Cette envie de vomir domine EN FRACTALE DE TOUS LES INSTANTS SE BALADANT SUR LE TOUT, qui fait chercher des béquilles extérieures auprès des êtres humains et des choses ;
solitude en PANique quelque soit la façon de faire, devant la solitude lisse ne permettant aucun accrochage. « Derrière », la demeure « tout au fond » : une Paix qui ne bouge pas, qui regarde couler la suite de PANique, le glauque du fond de soi-même presque désespoir dans la finitude.
Celui qui pense se « sauver », se « libérer » est dans la même illusion que son « pouvoir d’achat » nouvelle illumination républicaine pour se libérer de la souffrance.
Illusion du Salut fourgué par les religions abrahamistes. La seule égalité possible ne réside pas dans la trinité judéo-maçonnique spéculum et sa république, mais dans LA SOUFFRANCE, LÀ OÙ NOUS SOMMES TOUS ÉGAUX, riches comme pauvres. percevoir cette Souffrance est déjà s'approcher de réaliser le Soi…
La république centralisatrice, jacobine, et ainsi nouvelle religion à la place de l’Église épousant la Monarchie, nous a vendu la recherche de reconnaissance, soit le
WINNÉRISME :
amour-attachement-illusion, en d’autres mots/maux sa trinité judéo-maçonnique spéculum :
liberté-égalité-fraternité, soit
la PERSONA, le masque de la
Commedia dell’arte de cette société-spectre-spectacle et du culte du narcissisme.
République-Religion : LE SPECTACLE, comme dans les religions abrahamistes : l’extase ou signes extérieurs de richesse, comme les Juifs se martelant le front sur un grand mur ou se balançant en lisant leur livre, ou ces chrétiennes aux corps et visages tordus par l’extase provenant d’une supposée
Vierge à Garabandal. Dans la Taoïcité c’est beaucoup moins spectacle : pas d’exhibitionnisme émotif, seulement la simplicité, on ne force en rien de faire pousser des herbes en tirant dessus à longueur de journée au risque de les déraciner, comme opèrent les obsédés républicains du « bien » pour tous, genre les plus dangereux : républicains qui envahirent le monde pour en faire un totalitarisme : une seule opinion imposée à tous (politique, économie, information, justice, éducation, cultures, etc.). Le républicanisme donne l’illusion de vivre dans
« un village planétaire » (société fourmilière), ce monde hôtel de Jacques Attali où tout est pareil d’Orient en Occident : la même soupe pour tous.
Dans la Taoïcité et le Chan l’effacement de soi, du ‘je’ ou ego, peut seul laisser rayonner l’Ainsité ou Soi-Instant ; rayonner une compassion sans donneur, sans calcul ou mémoire, sans personne à « sauver » ; bref, un Cœur de Vacuité, le Blanc rayonnant de l’Instant, passé ou futur, ici ou là, tout est dans l’Instant et en Transparence.
L’EGO DE L’APRÈS 1789 ET SON « SOYEZ VOUS-MÊME », de cette mode du culte du narcissisme en son « développement personnel ».
Prétendre « qu’il faut tuer l’ego » est une ignorance déjà dénoncée par Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne
Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».
Le ‘je’ n’étant qu’un outil, il fait en sorte que les expériences soient centralisées pour permettre de réagir, de s’adapter afin de survivre. Depuis la « Chute », le ‘je’ a chuté en se transformant en masque, en
persona plus vrai que nature, que depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture nous prenons pour le « nous », comme nous sommes des drogués de la nourriture solide, y compris de l’eau potable…
Donc on ne tue pas l’ego, sinon en ce temps des 10.000 ans on ne peut plus s’acheter ses carottes ou retrouver sa voiture stationnée dans le garage de la Place de Clichy à Paris.
L’EGO N’EST QU’UN OUTIL, COMME LE VAISSEAU OU LA VOITURE. Si l’ego se prend pour la voiture ou pour un individu : un « je suis ceci » ou « je fais cela », alors il est l’ego et même plein pot dans l’actuelle culture du narcissisme.
L’ego n’est qu’un outil à cinq sens pour appréhender le flux d’informations qui surgissent en permanence à travers ses cinq sens. L’ego-outil n’est qu’une technique par laquelle l’expérience est interprétée comme personnelle, et qui ainsi en devient une opinion.
S’il semble y avoir un permanence d’informations, il y a en même temps impermanence ! Mais même là on retombe dans la dualité sujet-objet. Ce n’est pas bon !
QU’EST-CE QUE L’INDIVIDU ? Comme le temps qui coule, il n’existe qu’en tant que désignation et non comme substance ou corps. Il n’y a donc rien !!!
FRACTALE DU ‘JE’ ou ego :
1 - Le corps ou ‘je’.
2 - Les cinq sens du corps captent, perçoivent.
3 - Ces perceptions sont décodé en sensation positive ou négative ou neutre.
4 - L’idéation est en marche et en conséquence le vagabondage du mental.
5 - Le ‘je’ perçoit ceci et le trouve différent de lui (principe de dualité sujet-objet).
La croyance des 10.000 ans de la voie de l’agriculture fait que le ‘je’ est notre possession, comme en capitalisme ou libéralisme on « possède sa voiture ».
C’EST CELA SEUL QUI EST SOURCE DE LA SOUFFRANCE DE CE MONDE : UN EXPÉDIENT FOURGUÉ PAR LA RAISON QUI A ACQUIS UNE COAGULATION IMAGINAIRE, ALORS QUE LA SEULE RÉALITÉ DE NOTRE APPARENCE RÉELLE EST LAISSÉE MAINTENANT AUX OUBLIETTES !!!
NOUS NE POSSÉDONS PAS UN EGO, NOUS SOMMES POSSÉDÉS, DROGUÉS PAR L’OPINION DE CETTE CULTURE DU NARCISSISME QU’IL Y EN A UN !
Comme disait
Ramana Maharshi, tout étant dans le mental, il n’y a rien au dehors, rien non plus sur lequel on puisse œuvrer ni s’appuyer, et rien en définitif qui doive être étiqueté du mot « paix » ou « liberté » (quand on sait les ravages que ces deux mots provoquent).
Le mental n’est pas un objet comme maintenant avec ses « droits d’auteurs », il ne peut être saisit ou monnayé, il ne peut être « purifié » ni à éradiquer, il n’est pas non plus à « vider » ou à « nettoyer » comme le prétendent les charlatans du « Soyez vous-même » et les psychiatres du système.
RIEN N’EST A CHANGER EN CE MONDE TOUT ÉTANT INTÉRIEUR… sans oublier l’extérieur. Il n’existe rien d’objectif, prétendre à « l’objectivité » est une opinion purement subjective comme de prétendre au « constat » (mot de l’après 1789 et du calcul et de sa raison et de vouloir tout mesurer et contrôler…
vouloir tout numériser…) !
L’INSTANT : L’ESSENTIEL, aucun lien, ni gardien, ni prison. C’EST LA FOCALE.
PAN L’INSTANT : la Connaissance ne vient de nulle part, ne va nulle part. Le chercheur en tout Instant la cherche et ne la trouve pas.
Je préfère la Taoïcité parce qu’elle reflète le calme, elle déambule dans les vallées du mental et rencontre par ci par là l’Instant, une voie moins brutale et plus naturelle. Il y a un bonhomie, une rondeur dans la Taoïcité qui témoigne pour le respect des mille et une faiblesse de l’humain, exactement comme le Dieu égyptien Ptah. La Taoïcité contourne les obstacles et utilise la fluidité, comme le lutteur de
shuai jioa qui se sert de points d’appui et de bras de levier insoupçonnés pour culbuter ses adversaires. En cela la Taoïcité est proche de certains tantrismes, elle a trouvé le moyen d’emmener le corps dans l’Instant, soit de réveiller le corps pour éveiller le Soi. Le corps-obstacle devient un « médium » de libération.
PAS DE « FIN DES TEMPS » DONC PAS DE « NOM DE DIEU » SOI-DISANT PERDU (selon certains dont quelques obédiences judéo-maçonnisées de
”peuple élu”).
Le Tao-tö king de Lao-tseu le précise d’ailleurs dans le premier Verset :
Le Tao qu’on tente de saisir n’est pas le Tao lui-même ;
le nom qu’on veut lui donner n’est pas son nom adéquat.
Sans nom, il représente l’origine de l’Univers ;
avec un nom, il constitue la Mère de tous les êtres.
Par le non-être, saisissons son secret ;
par l’être, abordons son accès [orifice].
Non-être et Être sortant d’un fond unique
ne se différencient que par leurs noms.
Ce fond unique s’appelle Obscurité.
Obscurcir cette obscurité
voilà la porte de toute merveille.
(Traduction : Liou Kia-hway)
Un aphorisme chan dit :
L’illusion et l’absolu ne sont point différents.
Tant qu’on est dans l’erreur, l’absolu est l’illusion.
Pour qui s’est réalisé, l’illusion devient l’absolu.
LA POSSESSION OU LE PROFIT EST LE MAL ABSOLU, SOIT LE MENTAL LE KILLER DE CETTE PLANÈTE (comme le confirmait déjà le Maharshi.
DICTATURE DE LA SOCIÉTÉ DU CONFORT OU SÉCURITAIRE.
Cette possession et le profit ont donné depuis 1789 notre actuelle
DICTATURE MOLLE : le régime républicain installé presque partout sur
Terre, avec depuis les deux guerres mondiales, un totalitarisme
terriblement sournois, une première dans l’histoire de l’humain des
10.000 ans. Ce totalitarisme se déguise en « liberté », c’est tellement
vendeur et attrape-couillons. Ce totalitarisme républicain opère dans
l’anesthésiant et sur la durée ; il était d’ailleurs déjà rampant depuis
l’apparition d’un Clovis centralisateur… Maintenant ce totalitarisme
républicain cherche à manipuler les Terriens pour en tirer un maximum de
profit, capitalisme de la City de Londres oblige….
C’est-à-dire qu’un seul, ou plusieurs fabricants d’âmes s’accordent la
possibilité du ‘Je’, du Soi, et l’interdisent aux fabriqués. Ce n’est
pas vraiment nouveau, car qui dit éducation dit dressage, fabrication,
coulage dans un même moule. Mais cette
séparation nette et brutale entre fabricants (un seul ou quelques-uns,
soit une oligarchie) et les fabriqués (les 7 milliards de Terriens) n’a
jamais été aussi nette que depuis une cinquantaine d’années. Depuis que
le « social » est arrivé à sa maturation, et avec lui les « sciences
sociales ». On est dans les temps où certains pensent comme des
entomologistes en se voyant à l’extérieur du bocal qui serait l’Univers
avec nous dans le bocal, le social enfermé dedans. Ils sont tentés par
la POSSESSION qui doit leur permettre de POSSÉDER l’objet, donc les
humains, pour les manipuler, les formater selon leur « science » qui
n’est qu’un jeu de leur ego qui se bombarde de « logique » ou de
« raison ». C’est purement l’attitude mentale du dictateur communiste ou socialo-démocrate
qui décide du modèle standard psychologique, en fonction duquel ses
sujets doivent êtres façonnés par le moyen de l’environnement
médiatique, technologique et de l’éducation. Ainsi fabriqué par les
seules contingences sociales et historique dont il n’a pas à décider,
l’individu ne doit vivre que dans le temps linéaire entre un passé et
une « fin des temps » attrape-couillons. Le souvenir lui est interdit
(tout est devenu anti-tradition), le fabriqué ne doit pas regarder en
arrière pour « boucler le futur sur le passé ». Seul le dictateur de ce
régime républicain s’accorde cette possibilité et l’interdit aux
fabriqués. Maintenant le dictateur du régime
républicain ce n’est pas son président, C’EST LE MONSTRE TENTACULAIRE DU
LIBÉRALISME ET DE SES EMPEREURS MULTINATIONALES (notamment les GAFAM et
leur numérisation de la Terre avec ses habitants). Les États
républicains ne sont plus rien. Place à la privatisation, au « libéralisme » sur la Terre (elle va bientôt être à vendre…).