VRAI SOCIAL : Tout ce qui est en Haut est comme tout ce qui est en Bas, et tout ce qui est en Bas est comme tout ce qui est en haut. De nos jours la coupure entre Haut et Bas (Ciel et Terre) est gigantesque, et c’est certainement voulu par une certaine « élite » parmi des sectes occultes genre judéo-maçonnerie à gros Pour-Voir (dualité initiés-profanes ou winners-losers). Par conséquence naturellement il n’existe pas de laïcité comme celle qui nous est vendue principalement par cette judéo-maçonnerie spéculum style GODF, destinée à faire marcher le tiroir-caisse, et surtout à nous couper de ce qui est ESSENCE-CIEL !

 

CIEL : LE VRAI SOCIAL, C’EST SOI-MÊME ET LES AUTRES.
CIEL : LE SANS FORME, LA LUMIÈRE, DONC LA NON-SOUFFRANCE ; ne jamais tomber dans le « Je suis ceci » ou « Je suis cela », qui est la définition de l’ego. Il n’existe que « JE SUIS », le Sans Pourquoi.

En l’absence d’intimité avec soi-même, il est à peu près impossible de supporter l’intimité avec quelqu’un d’autre, et vice versa. Pour dire que le « Vivre ensemble » vendu par le régime républicain est une tromperie en forme de Super Grégarisme des plus mortifère pour chacun. Leur « Vivre ensemble » ne concerne que le business de la City de Londres et leurs esclaves : LES CONSOMMATEURS. Le « vivre ensemble » AU LIT est du même Thème : celui du corps ou mental !
INTIMITÉ AVEC SOI-MÊME : « Le fils doit triompher de la mère pour acquérir le trésor gardé par le Dragon [ego] ou pour délivrer la vierge. Le trésor et la vierge sont des images qui représentent l’âme, « joyau difficile à atteindre ». La mère est en même temps l’inconscient avec son influence magique. Le Dragon, que l’homme doit terrasser [plutôt apprivoiser : ‘Je’ et ‘je’], ne représente pas seulement, répétons-le, la mère, mais encore le propre inconscient de l’homme et le monde des images qu’il englobe. Ce mythe indique que l’homme doit faire l’expérience de son inconscient pour devenir vraiment un homme et que cet acte est si difficile à réaliser, que seule l’image d’une lutte à mort peut le représenter », écrit Ania Teillard dans : Ce que disent les rêves - Le Symbolisme du Rêve.

Tant que les gens ne se connaissent pas au plus profond de leur être, et qu’il ont peur de leur vie intérieure, ils ne peuvent pas intégrer leurs expériences internes, et le faux soi ou fausse personnalité se produit et se poursuit. Les phobies de l’attachement et de la perte de l’attachement se développent facilement parce que les individus traumatisés chronique ont été blessés par d’autres êtres humains, particulièrement ceux qui s’occupaient d’eux dans l’enfance (par exemple une blessure par manque d’affection, blessure d’autant plus importante que l’affection donnée sera illusoire).

Le Vrai Social ne comporte pas de genrisme à la mode depuis le New Age, parce que la personnalité peut se dissocier en personnalité pouvant revêtir de nombreuses formes, de la plus simple à la plus complexe ! La forme la plus simple consiste en deux parties émotionnelles de la personnalité (PE : Personnalité Émotionnelle, en général une qui expérimente et l’autre qui observe, qui ”pointe”), avec en parallèle une personnalité apparemment normale (PAN) qui couvre la majorité des fonctions de la personnalité apparente.

Certaines personnes traumatisées ont des personnalités beaucoup plus divisées encore, avec plusieurs Personnalités Émotionnelles (PE), voir beaucoup. Ces PE sont présentes sous formes variées et en séquences différentes, et elles peuvent vivres tous les degrés de sentiment d’un fonctionnement séparé, d’une autonomie, ainsi que des caractéristiques élaborées comme un nom, un âge, un sexe.
Les PE développées pendant l’enfance sont quelquefois plus complexes et plus autonomes que celles qui apparaissent au cours d’une dissociation structurelle primaire à l’âge adulte : problème de la survie avec un faux soi ou fausse personnalité, qui face à la menace d’un individu, peut entraîner dans la vie de tous les jours la réaction trinitaire : de fuite, de combat, ou de soumission ; et entraîner d’écrasantes émotions de désespoir, de rage, de honte, de peur, avec des besoins enfantins de se faire prendre en charge (ce sur quoi joue beaucoup la chefferie républicaine mondialisée qui prend les gens pour des enfants à éduquer selon ses « valeurs », tant maintenant la tendance mentale primitive des gens à l’action défensive est annihilée ; et c’est là qu’est le problème, l’oubli total du : « Connaître toi-même par toi-même »).

Le Vrai Social est totalement lié AU TOUT. Je remet donc le refrain si parlant donné par David R. Olson dans : L’univers de l’écrit - Comment la culture écrite donne forme à la pensée, parce TOUT EST DANS LE MENTAL :
« Mais il semble peu douteux que l’écriture et la lecture aient joué un rôle essentiel dans la genèse d’un bouleversement, par lequel nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée [donc le RE et une distance entre]. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier ». Sur le papier, et maintenant DANS l’ordinateur, ce qui fait rêver les transhumanistes croyant à l’immortalité corporelle quand ils seront coincés dans leur puce informatique !

Ce sont les forts en gueule et en argent qui fabriquent notre monde, comme il y a peu l’Église de Rome fabriquait le « Paradis » et « l’Enfer » : L’INFORMATION OU BIG DATA PRIME SUR LA RESSEMBLANCE, comme Freud en droite ligne des mécanistes hygiénistes du 19è siècle, en bon propagandiste comme nombre de Juifs, ne pouvant pas accéder au divin, il se contenta d’interpréter cette phrase de l’Enéide (VII 312) qui devint sa devise commerciale : Flectere si nequeo superos, acheronta movebo, il fit dans la pédale chatouilleuse et émotive des poussées instinctives sexuelles, qu’il baptisa pour la circonstance « libido ». Avec ça il échafauda une opinion aussi trouble que toutes opinions qu’il copyrighta « psychanalyse ». Pour mieux vendre sa marchandise il inventa une sorte de « mariage mixte » : les épousailles de son opinion avec un système de psychothérapie à base de dualité sujet-objet.

Freud procède comme les manuels de botanique de l’après Renaissance : l’illustration des différentes parties d’une fleur ne ressemble en rien à une fleur précise. Cependant, l’image de la fleur, SA REPRÉSENTATION, SON VIRTUEL, SON SPECTACLE, devient l’entité conceptuelle à partir de laquelle les fleurs réelles sont perçues et classifiées. Les figures de botanique, comme les cartes de géographie, deviennent les modèles conceptuels, les dogmes, au travers desquels nous faisons l’expérience du monde ou réalité. Le « savoir » (la culture) est désormais une sorte de formulaire grâce auquel tout événement supposé réel est représenté. Ce formulaire, ou cette digitalisation, comme carte ou big data, fournit le cadre de référence par rapport auquel les événements sont vécus ; et c’est ce que fait Google et sa digitalisation de la planète… préhistoire du transhumanisme rêvé. PROBLÈME : qu’est-ce qui est vrai, le rêve où existe aussi le spatio-temporel, ou l’état de veille de Google ?

Il y a donc une corrélation avec le soi (se connaître au plus profond) et le social ou « extérieur » PARCE CELA CONCERNE « LE VISIBLE ». La lecture du Livre de la Nature exigeait qu’on lise ce qui est visible ou appréhendable par les cinq sens ; cela passait par des mots et des dessins des objets eux-mêmes et aussi visibles par les sens, indépendamment de leurs fonctions sociales ou symbolique, activité pour laquelle il fallait inventer de nouvelles manières de dessiner et de décrire, afin de nommer le visible ; C’EST À PARTIR DE LÀ QUE LE CHAOS HUMAIN VA S’ACCENTUER, à cause du manque de simplicité et de complexité toujours croissante, UNE FICTION TOUJOURS PLUS GRANDE, UN ÉLOIGNEMENT DU SEUL RÉEL.
Galilée est un grand responsable de cet éloignement : il fonctionne à l’OPINION concernant le mouvement présenté comme déduction logique…

Pour en revenir plus proche du social, la chefferie et l’opinion sont en train de fabriquer un SOCIAL TOTALEMENT ARTIFICIEL, comme énoncé dans la citation de D.R. Olson mentionnée ci-dessus sur « la pensée sur la pensée », tant on s’éloigne de plus en plus de Seul Réel pour en fabriquer un artificiel ! D’ailleurs déjà annoncé au 18è siècle par les perruques poudrées et leur « raison ».

Une communauté qui perçoit son milieu social de telle façon verra le monde « extérieur » totalement ou très différent de ce que les Occidentaux perçoivent actuellement de leur social ou monde extérieur.
Dans les deux communautés humaines le mental est le même, mais la représentation collective des perceptions sera différente. Pour une communauté d’avant le Néolithique, toute chose est vivante, du grain de poussière à l’arbre et jusqu’à l’humain. Et NON ! ce n’est pas une « pensée primitive », c’est plutôt du PANPSYCHISME et totalement positif !

CIVILISATION = MENTAL : CALCUL, LOGIQUE, PRODUCTION, PERVERSION, POUR FINALEMENT ABOUTIR À LA CATASTROPHE DU MENTAL bien plus gigantesque que si la Terre recevait une comète de 10 kilomètres de diamètre en plein dans l’Océan Atlantique ! Curieusement, nous sommes actuellement dans la civilisation des « bien évidemment » : depuis un moment, beaucoup de gens ajoutent le « bien » avant le évidemment. Étrange effet de Super Egrégore… au même titre que de dire ”aujourd'hui”...
LE MENTAL COUPE, DÉTRUIT LE SEUL RÉEL.
LE MENTAL COMME LA CIVILISATION DOIVENT NATURELLEMENT DISPARAÎTRE, C’EST DANS LEUR NATURE !

Maintenant suite à la « raison » des perruques poudrées du 18è siècle c’est l’information, le big data, le géocentrisme (le Soleil « tourne » autour de la Terre) qui sert de mesure, et l’informe ou uniforme sert de marchandise/business, on s’éloigne vers une abstraction pour tenter de mesurer le difficilement mesurable.
Notre vision est limitée par nos organes des cinq sens, à partir d’un certain ordre de grandeur nous ne pouvons plus voir mentalement ce que nous prenons pour la « réalité ».

VRAI SOCIAL, VRAIE CIVILISATION : « Il n’y a ni naissance ni mort. On ne reste que ce que l’on est réellement. C’est la seule Vérité ». Ramana Maharshi, entretien 573, du 11 novembre 1938. Ce n’est pas un hasard si le Maharshi sort cette phrase un 11… Nombre du TAO…
Même entretien : « La vérité est la suivante : On est le Soi ; l’ego se manifeste, se confond avec le corps, se méprend sur la réalité du monde et différencie les objets ; trompé par le voile de l’ignorance du ‘je’[l’opinion], l’individu se met à penser frénétiquement et part à la recherche de sièges pour la méditation. Il ne comprend pas qu’il est lui-même le centre et la base de tout cela.
Si on le questionne, il parle des effets de ces sièges et de certains accessoires en terme de gravitation et de magnétisme. Il s’imagine que sans tout cela le pouvoir de ses ascèses diminuera.
D’où proviennent tous ces pouvoirs ? L’homme voit les effets, cherche leurs causes et s’imagine que ce sont les pouvoirs des sièges et des accessoires. Une pierre jetée en l’air retombe sur le sol. Pourquoi ? À cause de la gravitation, dit-il. Et alors, tout cela, est-ce différent des pensées de l’homme ? Réfléchissez et dites si la pierre, la terre et la gravité sont différentes de ses pensées. Elles ne sont que dans son mental [c’est moi qui souligne]. C’est lui le pouvoir et c’est lui qui l’exerce. Il est le centre et le support de tout. Il est aussi le siège.
Un bon siège a pour fonction d’assurer une assise stable. Où et comment l’homme peut-il rester stable si ce n’est en son propre état réel ? C’est lui le siège véritable [ce que j’appelle « cour » ou être Maât (direct)] ».

Cet entretien 573 d’un 11 novembre EST LA CLÉ DE TOUT. D’ailleurs dans le Tao-tö king le Verset 11 écrit : « Une maison est percée de portes et de fenêtres, c’est encore le vide qui permet l’habitat ». Le Vide ou le Centre nulle-part et la Circonférence partout : « L’Être donne des possibilités, c’est par le non-être qu’on les utilise ».
Même sens au Verset 43 :
« Le plus tendre en ce monde domine le plus dur. Seul le rien s’insère dans ce qui n’a pas de failles. À quoi je reconnais l’efficace du non-agir. L’enseignement sans parole. L’efficace du non-agir. Rien ne saurait les égaler ». (Traduction de Liou Kia-hway).

[Partie du faux soi en référence à : Le soi hanté, de Onno van der Hart, E.R.S Nijenhuis, Kathy Steele]