Le béhaviosisme comme son « isme » l’indique est un système à Pour-Voir : mesurer, psychologiser ou enregistrer, « numériser » les faits, donc les Histoires-Opinions-Temps qui coule (HOTC) et tenter des expériences, partout où cela était possible comme de mémoire le sinistre et dévoyé
Alfred Kinsey et ses futurs paroissiens du genrisme, dont fait la partie la mode et singerie le
« mariage pour tous ».
Basé sur ce Pour-Voir, les béhavioristes se limitent à tout ce qui se calcul et peut se mesurer, comme une érection infantile, pour le pédophile Kinsey, c’est-à-dire qu’ils sont limités par des appareils construits par les mêmes humains qu’eux, donc suivant le principe de la démocratie actuelle, où chacun peut désormais posséder sa petite vérité, dans le sens actuelle de la recherche faussement appelée
« science », faussement parce qu’elle ne comporte plus son aspect essentiel : justement l’Essence du Ciel ! Ainsi les béhavioristes se comportent comme tous les ismes actuels ou « officiels », Science : « Expérience reproductible en tous lieux [mondialisme oblige], et contrôlable par d'autres, [
”unité dans la diversité” oblige]. Ainsi, il s'agit ici d'une technique et non d'une science !
Pour les béhavioristes, seul le comportement observé par les sens de l’humain relève d’une
« valeur scientifique » (évidemment entendre une valeur d’opinion). Pour ces prisonniers de l’opinion et de l’ego, le mot
« scientifique » n’est qu’un terme de comptable d’industrie de Couilles en Or susceptible d’être entré, comme une courbe statistique, dans les algorithmes d’un ordinateur.
Pour résumer, les béhavioristes travaillent avec leur bite et leur couteau, soit en-dessous du niveau de la ceinture ! Ils travaillent non seulement du chapeau mais évidemment surtout dans le quantitatif. Ils prennent la succession du freudisme et de ses impulsions mécaniques instinctives (impulses), dont « les forces mentales » maintiennent et gouvernent toute la vie des individus estomac et bite et vagin sur pattes. C’est cela le dogme du
purposive behavior, du comportement
« à dessein ».
William McDougall est le fondateur et le représentant de ce dogme, surtout quand il déclare que les instincts « sont les principes moteurs de toute l’activité humaine », résumant à lui tout seul en 1908 dans :
An introduction to Social Psychology, toute l’opinion mécaniste du 19è siècle s’industrialisant et par la même, avec la montée en puissance du capitalisme, se socialisant et faisant le socialisme des individus. Pour McDougall, le comportement commence à avoir un dessein, une fin. « Les impulsions instinctives déterminent les fins de toutes les activités et fournissent la force qui soutient toutes les opérations mentales ; et toute la complexe organisation intellectuelle de l’esprit le plus développé n’est qu’un moyen par rapport à ces fins, le simple instrument par lequel ces tendances cherchent leur satisfaction, le plaisir et la douleur servant à guider dans le choix des moyens ». Bref, pour cet homme l’humain est un vulgaire robot à la mode transhumaniste avant l’heure, et juste quelque secondes avant Sigmund Freud… Comme Freud et toutes les manipulations du régime républicain, McDougall est un adepte de la manipulation par l’affectivité, l’émotion, fonctions psychophysiologiques, (mentales), qui commandent tout. Donc un peu plus tard le Freud fera dans le copyright en pondant cette phrase de l’
Enéide (VII 312) :
Flectere si nequeo superos, acheronta movebo, devin sa devise, qu’il inscrit en exergue de son livre
Traumdeutung. Étant prisonnier de son ego, il ne pouvait que remuer tout ce qui était en dessous du niveau de la ceinture, et donc ne s’intéresser qu’à la bite et à son couteau ! Bref, l’instinctif, le pulse de la fée électrique en train de s’installer en cette fin du 19è siècle. Et en société de consommation le « pulse » de l’après freudisme, l’instinct doit se libérer : supprimer les inhibitions, soit par utilisation de drogues, soit par gratification immédiate des pulsions, comme selon la mode LGBT. Désormais, il est interdit d’empêcher de jouir, donc de consommer et de pratiquer le culte de Narcisse.
Freud copyrighta sa trouvaille
« Libido », et toute un système d’opinions qu’il copyrighta aussi
« psychanalyse » qui, comme déjà écrit, devait remplacer l’antique divan à la verticale du confessionnal des prêtres des églises chrétiennes, et quand on sait que les Juifs talmudistes sont les ennemis jurés des Chrétiens, il est facile de comprendre ce nouveau confessionnal, désormais à l’horizontal, soit effectivement au niveau de la bête, à l’horizontal, puisque aux dernières nouvelles, l’être humain est, ici sur Terre, le seul animal à se tenir vertical sur ses deux pattes.
Comme la plus vielle profession de ce monde de la voie de l’Agriculture (la prostitution), la psychanalyse comme Facebook se répandit partout dans le monde comme le virus de la Grippe. Cela écrit, évidemment que dans l’être humain il y a bel et bien une essentielle vie instinctive ! Cependant tout l’être humain n’est pas qu’un consommateur et une bite ou un vagin sur pattes du berceau à la tombe. Il a plein de mouvements dans ses entrailles et en commun avec nombre de ses frères et sœurs animaux, mais ce sont ses capacités d’individus comportant en lui l’Univers entier qui ne sauraient le réduire à des automatismes purement biologiques.
Donc le béhaviorisme et le nudge façon
eyes candy à l’anglo-américain découlent d’un Bernays, McDougall et d’un Freud dans ce principe de la démocratie qui veut obtenir du citoyen son consentement, son choix. Ainsi cette manipulation peut inciter les administrés de l’étatisme à agir dans le sens de la tête d’œuf qui décidera de l’ordre du jour et de ce que sera le lendemain, qui chante ou ne chante pas ! Par exemple le régime républicain oriente pour inciter ses citoyens bétonisés à télé-déclarer leurs impôts sur l’Internet, ce sera tout bénéfice et économie de papier pour l’État…. Et même on vous prend pour des enfants, ou vous mâche la tâche, on vous chloroformate : des cases son déjà cochées sur votre déclaration d’impôts, comme des empruntes de pas sur la chaussée vous proposent de vous diriger vers la prochaine poubelle pour y déposer votre canette de bière, ou votre mouchoir en papier.
Bref, dans le mondialisme et l’égalitarisme du républicanisme on incite les gens à
« faire comme tout le monde », à se comporter selon le béhaviorisme à la mode.
La mode du nudge réduit les individus à des ENFANTS : par exemple devant des escalators jouxtés à de vulgaire escaliers sont collés au sol des silhouettes, et d’un individu normal (direction les escaliers) et d’un individu obèse (direction les escalators).
« Manger bouger » dit la propagande de la société de consommation et de son régime républicain ! C’est du nudge ou du béhaviorisme intégral, le
« change-peau » intégral. C’est aussi typiquement de l’ingénierie sociale qui devient si tendance dans le Nouvel Ordre Mondial En Marche, parce qu’il s’agit pour la chefferie DE TOUT CONTRÔLER jusqu’au moindre poil de votre cul, car vous n’êtes qu’une marchandise. Le nudge se situe aussi dans la tradition des perruques poudrées du 18è siècle et de leur raison ou mental :
« Vous êtes responsable » (entendre : autonome et donc soi-disant « libre », majeur et vacciné, vous avez maintenant chacun votre petite vérité, votre petite laïcité. Vous êtes maintenant « sorti de l’obscurantisme de l’Église », ennemi juré de la judéo-maçonnerie spéculative de 1717 qui ne travail que du chapeau, donc de la raison, du mental).
BÉHAVIORISME ET NUDGE = INFANTILISATION DES HUMAINS.
Béhaviorisme ou nudge viennent bien-sûr du monde du protestantisme anglo-saxon et son principe de « choisir » : « Le protestant d'aujourd'hui a donc la totale liberté de choisir sa propre théologie, il n'est pas
"calviniste" au sens où il serait un défenseur de Calvin, mais il est avant tout un chrétien cherchant la fidélité à l'évangile », écrit le
site Oratoire du Louvre. Choisir : succomber à la dualité sujet-objet.
Béhaviorisme ou nudge découlent aussi directement du capitalisme : LE MARKETING, les deux sont identiques, même si le marketing fait dans le consommateur, le quantitatif, le nudge fait de même, le tout devant aboutir à
« l’Unité dans la diversité ».
Ce type de béhaviorisme ne peut dépendre que des winners, ceux qui ont un comportement de dominants, donc de winners qui imposent leur égrégore, comme le font les judéo-maçons spéculatifs à Pour-Voir comme le GODF.
Béhaviorisme ou nudge s’inscrivent dans la psychologie biologisante, de ces gens qui accordent presque exclusivement aux phénomènes robotiques ou d’automatismes du mental, donc du corps. Comme ils sont incapables d’éluder les phénomènes de la vie spirituelle, ils se sont efforcés de ramener ces phénomènes à des tendances et à des « pulses » instinctives. Voir Freud et sa théorie de
« l’introjection », qui devait lui permettre de « prouver » que la vie spirituelle n’était pas immanente à la nature humaine comme c’est le cas pour la vie animale (croyons-nous, en faisant de l’anthropomorphisme !). Suivant l’opinion de l’instinctologue Sigmund Freud, spiritualité et morale ne pouvaient venir que du dehors, donc en conformité avec le dogme socialiste qui a pour principe l’opinion à son paroxysme :
Ce sont les accidents qui engendrent les Essences ; ainsi le socialisme ou communisme est une catholicité en creux, comme l’envers d’un cuivre repoussé, ce qu’explique si clairement à de nombreuses reprises Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux.
Ainsi est-il besoin de dire que tous les efforts des beharioristes et autres nudgeurs comme le Juif talmudiste
Cass Sunstein et tous les ennemis de la catholicité, à y ajouter bien-sûr les transhumanistes, tendent tous à une seule et même fin :
l’aliénation de l’être humain, SA VIRTUALISATION comme dans le film de
Don Siegel :
Invasion of the Body Snatchers, où les humains sont devenu aliénés (privés de leur Soi et soi), en se transformant en jumeaux d’eux-mêmes, les privant ainsi de leur SINGULARITÉ OU SOI, par une réduction dictatoriale à la condition de double ou copie. Ainsi pas besoin d’être parasité par de « méchants » extraterrestres venu de je ne sais quelle planète, mais ça se passe chez nous, ici-bas, et à portée bien plus dangereuse car devenant terriblement de plus en plus sournoise, comme tout ce que fait cette démocratie malade. En fait, il ne s’agit même pas de tyrannie de l’opinion, donc de l’autre et son opinion à laquelle on peut toujours résister, mais bien plus du SUPER ÉGRÉGORE nettement plus dangereux CAR INTÉRIEUR, DANS L’EGO. Don Siegel voulait d’ailleurs appeler son film
« Sleep no more » (Ne dors plus, soit le contraire du sommeil profond contenant naturellement le Soi, comme le décrit si souvent
Ramana Maharshi).
« Ne dors plus » sinon c’est un autre qui se réveillera à ta place, un double qui prendra possession de ton Soi et soi. Tu sortiras carrément de « l’anéantissement » du ‘Je’, du Soi, chose pourtant impossible, mais maintenant avec les Juifs talmudistes des Google et autres Facebook, tout devient artifices et magie noire. Pourtant la seule Réalité est qu’on ne peut pas retourner à « quelque chose » qui, par définition, ne peut être le néant, le rien, comme écrit Coulonval page 269 : « Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».
Pas besoin des
Body Snatchers, nous sommes une société d’aliénés (tournés vers l’extérieur) qui fait la fortune de l’entertainment des médias, de Big Pharma et des psychiatres et autres
« coaches » en tous genres, y compris étatique.
Pour en revenir aux béhavioristes et aux nudgeurs, prétendre que l’être humain n’est qu’un animal comme les autres, découle directement de l’opinion mécaniste et hygiéniste qui faisait fureur pendant tout le 19è siècle se mécanisant à la vitesse grand V. Cela allait d’ailleurs donner : la biologie et ses biologisants et ses biologismes et ses pasteuristes et leurs vaccins !
Béhaviorisme ou nudge travaillant nécessairement de concert avec le capitalisme, ils travaillent tous CONTRE LES ÊTRES HUMAINS DU MONDE ENTIER PUISQU’ILS ATTENDENT, NON SEULEMENT UN MESSIE, MAIS AUSSI LE DORG (Demain On Rase Gratis ou
« fin des temps »).
Les béhavioristes et autres nudgeurs veulent contrôler tout le monde, ils ne font que devancer les futures machines contrôlant ce qui restera de l’humanité.
NUDGE = TECHNOLOGIE CITOYENNE : GRAAL DE L’ACHAT, BESOIN DE CONVIVIALITÉ (vivre ensemble et si possible en une jeunesse éternelle) DANS UN ENVIRONNEMENT SÉCURISÉ.
Le problème de l’être humain c’est son mental : « Le monde est perçu par le mental, c’est-à-dire grâce à la lumière réfléchie du Soi. Le monde est donc perçu à l’aide du mental. Quand le mental est éclairé, il est conscient du monde [du spatio-temporel]. Si le mental est tourné vers l’intérieur, vers la source de lumière, la connaissance objective cesse [il cesse la dualité cause-effet ou sujet-objet et son désir] et seul le Soi resplendit en tant que Cœur [
Centrum Centri] » (Ramana Maharshi, entretien 98).
« Tous les êtres vivants [je dirais même les Cailloux] ont conscience de leur environnement. On doit donc en conclure qu’ils sont tous pourvus d’intellect. Cependant, l’intellect de l’homme est différent de celui des animaux, car l’homme, non seulement perçoit le monde tel qu’il est et agit en conséquence, mais de plus, n’étant jamais satisfait de l’état actuel des choses, il cherche à l’améliorer suivant ses désirs [par l’ego et son choix de possession]. Ce faisant, il étend le champ de ses divers intérêts, mais reste néanmoins insatisfait [course à l’évolution]. Il commence alors à penser et à raisonner [et à calculer].
Son désir d’une paix et d’un bonheur permanents est le signe manifeste de l’existence d’une telle permanence dans sa propre nature. C’est pourquoi il s’efforce de trouver et de regagner sa propre nature - son Soi. Une fois le Soi trouvé, tout est trouvé.
Cette recherche intérieure est le chemin que doit emprunter l’intellect de l’homme. Après une pratique continue, l’intellect finit par réaliser de lui-même que sa propre activité dépend d’un pouvoir supérieur. Mais il ne peut pas par lui-même atteindre ce Pouvoir [cette Paix]. Si bien qu’arrivé à un certain stade, il s’arrête d’agir. Quand l’intellect a suspendu ainsi toute activité, seul reste le Pouvoir Suprême. C’est la Réalisation ; C’est la finalité ; c’est le but.
Il est donc clair que la finalité de l’intellect est de comprendre qu’il est dépendant d’un pouvoir supérieur et qu’il est incapable de l’atteindre. Il doit alors s’annihiler lui-même avant d’atteindre le but » (Ramana Maharshi, entretien 502 du 14 août 1938).