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Ecrit par Sechy, le 22-06-2017 23:23

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Âne, Argent, Artifice, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Chimère, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Fusible, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Prostitution, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Vaccin, Vase, Vide, Volonté, Yokaï, Zombie

 
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Prostitution
disaient les prophètes des Hébreux à propos
des Cananéens et des Païens.
SOCIAL = PROSTITUTION :
ÊTRE AGRÉABLE AUX AUTRES (dit le dictionnaire)
La mode actuelle est bien à la prostitution :
SE VENDRE SUR LE MARCHÉ, et avoir un associé (un compagnon, une « moitié »)


Page dédiée à l’Empereur Julien.
 
 
PROSTITUÉS : ceux qui s’identifient à leur corps-objet (ceux qui mettent en valeur leur « boutique »).
OBJET = PROSTITUTION, ce qu’on jette devant : pro (au loin, en avant)-jet, donc ne pas être dans le ici et maintenant.
OBJET : TRAMER, TISSER (« Travail de femme », dit une devise alchimiste, et un « jeu d’enfant » de broderie « aux petits points »… Broder est bien la caractéristique de notre époque : amplifier et déformer par l’Histoire-Opinion-Temps qui coule. En cette période d’ego carabiné, chacun « tire son épingle du JEU » en se coupant du EL (in-divi-du-EL) par Pour-Voir. Et plus il y a possession, plus il y a o-pose au Réel pour entrer dans la prostitution : l’artifice total, le virtuel total. Ainsi il y a longtemps que nous sommes entré dans la dualité en moi-individuel coupé du moi-collectif, ou par rapport à l’Unité ; bref nous sommes prisonniers de la dualité, Non par rapport à Oui, culture par rapport à la vie, etc. Dualité conséquence de la mémorisation (met i a mort ou met l’Axe à mort). Le JET est éjecté et installé dans l’objet en oubliant le JET… C’est-à-dire que le JET est coincé dans l’Histoire-Opinion-Temps qui coule.

PROSTITUTION : du 13è siècle : débauche (excès sexuels ou autres, y compris en politique moderne), mais encore : livrer son corps (son p’tit objet), donc aussi son mental, pour des plaisirs, sexuels ou autres c’est la même chose, et totalement lié à l’argent, et principalement à l’ego.
 
 
Prostitution : débauche d’excès EXTÉRIEURS, IDOLÂTRIE EN EXTÉRIEURS.
« Votre mental est dirigé vers l’extérieur. En raison de cette tendance [débauche], vous voyez les objets à l’extérieur, et le Maître [ou messie en attente] en fait partie. mais la Vérité est différente. Le Maître est le Soi. Tournez le mental vers l’intérieur et vous découvrirez que les objets se trouvent en vous. Vous réaliserez aussi que le Maître est votre propre Soi, et qu’il n’existe rien d’autre que lui.
C’est parce que vous vous identifiez à votre corps que vous acceptez les objets comme étant en dehors de vous. Mais êtes-vous le corps ? Vous ne l’êtes pas. Vous êtes le Soi. C’est là que se trouvent tous les objets et l’Univers entier. Rien ne peut échapper au Soi. Comment pourriez-vous donc vous éloigner du Maître qui est votre Soi véritable ? Quand vous vous déplacez d’un lieu à un autre, pensez-vous que votre corps s’éloigne du Soi ? De la même manière, vous ne pouvez jamais êtres sans le Maître. […] Existe-t-il un seul instant où vous n’ayez pas réalisé le Soi ? Pouvez-vous être séparé du Soi ? Vous êtes toujours Cela ». (Ramana Maharshi, entretien 503, du 17 août 1938).

Dans le même entretien : « La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». CELA est la Réalité permanente et fondamentale [la Pierre en Alchimie]. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit : « Je suis ce JE-SUIS ». « Soi tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu [pas de « Dieu extérieur »].
Vous savez que vous êtes. Vous ne pouvez nier votre existence à aucun moment. Car pour nier votre existence, il faut que vous existiez. C’est cela (la pure Existence) que l’on entend par un mental tranquille. Le mental est la faculté d’extériorisation de l’individu. S’il est tourné vers l’intérieur, il devient peu à peu tranquille. C’est alors que seul prévaut le « JE-SUIS ». « JE-SUIS » est toute la Vérité ».

- Question : Les mystères yoguiques, tels que boire de l’acide nitrique, avaler des poisons, marcher sur le feu, etc., sont-ils dus à un certain état vibratoire ?
- Maharshi : Laissez le corps physique poser la question. Vous n’êtes pas physique. Pourquoi vous préoccuper de ce que vous n’êtes pas ? Si le Soi avait une forme, il pourrait être affecté par des objets. mais le Soi n’a pas de forme, par conséquent il est immunisé contre tous les contact avec les choses ».
(Entretien 164).

Le mental est le lieu de prostitution.

- Maharshi : La solitude se situe dans le mental. Un homme peut fort bien se trouver au milieu de la foule et conserver sa sérénité. En ce cas, il se trouve en état de solitude. Un autre homme peut rester seul, au fond d’un forêt et pourtant être incapable de contrôler son mental ; il ne se trouve pas en état de solitude. La solitude est une fonction mentale. Un homme attaché à ses désirs ne trouvera jamais la solitude, où qu’il aille ; un homme sans attachement est toujours dans la solitude.
- Question : Ainsi, l’homme peut vaquer à ses travaux, être libre de tout désir et se maintenir dans un état de solitude ? Est-ce ainsi ?
- Maharshi : Oui. Le travail accompli avec attachement est une entrave [surtout dans cette civilisation de la course au winner et au Big], alors que le travail exécuté avec détachement n’affecte pas son auteur. ce dernier, même lorsqu’il exerce une activité, demeure en état de solitude ».
(Entretien 20, du 30 janvier 1935).

- Question : Quel est la meilleure façon de travailler pour la paix du monde ?
- Maharshi : Qu’est-ce que le monde ? Qu’est-ce que la paix, et qui est celui qui qui travaille à cette paix ? Le monde n’apparaît pas dans votre sommeil profond ; et il n’est qu’une projection du mental dans votre jâgrat [état de veille]. Il n’est donc qu’une idée [opinion] et rien de d’autre. Quant à la paix, c’est l’absence d’agitation. L’agitation, chez l’individu, est provoquée par l’apparition des pensées, qui n’est que l’ego surgissant de la pure conscience.
Assurer la paix signifie être libre de toute pensée et demeurer en tant que pure conscience. Si on est soi-même en paix, la paix règne partout. […] Vous aurez beau vouloir conseiller les gens, ils ne changeront probablement pas. Soyez vous-même dans le bien et restez silencieux. Votre silence aura plus d’effet que vos paroles ou vos actes. Ainsi, le pouvoir de volonté se développera. Et le monde devient le Royaume des Cieux qui est en vous ».
(Entretien 453, du 8 février 1938).

Dans le même entretien, le fait de dire : « Je suis dans le monde et j’en fais partie » est l’erreur. « Si le monde existe indépendamment de vous, vient-il vous dire qu’il existe ? Non, vous voyez qu’il existe, mais vous ne le voyez qu’à l’état de veille et non pas quand vous dormez profondément. S’il avait une existence indépendante de la vôtre, il devrait vous le dire et vous devriez en être consciente même dans votre sommeil profond ».

« Éliminez le sujet et l’objet, et seule demeurera la pure Conscience » (entretien 453)

À Julien (331-363) je vous aime !
« N’est-ce pas la plus grande des absurdités de dire que Dieu interdit la connaissance du bien et du mal aux personnes qu’il a lui-même façonnées ? Y a-t-il en effet d’être plus stupide que celui qui ne sait pas distinguer le bien du mal ? Car il va de soi dans ce cas qu’il n’évitera pas le second, je veux dire le mal, ni ne poursuivra le premier, je veux dire le bien. Bref, Dieu a interdit à l’homme de goûter à la sagesse, alors que rien n’a plus de valeur à ses yeux. Que la capacité de distinguer le bien de ce qui l’est moins soit le propre de la sagesse est une évidence peut-être même pour les sots ; le serpent fut de ce fait le bienfaiteur du genre humain ».

Julien je vous aime, parce que si vous aviez vécu seulement quelques années de plus, les Païens étaient sauvés, et la guerre de religion actuelle n’existerait pas… Si votre règne, Julien, avait duré, encore une fois, seulement quelques années de plus, la face du monde en eût été changée, et vous ne seriez pas étiqueté comme AYANT RENONCÉ À UNE OPINION. Mais vous êtes un Sage, vous avez effectivement renoncé à l’opinion mondialiste qui allait nous fourguer les actuelles guerres de religions entre Païens et non-élus, ou entre winners et losers.
J’aurais pu vous rencontrer sur l’Île de la Cité… Et il n’y aurait pas la division imbécile entre « monde antique » et monde « moderne »…

« Le fait que la connaissance de Dieu n’est pas le fruit de l’enseignement mais existe naturellement dans l’humanité nous est prouvé d’abord par le désir ardent pour le divin commun à tous les hommes, qui s’exprime en privé comme en public et touche les individus autant que les nations. Nous sommes en effet parvenus sans le moindre enseignement à croire en quelque divinité, et ce même s’il n’est pas aisé pour le premier venu de s’en faire une idée précise ni possible pour ceux qui en ont connaissance d’en parler à tout le monde [lacune de quelques mots] Outre cette conception commune à tous les hommes, il en est une autre : nous sommes si naturellement dépendants du ciel et des dieux qui y sont visibles que même si quelqu’un concevait un dieu différent de ceux-ci, il lui attribuerait certainement le ciel comme demeure ; non pas tant pour le séparer de la terre, mais plutôt pour installer pour ainsi dire le roi de toutes choses sur le plus précieux des trônes, d’où il pourrait observer à loisir tout ce qui se déroule ici-bas ».
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 22-06-2017 23:42

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