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Culte du narcissisme, suite Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-08-2017 00:43

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Âne, Argent, Artifice, Babel, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Chimère, Christ, Communisme, Conte, Corée, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Fréquence, Fusible, Génocide, Gnostiques, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kaléidonome, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Narcisse, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Prostitution, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Psychiatre, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Self, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Toufta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Utile, Vaccin, Vase, Vide, Volonté, Yokaï, Zombie

 
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Culte du narcissisme, suite
Palais des miroirs
en mode de vie privée
singerie du terme PREMIER,
singerie du Soi.


Le parasitisme de la civilisation humaine par le
« moi-je » ou opinion (« libre-arbitre »).
 
 
La mentalité anglo-américaine et protestante (réseau) et son côté winner conduit au « monde meilleur » (nouveau monde, genre ”Vu à la Télé !”) comme le dit sa constitution judéo-maçonnique, pour construire une mouture de « terre promise » façon « fin des temps ». C’est l’exacerbation et le culte de l’ego que l’on retrouve chez la talmudiste en vidéo en fin d’article.
 
NARCISSE, NARKÉ, NARCOSE et VIANDE GRILLÉE par laquelle les prophètes hébreux s’envoyaient en l’R. Rapport aussi au culte de Déméter (l’humide, la fermentation-germination) à Eleusis. On plate des narcisses sur des tombeaux ; ils symbolisent l’engourdissement et la mort, donc en fait le contraire Déméter : Perséphone qui représente le Froid-Sec et la mort, la congélation (conservation ou en sommeil profond ou ambivalence mort-sommeil-renaissance). On offrait des narcisses aux Furie, censées engourdir les scélérats. La fleur pousse au printemps en des endroits humides (symbolisme des eaux et de fécondation).
À un degré négatif, cette fleur rappelle la chute de Narcisse dans les eaux où il se mire avec complaisance, d’où l’emblème de la vanité, de l’égocentrisme actuel, de la satisfaction de soi-même en une singerie de la Réalisation du Soi-Instant ou ici et maintenant.

C’est le parfum de Narcisse qui envoûta Perséphone (la congelée par le feu-froid-rouge en attendant sa renaissance).       

EAU = MIROIR : les profondeurs de l’ego, le transformant en idéal, en l’amplifiant, en l’idolâtrant comme actuellement.
Narcisse est bien cette société du spectacle explorée par Guy Debord : le toujours plus, le toujours plus beau, etc., jusqu’à s’augmenter sans arrêt façon transhumanistes. Il faut donc rendre « vivants » et naturels les miroirs de verre quand le mental exacerbé pourra devenir acteur du spectacle de la source de la rivière. On reste alors toujours prisonnier de la dualité sujet-objet.

Le culte du narcissisme c’est l’idéalisation de l’ego, sa sublimation, évidemment pas sa suppression ni son domptage ! car cette sublimation de l’ego est identique à atteindre un but, un idéal. Or cet idéal, cet absolu EST DÉJÀ NOTRE ÉTAT NATUREL (l’Instant ou le ici et maintenant, là où il n’y a rien à augmenter ni a enlever). Ainsi cette idéalisation de l’ego va devenir d’une fragilité extrême :

Le moindre soupir
Que j’exhalerais
Me viendrait ravir
Ce que j’adorais
Sur l’eau bleue et blonde
Et cieux et forêts
Et rose de l’onde.
(Paul Valéry, Narcisse)

Forêt et Ciel sont en effet source d’enseignement et de découverte de soi, comme le reflet dans l’eau. Dans tous ces cas ON N’EST PLUS SEUL, ON A COMME UN RETOUR, LEQUEL SE MATÉRIALISE PAR LE MODERNE SELFIE FACILITÉ PAR LA TECHNOLOGIE ET LE TOUT CONNECTÉ.
Je dirais que l’inconscient collectif de C.G. Jung et de Teilhard de Chardin (Noosphère) est un immense Narcisse en train de s’examiner, de penser en forme de géométrie de la ligne droite (évolutionnisme) et donc ces gens s’enferment dans l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule) ou « dialectique des événements », dialectique qui existe mais ne contient pas son « sens ». Comme écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Ils se sentent en voyage entre l’Alpha et l’Oméga, en un point de la « perpétuité » que chaque instant accomplit et rejette en arrière. Mais ils ne bouclent pas sur le « Verbe », ils n’accomplissent pas le Triangle, première figure fermée, premier cycle. Ils ne connaissent pas par co-naturalité le « Je suis ce JE SUIS », à la fois Alpha et Oméga, dans « l’éternité ».

Narcisse est le problème du DOUBLE : reflet de la Seule Réalité invisible (ce qui est sans double car Singularité). Narcisse rêve de DEUX. Et c’est alors la pénétration dans la dualité. D’ailleurs Ramuz dans Histoire du soldat écrit : « Un bonheur c’est tout le bonheur ; deux, c’est comme s’il n’existait plus » (il n'y a aucune augmentation). Narcisse cherche désespérément par son reflet à l’annihiler !!! Le contraire de l’Être c’est son double, sa négation. Narcisse s’enfonce constamment dans sa négation de lui-même en croyant « s’augmenter ».

NARCISSE = SOCIÉTÉ DU SPECTACLE : il s’illusionne de son corps, donc de son ego ou mental, lui-même reflet de la Seule Réalité, le Soi.

Le « vivre ensemble » lancé telle une pub après l’affaire « Charlie » est signification de ce culte du narcissisme : singerie de l’Amour, et paradoxalement s’en libérer (méthode freudienne de la « suppression des inhibitions » pour mieux exercer le culte du libéralisme et du chacun pour soi).


PALAIS DES MIROIRS.
Société thérapeutique : installation de la norme sociale qui va engendrer une peur de ne pas être comme tout le monde et forcer à s’examiner, se selfiriser tous les jours. Le patient ne se sent plus en bonne santé tant que ses « objets connectés intelligents » ne lui ont pas confirmé son état !


UNE SOURCE DU LIBÉRALISME ET DU SELF-MADE-MAN.
Les travailleurs du chapeau à l’œuvre. Misérables talmudistes et « individualistes révolutionnaires ».

SINGERIE DE L’AUTONOMIE.

Cette dame en vidéo en fin d'article, au physique proche d’actrices de films sur des morts-vivants et aux yeux inquétants, se voudrait « objective » (« réalité objective »), donc pas objective du tout puisque dans la dualité sujet-objet, et elle l’étale en idéation). Deuxièmement elle se trompe en parlant de « morale rationnelle », un non-sens puisque toute morale n’est qu’opinion en fonction des modes du moment et de « l’âge du capitaine ». Si elle créé un « nouveau code morale », donc une opinion, ce code terminera un jour ou l’autre par sa mort. Cette femme explique le travail du chapeau de tous Yavistes talmudiques qui se respecte.
Qu’entend cette personne par « vie de l’homme » comme « étalon de valeur » ? Parce qu’effectivement les Anciens estimaient que « l’Homme est la mesure de toute chose ». Or cette personne ne considère que le corps, le mental ou ego puisqu’elle emploie le mot qui fait fureur chez les perruques poudrées : RAISON. Bref, cette femme dit exactement le contraire de Ramana Maharshi et de tous les Réalisés ou Bienheureux avant même que cette planète « n’existe »… puisque Tout est dans le cerveau.
Cette femme croit que « le but à atteindre est le bonheur » et raisonne parfaitement en évolutionniste et leur ”fin des temps”.

Cette femme est en train d’expliquer qu’il faut rejeter les autres, qu’il ne fut pas se sacrifier pour les autres, en somme qu’il faut vivre totalement égoïstement, quasiment EN TUANT LES AUTRES : singerie de la Singularité et singerie du chapitre 18 de la Bhagavad-gîtâ : « Celui qui est délivré de la notion de l’ego, dont l’intellect n’est pas conditionné, celui-là, même s’il détruit tous les mondes, ne tue pas, pas plus qu’il n’est enchaîné par les conséquence de ses actes ». Cette dame apparemment n’étant pas délivré de son ego se contredit sur son rêve de Singularité qui voudrait abolir les « autres ».

Cette femme voit la compassion (partager ce que ressent l’autre) comme un « sacrifice pour les autres ». Évidemment que la Félicité est Nous, et que mon voisin ne peut pas me la procurer, et que nous sommes responsable de notre propre malheur ou bonheur. En fait cette femme lutte contre la société de consommation américaine, tout en, à contrario, l’encensant ; elle ne lutte certainement pas contre son ego ! Intégré dans la dualité elle dit « On n’aime pas sans raison », donc SANS ACHETER L’AUTRE, mentalité toute juivo-américaine.

CETTE FEMME INVENTE LA FABRICATION DES BESOINS, LE PROPRE BESOIN DE L’HUMAIN. ELLE SE SITUE DANS LA TRADITION JUIVE DU MERCANTILISME ET SURTOUT DU LOCKISME (John Locke), imbibée aussi d’aristotisme. COMME LE JUDÉO-MAÇON ARMAND BÉDARRIDE, BESOIN OU DÉSIRE DE POSSÉDER LES MEILLEURES CHOSES, L’AVOIR ET NULLEMENT L’ÊTRE comme elle le prétend. Elle veux nous vendre un nouveau mode de vie comme Caca-Calo veut nous vendre une nouvelle boisson.

Elle rapproche altruisme et socialisme, bien que ces deux mots soient aussi du mercantilisme ! Se « dévouer » ou vouloir « sauver le monde » est encore un piège de l’ego. Cette charité dévalorise l’autre.
En somme, cette femme nous vend du SADISME : comme Sade imaginait une utopie sexuelle à la façon du dernier film de Pasolini, où chacun aurait le droit de posséder n’importe qui, des êtres humains réduits à leurs organes sexuels. Effectivement ça se rapproche du Thème de l’Anarchie, évidemment dans son sens négatif !

Cette femme prône le capitalisme absolu : OBLIGATION UNIVERSALISÉE DE JOUIR SANS ENTRAVE (comme marqué sur les affiches de Mai 1968 à Paris, et de nos jours de se donner en jouissance sur Youtube. Sade comme cette femme détestent l’humanité. Les deux défendent LA SPHÈRE PRIVÉE EN ABOUTISSANT À SA NÉGATION MAXIMALE, PIRE QUE BIG BROTHER, EN GLORIFIANT L’EGO DE L’INDIVIDU CONDUISANT À SON ANNIHILATION (ignorance totale du Soi et culte unique du mental) !

Cette femme a été actrice, actrice = célèbre et narcisse. La société du selfie et du narcissisme vénère le winner, la star et le spectacle. La « raison » aussi bien des perruques poudrées que de cette femme  est identique à la bureaucratie américaine : le mental de cette société, son « social » comme « rôle à jouer », la représentation du ‘moi-je’ dans la vie quotidienne.
Ces gens ont tellement peur du Vide qu’ils ne peuvent vivre qu’entourés de miroirs ; en eux ils cherchent à se rassurer sur leur pouvoir de captation et d’impressionner l'extérieur. En fait c’est cela que veut cette femme avec sa soi-disante « autonomie par la raison » : captiver l’autre. Elle ne nous fourgue pas du tout la Libération et encore moins la Singularité. Elle nous vend - comme ces publicités des années 1920-50 où les femmes se regardaient dans un miroir ou s’observaient d’un œil critique - son Thème du narcissisme afin de réduire tel le freudisme la moindre inhibition, la moindre gène.
Grâce à cette femme, encore de nos jours hommes et femmes encouragés par la publicité et les médias sont façonnés pour considérer leur ego comme la plus haute forme de créativité (self-made-man).
Au 19è siècle s’industrialisant et réduisant les Paysans au rôle de prolétaires urbains en les abandonnant sur le marché où ils n’avaient à vendre que leurs bras, de nos jours, la puissance de travail est mesuré par la personnalité, le caractère (voir les bureau de recrutement des grandes entreprises). Hommes et Femmes doivent paraître leur eyes candy, donc devenir vendeur, acteurs et connaisseurs avertis de leur propre prestation (pas besoin d’imprésario ou d’agent artistique, bien que le coaching soit aussi devenu un business et une mode).

Cette pauvre talmudiste ne se rend pas compte que la conscience examinant la conscience crée une escalade cyclique, une prison de soi qui inhibe toute spontanéité, et qui ROBOTISE EN PREMIER LIEU. Cette talmudiste nous vend du spectacle, de l’illusion, de l’apparence, de la religion, des arts, illusions de dernières limites.
Cette talmidiste propose en somme que chacun ai son frigidaire, sa tété, sa voiture, sa piscine, ça ceci et ça cela… tout du domaine PRIVÉ, comme aux États-Unis du quantitatisme ! et surtout pas en communauté, ça non, caca ou communisme !

UN MONDE MEILLEUR : J’ai fais une expos de peinture, j’ai de quoi manger avec mon jardin, j’ai une femme et un toit, « je suis heureux » ??? My God… on se demande alors à quoi servent tous ces étatismes qui se disent « république » s’ils ne nous fournissent pas le minimum de base… ou alors ce serait à nous de nous le fournir et ces étatismes ne serviraient à rien et seraient plutôt des parasites.
MONDE : ce qui serait « organisé ». Son contraire serait « immonde » (jugement et opinion…). Comme dit Ramana Maharshi, la Liberté ou Félicité étant notre état naturel, il n’y a rien à changer « au monde »… Pourquoi cette talmudiste veut-elle le changer ? Cette une BOBO. Elle n’a pas comprise qu’il existe deux groupes de Libération :
- Un groupe s’oriente vers le service des autres en oubliant, presque, complètement son ego.
- Un autre groupe s’oriente d’avantage vers l’individualité, vers la contemplation intérieur et l’Amour. En se réalisant intérieurement on ne peut qu’irradier naturellement du positif vers les autres (avant de faire société avec les autres il est nécessaire de faire société avec soi-même au plus profond de son Être).
Ces deux groupes peuvent parfaitement vivre en communauté chacune, l’individualité n’est pas un frein. Mais dès qu’un individu prêche pour ses propres intérêts, comme cette talmudiste, alors c’est le libéralisme et le chaos dans la communauté.

MONDE MEILLEUR : MA TERRE-PROMISE C’EST MON TAPIS VOLANT (Pays de Rien du Tout en maximum de 10.000 habitants… et sans l’économie actuelle construite sur l’argent, peu importe sa forme ce sera toujours de l'argent… et évidemment sans ego qui va un jour ou l’autre amener l’inévitable chefferie…)
En corrélation avec l’opinion libéraliste de la talmudiste, voir aussi la vidéo avec Yves-Monin sur un « monde meilleur ».

En fait le monde meilleur est un terme faux, parce qu’il correspond au monde normal, naturel, il n’a donc pas à être « meilleur », ou « augmenté » comme le souhaitent les transhumanistes. Notre monde de l’après Renaissance est celui de l’aliénation : l’être humain est rendu étranger à lui-même, comme privé de son Soi, privé de son ‘Je’-‘Je’.

CONCLUSION : finalement, cette brave talmudiste qui veut « aider le monde » en pratiquant une forme de compassion envers soi-même, est conforme au principe de sa communauté, l’antienne talmudiste citée par Jacques Attali dans son livre : Les Juifs, le monde et l’argent : « Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent ». Attali précise que les communautés vont chercher partout à mettre en avant les services qu’elles peuvent rendre. C’est honorable, mais nettement moins quand il s’agit de faire du commerce, même pour « rendre service » car ça ouvre la porte directe au capitalisme ! La compassion envers soi-même ne doit pas non plus tomber dans l’actuel tout confort et sa course démentielle au progrès ! Sinon on n’en sort pas !!!
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 13-08-2017 01:16

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