles sur des temples, et d'anciens documents arabes, tibétains, indiens et sibériens mentionnent des inscriptions anciennes révélant que la Lune n'a pas toujours éclairé le ciel nocturne.
L'auteur et chercheur autrichien passionné de cosmologie Hans Schindler Bellamy (1901-1982) a développé dans son oeuvre Moons, Myth and Man les théories d'un prédécesseur, Hans Hoerbiger, au sujet d'une Terre sans Lune et suggère qu'une planète du système solaire du nom de Luna fut capturée par l'attraction gravitationnelle terrestre et devint ainsi notre satellite. Selon ces auteurs érudits qu'étaient Bellamy et Hoerbiger, cet événement cosmique apparu il y a des milliers d'années eut des effets dévastateurs, dont l'écoulement de la mer de Mongolie dans la mer Noire, perçant l'isthme du Bosphore et formant la Méditerranée (Built Before the Flood. The problem of the Tiahuanaco ruins, H.S. Bellamy, Faber & Faber, London, 1943). L'eau y aurait monté à un niveau largement supérieur à celui que l'on connaît, ce qui explique les marques de niveau élevées demeurées sur les faces de la grande pyramide [voir première partie, NEXUS n° 59].

Luna s'impose dans le chaos
Il est clair que de tels événements, alliés à des modifications climatiques, auraient considérablement modifié la surface du globe. Les tensions, torsions et basculements de la Terre dus au bouleversement cosmique infligé par Luna peuvent avoir été à l'origine de l'effondrement de certaines zones (l'Atlantide ?) et de l'émergence d'autres (l'Himalaya ?).
En supposant que des siècles se soient écoulés avant que Luna ne s'installe sur son orbite stable actuelle pour devenir notre Lune, et que pendant tout ce temps les flots et les jusants paroxysmiques aient engendré des raz de marée et des éruptions terrorisant les survivants, le satellite pourrait en avoir acquis une réputation négative l'associant définitivement au mal.
Le Camoos d'Al-Firazabadi nous apprend qu'à une certaine époque, on célébrait l'anniversaire du « Seigneur Lune » (latin : Deus Lunus) le 25 décembre, jour où il serait apparu dans le ciel pour la première fois.
On peut comprendre le scepticisme du lecteur à l'idée que la Lune n'ait pas toujours été notre satellite, mais de nombreuses traditions indiquent pourtant que ce fut Vénus, et non la Lune, qui illumina jadis notre ciel nocturne.
Ainsi, en 1945, après quarante ans de recherches sur l'histoire du peuple mexicain, le journaliste britannique Harold T. Wilkins constatait : « Curieusement, les anciens Mexicains parlaient de la planète vénus illuminant le ciel oriental, et non la Lune ». (Mysteries of Ancient South America, 1945).
Au cours du premier siècle de notre ère, l'historien Pline l'Ancien (23-79) nota dans son Histoire Naturelle (vers 77) qu'un grand déluge s'était produit jadis sur Terre, provoqué par un changement de la couleur, de la taille, de la forme et de l'orbite de Vénus.
L'ancien Livre d'Enoch relate en ces termes un énorme déluge produit par un déplacement des pôles : « La Terre s'inclina et la destruction fut imminente » (Enoch, Livre I, 65 : 1). Des études scientifiques récentes confirment la survenue d'une catastrophe majeure il y a quelque 5 500 ans ou davantage.

Annonce d'un prochain cataclysme
Mais quid de l'avenir ? Que peuvent nous apprendre les prophéties de la pyramide ? La réponse est peut-être dans les Dialogues du Temple, un résumé des prophéties transmises par les dieux et déesses d'Égypte découvert dans la Collection des Livres Rares de la Bibliotheca Alexandrina et récemment traduit en anglais. Il s'agit d'un recueil de quarante-neuf prophéties célestes que les prêtres égyptiens conservaient dans leurs bibliothèques. Elles révèlent que la planète Terre se prépare à d'importants bouleversements, prévus par les dieux et déesses il y a des milliers d'années. Ces prophéties puisent-elles leur origine dans les inscriptions de « ce qui est à venir et de chaque événement futur » gravées sur les faces de la grande pyramide ?
Les prophéties des sages de Shambhala, cité mythique du nord du Tibet, affirme qu'une « Ère Nouvelle débutera dans le tonnerre et la foudre » (Agni Yoga, Helena Roerich, 1929, p. 277). Mais de quel événement cosmique peut-il s'agir ? Dans les Dialogues du Temple, il est écrit qu'un « objet astronomique » fera irruption dans notre système solaire « lorsque le Soleil et la Lune... Tishya et la planète jupiter seront dans le même domaine ». Selon les orientalistes, Tishya est une étoile de la constellation du Cancer (izbranniye Trudy, Œuvres choisies], G.N. Roerich, Moscou 1967). Ainsi les dieux et déesses prévoyaient de grands changements pour la planète Terre lorsque cette étoile serait en conjonction avec le Soleil, la Lune et Jupiter.
Or dans l'ancienne astrologie chinoise et tibétaine, Tishya qui signifie « bourreau de la Terre » est l'une des soixante-douze étoiles malfaisantes (A Dictionary of Chinese Mythology, E.T.C. Werner, New York, 1961). On attribue l'origine du nombre 72 dans la tradition ancienne aux 72 complices de Seth impliqués dans l'assassinat de son frère, Osiris, mari de la grande déesse d'Égypte Isis, « Reine du Ciel » (Histoires, Hérodote, op, cit.) et membres de la compagnie des Dieux [cf. première partie : peuple d'intelligence supérieure, porteur d'une connaissance ésotérique qui, selon l'auteur, aurait séjourné en Égypte]. Nous savons aussi qu'il y a soixante-douze mots codes dans le livre de l'Exode [NdT: et soixante douze «génies» ou «souffles» dans la Kabbale], et voici que nous trouvons ce nombre dans la tradition tibétaine. Les spécialistes du sanscrit peuvent débattre de l'interprétation du nom Tishya, mais une chose est certaine : Tishya est bien le nom ancien d'une étoile ou d'une comète. Dans un livre tibétain visionnaire, Epoch of Maitreya, un passage confirme les prophéties égyptiennes et autres concernant l'approche redoutée d'un corps céleste. Sous le titre de Science des Cycles, on trouve : « Les étoiles annoncent une ère nouvelle. Le feu cosmique s'approche à nouveau de la Terre. L'humanité sera une nouvelle fois mise à l'épreuve pour savoir si l'Esprit a suffisamment progressé... et les vagues balayeront les demeures des indignes... il y aura de la foudre, du tonnerre et des pluies d'étoiles ». (Epoch of Malt reya, collection Dunhuang, British Library).
Cette prophétie ressemble étrangement à la prédiction apache d'un « ciel rouge qui dure une semaine ». [NdT: voir la page] Il est même prédit que durant cette période le grand plateau tibétain trans-himalayen serait « balayé par des flots, vraisemblablement des raz de marée » (Shambhala : Oasis of Light, Andrew Tomas, Sphere Books, London, 1977, p. 164). Ce tsunami s'accompagnerait d'irruptions violentes, de séismes et d'ouragans, et le cataclysme prendrait une telle ampleur que des populations entières seraient déplacées.

 

Quarante-neuf jours de châtiment
Sous le titre Anéantissement des Araignées de la Cupidité, les Dialogues du Temple précisent que ce temps des châtiments durera quarante-neuf jours, son céleste objectif étant de purger systématiquement le monde de la haine, de la guerre, du mensonge, des superstitions, de la corruption morale, de la cupidité et du matérialisme. Si les prophéties égyptiennes sont reconnues à leur juste valeur, il est clair que nous approchons d'une période hautement déterminante dont la cause profonde est le manque d'élévation spirituelle de la race humaine.
Au début des années 1880, l'illustre Mahatma Koot Hoomi (K.H.), un sage prophète du Tibet [NdT: mieux connu des francophones en tant que Maître d'Ascension Kuthumi], adressa une lettre au journaliste britannique A.P. Sinnett dans laquelle il décrivit un « soleil-Raja » approchant de par-delà Jupiter, mais non encore visible à nos yeux. Il écrit : « Aucun œil physique ne l'a encore vu au cours de ce cycle [un cycle recurrent ?]... De sa position actuelle dans l'espace, aussi imperceptiblement petit qu'il soit, les substances métalliques dont il est principalement composé sont en dilatation et se transforment progressivement en fluides aériformes... » (Lettres des mahatmas à A. P. Sinnett, Librairie Adyar, Paris, 1970).

Le retour de Vénus ?
Ceci pourrait jeter un éclairage nouveau sur le mystère du « corps astronomique » et de la « justice cosmique » qui, selon les Dialogues du Temple, menacent les hommes et qui, dans la pensée orientale, constituent un effet du karma global.
Si ces événements doivent se produire, ou se reproduire selon un long cycle naturel, y aura-t-il des signes précurseurs ? La célèbre prophétesse anglaise Ursula Sontheil, connue sous le nom de Mother Shipton (1488-1561) prédit qu'une catastrophe mondiale sera précédée d'une «lumière dans le ciel» (Mother Shipton's Prophecies after the most exact copy of 1641, Yorkshire, 1989).
Peut-être est-il opportun de noter qu'en 2004, a été aperçu loin de la Terre un astéroïde de 400 m de large et 270 m de long baptisé par les astronomes « 99942 Apophis », du nom d'un dieu serpentaire égyptien. Depuis, l'astéroïde est maintenu sous observation, car son - relativement - proche passage est prévu pour 2036. Dans un tout autre registre, on raconte que Merlin aurait également émis des prophéties dérangeantes qui se terminent par une vision de la déesse Ariane opérant des changements dans l'ordre cosmique et provoquant le « départ de Vénus de son circuit attitré », et engendrant une nouvelle réalité (Geoffrey of Monmouth, The Prophecies of Merlin, adapté de la traduction dans Merlin : The Prophetic vision and Mystic Life, de R.J. Stewart, Penguin Arkana, 1994). Faut-il envisager l'existence d'un cycle naturel et universel au cours duquel Vénus reviendrait à la position qu'elle occupait avant la construction de la grande pyramide ? Ce scénario impliquerait-il que la Lune soit chassée du champ gravitationnel de la Terre pour retourner où elle se trouvait antérieurement, sa place étant à nouveau prise par Vénus ?
Écoutons enfin le message du mahatma Morya qui nous ramène à l'Égypte : « Lorsque le Grand Barabi [ancien nom du sphinx] de Gizeh clamera son avertissement, préparez-vous pour de grands changements ». (Lettres de Mahatmas, op.cit., lettre 58). Cet avertissement peut venir demain ou dans mille ans. Le sphinx perdra-t-il la tête, ou verra-t-il son dos s'effondrer ? Soyons sérieux, ne prenons pas ces prophéties trop à cœur sachant que des centaines de prédictions sur la fin du monde ne se sont pas accomplies. Peut-être devrions-nous plutôt revenir au bon sens du célèbre auteur de BD américain Charles M. Schulz, créateur de la série Peanuts, qui dit : « Ne craignez pas que le monde prenne fin aujourd'hui. En Australie, on est déjà demain ! ».

Traduction : André Dufour


Notes
1. Au sud du Caire ou se trouvaient jadis le célèbre Labyrinthe de marbre aux 1 500 chambres et une énorme pyramide aux figurines d'animaux gravées sur les faces (Histoires).
2. Al-Maqrizi, historien égyptien, du manuscrit n° 671 dans le catalogue de Uri ; extraits des pages 92-97 de la traduction du Dr A. Sprenger dans Ouvaroff's Egyptian Mysteries, éd. 1849.
3. Voir aussi H.S. Bellamy, Built Before the Flood, Faber & Faber, London 1943 ; Immanuel Velikovsky, Mondes en Collision, Le jardin des Livres, Paris 2003, traduction Stock de 1955 revue par Carole Hennebault.



A propos de l'auteur
Homme d'affaires et entrepreneur prospère, l'Australien Tony Bushby a fondé une maison d'édition et consacré vingt années à la recherche, écrivant et publiant ses propres revues, principalement pour les marchés australiens et néo-zélandais. Animé d'un vif intérêt pour les sujets métaphysiques, Tony a entretenu des relations durables avec de nombreuses sociétés et associations à travers le monde qui l'ont aidé dans ses recherches en lui ouvrant leurs archives. Il a écrit plusieurs livres dont The Bible Fraud La Bible en question » (Joshua Books 2001), dont plusieurs extraits ont été publiés en trois fois dans les numéros 19, 20 et 21 de NEXUS sous le titre « La Bible en question » ; The Secret in the Bible (Joshua Books 2003) dont un extrait, Cité Enfouie sous le Plateau de Gizeh, est paru dans NEXUS n° 33 ; The Crucifixion of Truth (Joshua Books 2005) ; The Twin Deception (Joshua Books 2007) ; The Christ Scandal (Stanford House 2008). Tony Bushby peut être contacté via le site web de Stanford House http://www.tonybushby.com
 

Dernière mise à jour : 08-01-2009 00:22

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