Je vais une nouvelle fois répéter en refrain, parce que c’est le principe du capitalo-socialisme, que, parce qu’il se dirige de plus en plus vers le virtuel et le sournois, Carte Bleue, Dette, Guerres, Terrorismes, Migrants, etc., il ne peut que faire dans le QUANTITATIF à coups de spécialistes, de divisions en tous genres, dont le président du régime républicain et sa chefferie de
« représentants du peuple » en sont un exemple. Pour ce faire, le capitalo-socialisme à coups de ses spécialistes et diplômés en goguette FERA DANS L’UNIFORMITÉ QUI SE NOMME À CE HUI
« LIBERTÉ D’EXPRESSION » (1) OU OPINION (et accessoirement
”démocratie”). Ainsi, comme dans son principe de l’évolutionnisme et de ses banques, IL NE CONNAÎT PAS DE LIMITE : IL BOUFFE TOUT ; on peut diviser sans fin un corps indifférencié, virtualisé, digitalisé, duplicable à l’infini puisque codé de zéros et de uns. On est dans ce paradoxe qui fait croître simultanément l’atomisation qui donne cette culture du narcissisme et l’uniformité de plus en plus palpable à nos jours.
Nous sommes devenus des numéros, des marchandises au « pouvoir d’achat », des fragments informes parmi d’autres fantômes abstraits qui essayent de survivre en pitoyable
« réseaux sociaux », dernier sursaut avant la catastrophe. ÇA ME FAIT PITIÉ D’ENTENDRE EN CE MOMENT QUE LE CAPITALO-SOCIALISME À LA FRANÇAISE SE MASTURBE ET JOUIT DE POSSIBLES, JE DIS BIEN POSSIBLES, JEUX OLYMPIQUES À PARIS EN 2024. Ba voyons ! pourquoi pas vouloir ceux de 2070 !!! QUELLE PITIÉ, OH QUELLE PITIÉ, parce que tous les voyants sont tellement au rouge, que probablement nous n’atteindrons jamais 2024 sans catastrophe rendant impossible ces jeux du cirque du capitalo-socialisme !!! Du pain, du vin, des jeux, avant que ne coule le Titanic. Jeux conforment à la soumission au régime républicain et son puissant égrégore, conforment au quantitatif et à la sournoiserie ou à tout ce qui est FAUX, VIRTUEL. Ainsi les esclaves obéissent à leurs maîtres.
Nous n’avons plus de temps, le capitalo-socialisme est mourant, ses symptômes comme les guerres-dettes-migrants-terrorisme l’indiquent. Comme écrit
Gustave Thibon dans
Diagnostics : « Aucun salut économique ne sera possible tant que les activités humaines continueront à se différencier suivant un rythme étranger à l’être et aux besoins de l’homme, autrement dit tant que la
”spécialisation” ne correspondra à aucune
”spécificité” naturelle ».
L’Enfer est le lieu où la centralisation et la culture du narcissisme sont portées à leur expression suprême, et nous sommes plein pot là-dedans. L’Enfer c’est la division absolue, le contraire absolu du Soi, de l’Unité. L’Enfer c’est l’actuelle immense machinerie marchande où, comme dans tout ordre mécanique et maintenant digitalisé, chaque rouage et bit informatique, et aussi ego, est condamné à une passivité absolue, et paradoxalement à une originalité destructrice : la culture du narcissisme ou de l’ego poussée à l’extrême depuis la « raison » du siècle des perruques poudrées.
Ce monde est LE PAYS DES ESCLAVES SOLITAIRES. L’artifice du « tout connecté » ou des « réseaux sociaux » ou fêtes style « jeux olympiques », tous singeant la catholicité ne réussiront jamais à soigner les nouveaux esclaves, c’est cautère sur jambe de bois. Le mot « liberté » ne voulant plus rien dire, ou plutôt signifiant l'ego, je suis tenté de crier : « À bas la liberté » !
Le capitalo-socialisme a besoin du QUANTITATIF, il a besoin de plus en plus de Terriens esclaves et consommateurs.
Il faut aussi prendre conscience que cette judéo-maçonnerie spéculative née en 1717 dans une taverne à Londres est une IDÉOLOGIE du capitalo-socialisme, j’entend évidemment ici les grosses obédiences comme le GODF paroisse à chefferie future dans le régime républicain, car il existent de petites loges sincères à ne pas confondre et qui ne succombent pas au Pour-Voir ! La judéo-maçonnerie spéculative, virtuelle, est UN EFFET du capitalo-socialisme.
Comme écris précédemment, PAN fait peur : PANique, et PANdore par son Pour-Voir a produite les ravages de l’opinion. Ainsi l’humain actuel refuse la GRATUITÉ, il préfère payer, sauf en cas d’émeute où il préfère ne pas payer, démontrant que ce système marchand est pourrit. Le voleur qui préfère ne pas payer n’est pas le « mal ». Le MAL c’est le capitalo-socialisme, aussi bien en régime monarchique que républicain, fabriquant de ce monde marchandisé, marketinsé. Le voleur pillard en cas de catastrophe est innocent.
C’est surtout le judaïsme qui refuse le gratuit, donc qui refuse le Seul Réel, puisqu’il idolâtre beaucoup de choses monnayables ! Là aussi : quelle pitié, oh quelle pitié !
Jean Coulonval a totalement refusé ce monde du capitalo-socialisme, ce fut évidemment très dur tel qu’il l’exprime dans sa lettre de mai 1972 à
Jean Charon : « Tout système philosophique et, en conséquence, tout système politique (ils se disent tous démocratiques) est une cage, une clôture, un esclavage, une limitation de l’être. Nous vivons le règne des systèmes, des dictature. Il réussit ou il avorte, mais il est cela. Un homme peut refuser tout système : c’est ce que j’ai fait. Mais le monde moderne étant ce qu’il est, cet homme renonce du même coup à être concrètement un être social, à exister, à être inséré
(2), à « compter » dans le corps social. Le Christ a dit : « Qui perd sa vie la gagne ». Mais c’est dur. Il faudra bien qu’un jour ce ne soit plus vrai. Quand il y aura de nouveaux Cieux et une nouvelle Terre ».
Paradoxe du capitalisme qui fait croître simultanément l’atomisation (culture du narcissisme) et l’uniformité de plus en plus palpable à nos jours. Problème de LANGAGE HUMAIN.
À commencer par les transhumanistes qui veulent modifier l’humain, donc MODIFIER LE LANGAGE HUMAIN en général. Or, quelque chose peut modifier quelque chose, cas de la dualité sujet-objet ; et rien ne peut modifier rien. Or le Seul réel est le Rien, ou
« Rien dans le Tout et tout dans le Rien ». Aucun humain, même un gros ego transhumanistique dopé au silicium ne pourra modifier ce Rien du Tout, CETTE GRATUITÉ. Ramana Maharshi ne dit pas autre chose, le Réel est éternel, et c’est TOUT. Tout est toujours pareil puisqu’il il n’existe pas d’HOTC (Histoire-Opinions-temps qui coule). Ce qui est éternellement pareil signifie alors que tout est toujours SPONTANÉ, ÉPHÉMÈRE, CHANGEANT, ce qui est la définition même de
L’AGE D’OR : objets et êtres peuvent se déplacer dans les airs à volonté, les animaux et les humains peuvent se métamorphoser l’un en l’autre, les cultures germent spontanément et la chair des animaux dépecés repousse dans la seconde ; il n’existe aucune loi et pas conséquence l’opinion sur le
« cosmos » n’existe pas puisqu’il elle est une création du mental.
Non, non, il y a vraiment un problème de langage humain, comme évoqué maintes fois sur le site, et ça aggrave beaucoup la communauté humaine. Par exemple, l’imbécilité qui consiste à dire :
« Je tombe enceinte », comme si on tombait sur la route et se blessant, où alors la grossesse rend la femme idiote ! Plutôt ça rejoint le REFUS DU GRATUIT et la dualité sujet-objet, puisque ça tombe !…
Bref, TOUT EST À REVOIR, Y COMPRIS NOS ALPHABETS. Nos systèmes graphiques nous procurent des modèles qui vont façonner notre langage, notre monde. MAIS, aucun système d’écriture, pas plus l’alphabet que les autres, n’est capable de restituer tous les aspects de ce qui a été dit. Emblèmes et totems sont impuissant à former ou comprendre des mots ; idem pour les logographes. Les écritures alphabétiques « digitalisent » correctement la forme verbale d’une expression, mais elles ne parviennent pas à restituer la valeur d’illocution
(3) : elles transmettent fidèlement ce qui a été dit, mais ne peuvent rapporter la manière (ce qui est Maât, direct) dont cela été dit, pas plus que ce que le locuteur voulait que son public comprenne. Ce qui est perdu dans l’acte de la transcription, c’est précisément ce qu’il est difficile de trouver en lisant. Si Empédocle dit que
« la mer salée est la sueur de la Terre », parle-t-il littéralement ou métaphoriquement ? La transcription, le « digital » ne nous en dit rien…
Oui, oui, le capitalo-socialisme veut que les femmes deviennent des hommes, et que les hommes deviennent des femmes, ce qui correspond parfaitement à
« l’homme augmenté » des transhumanistes et à leur
« intelligence artificielle », ce qui fera plaisir à la raison des perruques poudrées. Là aussi nous sommes dans le quantitatif et l’uniformité dénoncés plus haut. Par contre, le capitalo-socialisme, ses réseaux judéo-maçonniques, n’entreprennent surtout pas un nouveau système d’écriture, parce qu’il a été tellement bien avalé depuis des siècles, qu’il est devenu le modèle de l’Occidental, il est extrêmement difficile de s’en distancier et d’imaginer comment celui qui ne le partage pas peut percevoir le langage. Un Occidental qui pratique
l’alphabet latin trouve étonnant que quelqu’un d’autre ne réussisse pas à entendre les constituants « alphabétiques » de son discours ; pour lui, ces constituants sont évidents (entendre : une opinion).
Ainsi notre modèle écrit axé sur le capitalisme et le matériel n’est qu’un modèle parmi une infinité d’autres ; et les structures représentées par ce modèle finissent par être considérées comme des faits objectifs (travail du Super Égrégore), qu’il s’agisse de mots, de syllabes, du son des lettres ou du sens littéral. Une fois détectées, par l’ego, on a tendance à penser que ces structures existent dans le texte, et que ceux qui ne parviennent pas à les y voir sont atteints d’une sorte de cécité, ce qui conduit aux drames de l’opinion et des guerres et violences que ça produit.
L’encyclopédie, triomphe de 1789 des Diderot et Cie, fait la partie de notre alphabet occidental de l’exaltation de la raison et du bidouillage de la logique et des ergoteries du mental et de ses rhétoriques. Tout ça fait la partie de l’HOTC. L’encyclopédie des Diderot et de ses suites jusqu’à nous sont des machines à pensée unique et nourrice du Gros Égrégore républicain. Tout cela ne servira à rien en cas de catastrophe humaine mondiale, ou naturelle, provoquée par l’humain. L’encyclopédie et son alphabet (le mental) ne serviront à rien. Comme le régime républicain de la City de Londres divise tout, fragmente tout, en cas de catastrophe il sera difficile à l’humain de migrer sur une terre non dévastée : PLUS PERSONNE NE SAIT S’ADAPTER ET NE COMPTE QUE SUR L'ÉTAT, et facilement ça peut signifier l’extinction de l’espèce humaine. Seules les
« chouses petiotes » s’adapteront, mais l’humain devra dégager !!! Comme écrit sur la
page précédente, le jus électrique coupé, et la civilisation humaine s’effondre ! Voir la panne de jus à New York en 1977, où certaines parties de la ville tombèrent dans le chaos : émeutes, pillages, incendies, etc.
Notes.
1. « Liberté d’expression » qui est la parfait outil du capitalo-socialisme : voir Youtube, et autres réseaux et forums, et les vidéos que chacun peut proposer pour
« critiquer le système » et que ça ne chatouillera pas d’un poil ce système. Démocratie = cause toujours, tu peux aller te brosser ! (Triomphe de l’opinion, de la jacasserie et du chaos partout). La « dissidence » alimente le capitalo-socialisme, avec l’Internet il en bouffe à chaque seconde et à longueur d’année informatique. Cette « dissidence » et cette « liberté d’expression » ne servent qu’à maintenir la pérennité du capitalo-socialisme.
Le capitalo-socialisme a besoin de se nourrir d’opinions révolutionnaires afin de
« créer un capital différent » (plus humain et blablabla), un
« gouvernement plus social » (c’est à la mode depuis plus d’un siècle). Le pire ennemi de la révolution sont ceux qui parlent de révolution, pour ne pas la faire, et faire du réformisme (cautère sur jambe de bois). En catholicisme on voit ce qu’a produit la Réforme…
2. Inséré ou « vivre ensemble » ou faire « partie du monde » : VOILÀ L’ERREUR. « Si le monde existe indépendamment de vous, vient-il vous dire qu’il existe ? Non, vous voyez qu’il existe, mais vous ne le voyez qu’à l’état de veille et non quand vous dormez profondément. S’il avait une existence indépendante de la vôtre, il devrait vous le dire et vous devriez en être consciente même dans votre sommeil profond », explique
Ramana Maharshi à l’entretien 316. Il en est de même des objets puisqu’ils sont « le monde ». Cela rejoint le paradoxe de la Réalisation du Soi : la dualité sujet-objet devant retrouver la non-dualité, soit l’Être humain dans sa totalité ; il sera alors dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un Univers qui lui serait extérieur. Il est dedans, abolition de l'ego, IL EST L’UNIVERS, PAR CONSÉQUENT IL N’A PAS À
« EN SORTIR » pour
« s’étudier-l’étudier », c’est mentalement et géométriquement impossible. Comme écrit Coulonval « C’est pure illusion satanique fondée sur le renversement des rôles entre Essences et accidents [le spatio-temporel] ». Il écrit cette importance : « La Vérité, pour l’Homme et pour chaque homme, c’est l’idée qu’il se fait de sa nature d’homme. Et il se trouve que, de même que l’équerre à centrer situe le centre d’une façon subjective, par approximation imaginative, aucune idée de l’Homme acquise par le discours logique [par la raison], et qu’on appelle
« opinion », n’a de valeur scientifique, quoi qu’elle en prétende ». En fait tout est fractal…
3. Illocution : comprendre un texte ou une expression verbale en distinguant l’acte locutoire (le fait de dire quelque chose) et la valeur d’illocution (ce que l’on veut dire en disant quelque chose). Exemple : si quelque entend dire :
« le dîner est à huit heures », il ne peut s’en remettre qu’aux seuls mots, savoir s’il s’agit d’une promesse, d’une invitation, ou d’une observation ; et est-ce huit heures précises ? ou huit heures et demie, ou vers huit heures ? Il devra se fier au ton et au contexte pour savoir comment interpréter cet énoncé, et ainsi apprécier sa valeur d’illocution.