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Droit de cuissage et liberté Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-10-2017 00:43

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Banques, Capitalisme, Chrétien, Christ, Civilisation, Dualité, Eau, Ego, Empire, Évolution, Fractale, Gentil, Gratuit, Guerres, Histoire, Huile, Instant, Juif, Laïcité, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Mahométan, Médecine, Mental, Microbes, Multiculturalisme, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Pierre, Peste, Radicalisme, Raison, Réalité, Religions, République, Réseaux, Sacrifice, Simple, Socialisme, Spiritualité, Technique, Templiers, Terrorisme, Transhumanisme, Universel, Valeur, Vérité, Vin, Winner

 
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Droit de cuissage et liberté
L’aile ET la cuisse :
s’envoyez en l’air et sucer.
Mais si vous sucer
vous vous alourdissez !
Plus l’ego veut posséder et
plus il devient lourd et voudrait voler !
Alors il veut, comme les transhumanistes,
avoir accès à l’immortalité,
tout en restant ego (égaux) !
 
 
Capitalisme : liberté de choisir, y compris du sexe à gogo (si vous avez de l’argent, vous pouvez alors GÂCHER, alors que les pauvres ne doivent pas gâcher… Comme tous maçons les judéo-maçons spéculatifs gâchent beaucoup…) !


DROIT DE CUISSAGE : pratique vieille comme le monde qui, à ce hui, porte le nom de « harcèlement sexuel   (jugement moral à la mode). Ce qui prouve une nouvelle fois que nous subissons l’évolutionnisme à la Darwin et des religions abrahamistes. Ce qui prouve que nous subissons la tyrannie de l’opinion.
Comme nous sommes prisonniers de cette culture du narcissisme (possession et « moi-je »), chacun veut être LE DROIT D’AUTEUR genre des féministes « Notre corps nous appartient », identique à la « liberté d’expression », et qui dépend du mental ou ego, et qui veut défendre son territoire comme un mammifère qui crie « Oh VIOL ! » dès qu’on veut le déposséder (de son petit corps, de son territoire, de sa bagnole, de sa « liberté d’expression », bref, de son « bien » et que « c’est pas bien »…), alors que le capitalisme et son régime républicain le dépossède, et de son corps et de son âme, et de son territoire un peu plus chaque jour de la semaine.
« Notre corps nous appartient », et la « liberté d’expression » font partie de la culture du narcissisme et de cette tyrannie de l’opinion, de ce délabrement de l’humanité en « Unité dans la diversité », ces unités allant cahin-caha prisonniers dans leur dualité et ne communiquant plus, tellement ils sont tournés vers l’extérieur.
 
Le symptôme « Notre corps nous appartient » doublé de la « liberté d’expression » est identique à la tentative « d’examiner l’Univers » et donc pour ce faire de vouloir en sortir, or nous sommes l’Univers, nous sommes dedans il est en nous. Par conséquent la propriété du corps, comme de tout, est une idiotie voulant se poser comme sujet étudiant d’une chose extérieure, l’objet, qui serait l’Univers ou une machine à laver ; ce qu’expose aussi Ramana Maharshi cité plus bas à l’entretien 453, quand Il parle de la non différence d’existence entre sommeil profond et veille.

Le nouveau « harcèlement sexuel » s’inscrit parfaitement dans ce capitalo-socialisme et ce culte du narcissisme. Le capitalo-socialisme ne sachant plus quoi inventer pour « réseauter » (socialiser) les gens, pour les rendre enchaînés par le « vivre ensemble » qu’il invente maintenant le « harcèlement sexuel ». Il y a peu nous avions le racisme, le terrorisme, maintenant c’est le harcèlement sexuel, alors que TOUTE CETTE CIVILISATION EST CONSTRUITE POUR ET SUR LE CORPS ET SON EXALTATION (bonne santé, bonne image, vivre indéfiniment, etc.) qui indique cette peur de la mort, cette PANique du gratuit (voir plus bas).
Phénomènes du capitalo-socialisme comme le harcèlement sexuel et le rêve de prolongement de la vie, bref, du TOUT CONFORT, est un symptôme du capitalo-socialisme à sa phase terminale. Phase terminale qui produit la pourriture de l’ego, à tel point que les transhumanistes veulent prolonger leur vie terrestre et n’en ont rien à foutre des futures générations. Phase terminale du capitalo-socialisme qui n’en à rien à foutre de l’avenir (pollutions et dégradation pour les générations futures).

Avec le symptôme capitalo-socialiste du « harcèlement sexuel », les moralisateurs crient « Oh viol ! » tout en préparant leurs marmots à vivre dans une société libérale, « démocratique » donc PERMISSIVE, ORGANISÉE EN FONCTION DES PLAISIRS DE LA CONSOMMATION ET DE SON POUVOIR D’ACHAT, DONC DU SEXE, DE LA CHAIR ET CHAIRE ET DES FEMMES ET DES HOMMES, DES MARCHANDISES COMME VOUS ET MOI.

DROIT DE CUISSAGE = VIDE INTÉRIEUR et tout tourné vers l’extérieur : le libéralisme fabrique le winner, donc avide d’admiration et méprisant pour ceux qu’il arrive à manipuler, il sera insatiable d’aventures affectives afin de remplir son vide intérieur, PANiqué à l’idée de vieillir puis de mourir. Libéralisme = narcissisme en packaging « autonomie » : il faut frotter et refrotter l’ego en un effort aussi épuisant que permanent pour le rendre « bien » (winner) en une surdomestication de l’instinct (Système 1 chez Daniel Kahneman) et par la mode du coaching.
Pas de vide intérieur : ce qui est facile doit être de regarder le monde intérieur, et difficile de regarder le monde extérieur, et pas l’inverse comme maintenant ! Le plaisir c’est tourner le mental vers l’intérieur et à l’y maintenir (pas au sens de l’actuel culte du narcissisme tourné entièrement vers l’extérieur) ; la souffrance, à le tourner vers l’extérieur (avec un consommateur conditionné en état permanent d’insatisfaction, donc de souffrance). Seul le plaisir existe. L’absence de plaisir est appelée souffrance. Notre nature est Félicité (ananda). (En référence à l’entr. 244 de R. Maharshi).
Bref, PLAISIR ET DOULEUR NE SONT QU’OPINION DÉPENDANTE DE LA GÉOMÉTRIE DU MENTAL À UN MOMENT DONNÉ. Le genre de « bonheur » offert par la société de consommation N’EST QUE TRANSITOIRE [et mercantile] : « Toutes les activités pour l’atteindre sont fondées sur cette erreur [dualité plaisir-douleur] et procurent des plaisirs à court terme seulement. Dans le monde douleur et plaisir alternent », dit R. Maharshi à l’entretien 302.
À l’entretien 420, R. Maharshi dit que la souffrance durera tant que l’individualité [ego] n’aura pas disparu. 

Le « harcèlement sexuel » est identique à la publicité et société de consommation qui éduque, pousse les masses à ressentir un appétit insatiable, non seulement de produits, de services et d’objets, mais d’expériences nouvelles, sexuelles, et « d’accomplissement personnel » (winnerisme). Cette société de consommation vend sa consommation et son « pouvoir d’achat » comme remède universel aux mots/maux familier que sont la solitude, la maladie, la fatigue l’insatisfaction sexuelle ; et simultanément elle va fabriquer de nouvelles formes de mécontentements, spécifique à cette civilisation technologique. Donc le « harcèlement sexuel » est une marchandisation conforme à cette civilisation de la consommation, où effectivement comme de tout il faut consommer du sexe parce que ça rapporte, PARCE QUE CE N’EST PAS GRATUIT.

Libéralisme = narcissisme en packaging « autonomie » : associé à la notion « d’universel » chère au régime républicain qui veut obligatoirement scolariser le marmot afin de l’isoler des autres influences et le soumettre à un régime codifié par le régime républicain modèle 1789 en France et 1776 aux USA ; ainsi il faut également que le système soit jacobin, centralisé et bureaucratique (washingtonisme), ce qu’on trouve actuellement en France chez Macron, parfait administrateur d’entreprises pyramidales du CAC40 (voir ou revoir son allusion au « premier de cordée » dans la dualité du winnerisme à l’américaine ou culte de l’entreprise et du dollar).

Il est étonnant que dans ce libéralisme où tout le monde cherche la liberté et veut « s’envoyer en l’air », il y en a qui protestent et crient « Oh viol » ! Pourtant, depuis 1789 on parle tellement de liberté, on se croit libre de tout, surtout si on a du fric on peut s’acheter des corps et n’importe quoi, y compris des États. Depuis la « démocratie » (marchande) winners et losers se croient libre de tout, SAUF D’UNE CHOSE, ET C’EST DE SOI-MÊME - LA DERNIÈRE CHOSE À LAQUELLE ON PENSE, tellement le sens du mot « liberté » évoque maintenant l’EXTÉRIEUR, comme le « pouvoir d’achat », comme celui de « s’envoyez en l’air », notamment par l’antique droit de cuissage, ou par des drogues.

Depuis 1789 et cette fameuse « liberté » qu’apporterait le régime républicain et sa démocratie (marchande), car bien que l’être humain rêve toujours de liberté, IL EST TOUT SAUF LIBRE, CAR EN CETTE CULTURE DU NARCISSISME, IL EST PRIS DANS LE PIÈGE DE SOI-MÊME, LE PIÈGE DE L’EGO. C’EST LA PLUS GRANDE CAPTIVITÉ DE TOUTE L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ ; L’HUMAIN RESTE COMME UN DIABLE DANS SA BOÎTE.
L’être humain de l’après 1789 croit pouvoir tout acheter, posséder : il apprend à l’école, il possède des qualifications, des médailles, des salaires ou un « pouvoir d’achat » pour qu’il puisse posséder tout ce qu’il peut dans ce monde - pouvoir, possession, richesse, tout, ET REJETTERA LA GRATUITÉ, LE DON DÉSINTÉRESSÉ, REJETTERA LE SACRIFICE TOTALEMENT OPPOSÉ AU GAIN.
En effet, il est étonnant des incroyables efforts déployés par l’être humain face au non-nécessaire, qui vont condamner l’être humain en résignation de sa propre liberté au profit d’un ordre imposé. REFUSER LE GRATUIT C’EST REFUSER LE SEUL RÉEL, NOTRE ÉTAT NATUREL ; REFUS QUI EST UN DES MÉCANISMES DE DÉFENSE PARCE QUE LE GRATUIT OU RÉEL NOUS PARAÎT CRUEL, DANGEREUX, ALORS ON VA INVENTER LA « VALEUR », et par là-même l’ego ou possession.

SACRIFICE : étymologie de Saint, du latin sacrificium. Le CHRIST (Chrestos, Christiens) a été emprunté au vocabulaire des Païens. Le Chrestos désigne un disciple, et lorsqu’il a atteint la stature de l’initiation, qu’il a « passé le pont » grâce au « pontif » (couple Adepte-Profane), il a été oint (frotté d’huile dans la phase finale de son initiation), son nom est changé en Christos, le « Purifié », le Sentier était foulé, il devenait un Réalisé vivant car il maîtrisait parfaitement son ego, il n’était plus prisonnier de dualité sujet-objet, il était dans l’UNION. Le Chrestos, « L’Homme de douleur » devenait Christos lui-même. Voir Galates 4, 19 : « Mes petits enfants, vous que j’enfante à nouveau dans la douleur jusqu’à ce que le  Christ [Chrestos] soit formé en vous ».
Christ ou Chrestos c’est le Soi. Ainsi tout individu peut trouver Christ ou Soi en son intérieur. Il est alors logique que Christ soit synonyme de « SAUVEUR » (le Soter, le bien portant, dans l’Axe, dans ses pompes, en bonne santé, etc.). Le titre Christ fut donc appliqué à Jésus-Christ.
RAPPEL : le « sauveur » du Christianisme et Fils de la Vierge porte le nom Emmanuel (Matthieu 1, 23).
L’Architecte et Médecin du roi Djoser : IMHOTEP (Asclépuis, ou Asclépios chez les Grecs et Esculape chez les Romains) est aussi LE SAUVEUR, LE SOTER.

Aussi le Sacrifice exige une grande sagesse (Ça je estre) : il faut des sympathies profondes, un grand amour ; le sacrifice est difficile, et à notre époque de tout confort ou tout sécuritaire, il devient de plus en plus difficile.
La vie intérieure est comparable au terme de LUMIÈRE DE L’ESSENCE déjà développée sur le site. « La Lumière jaillit dans la Chambre vide ». Bien-sûr cette Lumière n’est pas lumineuse. Si vous la voyez sous forme de lumière et que vous fixer votre mental là-dessus, vous tomberez dans la conscience conceptualisante correspondant à la lumière de la conscience (mental analytique et qui calcule).
« Tout phénomène est nécessairement attribuable à une cause. La transmission de la lumière est attribuable aux portes et aux fenêtres, la lumière elle-même au Soleil et à la Lune [avant l’invention de l’éclairage électrique]. Lorsque j’emprunte les choses pour me les attribuer, je découvre en fin de compte que « ce n’est pas à moi ». Et quand il s’agit de déterminer le « ce n’est pas à moi », qui décide de son attribution, sinon vous ? », dit Le Secret de la Fleur d’Or (traduction de Thomas Cleary).

De même le sacrifice est de ne jamais tomber dans la routine ou confort de la répétition, la pensée unique, tout cela constituant le dogme   « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien. Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle [Système 2 chez Daniel Kahneman] - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive [la mémoire, ce qu’on a appris], c’est faire erreur ». (Le Secret de la Fleur d’Or). Système 2 de Kahneman ou perception discriminante, celle qui pond des noms-les-formes, celle qui sécurise tout, qui veut tout posséder.

Non, non, le Sacrifice ce n’est pas l’abnégation (le négatif) dans le sens des Occidentaux donnant à Zéro le sens de rien. Au contraire, l’abnégation signifier RENIER L’EGO, S’EN DÉLIVRER. ET AUTOMATIQUEMENT ÇA OUVRE GRAND PORTES ET FENÊTRES POUR LAISSER PASSER LA LUMIÈRE DE L’ESSENCE ET LA VRAIE CRÉATION.
Merci à Hazrat Inayat Khan pour ses conseils.

Droit de cuissage et s’envoyer en l’air : l’AILE supprime la pesanteur, donc l’ABANDON DU CORPS OU EGO : ABANDONNER SON POIDS. Les ailes sont la gratuité même étant NÔTRE NATURE, et rejoignent le SACRIFICE décrit ci-dessus. Les Immortels ou Bienheureux chevauchent les Nuages ou le Dragon représentant l’ego qu’ils ont maîtrisés. Dans les EMI il y a « la sortie du corps » ou  sortie par « la couronne de la tête » (1). AILES = CONNAISSANCE : rapidité de l’intuition…

« S’envoyer en l’air » comme Mercure portant des ailes aux talons, signifiant que l’argent n’a pas d’odeur, il est accepté et tout confort partout sur Terre. L’argent voyage partout, d’où le « monde hôtel » d’un Jacques Attali. Les ailes attachées aux talons pour moi symbolise le transhumanisme : libération des forces créatrices grâce à l’argent dans ce monde du Fer/Faire.

« S’envoyer en l’air » : « Plaisir et peine sont tous deux des créations mentales », dit Ramana Maharshi à l’entretien 203.
 
« Le mal que l’on voit chez l’autre, c’est son propre mal. Le distinction du bien et du mal est à l’origine du péché [la Chute]. On projette hors de soi son propre péché et, par ignorance, on le surimpose sur l’autre. La meilleure voie, c’est celle qui permet d’atteindre l’état dans lequel il n’y a plus de distinction [le Soi ou non-dualité]. Voyez-vous le bien ou le mal dans votre sommeil ? N’existiez-vous pas dans le sommeil ? Restez comme dans le sommeil, même à l’état de veille, demeurez le pur Soi et ne vous laissez pas contaminer par ce qui se passe autour de vous.
De plus, vous aurez beau vouloir conseiller les gens, ils ne changeront probablement pas. Soyez vous-même dans le bien et restez silencieuse. Votre silence aura plus d’effet que vos paroles ou vos actes. Ainsi, le pouvoir de volonté se développera. Et le monde devient le Royaume des Cieux qui est en vous ». Ramana Maharshi, entretien 453.

« ‘Je’ [le Soi] doit exister maintenant et ici et être le même que celui que j’étais durant le sommeil et au cours des rêves, sans avoir été affecté par les qualités de ces états. ‘Je’ dois donc être le substrat non qualifié, sous-jacent à ces trois états [veille, rêve, sommeil profond] (au-delà de l’ânandamaya-kosha [enveloppe faite de Félicité]) », dit R. Maharshi à l’entr. 25 ; bref, ce qui reste lorsque l’on a abandonné tout ce qui est « non Soi » est le Soi (Être-Conscience-Félicité).

Dans le même entretien 453 Il est dit que nous ne faisons pas partie du monde : on ne peut pas dire : « Je suis dans le monde, j’en fais partie ». « Si le monde existe indépendamment de vous [comme dans l'exemple de l'Univers cité plus haut et qui serait extérieur], vient-il vous dire qu’il existe ? Non, vous voyez qu’il existe, mais vous ne le voyez qu’à l’état de veille et non quand vous dormez profondément. S’il avait une existence indépendante de la vôtre, il devrait vous le dire et vous devriez en être consciente même dans votre sommeil profond ».
Évidemment le capitalo-socialisme veut que vous fassiez partie du monde pour que ça lui rapporte ! Si vous n’êtes pas rentable : poubelle !

Explication du mot « individualité » : « L’homme ne reconnaît plus son individualité quand il est en sommeil profond, la mort, etc. Il glisse dans cet état sans en être conscient. Mais au réveil, il retrouve ses caractéristiques individuelles originelles » (R. Maharshi entretien 108).

Autre importance à l’entretien 204 concernant l’individualité : « Le concept du ‘je’, c’est l’ego. L’Éveil au ‘Je’, c’est la Réalisation du Soi réel. Il resplendit éternellement comme ‘Je’-‘Je’ [Super Tautologie] dans l’enveloppe intellectuelle [ou Vaisseau, Vase]. Il est Connaissance pure ; la connaissance relative n’est qu’un concept. La Félicité de l’enveloppe de félicité n’est aussi qu’un concept [le chan dit dans le même sens].
On ne peut pas dire « J’ai bien dormi » si l’on n’en a pas fait l’expérience, si subtile soit-elle. C’est à partir de l’intellect que l’on parle de l’enveloppe de félicité. La Félicité du sommeil n’est qu’un concept, tout comme l’est l’intellect [et comme l’opinion de D. Kahneman]. Néanmoins, dans le sommeil, ce concept est extrêmement subtil. L’expérience est en effet impossible si en même temps l’on n’en a pas conscience (c’est-à-dire une connaissance relative, qui alors rejoint le paradoxe de la Réalisation du Soi) ».
Paradoxe de la Réalisation du Soi : le sucre ne peut pas goûter sa propre douceur, il faut un dégustateur pour le savourer. De même un individu ne peut pas être le Suprême et en même temps goûter la Félicité de cet état ; c’est pourquoi l’individualité doit être maintenue d’un côté et la divinité de l’autre pour que la jouissance puisse exister [problème d’ingénierie électrique ou vibratoire…]
« En vérité, l’individualité signifie l’état de l’incarnation jusqu’au moment de la Libération », dit R. Maharshi à l’entretien 207.
Cela pour un peu tenter d'expliquer le masque que porte le judéo-maçon spéculatif en haut de page à propos de l’individualité totalement “trouble” (hypnotique) derrière le masque ou persona en latin, « masque d'acteur » puis « rôle » et « caractère », enfin « individu », d'origine étrusque, écrit le dict. Le Robert. Masque qui sur la gravure semble une singerie de la Réalisation du Soi…


Note.
1. DÔME : Cosmique, Déesse égyptienne Nout au corps courbé prenant appui au sol sur la pointe des doigts et des orteils. Sommet du Dôme aboutissant à l’Axe du monde, sorte de Stargate pour échapper au monde des accidents et des noms-les-formes qui nous conditionnent. Donc Réaliser le Soi ou atteindre l’Éveil en passant par la Stargate ou ŒIL DU DÔME et se délivrer de l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule).
 
 

Dernière mise à jour : 21-10-2017 02:29

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