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Profit = Faire/Fer Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 16-05-2019 20:40

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gnostiques, Gratuit, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Tore, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
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Profit = Faire/Fer
- Avant les 10.000 ans on produisait pour vivre.
- Depuis les 10.000 ans on produit pour le PROFIT.
PROFIT = WINNERISME AMPLIFICATION DE L’EGO.

PROFIT = LE PÉCHÉ DU « PREMIER HOMME » QUI
CONSISTA À SINGER DIEU (la non-Réalisation du Soi),
CE FUT LE PREMIER COURT-CIRCUIT.
Seul l’OUVRIER connaît son Œuvre parce qu’il
con-naît, naître avec, sa Vraie Nature.

Dès qu’il y a invention d’un contrat
il y a dualité sujet-objet.

PROFIT = CONTRAT DE CONFIANCE ET BANQUES.
PROFIT = DIVISION (on peut diviser sans fin
une chose indifférenciée, comme de
nos jours le salarié, l’être humain.

PROFIT = TOMBER DANS LE MONDE DE LA MATIÈRE.
PROFIT = VÔTRE CECI, VÔTRE CELA : AMPLIFIER L’EGO.
PROFIT = LA MODE DU SOCIAL (réseaux, tout connecté).
PROFIT = LAÏCITÉ (crédit-crédo-croyance).
PROFIT = INTERDICTION DE VOIR DIEU EN SE VOYANT
(interdiction du « Je suis ce JE SUIS »,
on court uniquement vers l’extérieur,
la carotte, le profit, la fin des temps.

ÉVOLUTIONNISME JUIF = SERVICE AUX AUTRES PAYANT.
Le messianisme, la « fin des temps », la CAROTTE,
c’est payant. Ce « payant » les Juifs vont
l’appeler « bonheur »,
« l’autre face de Dieu » (dixit J. Attali).
Ainsi le « bonheur » devient le profit :
« S’en fourrer jusque-là » (comme dans la chanson,
et l’auteur remettra ça dans « La vie parisienne »,
toutes illustrations du profit dans la montée en
puissance d’une palanquée de banques… juives).

L’Empire du Profit : l’USionistan, l’American way of life
 
 
PROFIT : Faire/Fer, AMPLIFICATION DE L’EGO OU DE CE QUE L’ON POSSÈDE, CE QUI A PRIS SA VITESSE DE CROISIÈRE TOUT AU LONG DU 18È SIÈCLE ET APRÈS 1789.
Tout le monde « tire son épingle du jeu » (se coupe de sa Vraie Nature), tout le monde exploite tout le monde ; l’idée de « chance » s’installe même dans l’impôt déguisé dans les jeux de loterie grâce à ceux qui payent en espérant en retour, PROFITER : gagner des millions pour « profiter » DE FAÇON SANGIUINAIRE. C’est ça la civilisation de la démocratie : chacun pour soi et plein les poches et après moi le déluge (6000 générations sont nécessaire pour pouvoir vivre sans risque de contamination par certains déchets nucléaires mortels nécessaire pour produire ce profit industriel).

PROFIT = TUER LA PLANÈTE. Donc tant qu’il y aura profit ce n’est pas la peine de parler du climat et de la destruction de la planète. Tant qu’il y aura profit, salariat et capitalisme sur cette planète, les humains et leur planète sont condamnés.

Système politique des Incas, pur système socialiste ou communiste (communautaire) : un gouvernement patriarcal, donc dans le style Petit-Père-des-Peuples, MAIS SANS ARGENT.
Le peuple était vu comme un DON, et non comme un droit. Le peuple renonçait à tout droit personnel, la nation, l’État était soumis à l’Inca. « Sous ce régime extraordinaire, un peuple raffiné à beaucoup d’égards, chez qui l’industrie et l’agriculture avaient fait, comme on l’a vu, de grands progrès, ne connaissaient pas la monnaie. Il n’avait rien qui méritât le nom de propriété. Il ne pouvait exercer aucun métier, se livrer à aucun travail, à aucun amusement, autres que ceux que la loi avait spécialement réglés. Les Péruviens ne pouvaient changer de résidence ou d’habits qu’avec la permission du gouvernement. Ils ne jouissaient pas même de liberté qui appartient aux plus misérables dans les autres pays, celle de choisir leurs femmes. L’esprit impératif du despotisme ne leur permettait pas d’être heureux ou malheureux, autrement qu’il n’était réglé par la loi. Le pouvoir d’agir librement - droit inestimable et inné de tout être humain - était annulé au Pérou.
Le mécanisme étonnant du gouvernement péruvien pouvait résulter uniquement du concours de l’autorité morale et de la puissance positive dans la personne du chef de l’État, porté à un degré sans exemple dans l’histoire de l’homme. Cependant une forte preuve de sa conduite généralement sage et modérée, c’est qu’il ait pu si heureusement fonctionner, et durer si longtemps contrairement aux goûts, aux préjugés et aux principes de notre nature », écrit William H. Prescott dans : Aztèques et Incas - Grandeur et décadence de deux empires fabuleux.

« Le gouvernement du Pérou était un despotisme, d’un caractère doux, mais absolu et non tempéré dans sa forme. Le souverain était placé à une hauteur infinie au-dessus de ses sujets. Le plus fier seigneur, malgré l’identité d’origine, ne pouvait paraître en sa présence que les pieds nus et les épaules chargées d’un léger fardeau en signe d’hommage. Comme représentant du Soleil, il était à la tête du sacerdoce et présidait aux solennités religieuses les plus importantes. Il levait des armées, et d’ordinaire les commandait en personne. Il établissait les taxes, faisait les lois, et en confiait l’exécution à des juges de son choix, qu’il révoquait à son gré. Il était la source commune d’où émanaient les dignités, le pouvoir, les traitements. En un mot, selon l’expression bien connue d’un despote européen, il était lui-même l’État », écrit Prescott au chapitre : La conquête du Pérou.

Prescott ajoute, que le gouvernement est fait pour l’homme, tandis qu’au Pérou, l’homme ne semblait fait que pour le gouvernement [COMME AUJOURD’HUI OÙ LE FRANÇAIS, OU L’AMÉRICAIN, OU D’UNE AUTRE NATION EST FAIT POUR L’ÉTAT OU NOUVEL ORDRE MONDIAL ET LA CITY DE LONDRES]. Prescott ajoute cette remarque fondamentale : « Le Nouveau Monde est le théâtre sur lequel ces deux systèmes politiques, de nature si opposée, ont été mis en pratique. L’empire des Incas a passé et n’a pas laissé de traces. L’autre grande expérience dure encore [la notre], expérience qui doit résoudre le problème si longtemps discuté dans l’Ancien Monde de l’aptitude de l’homme à se gouverner lui-même. Malheur à l’humanité, si elle doit échouer ». Parce que l’être humain naturellement n’a pas le besoin d’un État, donc d’un gouvernement.
Merci beaucoup Monsieur William H. Prescott.

Il était naturel que les Zapatistes du Chiapas soient issu des zones des Incas et Aztèques, mais ils sont encore dépendant du capitalisme mondialisé de par la technologie inhérente à ce capitalisme et à son SPEED PARTICULIER (le Tout tout de suite à cause de l'ego et des sens) et son monde des BOURSES À CALCULS RABBINIQUES….


COMBATTRE L’ÉTAT PAR LA MÉTHODE DESPOTIQUE ET TOTALITAIRE DES AZTÈQUES ET DES INCAS.

En effet, comme l’exprime si bien le Sutra du Diamant, si le gouvernement du Pérou était d’un despotisme total, en fait il ne l’était pas. Absurde ?! Pas tant que ça si on ne tombe pas dans la dualité guerrière actuelle winner-loser, et la mode du social à l’Occidental, soit L’INDIVIDUALISME CRASSE.

Le winnerisme et son perpétuel sur-investissement à être quelque chose d’exceptionnel, d’unique, et sa tendance au libéralisme que procure le capitalisme, c’est ENTRER DANS LE COURANT (la norme édictée par ce capitalisme et son libéralisme). Le Sutra du Diamant dit : « Ô Bienheureux, si celui qui est entré dans le courant pense avoir atteint le fruit dans le courant, il ne fait qu’adhérer à la croyance au moi, à l’être animé, à la vie, à l’individu ».

Alors je pose la question : Chez les Incas, qui était l’« individu » : l’Empereur (le winner) ? ou le peuple (le loser) ? En fait, QUI EST LE « MOI » ? Car l’Empereur est terriblement « fixé ». Paradoxalement les Incas étaient dans un système politique outrancièrement anarchiste-communiste : pas d’État tout en étant État par son seul représentant : l’Inca, et le peuple à la fois libre et non-libre (libéré de l’actuelle économie marchande).
Car en fait il n’y a personne de réel, surtout pas cet Empereur, cet Unique, ce UN-Dieu. Car « ”Celui qui ne revient qu’une fois”, n’est alors qu’une désignation, un nom-la-forme, une Création. Si au contraire, celui qui ne revient qu’une fois pensait avoir atteint le fruit de l’unique retour, cela trahirait une croyance au moi, à l’être animé, à la vie, à l’individu, pour faire référence au Sutra du Diamant.

De même que le Libéré de son vivant a-t-il atteint la condition de libération ? (L’Empereur Incas est-il un Libéré vivant par rapport à son peuple ?)
« Non Bienheureux, car il n’y a personne de réel qui puisse mériter cette qualification que désigne le mot ”arhat” [Libéré]. Si au contraire, Bienheureux, celui qui est un arhat venait à penser qu’il a atteint la condition d’arhat, cela laisserait entendre qu’il croit au moi, à l’être animé, à la vie, à l’individu ».

Donc combattre l’État passe par l’HOMÉOPATHIE : « Action du même sur le même, permettant l’existence purifiée par l’existence, la construction mentale ne peut être détruite que par une anti-construction ». « Par l’attraction, le monde est enchaîné ; par l’attraction même [ici en référence au despotisme de l’Incas], il est libéré [le peuple] », dit un texte tantrique.
L’existence est le remède homéopathique (1) comme moyen de libération ou guérison. Or le capitalisme n’est nullement un moyen de guérison !!! CAR LES ÊTRES HUMAINS SONT ATTACHÉS PAR LES LIENS DE L’EXISTENCE ET DÉTACHÉS PAR LA CONNAISSANCE DE CES LIENS. « Ô SAGE, TU DOIS CONTEMPLER L’EXISTENCE EN CONNAISSANT SA NON-EXISTENCE ».

L’Être symbolique se dissout dans l’Être de connaissance (jnana), et ce dernier dans l’Être de recueillement parfait lorsque le yogin ou adepte s’absorbe dans la Claire Lumière [Lumière de l’Essence : ”Lumière de la Chambre Vide“ dans la Taoïcité]. Une Lumière dépouillée de tout nom-la-forme, qui n’est ni duelle ni non duelle, apaisée et pure comme la Vacuité. LUMIÈRE DE L’ESSENCE QUI A TOUJOURS ÉTÉ ET SERA TOUJOURS LÀ. L’ACCOMPLISSEMENT EST TOUJOURS ICI ET MAINTENANT : être absorbé de manière permanente au moyen de la Réalisation ou Yoga dénué d’absorption.

PROFIT = DÉSIR (à cause des cinq sens), avec l’opinion de « Je suis ceci » ou « Je suis cela ». Quand les organes des sens tous mus par la raison et le Faire/Fer ont disparus, le désir n’enchaîne plus, il ni a plus ni connaissance ni absence de connaissance, il s’ensuit l’harmonie merveilleuse de la Félicité. Le désir est illustré par l’exemple abondamment cité des frères frères Abraham et Simon Oppenheim qui déclaraient ceci en 1840 : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali : Les juifs, le monde et l’argent).
SANS DÉSIR, LES OPPENHEIM NE FONT PLUS DES AFFAIRES, ILS MEURENT EN PERDANT LEUR CAROTTE !

PROFIT = EGO : dans l’état où l’ego n’a pas encore été inventé, quand vient s’installer l’ignorance, alors l’ego va être inventé et par son autonomie il va s’inventer du POUVOIR : il va tenter de se faire passer pour le Soi, en affirmant : « Je fais ceci », « J’ai fais cela », etc., il se prend pour l'auteur.
L’ignorant en plongeant au-dedans de lui-même en s’interrogeant quant à sa Vraie Nature, quand le mental atteint le Centrum Centri et que celui qui porte le nom-la-forme de ‘je’ baisse la tête de honte, le ‘Je’ ou Soi apparaît dans l’Instant en tant que ‘Je’-‘je’, pour faire référence à la strophe 30 d’Ulladu Narpadu de Ramana Maharshi. L’ego ne doit pas tomber dans l’amplification, dans le profit ; il doit rester absolument humble afin d’être soumis au Soi, comme un pot englouti au fond de l’océan : un pot couché au fond de l’océan ne possède plus aucune fonction, aucun profit ; il ne peut plus servir à contenir, à distribuer ou à diviser l’eau ou autre liquide. Pareillement, une fois submergé dans le Soi, le mental ne peut plus fonctionner autrement qu’en tant que Soi, sa seule Réalité est l’Instant : Il est CELA, IL EST.




Note.
1. L’HOMÉOPATHIE contraire d’Allopathie.
A - Les corps n’ont pas d’action s’ils ne sont pas contraires (Fluide Électricité). Un corps qui provoque chez l’homme sain une maladie semblable à celle qui est à combattre chez l’homme malsain. Soigner le mal par le mal.
Exemple : une plante dans laquelle vit un ver qui a fait son nid en enroulant une feuille autour de son corps : IL TIRE PROFIT, IL PARASITE. Les feuilles de la plante sont ternes et percées de petits trous, visiblement la plante est fatiguée/travaillée. En débarrassant la plante du ver et en coupant toutes ses feuilles malades on pourrait craindre le pire. Et bien non, elle renaît et explose toute sa beauté ; si le ver n’avait pas été là, aurait-elle été aussi belle ?! (aspect positif POUR LE VER, mais négatif pour la plante).
B - Le chaud ne réclame pas le Froid son contraire, mais le Chaud son semblable ; seulement un semblable purifié (autre que celui de la pensée unique). (D’après Jacob Boehme).
D’après Démocrite et Bernard Le Trévisan : Nature esjoir Nature, ou le semblable attire le semblable. La Nature contient la Nature et la Nature vainc la Nature. (Une Carpe ne va pas naître d’un Lapin).
HOMÉOPATHIE = TEINTURE :
1) Une partie de produit ACTIF dans 99 parties d’eau, puis on agite l’ensemble. C’est la 1ère dilution ou premier CH.
2) Une partie de produit de la 1ère dilution dans 99 parties d’eau, puis on agite l’ensemble. C’est la 2ème dilution ou deuxième CH. On peut diluer ainsi jusque 30 fois.
Il y a aussi la dilution décimale, 1 part pour 9 parts de solvant ; et même manière d’oeuvrer.
 
 

Dernière mise à jour : 16-05-2019 21:07

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