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Hypercivilisation Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 29-09-2017 23:57

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Banques, Capitalisme, Civilisation, Ego, Empire, Évolution, Fractale, Gratuit, Guerres, Histoire, Instant, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Microbes, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Peste, Raison, Réalité, Religions, République, Simple, Socialisme, Spiritualité, Terrorisme, Transhumanisme, Vérité, Vin, Winner

 
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Hypercivilisation
où tout s’avilit dans le mélange,
l’égalitarisme, où les âges de
l’humain se brouillent comme tout le reste
Hypercivilisation : pasteurisation mondiale
Hypercivilisation : religion de la démocratie et du progrès
 
 
Hypercivilisation des « Plus jamais ça » qui certifient qu’il y aura un toujours ! Idem pour les « Même pas peur ! ». Le souvenir sera plus vrai que le Soi, le ici et maintenant, d’où la manie des « devoirs de mémoire » ou projection mentale à l’envers imposée par le régime républicain surtout à propos de la guerre 1939-45 (partie de plan du N.O.M.). Devoir de mémoire de ces religions des CHAROGNARDS, LES WALL STREET ET LA CITY DE LONDRES ET DES ROTHSCHILD (1), leur régime politique et leur historicisme vulgaire qui ne s’attache qu’aux détails comme la fumisterie en chambre et autres éléments les plus vains, les plus vulgaires et caducs des senti-ments et des actes, ce soi-disant « vécu » ou ces « faits » qui ne sont que du mort-né, de l’illusion. Le Temple frigo de la mémoire conserve de la pourriture qui, par respect pour les défunts, devrait aller à l’égout.
Devoir de mémoire ou singerie de la résurrection de la chair, avec différence que la chair qu’on tente de ressusciter n’est pas la Gloire ou Félicité, mais les cris, les faiblesses pourritures d’ego et les ruses et mensonges de la chair périmée, on jette alors aux vivants non la Vraie Mémoire, ou Sacrée, mais le cadavre pourrissant et puant des morts. Ainsi, les « Plus jamais ça » certifient qu’il y aura un toujours !
 
Dans ÉVOLUTION il y a obligatoirement MÉMOIRE, et en géométrie de la ligne droite, entre un passé que l’on peut reculer selon son opinion et un futur que l’on peut également reculer selon son ego. Tout de même, qui aurait le courage d’appareiller s’il voyait sur la mer les traces des vaisseaux qui les ont précédé ? L’Ouroboros en son sens positif symbolise la Fontaine de Jouvence prenant sa source dans le Léthé, anti devoir de mémoire qui entretient la souffrance et enferme.

L’hypercivilisation va fourguer la forme de socialisme ou communisme à la façon de l’URSS, le « Vivre ensemble ». Dans l’ancienne théologie, celle de l’Église, l’humain était à l’image de Dieu, et comme tel il méritait qu’on le respect. Dans la théologie de 1789 et de son régime républicain, il n’est plus qu’une miette, un ego, une marchandise dans une foule de marchandises ; or une miette ou une marchandise ça se transforme inévitablement en déchet dès qu’elle essaye de résister au mouvement du troupeau. Au pire celui qui résiste sera considéré comme un « terroriste ». Après 1789 le « Colligite fragmenta ne pereant » ne veut plus rien dire. Et ce n’est pas un hasard si la religion marxiste singeant le catholicisme a inventé le terme « d’irrécupérable » comme autrefois on déclarait un être « hérétique » que l’on voulait priver de « Paradis » en le condamnant à l’Enfer « éternel ». Un Enfer sans Chimère, un égout.

Avant l’hypercivilisation la vie était sans confort : violences, cruautés, excès dans tous les cinq sens, fragilité et incertitudes, revers brutaux, hasards de la guerre, des famines, des épidémies faisaient passer à chaque Instant une infinité d’individus de l’état de vie triomphante à celui de cadavre ou de suppliant.
Depuis 1789 et les Couilles en Or Rothschild et leurs places de Londres, Paris, Vienne, Francfort et Naples (1), place à l’hypercivilisation, au progrès de l’économie de ces mêmes Couilles, place à la médecine et ses « antibiotiques » contre les méchants terroristes minuscules… Place au plaisir et à l’épuisement des instincts grâce aux « droits de l’homme et à l’amour », place à l’égalitarisme fou, place au culte du narcissisme et à l’ego tout azimut du : « votre député, votre voyante, votre assureur, votre santé, votre ceci ou votre cela ». Ainsi la vieille faune humaine haute en couleurs et en races de toutes sortes, si riche par sa diversité et ses contrastes invraisemblables, s’est substitué en un troupeau dont les animaux se ressemblent de plus en plus et vont cahin-caha en leur même « pouvoir d’achat », avec le confort de faire un minimum de prudents écarts. Avec les terroristes et les « plus jamais ça » et les « même pas peur », et avec les « nations unies » (avant : Société des Nations), les grands risques sont momentanément en sommeil, et l’humanité s’avance sur une route toujours plus confortable, en apparence, car on a seulement bouché les fondrières, relevé les tournants, adouci les pentes et à intervalles réguliers, on a placé des plaques indicatrices, des radars et des refuges pour routiers.

Où sont les sentiers d’autrefois où l’on pouvait tomber, ramasser plein de poussière et de boue, s’égarer, se faire détrousser par des « brigands », là où tout le mystère et la magie est maintenant remplacé par le tout numérique de l’industrie du spéclaliste Hollywood ?
L’argent n’est pas raciste puisqu’il est bien partout chez lui en ce monde, donc pour ceux qui en ont, le voyage devient très facile, exempt d’embûches qu’il équivaut maintenant à l’immobilité et que l’humain, chloroformé par ce mouvement si uniforme et conventionnel, finit par oublier même sa condition de voyageur.
Dans cette hypercivilisation nous devenons tellement protégés, que non seulement nous devenons des zombies, mais aussi nous échappons au Soi-Instant. Dans cette culture généralisée du narcissisme, l’humain compte, analyse, entretien tous les cheveux de sa tête. À part les « méchants terroristes », ceux qui parlent de « mécréants », et qui comme ceux du « peuple élu » divisent, tout est sûre et « United CoLors of Benichon », il n’y a plus de brigands embusqués sur les bords des chemins… C’est désormais pasteurisé partout, et « sécurisé » grâce à l’informatique et son « tout connecté » ; même les routes, et les villes, deviennent « intelligentes ».

Depuis l’invention de l’HOTC (Histoire-Opinions-temps qui coule (2)) par les Hébreux-Juifs (voir page précédente), nous sommes passé de l’abolition de l’antique HOTC à cet HOTC moderne : mythe de la « fin des temps », du but à atteindre ou construction du Temple de Jérusalem ou « cité future », point Oméga à la Teilhard de Chardin qui projette l’Âge d’Or à la fin des temps, évolutionnisme qui résume tout ça. Les Hébreux-Juifs avec leur monothéisme, fondé sur la révélation directe et personnelle - donc dans l’ego toujours présent - de la divinité, vont du même coup fabriquer le « Salut » ou projection dans le temps, soit VALORISER LE TEMPS QUI COULE, LE HOTC, soit valoriser l’Histoire, les faits et l’opinion, VALORISER L’ILLUSION. Toutes ces religions messianiques sont de l’HOTC qui projettent le Soi-Instant ; elles sont des religions de l’avenir, de la VOYANCE au sens fête foraine…
Avec l’HOTC nous entrions dans cette société du SPECTRE-SPECTACLE : le totalitarisme du N.O.M. aboutit à la dualité de DEUX HOTC : celle de l’acteur ou chef sur scène, et celle des spectateurs ou adhérents d’un parti qui découvrent l’existence en HOTC du chef ou acteur, soit le LÉGISLATEUR de ce qui est permis aux spectateurs. Seul l’acteur, le chef, a droit au ‘Je’ ou Soi et l’interdit aux administrés.

RAPPEL : depuis l’arrivée du Christianisme, les miracles sont devenus de plus en plus rares. L’Église de Rome fait déjà la partie de cette hypercivilisation, C’EST LA RELIGION DE L’HOMME MODERNE ET PAR LÀ MÊME DE L’HOMME HISTORIQUE OU DU HOTC, celui qui a découvert la « liberté personnelle », donc la maturité de son ego débouchant sur Nercisse, et qui fabrique le temps qui coule, et qui ne va plus que dans un seul sens (Flèche du temps), d’où la nécessaire mémorisation (mise à mort du I, Axe…).

Avant l’arrivée des Hébreux-Juifs, le temps qui coule n’était pas en géométrie de la ligne droite, mais CYCLIQUE, RYTHMIQUE.
RAPPEL : Le Temps n’existe que s’il y a quelqu’un pour l’observer. En l’absence d’ego ou mental, le temps qui coule n’existe pas, l’Univers et tout ce qu’il contient n’existe pas, l’Univers n’est pas extérieur à nous ! Tout comme les morts ne sont pas au cimetière extérieur à nous, ils sont en nous : Tout n’est qu’Un, sans nom-la-forme…
Ainsi, qu’est-ce que la CHUTE au sens biblique ? C’EST TOMBER DANS L’HOTC, DANS L’ÉVÉNEMENT, LES FAITS, LES ILLUSIONS.
Comme le Mystique, l’Ancien vit dans un éternel ici et maintenant. Le Mystique est alors un « Ancien », un « Primitif », il répète l’Instant, le Soi. C’est L’ÂGE D’OR, L’ÂGE DE L’ÊTRE (de nos jours et depuis les Hébreux-Juifs nous sommes à l’âge de l’avoir et de son pouvoir d’achat-croissance…).


Teilhard de Chardin et son évolutionnisme s’inscrit dans l’HOTC, de même que les « prophètes de malheur » qui annoncent les pires catastrophes genre « fin du monde ». Teilhard comme ces prophètes s’inscrivent dans le Thème du SPECTRE-SPECTACLE : besoin de confort-consolation et de la carotte croyance et espoir, ce besoin du spectateur d’avoir peur pour « s’envoyer en l’R » ou faire mousser son mental, son imagination. Aristote, repris pas Hollywood dans le système des scénarii, avait déjà mis en relief la fonction libératrice du tragique spectaculaire.

Hypercivilisation : religion de la démocratie et du progrès. Les pires exactions et superstitions des Païens me paraissent plus solides, plus accrochées au Seul Réel que les opinions « avancées » de cette hypercivilisation.

Hypercivilisation : le marché social et son pouvoir d’achat et sa croissance, où tout par le mental est analysé, jugé, normé, pesé et mesuré. Au Diable qui aime tant ces poids et mesures qu’il en fourbit même la gravitation, la pesanteur ! Oui, le Damné est très très très lourd, en ego, et pèse fort à Wall Street et dans la balance. Ascension et chute marquent ce renversement des valeurs : on tombe par ce qu’on a de lourd (Chute), on s’élève par ce qu’on a de léger (abandon de l’ego et des lois de toutes sortes).
Les êtres humains qui rêvent de s’envoyer en l’R, même si c’est approximativement fait par l’avion, il n’y a pas plus lourd en ce monde que l’être humain, surtout dans la vanité de cette culture du narcissisme ! Le peu d’instinct de vol qui reste en l’humain s’attache à la fumisterie plutôt qu’à la lumière et, aveuglé par la tyrannie de l’opinion, il traite de « primitifs » les adorateurs du Soleil.

Hypercivilisation : tout ce que nous croyons savoir sur la mort n’est qu’opinions de vivants.
 
 
Notes.
1. Ceux qui travaillent selon le principe des Abraham et Simon Oppenheim qui en 1840 dirigeaient une entreprise d’envergure européenne : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires », cité par Jacques Attali dans : Les Juifs, le monde et l’argent, et qui résume bien les Rothschild et toute l’économie mondiale actuelle et son pouvoir d’achat lié à l’esclavage du salariat.
Les Rothschild furent la cheville ouvrière de tous les événements politiques et financiers du 19è siècle en Europe. La « révolution industrielle » et l’esclavage du salariat c’est eux en grosse partie. En 1871 pendant la Commune, les communards ont fusillé l’archevêque de Paris Georges Darboy mais ont préservé la ploutocratie des Rothschild…

2. Jacques Attali dans le livre cité ci-dessus en note 1, confirme cette invention de l’HOTC quand il écrit, page 714 : « Au moment où d’autres civilisations se façonnent et surgissent, le peuple juif devra retrouver, tout autrement, avec les outils nouveaux du virtuel, le rôle qu’il jouait il y a dix siècles : passeur de richesses [sic], d’idées, de cultures ; mais aussi et surtout, peut-être, dans cette phase nouvelle de l’histoire du monde, passeur de sa principale richesse : LE TEMPS.
Puisque le peuple juif pense son Dieu, devenu celui de tous [sic et étonnant prosélytisme], comme le maître du temps dans lequel il voyage et dont il mesure la valeur avec l’argent ; puisqu’il a mis, souvent pour son malheur, son Dieu et son argent à la dispositions des autres [sic, sic, sic], offrant ainsi du temps au monde [aveux d’HOTC] - du temps d’éternité (par Dieu) et du temps matériel (par l’argent), du temps de l’esprit (par l’art) [surtout par le travail du chapeau en judéo-maçonnerie spéculative] - il lui reste à faire du temps [donc de l’opinion] une source nouvelle de progrès de l’humanité ».
Jacques Attali qui écrit, page 693, que l’argent est « l’autre face de Dieu »
 
 

Dernière mise à jour : 30-09-2017 00:29

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