RÉPUBLIQUE : sens d’après le système d’une période des Anciens Grecs (donc un petit endroit) : forme de gouvernement où le pouvoir et la puissance ne sont pas détenus par un seul, et dans lequel la charge de chef de l'État (chefferie) n’est pas héréditaire.
C’EST DONC UN ÉTAT. ET TANT QU’IL Y AURA UN ÉTAT sous une forme quelconque JAMAIS LA VRAIE PAIX N’EXISTERA SUR CETTE PLANÈTE.
RÉPUBLIQUE = COLONISATION DES TERRIENS, VIOLENCE SOUS TOUTES SES FORMES, SURTOUT ÉCONOMIQUE, Y COMPRIS TECHNOLOGIQUE ET DONC ÉVOLUTIONNISME. Une colonisation technologique
qui rend de plus en plus fragile cette civilisation : supermarché parisien aux rayons au tiers vide, parce que les camions de peuvent pas circuler à cause de la neige ; c’est nouveau : un jour de neige plus le froid et la capitale est bloquée. Depuis au moins 50 ans je n’ai jamais vu ça ! Ah nous sommes bien prisonnier de cette civilisation du CONFORT ET DE SA FRAGILITÉ ! Un CONFORT DE PLUS EN PLUS PAYANT (impôts privatisés) : les
Couilles en Or achètent plusieurs grandes réserves d’eau d’Amérique du Sud.
Le problème de communauté humaine est celui de L’EGO (ce que de nos jours on nomme
« propriété », « droit », et
« économie »).
RÉPUBLIQUE : nous sommes passés en 1789 d’une MONARCHIE PAPALE DE CHEF D’ÉTAT, À UNE MONARCHIE NARCISSIQUE (nous sommes tous des rois, des papes) DÉGUISÉE, PUISQU’IL Y A ENCORE UN « CHEF D’ÉTAT » : UN PLUS GROS NARCISSIQUE QUE LES AUTRES, ET PIRE : SOI-DISANT
« ÉLU » (vendu comme une lessive qui devra
« mieux laver » que la précédente…).
GUERRE ORIENT-OCCIDENT ou PAÏENS-HÉBREUX.
WINNERS contre LOSERS ou
WASHINGTONISME ou TRANSATLANTISME contre LE MONDE.
Le fondement du problème politique essentiel de la communauté humaine
étant le dilemme Individualisme-Collectivisme, il ne pourra jamais être
résolu tant que durera l’antique guerre PAÏENS contre HÉBREUX-JUIFS
poursuivit par l’Église de Rome. Pour moi Jésus-Christ, ou Christ tout
court (qui est un titre), EST UN PAÏEN ET TOUTES LES RELIGIONS ONT POUR
BASE CE QU’À CE HUI LES CHRÉTIENS, DONT PIERRE HILLARD, NOMMENT
« PAGANISME ». MONSIEUR PIERRE HILLARD :
LE MYSTICISME CHRÉTIEN JAILLI D’UNE SOURCE PAÏENNE.
ROME = POUVOIR POLITIQUE ET MILITAIRE.
PAÏENS = AUTORITÉ SPIRITUEL.
LES GAULES ÉTAIENT PAÏENNES.
TOUTES LES COMMUNAUTÉS PRIMORDIALES N’ONT
PAS DE CHEFFERIE. La chefferie est une invention de l’État avec
l’arrivée de la catastrophe Néolithique ou voie de l’Agriculture.
La chefferie, la soumission à un Dieu exploiteur, soumission au
spatio-temporel, peut se symboliser par le fameux tableau : « l’angélus
de Millet » et le travail chrétien « travailler à la sueur de son
front » : quincaillerie en mélange de moral et de sentiment et de
« vivre ensemble » et que ça colle bien et que ça pue bien.
LE PREMIER PAÏEN EST CELUI QUI EST UN RÉALISÉ VIVANT. IL EST CELUI DE LA
CAMPAGNE. ET À CE HUI LA MÊME GUERRE MORTELLE ENTRE PAÏENS-HÉBREUX SE
REPRODUIT DANS LA GUERRE CAMPAGNE-BÉTON DES VILLES ou Campagne contre
URBS QU’IMPOSA L’EUROPE dès le premier siècle de notre ère (béton qui
d’ailleurs à notre époque accentue le phénomène des inondations). Le
1789 bourgeois tout au long de l’industrialisation de la société pendant
le 19è siècle va une nouvelle fois détruire les Païens : les paysans
refluent massivement en villes pour devenir les prolétaires du
productivisme capitaliste, et la chair à canon essentiellement pendant
1914-18, ouvrant par l’hécatombe qui en résultat une fracture
gigantesque entre le savoir-faire artisanal des Anciens et le machinisme
et le colonialisme technologique de l’après 1914-18, déjà amorcé à la
seconde moitié du 19è siècle.
Quand les Chrétiens prirent la suite des Hébreux-Juifs dans le massacre
et la colonisation des Païens, cela va donner des massacres, des
destructions et des violences dès le troisième siècle de notre ère, puis
les massacres des Peuples du Soleil (Incas, Mayas, Aztèques, etc.),
jusqu’aux massacres des Amérindiens au 19è siècle et l’esclavage des
Noirs et autres couleurs de peau.
Le régime républicain a depuis deux siècles refusé la célébration ou le
« devoir de mémoire » des terribles guerres de Vendée. Pour ce régime les guerres de Vendée n’existent pas, pour ainsi dire.
- Pourquoi ?
- Simple : pour préserver le mythe fondateur, le dogme de la république, sa « valeur », son « irréprochable ».
On retrouve d’ailleurs cette MESSE DE SANG dans le chant
La Marseillaise et son
« sang impur qui abreuve ses sillons ». La première devise du régime républicain fut :
LA LIBERTÉ OU LA MORT (la mort est la liberté absolue... meilleure que celle de la république... et elle est éternelle...). Tout est dit, dans cette dualité guerrière comme toute dualité Gauche-Droite ou pur-impur. On retrouve cette volonté d’extermination avec la mode « terroriste » depuis le 11 septembre 2001.
Le régime républicain à ses débuts se sentant très fragile, se sentait le devoir d’exterminer totalement la Vendée. Il paraît qu’un article de 1894 de la révision constitutionnelle mentionne qu’il est interdit en France de remettre en cause la forme du républicanisme !
Donc si ce n’est pas une dictature, ou mieux, une forme religieuse à l’envers comme le socialisme des 74 ans de l’URSS, qui impose son dogme, qu’est-ce que c’est ? Certainement pas une
« démocratie » comme vendue partout ! Donc jusqu’à nos jours, en France on ne peut pas remettre en cause le dogme républicain, comme si on ne pouvait pas remettre en cause le pape et son Église de Rome, ou même remettre en cause LE ROI.
Cette dictature républicaine est une rareté française, car par exemple en Espagne la constitution n’interdit pas de remettre en cause la forme monarchique.
EN FRANCE LA RÉPUBLIQUE EST BIEN UNE RELIGION, ce que je m’échine à écrire sur un grand nombre de pages sur mon site. Voir la page :
La République Une et indivisible. La république est un RELIGION JUDÉO-MAÇONNIQUE SPÉCULUM.
L’extermination de la Vendée se résume à un mot :
OPINION. Et c’est ce mot qui triomphe de plus en plus de nos jours avec le « tout connecté », les « réseaux sociaux » et la fameuse
« liberté d’expression » qui n’est aucunement une liberté : essayez donc de remettre en cause certains trucs de la guerre de 1939-45 appelés
« devoir de mémoire » !… Or comme écrit en préambule : l’Histoire est une conspiration permanente contre la Vérité, puisqu’elle est HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule).
L’HISTOIRE N’EST QU’OPINION (et si elle est engrossé par le pouvoir, ça donne la dictature qui impose à l’ensemble).
EN DEUX ANS, La répression contre la Vendée par la Convention du régime républicain, a provoqué le volume de perte humaine SUPÉRIEUR À TOUTES LES RÉVOLTES ET À TOUS LES TROUBLES SOCIAUX DE L’ANCIEN RÉGIME, C’EST-À-DIRE DEPUIS CLOVIS.
IL Y A BIEN EU UN GÉNOCIDE VENDÉEN : C’est incontestable sur le plan juridique.
GÉNOCIDE : mot forgé en 1942 par un juriste polonais,
Raphael Lemkin, afin de désigner une VIEILLE PRATIQUE dans sa forme moderne.
Destruction méthodique, planifiée, d'un groupe de populations, ce qui évidemment est atemporel, du moins qui se situe dans l’espace-temps des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture.
Gracchus Babeuf parlera de la Vendée comme d’un
POPULICIDE par la convention.
LA POLITIQUE D’EXTERMINATION CONDUITE EN VENDÉE CORRESPOND EN TOUS POINTS À LA DÉFINITION DU GÉNOCIDE QU’EN DONNE LA CONVENTION DE L’ONU DE 1948, ET TELLE QUE LA CONFIRMÉ LA JURISPRUDENCE DES TRIBUNAUX INTERNATIONAUX CRÉÉS PAR LES STATUTS DE ROME EN 1998 pour juger le cas de l’ex-Yougoslavie et du Rwanda. On peut donc y ajouter la Vendée aux horreurs TOUJOURS IMPUNIES (du moins reconnues officiellement).
Comme Province, comme Pays, les Vendéens constituaient, un groupe permanent, CONDAMNÉ PAR CE QU’ILS ÉTAIENT, comme les Nazis condamnèrent les Juifs pour ce qu’ils étaient, DANS LES DEUX CAS IL S’AGISSAIT DE RELIGION (au sens politique de ce mot puisque destinée à
« socialiser » les populations).
Pour pratiquer le génocide, les cancéreux du pouvoir vont ANIMALISER les Vendéens, comme de nos jours les mêmes républicains et « sociaux-démocrates » du capitalisme feront pareil (animaliser : privation de nourriture, de sommeil, de vêtement, etc.). Pour la convention républicaine, les Vendéens sont des
« animaux à face humaine » dit
Camille Desmoulins, le troupeau de porcs justiciables des
abattoirs civiques (de la cité).
LE RÉGIME RÉPUBLICAIN CE N’EST PAS « BALANCE TON PORC »,
C’EST « ÉGORGE TON PORC » (les Vendéens de 1793).
En fait la « séparation de l’Église et de l’État » n’a pas eu lieu en décembre 1905, MAIS EN 1794 au cours des guerres de Vendée : la religion républicaine contre la religion chrétienne de l’Église de Rome. Les guerres de Vendée furent la plus sanglante et la plus longue des guerres de religions en France.
Dès les guerres de Vendée s’installe la religion de laïcité, RELIGION DE L’OPINION, DE « L’HOMME NOUVEAU » AYANT DÉJÀ UN PIED DANS LE TRANSHUMANISME ET LE COLONIALISME TECHNOLOGIQUE.
RELIGION = SOUVENT FANATISME poussant à l’extermination jusqu’aux femmes, aux enfants et aux vieillards et aux malades vendéens.
Les guerres de Vendée SONT DÉJÀ DE L’INGÉNIERIE SOCIALE de l’industrialisation de la société commencée à la Renaissance et arrivée à son paroxysme en 1789. D’ailleurs, il n’y a pas que la Vendée comme province qui se soulève, c’est bien pour cela que la chefferie du régime va briser ces provinces en inventant LES DÉPARTEMENTS, ingénierie du mondialisme capitaliste en marche, puisque désormais le seul peuple est celui qui est inventé par la chefferie ayant pris le pouvoir.
D’une société d’ordre avant 1789, la société française va passer à celle d’une société de classes : les ouvriers, les bourgeois, la classe moyenne, les cadres, les agriculteurs, les cols blancs, le CAC40, etc. C’est-à-dire à une société GRÉGAIRE, en un groupe de gens soumis à des conditions sociales et économiques massivement identiques.
CLASSE = SENTIMENT : sentir la tripe, soit phénomène d’agglutination d’ego.
1789 c’est l’antique guerre PAÏENS contre CHRÉTIENS. Les Païens furent les Vendéens bien que chrétiens, et les « chrétiens » les républicains et leur chefferie (leur « Vatican » et leur pape). De nos jours je vois les Corses comme des Païens luttant toujours contre ce même régime républicain…
RÉPUBLIQUE = REVANCHE DES MÂLES SUR LES FEMELLES (considérées comme des « perturbatrices », « elles sont mortelles pour le service publique, la femme c’est le « désordre »). De toute façon depuis le Yahvé des Hébreux-Juifs, NOUS SOMMES SOUS OPINION DU PATRIARCAT.
« Il ne suffit pas, pour qu’un mouvement soit populaire, que le peuple y soit mêlé. Il ne suffit pas, pour qu’une agitation soit prolétarienne pour que les prolétaires y participe. Il faut que ce mouvement et cette agitation aient pour but l’affranchissement du peuple et du prolétariat [selon l’opinion que s’en fait la chefferie]
(Jean Jaurès, Histoire de la révolution française). Jaurès raisonne exactement comme UN COLONIALISTE, comme les Lénine-Trotsky-Staline : le dictateur fabrique l’ÂME des populations, lui seul a droit au ‘Je’, lui seul FABRIQUE L’HISTOIRE ET L’INTERDIT À SES FABRIQUÉS.
Il est vrai qu’il est temps de se poser la question de LA LÉGITIMITÉ DU RÉGIME RÉPUBLICAIN FRANÇAIS, ET MÊME LE TEMPS DE REMETTRE EN CAUSE LA LÉGITIMITÉ DE
TOUT L’ÉTATISME DE CE MONDE CAPITALISTE MORIBOND.
CONVENTION : régime insurrectionnel du 10 août 1792, qui viole la constitution de 1791. Convention établie sur un vote en scrutin indirecte, concernant seulement moins de 10% du corps électoral (sur 700.000) par les preneurs du pouvoir, donc élection très restreinte excluant la plus grande partie de la population française : les Paysans, les domestiques et les pauvres.
Bref, la convention est fabriqué par LA BOURGEOISIE, LES COUILLES EN OR de l’époque.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE = DICTATURE D’UNE MINORITÉ, ça s’appelle une OLIGARCHIE, ou une PLOUTOCRATIE (voir ce que possède un
Emmanuel Macron… François Hollande, etc.). En URSS, copie de 1789, ce fut la même chose.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE = SOUVERAINETÉ PARLEMENTAIRE, CEUX QUI OPINIONNENT, et dehors les peuples. Le député fait ce qu’il veut, le peuple ne fait pas ce qu’il veut !
RÉGIME RÉPUBLICAIN = UN POUVOIR, SANS LES PEUPLES.
DÉMOCRATIE : ART D’EMPÊCHER LES GENS DE SE MÊLER DE CE QUI LES REGARDE. (
Paul Valéry).
RAPPEL SUR LA POURSUITE DE LA GUERRE PAÏENS-HÉBREUX CHEZ LE JUDÉO-MAÇON JULES FERRY à la chambre des députés en 1885 :
« Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures… [il est coupé par d’autres députés indignés, puis reprend]. Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures… ». Ceci fut le dogme colonialiste de la 3è république française, jusqu’à au minimum la guerre d’Algérie, et même jusqu’à la
« Françafrique ».
Le régime républicain a totalement copié le christianisme : les Chrétiens étaient
« membres les uns des autres », ce qui n’était pas un simple slogan publicitaire comme l’actuel
« Vivre ensemble » de l’après
Charlie Hebdo, mais peut-être l’UNIQUE cause et la plus forte pour le progrès du christianisme qui de ce fait S’EST TRANSFORMÉ EN GRÉGARISME COLONISATEUR ÉPOUVANTABLE, CAR CONSTRUIT SUR LE SENTI-MENT ET LA MORALE.
Le monde chrétien n’a absolument pas résolu le dilemme du Néolithique Individualisme-Collectivisme, qui ne peut passer que par la Réalisation du Soi, le « Connaître toi-même par toi-même ». Si le monde chrétien ne pouvait pas résoudre ce dilemme, le régime républicain en sa forme religieuse étatique ne le pourra encore moins !
POMME : symbole de Réalisation du Soi, le
« Connaître toi-même par toi-même », déjà mentionné par l’héritage celtique dans la
Vita Merlini de
Geoffroy de Monmouth, dans la légende d’Arthur transporté dans l’île de Fortunée après la catastrophique
bataille de Camlann, en une parfaite description de l’Âge d’Or toujours présent : « L’île des Pommes, qui est appelée Fortunée, tire son nom de ce qu’elle produit tout par elle-même. Il n’est nécessaire aux habitants de tracer des sillons. Il n’y a aucune culture, hormis celle dont la Nature prend soin elle-même. Elle produit elle-même d’abondantes moissons, des raisins et des pommes dans ses forêts couvertes de fruits. La terre y engendre tout elle-même, en surabondance, au lieu d’herbe. On y vit cent ans de plus… »