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Universalité actuelle Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 24-10-2017 01:00

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Banques, Capitalisme, Chrétien, Christ, Civilisation, Dualité, Eau, Ego, Empire, Évolution, Fractale, Gentil, Gratuit, Guerres, Histoire, Huile, Instant, Juif, Laïcité, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Mahométan, Médecine, Mental, Microbes, Multiculturalisme, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Pierre, Peste, Radicalisme, Raison, Réalité, Religions, République, Réseaux, Sacrifice, Simple, Socialisme, Spiritualité, Technique, Templiers, Terrorisme, Transhumanisme, Universel, Valeur, Vérité, Vin, Winner

 
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Universalité actuelle
Soumettre l’Univers,
comme le rêvent les transhumanistes
de ces gens qui croient que
l’Univers, bidouillage du mental,
est à l’extérieur.

Les p(a)enseurs et leur bide,
leur pa(e)nse
veulent soumettre l’Univers.
LE MONDE ENTIER EST CONDAMNÉ À
DÉSORMAIS APPRÉHENDER
SA « RÉALITÉ » PAR LES 5 SENS
LES NERFS :
- Ce qui réveille endort.
- Ce qui endort réveille.
 
 
« La baguette de Mercure (HERMÈS), que l’on nomme Caducée, donne le sommeil à ceux qui veillent et tire du sommeil ceux qui dorment », (De Ré Métallica. Livre 2, de G. Agricola. C’est tiré de l’Iliade XXIV, 343-344).
WAVE’S Principle : dans l’Influx nerveux, il y a DISCONTINUITÉ… comme avec l’idéation… Bref, IL FAUT CROISER, dans l’INSTANT, comme le montre le Caducée avec les croisements formés par ses deux Serpents.

Jéhovah, Dieu de la gendarmerie (ordre moral et socialisme) n’a plus aucun pouvoir sur le supermarché du corps, avec désormais sa quincaillerie sexuelle à tous les rayons, libéralisme et culture du narcissisme pépère.
 
« L’ignorance est la cause de la diversité ».
 
 
Jéhovah, Dieu de la gendarmerie et de la répression qui accompagne obligatoirement l’argent, donc DIEU FRIC/FLIC ET TERREUR DE LA RÉPRESSION EXERCÉE PAR LES COUILLES EN OR, qui effectivement vont faire et fer naître ce dieu gendarme et conservateur, Jéhovah, une mouture de Louis XI céleste et violent, jaloux et dictatorial, alors il lui fallait un Olivier le Daim comme compère à la fois bourreau et bouffon. Ces ego vont fourbir le Diable moderne.

Jéhovah, donc Dieu du FAIRE/FER et du FRIC/FLIC va se retrouver dans le robespierrisme et la TERREUR.
Le Diable ne peut naître que par ceux qui dépossèdent l’ancienne caste aristocratique pour lui substituer le despotisme du sabre et du commerce. Les Hébreux-Juifs, commerçants et usuriers devant l’Éternel, en revenant de Babylone fabriquèrent une fractale du Diable au fond de leur coffre bancaire, ainsi le Diable est devenu le Dieu de la City de Londres et de Wall Street.
DIABLE = FRIC/FLIC et par la même, police de la pensée, tant la Couille en Or aime le faire/fer et le plaisir, et redoute la mort (voir les transhumanistes…).

Il n’a échappé à personne que notre temps de libéralisme pépère et de « harcèlement sexuel » soit devenu le « monde hôtel » de Jacques Attali ! Nous entrons dans un âge d’ANDROGYNA : LGBT, transgenre, asexuel, poly-genre, Intersexuation, etc., à ce hui la liste de ces noms-les-formes est conséquente, tant ces Androgynes veulent soumettre l’Univers. Grasset dans le volume 2 d’Œuvres décryptées écrit que le dogme de l’androgynisme a rayonné sur tout le monde antique (occidental). « Vingt siècles plus tard, Socrate devait boire la ciguë pour l’avoir divulgué ».

ANDROGYNE : 1555, du latin d’origine grecque androgynus, du grec anêr, andros « homme » (andro) et gunê « femme » (-gyne). Bref, il est la totalité, ce qui correspond bien à ceux qui veulent « soumettre l’Univers » et se rendre immortels… ici bas…

Curieusement si l’androgynisme fait fureur à notre époque nous sommes toujours sous la coupe du service d’ordre mondialisé de JÉHOVAH : « Le dieu carré de Salomon et de Moïse n’était donc ni une divinité égyptienne, ni une divinité assyrienne, mais une divinité éolienne de toutes pièces. Platon et Moïse avaient puisé à la même source », écrit Grasset.
« Dieu carré » : voir à Paris le sommet de la Tour Saint Jacques. Voir aussi la page Les Gaules, filles aînées de Cernunnos.

Grasset explique que si Jéhovah est devenu unitaire au judaïsme, c’est parce qu’après la dépossession de la caste des lévites, et plus tard de la dynastie de David, tout le monde se fit docteur et se mit à travailler du chapeau selon son opinion ou ego sur les vieilles archives nationales. Les prophètes, surtout ceux des basses époques, n’étaient pas des lettrés ; ils étaient gens de métier : cordonnier, charpentier, laboureurs, qui s’improvisèrent prophètes, « comme on s’improvise aujourd’hui journaliste. Ce qui rend cette partie de la Bible si vivante et si moderne, c’est qu’elle n’est qu’une série de pamphlets politiques d’une violence et d’une crudité d’expression qui dépassent souvent celles de nos écrivains les plus révolutionnaires. Ces robustes ignorants se sont fait un Dieu à leur image, violent, jaloux et autoritaire comme eux. Il n’est pas de conception théologique plus pauvre que celle du Jéhovah des derniers temps du judaïsme ; mais c’est bien le dieu des armées ou plutôt le dieu de la gendarmerie, tel qu’il le fallait à une bourgeoisie conservatrice et cléricale, du jour où elle avait expulsé la dynastie royale et abattu la puissance de la caste sacerdotale. Jéhovah fut le plus ferme maintien de « l’ordre moral » ; et il l’est encore », écrit si justement Grasset exposant au 19è siècle le mondialisme actuel sous la coupe de ce Dieu si présent maintenant dans l’Empire USionistan !

Dans les nombreux articles sur le site, j’ai souvent écrit que le judaïsme n’était pas une religion mais un système politique comme le républicanisme, ce qu’écrivait Grasset : « Bref, je crois qu’il faudrait donner le nom de « mosaïsme » à la période de l’histoire du peuple de Dieu [ceux de l’HOTC : Histoire-Opinions-temps qui coule] qui se trouve reliée par les liens les plus étroits de la grande civilisation pélasgique maîtresse pendant quinze siècles, avec les Hétéens et les Philistins, de tout le littoral de la mer de Syrie ; je nommerai « judaïsme » le résultat de l’émancipation de l’élément sémite PAR LE COMMERCE, QUI AVAIT FAIT PRÉDOMINER L’ÉLÉMENT BOURGEOIS SUR LES CLASSES MILITAIRES ET SACERDOTALES [c’est moi qui souligne]. Par rapport au « mosaïsme », le « judaïsme » est donc un VÉRITABLE PROTESTANTISME, c’est-à-dire le patois d’une langue qui avait cessé d’être comprise. Les tribus du nord, qui étaient toutes d’origine hétéenne, avaient conservé une partie de l’ancienne foi ; et cette foi reparut avec le Dieu trinitaire de christianisme, auquel il faut adjoindre le Vierge mère, qui fait le quatrième terme de l’ancien dieu de Moïse et de Salomon, tel que l’adore le catholicisme moderne, c’est-à-dire en quatre personnes », écrit Grasset.

Méphistophélès règne sur le mondialisme depuis la City de Londres. Il se cache en geôle ou loge tant il déteste la lumière ou transparence. Il est prisonnier de la laïcité, donc coupé du Divin, en d’autres mots/maux il est prisonnier de l’Enfer. Méphistophélès est le type même du travailleur du chapeau, du mental : il réalise le Soi en inverse que pour y puiser des Pour-Voirs et ainsi faire mousser son ego, au lieu d’en faire bénéficier les humains. Il est l’apprenti sorcier qui joue de la caverne de Platon que pour mieux enfoncer le Soi. Le Soi éveillé par lui aura de rude labeur pour déjouer le joug de ce faux guru et se reconstituer selon sa voie propre, ou retrouver son Vrai Soi.
Méphistophélès c’est le transhumanisme : le défi de la vie, AVEC TOUTES LES AMBIGUÏTÉS QU’IL COMPORTE (dont clonage, GPA, PMA, technologie folle, etc.).
Méphistophélès assiste le Docteur Faust, genre androgyne inversé (incomplet, à demi irréel) qui se perdait dans une vaine quête métaphysique, dont les objets ne se réalisaient jamais. Il répugnait à faire face au défi de la vie ; cet aspect inconscient va profondément exciter, illuminer Méphistophélès.

MÉPHISTOPHÉLÈS : son nom androgyne et puant vient du grec « méphistos » (infecte) et « ôphélès » (utile, pratique, donc dans la tradition du Faire/Fer).
MÉPHISTOPHÉLÈS = CAPITALISME, USURE. Il est vieux sans avoir eu de jeunesse. Il est né décrépit de la crasse du monarchisme et de la chevalerie qui va avec. S’il résume l’androgynisme, c’est dans leur vieillesse et leur laideur. Tout ce qui est frais, jeune et beau, il le déteste, il le méprise ; alors il va fondre subitement à la vue de l’idéal antique occidental.
MÉPHISTOPHÉLÈS = AHRIMAN, selon Rudolf Steiner, parce que Méphistophélès est représenté avec des pieds de bouc (dessèchement, dilatation). Steiner écrit (L’homme entre Lucifer et Ahriman), que Méphistophélès est très souvent représenté avec des sabots de cheval où les pieds sont durcis. Bref, Méphistophélès est comme incomplet. On retrouve cette « incomplétude » dans le pauvre Œdipe, fils de Laos. On lui avait prédit que, s’il avait un fils, icelui serait la cause de malheur qui ruinerait sa maisonnée. Alors Laos abandonna l’enfant dès sa naissance, lui perça les chevilles, ce qui lui valut le nom d’Œdipe (Pied-enflé). Avec ce drame d’Œdipe nous avons le « pétrole » ou moteur à énergie libre qui fait fonctionner Méphistophélès.

Le service d’ordre Jéhovah et son geôlier Méphistophélès, DIEU DES JUIFS ET DES PROTESTANTS BANQUIERS DEPUIS LA NUIT DES TEMPS, DÉTESTE LA GRATUITÉ, LA TRANSPARENCE, il lui faut des prisons pour les « voleurs » et les « terroristes » ; il lui faut surtout des banques et des bourses pour s’engrosser, conformément à l’ANDROGYNE OU NON DUALITÉ : FRIC/FLIC, si présent à notre époque de régime républicain.

FAUST COMME LES TRANSHUMANISTES VEUT ÊTRE ÉTERNEL (ici bas, car il se veut RESPLENDISSANT : entendre en bonne santé et avec tous ses organes intacts, et pour longtemps. Il « raisonne » (résonne) aussi beaucoup). Grasset écrit que c’est le Poros de Platon « endormi dans le jardin » de ses mères, qui trônent dans l’infini éternellement solitaires, sociables pourtant, la tête ceinte des images de la vie, mais sans vie ». Ce jardin des mères ou de Zeus n’est autre que la mémoire. C’est là que vient le trouver, une fois de plus, l’âme de Gretchen, la « Penia » de Platon, émanation de « l'’éternel féminin » ou de l’avenir, pour s’unir avec lui et reconstituer, dans une sphère plus élevée, l’androgyne vital : ÉROS », écrit Grasset.
 
MÉPHISTOPHÉLÈS/AHRIMAN = LE SPATIO-TEMPOREL.
LUCIFER = LE MENTAL, le Pour-Voir (1).
Tous deux SONT le mental.

« L’éternel féminin » : LA CONSOLATION… L’ÉMOTION, LE CONFORT (les femmes torchent les mômes et font la cuisine… évidemment ça n’existe plus dans le mode égalitarisme judéo-maçonnique et de la City de Londres !)
PENIA = CITY DE LONDRES, FRANÇAISE DES JEUX, FEMMES, FOOTBALL, MODERNE SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION, Penia étant en même temps « éternel féminin » et LE BUT À ATTEINDRE, LE DÉSIR (D-Sire ou Seigneur de la société de consommation, soit état d’être (SER) depuis les 3 plans humains (d’E)) ; mais aussi : Dominer, mener, conduire, exciter (comme le meneur) ; Miner (minerai, Minerve Déesse de la Sagesse ; et MIN : bande, lamina….
FEMME : énergie ÉMOTION, d’où le fameux moderne « harcèlement »… et dualité parfaite : made un enfant pour se survivre… Ego… Ego…
Lune Blanche (féminité), Soleil noir (virilité).
HOMME : lui aussi fait dans la dualité pour se survivre par le « Made in Women ».
Soleil Blanc (virilité), Lune noire (féminité). (Noir = inconscient).

L’androgynisme fabrique surtout des Faire/Fer, des entrepreneurs, des administrateurs, DONC DES DESTRUCTEURS : Napoléon premier, Attila, Frédéric le Grand, etc. Chez les androgyne il y a l’exubérance des deux sexes, mais frelaté, quelque chose de la vieille femme et de l’eunuque…

L’androgynisme va se retrouver chez Jeanne D’Arc : élégante et recherchée, « fine et mordante dans ses reparties », écrit Grasset.

L’androgynisme : le Diable de la parodie d’Eros de Platon, écrit Grasset. Les Chrétiens finissent par le transformer en Serpent, qui séduit Ève, et que la Bible proclame comme un véritable travailleur du chapeau (rusé). Séraphins (Serpents) = Androgynes. Cet androgynisme sera winner pendant toute la période mystique du Moyen-Âge. Cela va donner sujet à histoire à Jacques Cazotte avec son Diable amoureux, que connaissait Gœthe, et parut en 1772, peu avant le premier Faust, qui en est une imitation. Le chérubin de Beaumarchais - homme d’affaires, espion et marchand d’armes, et à l’origine du « droit d’auteur » - tout en « perruque poudrée et parfumée » est une contrefaçon de Lucifer. Un comble pour un contrefacteur qui déclenche le capitalisme du droit d’auteur !   

Dès que nous sortons du spatio-temporel (en nous) nous entrons dans la VRAIE CRÉATION : le Saint Chaos où tout est métamorphosable, puisqu’il n’y a plus de noms-les-formes. Nous entrons alors dans le mouvement, contraire de l’immobilité qui régnait dans le spatio-temporel (immobilité, fixité ou ego). Dans le Saint Chaos tout devient FLUIDE ET TRANSPARENT.

Lucifer ou Lucifaire = PLAIRE, VENDRE, comme l’art moderne, donc business business !
Qu’est-ce que c’est le BEAU ?  Mais, ce qui se vend bien et cher ! Telle est l’unique règle de l’art dans l’après 1789 !!!


Note.
1. Pour-Voir qui renvoie plein pot chez les judéo-maçons spéculatifs à grosse obédience genre GODF.



Androgyne, travesti, Gris-A, Demisexuel(le), Cisgenre, FTM, large choix au supermarché de la démocratie marchande.
Grasset d’Orcet a raison d’écrire que « L’art grecque a toujours su rester jeune, c’est là son charme, et il le doit à son caractère essentiellement androgyne ». On retrouve cet aspect sautillant et jeune qu’à su retranscrire Ambroise Thomas dans sa musique ci-dessous, cependant avec quelques lourdeurs façon fanfare… peut-être inhérentes à l’époque de l’écriture de la musique…
Une meilleure version de Mignon, moins fanfare et plus légère, quasi aérienne par moments, est disponible ici, dirigée par Gennady Rozhdestvensky, version très travaillée et somptueuse : BRAVO ! ÉTINCELANT !
Bref, cette nouvelle quincaillerie sexuelle sur base d’androgynisme prouve QU’ELLE NE RENONCE PAS À ELLE-MÊME : elle exacerbe comme jamais auparavant le corps.

CRIME = DIVERSITÉ : « L’idée de la diversité a donc pris naissance en même temps que la conscience du corps ; cette prise de conscience du corps s’est produite à un certain moment ; elle a un commencement et une fin. Ce qui a une origine doit être quelque chose. En quoi consiste ce quelque chose ? C’est la conscience du ‘je’ [ego]. Qui suis-je ? D’où est-ce que je viens ? En trouvant la source, vous réalisez, l’état de Conscience absolue », dit R. Maharshi à l’entretien 53.
Ramana Maharshi à l’entretien 132 : « ‘Je’ est pûrna - perfection. Il n’y a pas de diversité dans le sommeil profond ; cela indique la perfection ».

« SEUL CELUI QUI VOIT EXISTE. SANS LUI, LA DIVERSITÉ DU MONDE NE PEUT APPARAÎTRE. ET IL NE CHANGE PAS, MÊME SI TOUT CHANGE AUTOUR DE LUI » (R. Maharshi, entr. 318)

ALORS, ACCROCHONS-NOUS ! Et la quincaillerie sexuelle comme de tout n’existera plus…

Dans l’entretien 323 : « Ce n’est que dans la lumière réfléchie (lumière mêlée à l’obscurité ou Connaissance souillée d’ignorance) que le monde, qui n’est pas indépendant de sa source, semble naître, s’épanouir et se dissoudre. Sa diversité ne peut exclure la Réalité, la Source originelle. Il s’agit ici d’un jeu dans lequel le seul et unique Être se multiplie, est objectivé, puis se résorbe. Pour accomplir cela, il doit y avoir une shakti (Pouvoir), et merveilleuse en plus ! Elle ne peut pas non plus être indépendante de son origine. Dans l’Être pur, lumineux en soi, cette shakti ne peut être perçue. Et pourtant, ses activités ne sont que trop bien connue. Que son jeu et sublime ! ». Principe Originel Universel (vibration primordiale donne la lumière réfléchie de sattva ; de là découle l’ego rajasique, puis les noms les formes ou connaissance.

« Le monde est perçu, mais la perception n’est qu’apparente ; elle nécessite une localisation pour son existence et aussi la lumière. Cette existence et cette lumière apparaissent en même temps que le mental. Si bien que l’existence physique des objets et leur éclairage font partie de l’existence et de l’éclairage du mental. Cet éclairage n’est pas absolu puisque le mental apparaît et disparaît. Le substrat du mental est le Soi, qui est évident, c’est-à-dire dont l’existence et la lumière sont une évidence. L’Être absolu continue toujours d’exister, que ce soit pendant l’état de sommeil profond, de veille ou de rêve.
Le monde est diversité, laquelle est une fonction du mental. Le mental brille par la Lumière réfléchie, c’est la lumière réfléchie du Soi. Les images sur un écran de cinéma ne sont perceptibles que dans une lumière diffuse, artificielle ; elles ne peuvent être vues ni dans un lumière éclatante ni dans une forte obscurité. De même, les images du monde ne sont perceptibles que dans une lumière diffuse, c’est-à-dire dans la lumière du Soi, réfléchie à travers l’obscurité de l’ignorance. Le monde n’est perceptible ni dans la pure ignorance, comme dans le sommeil, ni dans la pure lumière, comme dans la réalisation du Soi. L’ignorance est la cause de la diversité ». (Entretien 381, du 2 avril 1937, où quelques mois avant sa mort Jagadish Chandra Bose vint voir le Maharshi).
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 24-10-2017 01:49

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