- 1918 : abolir l’argent et abolir l’État (l’État ne peut qu’être indubitablement lié à l’argent, et ce, depuis l’apparition de la catastrophe Néolithique).
- 1968 : abolir l’argent et abolir l’État, rêve d’un monde nouveau.
- 2018 : abolir le macronisme et l’Empire USionistan et sa City de Londres… Amorce de la crise finale pouvant se prolonger depuis 2018 pendant 10 ans, 50 nouvelles années ?…
50 ans d’écart entre ces dates essentielles au moment où le capitalisme de 2018 bourgeonne printanièrement de ses petits biceps comme nous le montre le productiviste atteint de réformite aigüe suppurante E. Macron.
Bienvenue dans le chaos du régime républicain et son capitalisme démocratique.
Chaos de la tyrannie de l’opinion englobant celui du chaos terroriste, du chaos immigrationniste, du chaos bancaire et sa conséquence le chaos industriel, chaos social, le chaos de la république qui universalise son chaos devenant effectivement indivisible !!!
Chaos universel afin de mettre définitivement en place le monde Luciférien en attente depuis plusieurs siècles.
Fin de la guerre 1914-18 le capitalisme triomphe enfin et l’oligarchie anglo-américaine avec lui, voir pour cela le très bon livre de Carroll Quigley :
Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, qui résume essentiellement l’après 1918 et jusqu’à 1939-45.
Le Mai 1968 ouvrier a échoué parce que le capitalisme pouvait encore bourgeonner facilement. En 2018 le capitalisme est complètement coincé, nous le vivons depuis le sarchozysme, le hollandisme puis le macronisme qui s’annonce en lumière toute allumée avec sa réformite terminale. Nous sommes entré dans une singerie politique absolue, même le plus crétin des rois de France n’avait pas atteint ce niveau de singerie politique !
Après le somnambulisme apparu suite à mai 1968, on a un grand retour en 2018 de la lutte des classes qui boucle sur l’authentique mai 1968 ouvrier, pas celui des clowns Cohn-Bendit
(1) et autres riches étudiants qui se déguisaient en ouvriers pour faire plus
« gauche » (comme l’indique Jean Coulonval dans son livre
Synthèse et Temps Nouveaux, quand il assistait aux
« meeting » des étudiants, tous plus ou moins fils ou filles de Couilles en Or, parce que pousser vers des études dites faussement
« supérieures » demande des moyens conséquents pour vivre, ce que n’a pas un fils ou une fille d’ouvrier qui devra rapidement assurer seul sa pitance et son lit).
En fait il commençait a y avoir deux mouvements étudiants :
- Les fils de bourgeois ou de cadres (les étudiants
« gauchistes » et chefs, ceux qui sont décidés à ne jamais tenir dans leur vie une pelle ou un tournevis quelconque ; à ça non, pas se salir les mains). Toute cette
« gauche » a produit après 1968 des médecins, des ingénieurs, des publicitaires, bref, des cols blancs comme des traders et des financiers, ou des hommes politiques, des journalistes, des avocats, etc.
- Les fils d’ouvriers ou prolétaires (personne n’en parle, sauf l’inconnu
Jean Coulonval lui-même parfait ouvrier et fils d’ouvrier…). Avec la robotique capitaliste rien que le mot
« ouvrier » risque de disparaître et de couper encore plus l’être humain de son Soi…
2018 laisse apparaître tous les boulons et tiges d’acier des constructions béton du capitalisme, tout cela en train de rouiller et de partir en poussière lentement mais surement, sans retour arrière ni pansement possible, tant il y a déjà été ajouté de pansement depuis les après mai 1968.
La poussière de la construction capitaliste est ce qu’ils nomment
« taux de profit ».
Crise de l’immigration, crise industrielle, crise bancaire, crise à tous les étages, ajoutez la crise terrorisme, cela forme un TOUT INDIVISIBLE. Le
« vrai » ne peut qu’être le TOUT, s’occuper uniquement des
« migrants » ne résoudra rien, ni même de
« faire la guerre aux terroristes » ne résoudra rien.
Le productivisme dont le macronisme est en crise totale et grave. Le mode de production de l’antiquité de l’après Néolithique est mort, de même que le mode de production féodale, et le mode de production capitalisme amorcé à partir du 15è siècle comme le précise un Fernand Braudel dans :
Civilisation matérielle, économie et capitalisme, 15è-18è siècle, EST MOURANT. Un ptiot exemple à mon niveau de pouvoir d’achat : le prix des oligoéléments qui il y a moins de 10 ans valait autour de 4 ou 5 euros en boîte d'ampoules a quasiment doublé et pour le même nombre de produit. Tout va aller en augmentant selon le principe capitaliste de sa
« croissance ». Si pour les fumeurs de tabac le paquet atteint 10 euros bientôt, le pot de yaourt en vaudra prochainement au minimum aussi autour de 10 euros…
MAI 1968 = SPONTANÉITÉ, ALORS ÇA FAIT PEUR AU RÉGIME RÉPUBLICAIN. C’est pourquoi E. Macron fait une véritable COURSE DE RÉFORMES TOUT AZIMUT. IL A PEUR ET MOUILLE SA CULOTTE, plus que Hollande.
En mai 1968 la patronat a eut tellement peur des 10 millions de prolétaires en grève qu’il va demander à Pompidou de faire venir des
« migrants » en masse pour supplanter les prolétaires français : donc introduire une population totalement esclave qui n’ira pas faire grève et ne stoppera pas les flux de rentrées d’argent du patronat de la City de Londres.
LES PEUPLES HEUREUX OU LIBÉRÉS N’ONT PAS D’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule). ILS SONT LIBÉRÉS DU TEMPS.
Note.
1. Qui sera transporté d’Allemagne vers la France dans la bagnole du patron de
Paris-Match qui était un paroissien des réseaux américains… Selon Francis Cousin en mai 1968 les réseaux américains ont financé les trotskistes et les libertaires (libéralisme), et les maoistes ; évidemment ils n’ont pas financé les grèves ouvrières… cela aurait été le monde capitaliste et socialiste à l’envers !
Mai 1968 = conflit permettant à l’Empire USionistan de liquider de Gaule de la chefferie politique européenne (conservatisme anglo-américain). Le washingtonisme (CIA, Pentagone notamment) accentua le chaos social français pour virer Charles de Gaule.
Partie intéressante et assez claire de Francis Cousin sur le culte du narcissisme et de son
« unité dans la diversité ».
TOUT EST ÉCLATÉ AU NIVEAU STRUCTURE DE VIE, l’exemple des grèves françaises de mars-avril 2018 est parlant et expliqué clairement par Francis Cousin
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