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Mercantilisme : le fruit de MES efforts Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 14-09-2018 23:25

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Circoncision, Conflit, Confort, Conscience, Corde, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Fétiche, Fruit, Gordiasade, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Ignocratie, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Klan, Lait, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Migrant, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Oxygène, Paix, Panique, Paradis, Phallus, Pied, Pierre, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Russie, Sagesse, Sel, Silence, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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Mercantilisme : le fruit de MES efforts
et amplification de MON ego genre :
« Tu travailleras à la sueur de ton
front » (donc de ton corps-ego).
Comme dit la City :
« Toute peine mérite salaire ».
Le fruit : Votre député, votre voyante,
votre boulanger, votre sécurité,
vos droits, votre ceci ou votre cela.

Le FRUIT = l’effet de la cause, plein
pot dans la tyrannique dualité cause-effet.

Et bien non !
Ce temps là de la thermodynamite est terminé.
La dualité commerciale vendeur-acheteur doit cesser.
Le Sale R (sale ère ou âge du Fer/Faire),
celui du « for sale » est terminé.
On ne vend plus son âme à la City
pour engrosser les malades du pour-voir.
Or, tout ce qui est pouvoir ne dure jamais,
et comme le pouvoir est une maladie mortelle
incurable, ça se termine par la mort.
 
 
FRUIT : le transhumanisme veut « améliorer » l’espèce humaine !
(Des « scientifiques » auraient créé un embryon humain moitié humain moitié poulet. Bonjour Messieurs H.G. Wells et Docteur Moreau !). Là-dedans il est uniquement question de CORPS, donc aussi de laïcité…
 
FRUIT = ÉTAPE (anciennement : Marché, lieu où les marchands apportaient et vendaient leurs marchandises. Par extension : Ville de commerce, comptoir. « Les Barbares obligèrent les Romains d'établir des étapes, et de commercer avec eux » (Montesquieu). (Réf. Dic. Le Robert). ÉTAPE-ENTRE-POT.

FRUIT (dans la dualité cause-effet) : nous éviter ce qui nous semble contraire, et inversement aller vers ce qui nous semble favorable. Ces buts sont évidemment en lien avec l’invention du sens du mot VALEUR (en premier la dualité pur-impur). En conséquence les fruits du Faire/Fer guident puissamment tout ce que nous percevons, tous ce que nous ignorons, nos sensations, nos tendances, nos pensées et actes, et donc ce que nous ingurgitons consciemment et inconsciemment. Les survivants (ceux atteint de TDI, voit plus bas) sont plus QUALITATIF que les autres dans leur QUANTITATIF, car les survivants doivent apprendre à intégrer des perceptions précises de leur situation présente avec des systèmes de Faire/Fer appropriés.

Le Sale R (sale ère ou âge du Fer/Faire), celui du « for sale » est terminé. Cette ère où les individus croient obtenir du bonheur à coups de « pouvoir d’achat » soit par contact avec quelque chose de séparé, c’est terminé. PARCE QUE C’EST FAUX. LE BONHEUR OU FÉLICITÉ EST EN VOUS (Le Royaume des Cieux est en vous). Et le bonheur que vous tirez d’autre chose fait partie du bonheur du Soi ou Centrum Centri, mais ce n’est pas le bonheur complet. Tant qu’il vous faut un objet à l’extérieur pour être heureux, l’incomplétude se fera toujours sentir, ce qui sera d’ailleurs tout bénéfice pour les vendeurs et commerçants. Seul le Soi éternellement Ici et Maintenant est la Vraie Demeure de la Félicité.

Félicité, ou Bonheur et Soi sont le même Thème, car seul le bonheur du Soi existe, comme l’Instant, le Seul Réel. Ainsi il n’est pas dans ce monde un seul objet ou fruit capable de procurer le bonheur (1). Récolter les fruits = récolter ce qui est EXTÉRIEUR, donc aussi la souffrance. Mais chaque fois que nos désirs (pensées) trouvent satisfaction, le mental retourne à sa source et vit la seule Félicité. L’activité mentale ou idéation est NOMADE, elle erre vagabonde sans repos : elle émerge du Soi et l’abandonne, puis après un temps, elle retourne au-dedans.

Les Hébreux-juifs ont inventé leur « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » : le Meilleur des mondes, c’est-à-dire - oh non non, vous pensez bien avec la City et ses banques et leur brexit qui va les renforcer - un monde où l’on obtient ce que l’on désire, mais un monde où on désire quelque chose ; principe de fabrication du désir appliqué à la lettre dans la paroisse des Talmudistes comme les frères Abraham et Simon Oppenheim qui, en 1840, déclarait ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent).

Le Royaume des Cieux est en vous (dit la Bible), ainsi : Ni Dieu ni maître, qui d’ailleurs, comme le Soi, ne sont que des mots. Cela veut  dire que PERSONNE ne peut mener l’investigation du « Qui suis-je ? » à votre place ; comme personne ne peut manger de la nourriture pour vous.
Le Maharshi : « Dans l’investigation « Qui suis-je ? », ‘je’ est l’ego. Le sens véritable de la question est : quelle est la source ou l’origine de cet ego ? Vous n’avez pas besoin d’adopter une quelconque attitude mentale. Tout ce qui est nécessaire, c’est d’abandonner entièrement l’attitude d’être le corps, de répondre à telle ou telle description, d’avoir tel ou tel nom, etc. Il n’est pas nécessaire de cultiver une attitude particulière vis-à-vis de votre nature véritable. Celle-ci existe en permanence telle quelle ; elle est réelle et ce n’est pas une attitude [d’être celle du corps] ».

Le Maharshi : « Nous n’avons pas à faire une répétition [japa] : « Qui suis-je ?, qui suis-je ? » La question une fois posée au mental, on doit se mettre en quête de la racine de ‘je’ et cesser toutes les autres pensées. Si quelqu’un s’appelle Desai, il n’a pas besoin de répéter : « Je suis Desai, je suis Desai ». De même, la répétition des phrases comme : « Je suis Brahman, je suis Brahman » n’est pas nécessaire. Au cours de toutes les pratiques, le mental doit être au calme, or dans la pratique de la répétition [japa] le mental n’est pas calme. Laissant ces pratiques de côté, celui qui observe le mental, autrement dit le témoin, doit être expérimenté comme forme de la réalité impersonnelle [Brahman], et Brahma, doit être vécu comme étant le témoin ».

Le problème du vichara [Qui suis-je ?] se retrouve d’ailleurs dans toute son actualité dans le cas du TDI (Trouble Dissociatif de l’Identité), comportant : des parties émotionnelles de la personnalité, et aussi plusieurs parties apparemment normales (PAN) ; aussi le TDI est avant tout lié ou FRUIT d’un grave traumatisme et prolongé dans l’enfance.
« Les systèmes d’action de la vie quotidienne, comme l’exploration, l’attachement, les soins à autrui, la sexualité, qui se trouvent dans une PAN unique dans les dissociations structurelles primaire et secondaire, sont divisés chez ces patients entre plusieurs PAN ». (Réf. Le soi hanté - Dissociation structurelle et traitement de la traumatisation chronique, de O. van der Hart, E.R.S. Nijenhuis et K. Steele).
Les auteurs cités expliquent que dans le TDI les patients perdent leur orientation vers « l’ici et maintenant » et se retrouvent émotionnellement et physiquement immergé dans un autre « ici et maintenant » qui est en fait un « ailleurs et auparavant ». « Ces « réactions dissociatives » ne sont pas simplement des symptômes ou des réactions conditionnées ; elles possèdent leurs propres point de vue, différents les uns des autres » (cela dans l’état de stress post-traumatique [ESPT] répertorié dans le célèbre DSM-5).

DÉSIRS ou FRUIT : production des organes des cinq sens ; sans désirs, ils n’opèrent plus (l’opinion « Je suis cela » n’existe plus).
Le Maharshi : « En quoi consiste votre Nature véritable ici-même ? Est-elle le fait d’écrire, de marcher ou d’être ? La Réalité un et immuable est Être. Vous devez poursuivre l’investigation jusqu’à ce que soit actualisé cet état d’Être pur. Une fois établi en lui, vous n’aurez plus à vous inquiéter.
Personne ne s’enquiert de connaître la source des pensées à moins que les pensées ne l’élèvent. Aussi longtemps que vous pensez « je marche », « j’écris », demandez-vous qui le fait ».

Quelle durée dure l’investigation ?
Le Maharshi : « Le « Qui suis-je ? » est requis aussi longtemps que surviennent des impressions d’objets dans le mental. Au fur et à mesure que les pensées s’élèvent, elles doivent être détruites instantanément par l’investigation à l’endroit même de leur émergence. Il suffirait d’avoir recours à la seule contemplation ininterrompue du Soi jusqu’à ce qu’Il soit gagné. Aussi longtemps qu’ils demeurent dans la forteresse, les ennemis continuent leurs assauts ; s’ils sont détruits dès qu’ils surgissent, la forteresse finit par nous revenir ».

Même si vous êtes sur le point de perdre la vie, vous devez rester constamment Cour, Maât ou vigilant et ne jamais perdre votre emprise mentale sur une seule chose : l’investigation (vichara) du Soi, seul « investissement » valable.
Ainsi, INVESTIR DANS LE TROU DU TROUVÈRE : le LAYA ou Point Focal, l’état dans lequel le mental est temporairement inexistant, comme lors d’une transe (« temps suspendu ») ou pendant le sommeil profond.
Le Maharshi : « Seule la destruction du mental constitue la vraie pratique spirituelle assidue [tapas]. C’est notre unique devoir. Une personne occupée à son propre travail ne fera pas attention à celui des autres. On ne doit jamais accorder le moindre espace pour s’écarter de la pensée du Soi. Quelle que soit la quantité de devoirs, chaque moment qui ne leur est pas consacré doit être exclusivement consacré à l’investigation du Soi. Que nous soyons debout, assis ou en train de manger, nous pouvons pratiquer [vichara] n’est-ce pas ? S’il arrive au mental d’oublier l’investigation « Qui suis-je ? » en raison des tendances innées [vasana, TDI], une fois qu’il se rappelle de l’investigation, il doit essayer de ne plus la relâcher à nouveau ».

Seule vichara supprime les désirs des nombreux plaisirs vécus à travers les sens en les révélant comme étant sans substance, sans valeur.
Le Soi est la libération de toute souffrance. C’EST LA POMME D’OR DU JARDIN DES HESPÉRIDES. IL N’EXISTE AUCUN AUTRE FRUIT AUSSI ÉLEVÉ (symbole de la lutte de l’être humain pour parvenir à la Réalisation du Soi, c’est-à-dire… DE CE QU’IL EST NATURELLEMENT DÉJÀ).
RAPPEL : le Jardin des Hespérides est gardé par un terrifiant Dragon : l’ego.
MANGER DE LA POMME D’OR DU JARDIN DES HESPÉRIDES EST LE MÉDECINE VRAIMENT UNIVERSELLE QUI CONVIENT À TOUS LES MOTS/MAUX, SURTOUT QUI EST PARFAITEMENT APPROPRIÉE POUR LA MALADIE ORIGINELLE ET TERRIENNE : L’EGO.
D’ailleurs Ramana Maharshi a fréquemment souligné que, contrairement aux déclarations des pratiquants du hatha yoha qui prônent le yoga comme moyen de parer aux maladies du corps physique de le purifier et de le conserver en bonne santé pour facilité la concentration, la méthode de l’investigation suivie strictement selon les instructions et avec un mental qui ne dévie jamais est capable de dévorer tous les germes des maladies à l’endroit et au moment même où elles se présentent.
« Toutes les maladies peuvent être annihilées efficacement par une investigation continue du Soi », dit le Maharshi ; donc les Pommes d’Or sont bien l’équivalent du Soi…

Ne pas récolter les fruits de l’action = ABANDON, AMOUR OU GRATUITÉ.
 « Offrez-vous vous-même dans conditions au pouvoir qui est votre propre source ».
Le Maharshi : « Il suffit de s’abandonner soi-même. Ce lâcher prise [Wou-wei ou Wuwéi : le "non-agir", ou plus vulgairement : le "lâcher-prise”], c’est s’en remettre à la cause originelle de notre Être. Ne vous faites pas d’illusions en imaginant que cette source est un Dieu situé en dehors de vous. Votre source est en vous. Abandonnez-vous à elle. Cela signifie que vous devez rechercher la source et vous immerger en elle ».
Citation fondamentale concernant l’abandon ou Gratuité.
Il dit aussi : « L’abandon ne devient effectif que s’il se fait en toute connaissance de la véritable signification du lâcher prise. Cette connaissance fait suite à l’investigation et à la réflexion et elle prend fin inexorablement avec l’abandon AU Soi. Il n’y a pas de différence entre la Connaissance [jnana] et l’abandon sans condition au Seigneur, c’est-à-dire à la fois en pensée, en parole et en acte ».
Aussi, pour atteindre la vie immortelle florissante ou énergie libre dans laquelle la mort n’a jamais existé, il n’est pas de moyen autre que l’abandon ou GRATUITÉ.

Ulladu Narpadu, de Ramana Maharshi, deuxième strophe de bénédiction : « Les âmes mures qui ont intensément peur de la mort au-dedans atteignent les pieds du Seigneur sans naissance ni mort en tant que refuge. C’est par cet abandon qu’ils meurent. Étant ainsi immortels, étant l’éternel, peuvent-ils jamais nourrir à nouveau la pensée de la mort ?
Donc, chasser l’ego en s’offrant soi-même dans l’abandon, chasser l’ego-mental de toutes les corruptions qui se proclame être ‘Je’ (faux Soi ou corps).
Mais PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI : le ‘je’ ego rejette l’illusion du ‘je’ tout en demeurant ‘Je’ ou Soi. Mais les Réalisés vivants n’y voient aucun paradoxe.
« Prenez la bhakti [dévotion] : je m’approche d’Ishvara et je prie afin d’être absorbé en Lui. Je m’abandonne dans la foi et le recueillement. Que reste-t-il après ? À la place du ‘je’ initial, ce qui subsiste après l’abandon total de soi-même est Dieu, dans lequel le ‘je’ s’est dissous. […] Vous renoncez à telle ou telle chose qui font partie de « vos » possessions. Si au lieu de cela, vous renoncez au ‘je’ et au « mien », tout est abandonné d’un seul coup. Le germe de la possessivité a disparu. Le mal est alors écrasé avant même d’avoir pu éclore. Pour parvenir à ce résultat, le non-attachement (vairâgya) doit être très fort. La volonté de parvenir doit être comparable à celle d’un homme que l’on maintient sous l’eau et qui s’efforce de revenir à la surface pour survivre ». (Entretien 28).

Oh mais, ne vous avisez jamais de vous trouver chez des policiers avec une absence de fruit, de pot de vin, ou de cause, surtout dans des pays socialistes ! Car ils peuvent vous faire jeter en prison, et vous y laisser moisir le plus longtemps possible pour crime d’Hérésie suprême : ABSENCE DE CAUSE, VOUS ÊTES COUPABLE DE RIEN DU TOUT. Ainsi, la pure absence de cause se révèle, à l’usage des ignorants comme les policiers ou les juges, comme plus sacrilège encore que toute espèce de cause existante ! Aux yeux des policiers, juges et État, votre crime est de ne point en avoir commis ! Et pour vous ce sera la peine capitale(iste) : histoire de vous apprendre que le non-être ne laisse pas d’exister sous quelque rapport et en quelque façon… Ce qui revient à dire que la trinité juge-policier-État décide pour vous de la cause, et donc la fabrique… ILS DÉCIDENT EN PREMIER À VOTRE PLACE QUE VOUS ÊTES BIEN NÉ… Pour faire plaisir à cette trinité, VOUS DEVEZ ARRANGER LA RÉALITÉ, AFIN DE PERMETTRE AUX POLICIERS DE FAIRE DU CHIFFRE ! car il est bien connu que l’ego de l’humain résiste à tout ce qui ne correspond pas à la nourriture de son ego ; alors il s’opposera, si la Réalité s’entête, par un refus de perception qui coupera net la tyrannique opinion et clôturera les débats… aux dépens naturellement du seul réel. C’est la faculté de l’ego à résister à l’information : l’œil et l’oreille refusent de voir et d’entendre.
Ce sont les cancéreux du pouvoir qui fabriquent le monde comme ça les arrange, et comme ça arrange leur porte-monnaie.

[En référence à : Padamalai, enseignements de Ramana Maharshi recueillis par Muruganar (1890-1973)]
[En haut de page : aquarelle de M. Roudakoff]


Note.
1. Sauf dans le cas étonnant des Pommes du Jardin des Hespérides. La Pomme ou Centrum Centri. Dans les traditions celtiques la Pomme est le fruit de Science et de révélation ; elle est aussi nourriture merveilleuse. Pomme, fruit de la jeunesse et de la fraîcheur perpétuelle : les Dieux mangent des Pommes et restent jeunes. La Pomme par sa forme sphérique et ses renfoncements au sommet et à la base dessine LE TORE.
Mais dans le sens négatif de la Pomme, elle exprime les désirs, donc les fruits et se vautrer dans la complaisance en ces fruits. L’interdit prononcé par un Yahvé à personnalité lucide à ce moment mettait en garde l’humain contre la prédominance de ses désirs, qui l’entraînent vers une vie uniquement matérialiste, laïque, par une régression ou une CROISSANCE À L’ENVERS, comme maintenant.
Le Yahvé lucide met donc en garde l’humain de choisir entre le voie spirituelle et la voie matérialiste actuelle : l’ignorance du Soi.
 
 

Dernière mise à jour : 15-09-2018 00:04

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