Accueil arrow Yôkai arrow Élémentals, Divinités, Yôkai arrow Le FLÉAU ou TERRORISTE
Le FLÉAU ou TERRORISTE Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 14-11-2018 23:49

Pages vues : 4801    

Favoris : 119

Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Artifice, Babel, Banques, Christ, Clairière, Conte, Diable, Dictature, Dieu, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Fléau, Forêt, Fractale, Gratuit, Guerre, Idiodynamique, Information, Instant, Israël, Jardin, Labyrinthe, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Messie, Mondialisme, Nirvana, Ouvrier, Païen, Pays, Paysan, Ptah, Raison, Rien, Religions, République, Révolution, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Self, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Tapis, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Thermodynamique, Univers, Vase, Vide, Volonté, washingtonisme, Xatemme, Yokaï

 
 
 
Le FLÉAU ou TERRORISTE
La Voie du Milieu ou Fléau porte bien son Nom !
PANique est son autre Nom : PAN le Tout ou Seul
Réel. PAN est sans temps : aucun moyen de calcul
ou d’aviser, il manque la société-spectacle
ou DÉCALAGE (par rapport au Fléau) qui permet
robotiquement de retrouver le « réel » (l’illusion)
par l’artifice du spectre spectacle.
Avec PAN FLÉAU le temps vient à manquer et
c’est la PANique devant le Ici et Maintenant.


LE FLÉAU = L’ÉVEILLÉ ou BIENHEUREUX.
 
 
Cette page est probablement la plus apaisante des plus de 3000 pages du site à ce jour de novembre de l’arbitraire égrégore 2018. Le Rien et le Tout est un merveilleux oreiller.
 
Le Fléau ou Auto-Éveil du Qui suis-je ? :
Sutra du Cœur : « La forme est la Vacuité, la Vacuité est la forme. La forme n’est pas différente de la Vacuité, ni la Vacuité de la forme ». Bref, lorsque l’on sait que la forme est vide, toute production devient non-production ! « Ayant compris le sens de cela, vous pouvez agir selon les circonstances, vous vêtir, vous nourrir, entretenir longuement l’embryon saint [enfançon (1)] et vivre en accord avec le spontané [avec l’Instant ou Ici et Maintenant]. Écoutez ma stance :
La terre du Cœur s’exprime selon les circonstances,
L’Éveil n’est qu’apaisement.
Les phénomènes et l’Absolu sont sans obstruction,
Il y a simultanément production et non-production.

(Mazu Daoyi, 709-788, un des plus grands maîtres chan/zen de la dynastie des Tang (618-907).
 
Le dictionnaire Le Robert dit du FLÉAU qu’il vient du latin flagellum, le fouet, comparable à l’ÉCLAIR de Zeus et Cie, le feu de vie ou le « sperme de Dieu ». La mythologie des aborigènes australiens est encore plus explicite en affirmant que l’Éclair est un PÉNIS GRANDISSANT. Sur le plan spirituel l’Éclair produit la Lumière de l’Essence dans la lumière de la conscience (le mental calculateur et conceptualisant).
Dans la tradition védique l’Éclair est associé à l’EAU : la Vérité ne va pas sans la pureté ou TRANSPARENCE. Bref, l’Éclair ne peut qu’être un des synonymes de l’INSTANT, du FLÉAU, du CŒUR, du CENTRUM CENTRI, de DIEU, du POINT FOCAL ou STARGATE, etc., et évidemment le Soi.
Le Soi est bien le Fléau, le TERRORISTE de ce monde des apparences et du capitalisme !

Le Fléau c’est RIEN DANS LE TOUT ET TOUT DANS LE RIEN : « L’éclat d’une pierre précieuse n’est pas sa création et n’est pas non plus dissocié de la pierre ; semblablement, l’apparence du monde ne diffère en rien du Soi qui est pure Conscience. Le soleil brille dans ce suprême état de Conscience ; le soleil ne diffère en rien de ce Soi. Toutefois, ni le soleil ni la lune ne peuvent illuminer ou révéler le Soi. C’est à cause du pouvoir [vibration] inhérent à cette Conscience que le soleil et la lune brillent eux-mêmes et éclairent et révèlent ainsi les objets de perception. Cette Conscience est avec forme et elle est sans forme - toutes ces affirmations ne sont que des mots et de vains concepts. Des particules de lumière qui constituent les rayons du soleil sont les rayons du soleil, et n’en différent en rien. Il est donc exacte d’affirmer qu’ils brillent et également ne brillent pas ; de même, il est juste de dire que le soleil et la lune brillent et aussi ne brillent pas. Puisque le soleil et tous les autres corps lumineux brillent grâce à l’infinie Conscience, comment peut-on dire qu’ils ne brillent pas ou qu’il n’est pas brillant ?
Cet état suprême est au-delà de tous les concepts, même ceux de « masse de conscience » et de « vide » ; il est exempt de tout, mais est plein de tout [le « Rien dans le Tout et tout dans le Rien »]. Il en découle que la terre, etc., existe bel et bien ; par contre rien n’existe en lui. Bien qu’il y ait un nombre infini de jivas [âmes individuelles] en son sein, ils n’existent pourtant pas en tant que jivas indépendants de la Conscience [pas de laïcité à la judéo-maçon républicaine]. « Quelque chose », « rien », etc., [de même que la laïcité] sont des concepts éloignés de la Réalité ou infinie Conscience.
La pure Conscience, qui est non duelle, éternelle, et imprègne tout, existe et est connue en tant que « monde ». Quand on retire simplement la qualité « d’objets » de tout cela, ce qui demeure du monde de la diversité est la Vérité. […] Le sage illuminé vit dans un état de Réalisation de la Réalité même lorsqu’il s’occupe de diverses activités. […] De même que la glace est toujours froide, le sage mène une vie naturelle en faisant ce qui est naturel sans aspirer ni renoncer à quoi que ce soit. Ce qui caractérise l’ignorant, c’est qu’il s’efforce d’être différent de ce qu’il est », dit Vasistha en parlant de l’éveil, dans L’histoire du chasseur et du sage.


Mémoire = Royaume de Dieu des circoncis au huitième jour de leur naissance, donc de ceux qui sont dans l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule).

« Le Créateur est seulement le mental, dénué de toute trace de matérialité. D’où il n’a ni corps, ni sens, ni vasana [tendances] ou conditionnement mental. Puisqu’il est parvenu à la Libération à la fin du cycle du monde précédent, chez lui il n’y a pas de souvenirs [en effet, iceux sont dépendant du temps]. QUAND IL N’Y A PAS LE MOINDRE SOUVENIR, IL N’Y A PAS DE RAISON DE S’INCARNER. Même si pareils souvenirs seraient possibles chez le Créateur, même iceux seraient immatériels, comme une ville de rêve. Toutefois ceci est dit à titre d’exemple : LE SOUVENIR EST IMPOSSIBLE CHEZ LES ÊTRES LIBÉRÉS [ils sont atemporels] ».

Le Prince Rama demande alors à Vasistha comment les Libérés voient les composants de la création en l’absence de souvenirs.
« Le souvenir n’apparaît qu’en rapport à l’univers objectif [le Royaume de Dieu (juif) sur Terre], fournissant ainsi la séquence [y compris en actuelle informatique] des causes-effets sans fin. Quand un tel objet de perception lui-même est inexistant, comment et où le souvenir apparaît-il ou existe-t-il ? Quand, au vrai, tout cela est en fait l’infinie Conscience, IL N’Y A PAS DE PLACE POUR LE SOUVENIR [et donc aussi pour la diversité de l’actuelle politique du capitalisme européen] ».


L’anti-Soi ou scolaire « devoir de mémoire » (smriti : mémoire).


Les smriti étant « mémoire » ou HOTC, ils ne peuvent que servirent à PROGRAMMER LES MASSES et leur ÉGRÉGORE ; le professeur Robert Faurisson en savait quelque chose, lui qui toute sa vie lutta contre cette programmation mémorielle nécessairement FAUSSE car OPINION, comme l’énonce Ramana Maharshi à l’entretien 161 :
« Les gens disent : les smriti déclarent telle ou telle chose, mais maintenant ce n’est plus approprié. Je vais donc réformer le monde et récrire les smriti. C’est avec ces propos [ces opinions] que les hommes, depuis des temps immémoriaux [surtout les vainqueurs ou cancéreux du pouvoir], défont et refont le monde. De tels réformateurs sont apparu et ont disparu ; mais les anciennes smriti sont toujours là. Pourquoi perdre son temps avec de telles questions ? Que chacun s’occupe de ce qui le concerne. Et tout ira bien ».

« La contemplation des objets qui voit le jour chez les êtres vivants est considérée comme smriti. Bien-sûr, de tels objet sont inexistants. Dans ce cas, comment smriti peut-elle exister ? Cependant, puisque l’infinie Conscience est la Réalité chez tous les êtres, pareille contemplation des objets est, en quelque sorte, inhérente à la Conscience - voilà pourquoi j’ai parlé de smriti. Toutefois ce n’est que du point de vue des hommes ordinaires ignorants ».

Ce que la conscience connaît par se propre nature, on dit qu’il s’agit de smriti. ”Toutes ces expériences voient le jour d’elles-mêmes au sein de l’infinie Conscience, comme les propres membres de la conscience, sans aucun rapport de causalité (tout comme la noix de coco mûre tombe par coïncidence quand il se trouve qu’un corbeau se pose dessus)” (VI, 2, 172). Elles sont appelées souvenirs. Cela est vrai de tous les événements [les HOTC], même quand iceux semblent le fruit d’une coïncidence. Pourquoi donc vouloir approfondir le souvenir, qui est ainsi fortuit [hasard, imprévu, inopiné], quand nous nous rendons compte que les objets de perception auxquels il est lui-même relié sont inexistants ? Ils n’existent qu’aux yeux des ignorants. […] Quand la conscience fait l’expérience d’une chose, ne serait-ce qu’un peu, et quand cette expérience est répétés [surtout scolairement, ou par la circoncision], il se crée une impression mentale. Ainsi est créée l’apparence du monde ».

L’infinie Conscience s’identifie avec le corps : ”De la même façon que le corps s’identifie avec les ongles et les cheveux, le Soi omniprésent s’identifie avec les pierres, le bois, etc.” (VI, 2, 173).
De même qu'en rêve c’est seulement la pure Conscience qui se fait pierres, ces opinions ont vu le jour au sein de l’infinie Conscience au commencement de la Création [ici il semble y avoir une contradiction envers la cause-non-cause…]. De même que dans le corps d’un individu existent des parties conscientes et non conscientes, semblablement dans le corps cosmique de l’infinie Conscience se trouvent apparemment des objets doués de conscience, ou qui en sont dépourvus, alors qu’en vérité il n’y a pas de telles formes. […] Il se peut que naissent et cessent des milliers de cycles du monde au sein de l’infinie Conscience, ils ne différent pourtant en rien d’icelle, tout comme les vagues ne sont pas différentes de l’océan. « Je ne suis pas une vague, je suis l’océan » - quand ainsi la vérité est réalisée, l’état de vague cesse ».

Brahman = Océan, l’apparence du monde est pareille à la vague. « L’existence et l’inexistence de cette apparence du monde sont les deux façons dont se manifeste l’énergie inhérente à Brahman ou Soi, l’Absolu ».

« La création est un rêve, l’état de veille est un rêve. Bien que nous semblions voir et connaître cette création ou apparence du monde, elle est en réalité la réalisation des opinions ou concepts qui voient le jour en nous et qui n’existent qu’en tant que personnalité cosmique. C’est cette personne cosmique, saturé de conscience, qui apparaît sous l’aspect de tous les objets de rêve. Tout comme un acteur qui rêve qu’il joue la comédie se voit jouer sur une scène et divertir le public, cette conscience devient consciente de sa propre expérience de cette apparence du monde ».

”Brahman est semblable à l’océan ; en Lui les créations sont pareilles aux vagues et l’appréhension des choses, l’expérience, est l’eau. Même après (cette création) règne la pure Félicité inconditionnée. Où sont dualité, non-dualité, ou toute autre chose ?” (VI, 2, 174). Le sommeil profond et le rêve sont des états qui se succèdent pendant le sommeil ; semblablement, l’apparition et la disparition de cette création sont des états qui se succèdent au sein de l’infinie Conscience.
Quand l’homme sage prend conscience que ce monde ressemble à une ville aperçue en rêve, il n’y concentre plus ses espoirs. L’homme sujet aux rêveries [l’humain de l’après 1789 et sa « liberté d’expression » laïciste et idem « libre échange » mercantile] rêve à une grande diversité de visions et d’espoirs [c’est l’évolutionnisme à la juivo-capitalisme-citoyenisme]. Bien que pareilles rêveries semblent contenir quelque réalité, elles sont en fait inexistantes. Si toutefois tu cherches une autre explication à cette apparence du monde, pourquoi n’acceptes-tu pas la possibilité d’une illusion, ou d’opinions délirantes et d’une hallucination ? », dit Vasistha à Rama.

« C’est donc quand on prend conscience qu’aucune création n’a lieu qu’advient la Véritable Connaissance de soi, qui mène à la Libération. Cette Libération ne connaît pas de fin, elle est infinie et inconditionnée [la « fin des temps » est inexistante mais seulement une carotte pour faire avancer les masses]. En Elle on demeure ancré dans la connaissance de soi, sans la moindre agitation ».
« Dhyana, la contemplation ou méditation, est parfait éveil ou illumination. La réalisation de l’inexistence du monde objectif est parfait Éveil. Elle ne ressemble pas plus à un état d’inertie, de sommeil profond, de nirvikalpa ou de savikalpa samadhi [tous des états de contemplation concentration], qu’elle est une état imaginaire irréel. Dans le parfait Éveil, l’univers existe tel quel, tout en étant dissous en même temps. En lui ne se trouvent pas de concepts d’unité, de diversité, de mélange des deux et de leur inexistence. EN LUI RÈGNE LA PAIX SUPRÊME [LE FLÉAU] ».

« Au commencement, ni ce monde ni l’autre monde [le précédent] n’apparurent au sein de l’infinie Conscience. Une expérience irréelle, imaginaire, vit le jour dans la Conscience, exactement comme lorsqu’on étreint une femme en rêve [ou un homme]. Seul le rêveur existe dans le rêve ; seule l’infinie Conscience existe dans l’expérience irréelle. […] Elle [l’expérience] est elle-même la ville de rêve ou la création de rêve. Elle est le monde, car au tout début de la création, il n’y avait pas de terre, etc. C’est le mouvement de l’énergie dans l’infinie Conscience qui par la suite créa la terre et les éléments physiques, le mental et les autres catégories psychologiques qui n’étaient rien que des opinions ou notions au sein de la conscience. Ce mouvement de l’énergie [en faite l’ingénierie vibratoire] est comme le mouvement inhérent à l’air qui se produit sans activité mentale ni intention [dernier point fondamental et définition EN RAPPORT AU mot « pouvoir », soit ce qu’il faut faire pour ne pas être contaminé par ce véritable cancer…].
La Conscience [ici la Lumière de l’Essence] apparaît dans la conscience [ici la lumière de la conscience, celle qui calcul] en tant que son propre corps ou matérialisation. Le mental lui-même semble être les objets de perception, exactement comme en rêve. Il n’y a pas d’autre cause possible. Il n’existe donc ni dualité ni division au sein de la Conscience. Le suprême Brahman est libre de toutes les formes ; quand il apparaît une forme, il est lui-même cette apparition, cette apparence du monde. Cela existe éternellement. Tout comme la diversité apparaît dans l’unique au cours d’un rêve, cette apparence-monde de diversité semble voir le jour au sein de l’unique Brahman infini.
Le mental lui-même est Brahma le Créateur. Il est au cœur même de cette création et lui seul fait tout et détruit tout [Involution-Évolution]. Quand on étudie tout cela en profondeur, on voit clairement que seule existe la pure Conscience et rien d’autre. ”C’est indescriptible. Au terme de l’investigation, seul demeure le Silence absolu. Bien qu’occupé à toutes sortes d'activités, il demeure inaffecté tel l’espace, comme s’il était stupide [parfaite définition que le Vrai Taoïste renvoie à l’ignorant]” (VI, 2, 175). En conséquence, l’Éveillé parvient à une connaissance de l’infini et demeure absolument silencieux. IL EST LA FINE FLEUR DES HOMMES », dit Vasistha.

« Brahma le Créateur engendre cette apparence du monde sans en avoir l’intention [« sans en avoir l’intention », même point fondamental qu’évoqué plus haut, sinon ce serait un vulgaire démiurge ou vulgaire architecte de l'univers… et il serait atteint du pouvoir]. L’infinie Conscience aux « yeux clos », c’est Lui-même ; et avec les « yeux ouverts », c’est le monde [celui du spectacle, celui du Royaume du Dieu des Juifs sur Terre]. Mais l’infinie Conscience demeure Elle-même dans ces deux états. En conséquence, elle « Est » et en même temps « n’Est pas » [rejoins l’entretien 264 de R. Maharshi], à la fois réelle et irréelle. Ces deux états alternent constamment ; un ne va pas sans l’autre [rejoint la Taoïcité et plus récent, rejoint la mode du quantisme et de ses probabilités]. Par conséquence, connais la Vérité telle qu’elle est, en tant que Paix suprême, et sache qu’elle est l’espace qui ne naît ni ne meurt. L’univers objectivé n’a jamais vu le jour, et il ne cesse pas non plus, bien qu’apparemment on en fasse l’expérience maintenant. Il est un mystérieux produit de l’énergie ou de la puissance de l’infinie Conscience », dit Vasistha au Prince Rama.

À suivre…


[Voyage en cette dimension en compagnie de Vasistha (ou Vasishtha), un des grands Sages de l’ère du manvantara. Énorme merci à son traducteur le Swami Venkatesananda (1921-1982)]


Note.
1. Enfançon (embryon d’immortalité) : en rapport avec l’Alchimie à la fois opérative et spirituelle ou intérieure, aussi relié aux techniques psychophysiologiques taoïstes et désigne l’embryon de Lumière de l’Essence formé à l’intérieur du corps (mental) de l’Adepte et capable de s’extérioriser en sortant par la fontanelle.
 
 

Dernière mise à jour : 22-08-2019 20:47

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >