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Le régime républicain de Jacques Attali Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 02-07-2017 01:17

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Âne, Argent, Artifice, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Chimère, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Fréquence, Fusible, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Prostitution, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Psychiatre, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Vaccin, Vase, Vide, Volonté, Yokaï, Zombie

 
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Le régime républicain de Jacques Attali
celui des réseaux sociaux, des meneurs
(faussement appelés « élite »),
ces meneurs qui seront emportés par le
déluge au déchaînement duquel ils ont
travaillé du chapeau de tout leur mental.
On passe de la pommade, du laudanum (laudatif)
sur ces gens gangrénés par le Pour-Voir.
Le problème essentiel reste celui de
la formation de l’élite, car de nos jours
tout tourne seulement autour du sentiment,
donc de l’ego et du culte du narcissisme.
Car la sensibilité et sa sœur jumelle l’émotion,
constitue la source du règne de la
tyrannie de l’opinion donc de l’ego.
 
 
RÉSEAU : LA CHAÎNE, INTÉGRATION AU CAPITALO-SOCIALISME et son « unie dans la diversité », devise d’européisme et de libéralisme gravée sur l’épée d’une académicienne venant de mourir. La « raison » est une formidable chaîne plaquée en opinions qui se vend beaucoup depuis les perruques poudrées du 18è siècle.

Pauvre France Washingtonisée, lavée (wash… washing… pasteurisée… ) sous modèle de Washing-ton !
Bienvenue aux pays du « vide juridique » où TOUT DEVIENT LÉGALE, MÊME LE CRIME ORGANISÉE PAR CES BANDES RÉPUBLICAINES.

LIBÉRALISME : TANT QUE CE N’EST PAS INTERDIT, C’EST PERMIS. Voilà le moteur du washingtonisme et du droit de l’hommisme et de sa démocratie répandu partout sur cette planète tel le virus de la grippe.
 
RÉGIME RÉPUBLICAIN : réunion en bandes organisées de meneurs (fausse élite) sous forme de réseaux auto-reproductibles, donc anti-démocratie véritable ; on a à faire à la définition même de l’OLIGARCHIE : des bandes organisées rongées par le Pour-Voir (voir la courte vidéo en fin d’article) ; ils sont tous auto-reproductibles entre eux, en cercle fermé, facilement reconnaissable par leur uniforme costume-cravate généralement très sombre et crâne aux cheveux courts, voir un crâne chauve ; tous uniformes de « diplômés et médaillés en gros ».
Les mêmes réseaux sont constitués des multinationales, comme Total. Or en France ce fait est particulièrement flagrant :
La France de ce début 2017 vient de retrouver son désir d’un ROI, elle vient de s’en donner un : UN ROI GOLEM à costume-cravate de mercantilisme : Emmanuel Macron.
Car le peuple de France A TOUJOURS EU LA NOSTALGIE DE SES ROIS. On y joue à la royauté, mais c’est une royauté noire, comme il y a des messes noires. Son apparente indépendance cache en réalité sa dépendance des puissances économiques mondiales et occultes.
Pour résoudre ce dilemme, le communisme a franchi le Rubicon en décrétant que l’homme n’est qu’une émanation de la matière [darwinisme], prenant ainsi le positionnement diamétralement opposée à celle des mystiques chrétiens, Saint Ignace entre autres, qui enseignent la sainte indifférence envers les choses de la Terre.
(Référence à Jean Coulonval : Synthèse et Temps Nouveaux, chapitre : La catholicité face au capitalisme et au communisme, écrit en 1960).

Les Français aiment leur autorité, leur « petit-père-des-peuples » (Louis XVI s’adressait à SES PEUPLES, et non comme maintenant « aux Français » ou « Concitoyens » en une généralité toute socialiste du N.O.M.).

La stupidité du régime républicain va jusqu’à pratiquer le nudge en nous serinant son « Un geste pour la planète », ou « Sauver la planète », alors que ce régime est directement complice avec la criminelle firme Total/Elf du pillage de l’Afrique : Gabon, Niger, Angola, et en Algérie puis plus récent en Libye détruite en 2011 (s’approprier le pétrole libyen seulement après quelques jours du début de la guerre) ; sans compter la destruction planétaire des Abeilles, mais pas de PANique, les transhumanistes vont nous en fabriquer d’artificiels qui pourront continuer à polliniser la Nature.
LE RÉGIME RÉPUBLICAIN N’AIDE PAS « SES PEUPLES », IL N’AIDE QUE L’OLIGARCHIE, QUI LE LUI REND BIEN EN LUI DICTANT SES LOIS, MERCANTILISME OBLIGE (donnant-donnant). Comme écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, pouvoir politique et pouvoir économique ne sont plus qu’un seul.

PRINCIPE DU RÉSEAUTAGE : c’est le winnérisme : ÊTRE LE PREMIER (occuper le terrain le premier) afin de rejeter toute concurrence, comme au temps des chercheurs d’Or et de pétrole au 19è siècle. Mais le principe du capitalisme étant une singerie de l’immortalité, il fera donc tout pour ne pas mourir en s’éclatant partout dans le monde en une palanquée de petites filiales ou sociétés selon le principe capitalisme de son « Unité dans la diversité » (d’ailleurs inscrit sur l’épée d’académicienne [”Unie dans la diversité”] d’une certaine femme morte récemment et faisant la partie de ces « élus » en réseaux). Il fera tout pour ne pas mourir en nous faisant croire qu’il est indispensable à notre survie, voir par exemple la complexité de nombre de systèmes industriels qui, comme pour être le premier sur le terrain, fera tout pour que ses systèmes soient non reproductibles par la concurrence.

Quand le washingtonisme chia le Sherman Antitrust en 1911 (loi anti-trust de 1890), la Standard Oil de la Couille en Or Rockefeller chia une palanquée de filiales avec une chefferie, comme de nos jours : Exxon. Ce principe en « Unie dans la diversité », comme gravé sur l’épée d’académicienne de Momone, est fonctionnel de toutes les multinationales à travers cette planète. Par exemple Total est un monstre avec quelques 900 filiales, dont évidemment certaines sont dans les paradis fiscaux ou États voyous. Avec cette « Unie dans la diversité » de la grosse Momone et son épée, aucune justice ne peut intervenir sur les magouilles des multinationales.
Pire : ON ACHÈTE LA MORALE COMME ON ACHÈTE DES ACTIONS EN BOURSES OU DES TERRAINS À POLLUER, OU UN YACHT de 200 mètres de long. POUR CES MULTINATIONALES ÇA S’APPELLE : « DÉDOMMAGEMENTS » (voir le cas AZF) ! DONC ON ACHÈTE LA JUSTICE POUR QUELLE FERME SA GUEULE PUISQUE LES MULTINATIONALES FONT LEURS LOIS, ET QUE LES LIEUX D’AVOCATS SONT DÉSORMAIS DE VÉRITABLES BOURSES DU MARCHÉ (facilité par le « tous connectés », dont évidemment la judéo-maçonnerie spéculative modèle GODF).

RÉGIME RÉPUBLICAIN : son oligarchie est trinitaire :
- Ses institutions à Pour-Voir comme : ministère des finances, des affaires étrangères, de la défense, de la sécurité intérieure, de la recherche et de la grande industrie.
- Principe de la division winner-loser (appelé « compétitivité »).
- Principe de la tyrannie de l’opinion : négocier ou faire du chantage c’est kif-kif (on prive le loser de fric ou de « richesses naturelles », on le diffame, etc.) ; bref, on le fait rentrer dans le troupeau.
Le régime républicain est celui des multinationales et entreprises du CAC 40.

S’il n’y avait que l’opinion comme dictature, mais c’est aussi le Fric/Flic qui écrase les libertés des losers. Cependant le copinage État-Capitalisme ne date pas de nos jours et saute sur l’occasion à chaque fois que l’État est malade. Concernant la fameuse culture pour tous si à la mode, bien-sûr le capitalisme la récupère : « Les protestations, dans l’Allemagne de Luther, contre les Frugger, des Welser et des autres, ont fait long feu. Presque toujours la culture redevient protection [sécuritaire] de l’ordre en place et le capitalisme en tire une partie de sa sécurité », écrit justement Fernand Braudel dans : Civilisation matérielle, économie et capitalisme 15è-18è siècle, vol.3 : Le temps du monde, page 789.


ARGENT = WINNERS-LOSERS OU INJUSTICE.
VIVE L’INÉGALITÉ SOCIALE DONC !


En 1920, Keynes était complètement favorable pour « l’inégalité dans la répartition des richesses », à son opinion le meilleur moyen de grossir l’accumulation des capitaux indispensables à la vivacité de la vie économique, comme l’écrit Braudel. « Vive l’inégalité dans le capitalisme » mais « vivre ensemble » en régime républicain nouvelle église chargée de « socialiser les individus » ! Là encore on retrouve le « Unie dans la diversité » de l’épée de la grosse académicienne. Fernand Braudel cite le journal Le Monde du 11 août 1979, année de sortie de son livre : « Les inégalités de tous ordres sont des phénomènes naturels, à quoi bon les nier ? ».
Braudel écrit d’ailleurs : « On invoque la nature de l’homme, qui ne saurait changer ; donc la société, elle aussi, est inchangeable ; toujours elle a été injuste, hiérarchisée, inégale. L’histoire arrive ainsi à la rescousse. Même le vieux mythe de la « main invisible », du marché qui réglerait tout de lui-même [marché-Providence], mieux que ne pourrait le faire aucune volonté humaine, n’est pas mort. Il enseigne que « servir l’intérêt individuel, c’est servir l’intérêt général » : alors, « laissez faire, et que le meilleur gagne ! » [la guerre de tous contre tous]. L’Amérique s’est grisée du slogan Self made man, celui qui bâtit seul sa propre fortune, honneur et exemple pour toute une nation [et pour faire baver d’envie les losers] ».
Braudel ajoute, à propos de « l’honnêteté » de ces fortunes : « Sigmund Diamond s’est même amusé à repérer, aux États-Unis, la façon dont les prétendus self made men cachaient le tremplin qui leur avaient offert des fortunes familiales bâties en plusieurs générations, tout comme les fortunes « bourgeoises » d’Europe, dès le 15è siècle ».

À la Renaissance la Réforme engendre une nouvelle Europe impériale : en Allemagne elle aboutit à l’engeance des princes territoriaux, triste résultat. Lors de la guerre des Paysans en 1525, Luther avait trahi la cause des révoltés, comme l’écrit Braudel. Il écrit aussi « Toutes les victoires socialistes, de par le monde, ont bénéficié d’un choc extérieur et de violences exemplaires - la révolution russe de 1917, les régimes de l’Europe de l’Est en 1945, le triomphe de la guérilla cubaine en 1959, la libération du Vietnam en 1976. Encore ces mouvements s’appuyaient-ils sur une confiance entière dans l’avenir socialiste, plus incertaine aujourd’hui ».

L’inscription sur l’épée de la grosse dame académicienne indique aussi le rôle des crises dans l’Europe préindustrielle : FAIRE DISPARAÎTRE LES PETITS, DONC LES LOSERS, faire disparaître les entreprises fragiles créées au moment d’une euphorie économique, ou au contraire faire disparaître les vieilles entreprises et jacobiniser, étatiser, l’essentiel des activités économiques entre une oligarchie. « Rien n’a changé » comme l’écrit Braudel !
C’est toujours la loi du winner et du fort en gueule et en argent et à la grosse bite et au gros couteau, si nécessaire en économie (voyez le coup de la poignée de main de la trumpette US et du Golem d’Attali) ! D’ailleurs Fernand Braudel est d’accord avec Herbert Marcuse, « qui affirmait, dans un débat récent avec Jacques Ellenstein, que « les crises sont essentielles pour le développement du capitalisme, [que] l’inflation, le chômage, etc., favorisent [aujourd’hui] la centralisation et la concentration du capitalisme [Francis Cousin dit la même chose à propos de la mode du terrorisme nécessaire au capitalisme]. C’est le commencement d’une nouvelle phase de développement, mais ce n’est pas du tout la crise finale du capitalisme ». Centralisation et concentration sont en effet les constructeurs et les démolisseurs silencieux des architectures sociales et économiques. Déjà en 1968, le président de Fiat, Giovanni Agnelli, pronostiquait : « Dans vingt ans, il n’y aura peut-être plus que six ou sept marques de voitures automobiles dans le monde ». Et aujourd’hui [en 1979] neuf groupes, à eux seuls, se partagent 80% de la production mondiale ».

« Les grandes crises favorisent, par surcroît, une autre redistribution, à l’échelle internationale. Là aussi, les plus faibles s’affaiblissent encore, les plus forts se renforcent, si parfois l’hégémonie mondiale change de main et de lieu géographique. Le monde s’est modifié profondément, et de plusieurs façons, durant les dernières décennies : il y a eu glissement de l’économie américaine vers le Sud et l’Ouest des États-Unis (phénomène qui a compté, entre beaucoup d’autres, dans le dépérissement de New York). Au point que Jacques Attali croit pouvoir parler (L’Express, 9-15 juin 1979) d’un « basculement du centre du monde de l’Atlantique au Pacifique », avec une sorte d’axe économique États-Unis-Japon.

RÉSEAU : LA CHAÎNE : « La boutique où j’achète mon journal ne relève pas du capitalisme, en relève seulement la chaîne, quand chaîne il y a, dont dépend la modeste boutique », écrit F. Braudel, rejoignant ce que j’ai écris en début de page sur la palanquée des filiales des multinationales comme Total (près de 900…).

On retrouve ici l’épée de la grosse académicienne : le monde « concurrentiel » où les unités se heurtent, s’appuyant les unes sur les autres. « La désorganisation de New York a résulté de l’éviction de ces milliers d’entreprises qui permettaient, hier, de trouver dans la ville, fabriqué sur place, tout ce que le consommateur pouvait désirer. Ce sont de grosses entreprises qui ont supplanté, détruit cet univers au bénéfice de larges unités de production, hors de la ville. Le pain que fabriquait, sur place, une vieille entreprise pour les écoles new-yorkaises vient aujourd’hui du New-Jersey [Jason Erstein : The Last Days of New York, New York Review of Books, 19 février 1976] », écrit Fernand Braudel. Il ajoute : « Voilà donc un bon exemple, au cœur du pays le plus « avancé » du monde, de ce que peut être une économie concurrentielle, obsolète assurément, avec de minuscules effectifs et une gestion personnalisée. Elle vient de s’effacer, laissant dans New York désertée un vide irremplaçable ».

Il paraît que Lénine aurait dit : « Le capitalisme commence au marché du village ». Le problème vient de deux mots/maux : PRODUCTION, ÉCHANGE, DONC DES TRUCS EXTÉRIEURS COMME L’EGO (l’égo comportant surtout la débrouille, donc le calcul… à ne pas confondre avec la survie et l’instinct… pourtant relevant aussi du corps).
Toute innovation ou création authentique est récupéré, bouffé par les possesseurs de capitaux. « Ce ne sont pas les capitalistes qui ont fait la première révolution du coton, tout est parti d’entreprises minuscules et dynamiques. Est-ce si différent aujourd’hui ? Un des grands représentants du capitalisme français me disait récemment : « ce ne sont jamais les inventeurs qui font fortune ! » Ils doivent passer la main. Mais c’est tout de même eux qui ont inventé ! Et un rapport du M.I.T. ne vient-il pas de signaler que durant les quinze dernières années, plus de la moitié des créations d’emplois aux États-unis ont été dues à de petites entreprises de moins de 50 ouvriers », écrit Braudel. Oui mais c’était en 1979 !
Les dernières lignes du 30 octobre 1979 du troisième volume de Braudel de sa trilogie consacrée au capitalisme entre les 15è-18è siècles se terminent en interrogation sur la désormais « économie-monde » et en espoir, qui n’est hélas plus valable de nos jours, quand il questionne si on peut espérer que les groupes dominants qui associent le Capital et l’État [comme la firme criminelle Total] renoncent à leurs privilèges et « qui sont assurés d’un soutien international, acceptent de jouer le jeu et de passer la main ? ».
 
 
ÂGE D’OR TOUJOURS LÀ, DANS LE JARDIN OÙ LES POMMES POUSSENT EN TOUTES SAISONS (celui qui en mange n’a plus faim, ni soif, ni douleurs, ni maladies) :
- Quand la biche pourra brouter aux côtés du lion.
- Quand le liseron ne bouffera plus le géranium.
- Aimez-vous les uns les autres, oui, mais pas au point de se bouffer les uns les autres comme le libéralisme économique le fait.
- Quand la forêt ne connaîtra plus la hache de l’homme (de nos jours la tronçonneuse et les chenilles caterpillar).
- Quand on ne fera plus attention au temps qui coule et au profit matériel, donc quand on ne sera plus prisonnier de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule et de son évolutionnisme.
- Quand l’Or et le mot « valeur » ne servira plus de monnaie ni de « bien ».


Le Golem de Jacques Attali et son Monde-Hôtel destructeur : le Graal du laissez-faire et son libre échange.
Pour les économistes de 1979, il y a les prix du marché et les prix des monopoles, c’est-à-dire un secteur monopoliste et un « secteur concurrentiel », soit deux étages. Bref, au sommet ce sont les monopoles et les winners, et à la base de la pyramide les médiocres ou les entreprises losers.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 02-07-2017 02:12

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