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Ecrit par Sechy, le 25-08-2019 20:34

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Asservissement, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gnostiques, Gratuit, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Magie, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pèlerin, Peur, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Silence, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Tore, Ulysse, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
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Démonter le Temps
Démonter le temps de l’idéation
afin de re-trouver la Libération,
car la psyché ou le soi ne sont
que f(r)ictions.
 
 
Tous malades, tous à soigner, à se soigner (les G7 de la chefferie messianique sont nuls : ça ne sauvera pas la forêt amazonienne….).
Démonter le Temps commence avec la Vraie Laïcité (pas celle des judéo-maçons du GODF), la Vraie : on démonte donc le Temps parce que ce qui est venu ne vient plus et ce qui est parti ne part plus. Pourquoi ? Parce que ce qui vient ne vient de nulle part et ce qui part n’a nulle part où aller. Pas d’imbécilité d’ego de « devoir de mémoire » en invention de temps : il est impossible de revoir ce qu’une fois l’on a vu, même dans la f(r)ictions de la « machine à voyager dans le temps » (genre Chronoviseur).
 
Tous malades, tous à soigner, à se soigner.
Le MAL PLANÉTAIRE VIENT DE CHACUN, DONC MON MAL VIENT DE L’IGNORANCE ET DE LA SOIF.
En effet, l’Univers étant de la mental, et nous avec, il y a une cassure dans la Trinité, Première figure fermée. Le désordre qui est en tout mon être, du poil jusqu’aux neurones, se nourrit du désordre qui est autour de moi et maintenant en tout connecté ce qui complique de plus bel. Et le désordre qui est en moi, nourrit naturellement le désordre autour de moi. Jusqu’à présent seuls des Réalisés comme le Christ-Jésus, le Maharshi et d’autres encore avant tels Mazu et de nombreux Maîtres de Sagesse, transcendent le dilemme de l’individuel et du collectif, base du social de la communauté humaine.
Se guérir c’est sortir de la prison de la croyance, sortir par la Porte, la Stargate, pour aller vers les Sachants. Les croyants c’est terminé ! Mais avec le numérique et le tout digital qui se profil, absolument rien de ces technologies ne permettra de se diriger vers les Sachants, parce que ces technologies sont du concept de la foi, et le croyant fonctionne selon le courant de la foi : « Je ne comprends pas, mais je crois, et j’achète avec mon pouvoir d’achat ». LA CROYANCE FONCTIONNE AVEC LA CRÉATION D’UN BESOIN-CAROTTE POUR FAIRE AVANCER.
LA CROYANCE AU MOI C’EST TERMINÉ. PARCE QU’ELLE NE FAIT QUE PRODUIRE LES MALADIES.
CONNAÎTRE LE FONDEMENT DE CETTE MALADIE, DE CETTE CROYANCE, C’EST ÉLIMINER TANT L’OPINION DE MOI QUE LA NOTION D’AUTRES ÊTRES ANIMÉS (nous sommes Singularité, Idiotès, même dans l’ÂGE D’OR où on peut échanger de « vêtement », plutôt de peau ou de couleurs).

Donc je suis malade parce que tous les êtres sont malades et que mon mal ne cessera que le jour où tous les êtres seront guérit. Pourquoi ? Parce que c’est pour les êtres humains que les Maharshi et Réalisés vivants rayonnent dans le cercle-rythme des morts et des renaissances. Et entre la naissance et la mort, il y a un pont comme le Pont de’Avignon sur lequel on y danse et on y danse, mais où aussi on attrape des courants d’air et des maladies, et le pont peut s’écrouler si une guerre est déclenchée et qu’un imbécile tire un obus dessus. Bref, si les êtres trouvaient moyen de s’affranchir de tous les maux, s’en serait fini de l’économie mondiale en son ensemble ! Et par là même plus aucun Réalisé ne risquerait de tomber lui aussi malade à son tour.

La maladie des êtres ordinaires est contenue dans les trois Règnes eux aussi contaminés, tout est lié. Les êtres sont malades, je suis malade aussi.
Je devrais me représenter mon corps comme un ensemble de choses inanimées en me disant que ce corps n’est autre que la combinaison de multiples choses. Son apparition n’est qu’apparition de choses et sa cessation, la cessation des choses.
SE GUÉRIR : en s’écartant du ‘moi’ et du ‘mien’. C’est-à-dire s’écarter de la dualité sujet-objet, cela consiste à ne pas recourir aux opinions d’intérieur et d’extérieur comme l’énonçait déjà l’Alchimiste Jabir, et à agir en toute égalité.
Mais de quelle égalité ?
De l’égalité du ‘moi’ et de la Vacuité, puisque la Vacuité et moi, nous sommes vides du simple fait de n’être que des noms-les-formes : ni l’un ni l’autre n’avons d’essence absolument déterminée, fixée. Une fois réalisée cette égalité, il ne reste plus de maladie, SI CE N’EST LA MALADIE DU VIDE, MALADIE QUI AUSSI, EST VIDE.

Quand le fils unique du maître de maison attrape un rhume, ses parents l’attrapent aussi, et ils guérissent dès que l’enfant est guérit. De même, le Réalisé vivant qui ne voit pas de différence entre ‘Je’ et « les Autres » est malade quand le TOUT, « les Autres » sont malades. Tout est lié et délié. Les êtres et tous noms-les-formes guérit, la pollution mondiale enlevée, le Réalisé vivant guérit aussi.
Quand il n’y a pas de rayonnement ou d’harmonie la maladie arrive.

Toutes les Provinces du Pays du Rien du Tout sont vides. Évidemment vide de vacuité, parce que le Vide ne connait pas la dualité ou distinction entre le sujet et l’objet ou la cause et l’effet. Et la cause-effet est nécessairement vide aussi.
Où trouver la Vacuité ?
Réponse : en retournant la Lumière, comme l’énonce le Maharshi et le Secret de la Fleur d’Or : Retourner la Lumière sans tomber dans le conscience discriminante qui coupe les cheveux en quatre, c’est faire usage de l’Essence originelle des sens. Retourner la Lumière en tombant dans la conscience discriminante, c’est user de la nature de la conscience inhérente au cinq sens et donc au mental. LÀ SE TROUVE LA DIFFÉRENCE AUSSI FINE QUE L’ESPACE ENTRE DEUX PLAQUES DANS L’EFFET CASIMIR.
Retourner la Lumière est examiner sa pensée, et ça n’a rien à voir avec le freudisme et sa psychanalyse qui cherche à déceler les racines inconscientes des manifestations conscientes ! De plus : « En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler [à le pointer, à le Pour-Voir ou à l’administrer], cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l‘instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même ».
De la même manière, « Chacun connaît le Soi [ou l’Instant], et pourtant ne le connaît pas. Étrange paradoxe ». (Réf. Ramana Maharshi, entretien 43).

En ces temps de monde malade et de conflits en amplification, le remède consiste à échapper au grégarisme ambiant, au social à la mode en se réfugiant dans la solitude pour éviter les conflits, principe de la démocratie, donc procéder à l’envers de la démocratie : dans la solitude, la Singularité, l’originel, le non-grégarisme, puisque le mot démocratie est composé du grec démos : le peuple et que ce concept de peuple remonte à l’invention de l’État au début de la voie de l’Agriculture il y a 10.000 ans. Avec le mondialisme actuel, LE GRÉGARISME DEVIENT TERRIFIANT, MALADIE, IL DEVIENT DE PLUS EN PLUS DIFFICILE DE GUÉRIR.
Or on ne se libère de ce monstrueux grégarisme mondial quand libérant les êtres de tous les liens en cultivant les pratiques « DE CHAQUE TERRE » : rien à adopter ou à rejeter, tous les phénomènes n’ont qu’une seule et même caractéristique.

MÉDECINE POUR GUÉRIR DANS LES TROIS RÈGNES LA RACINE DU MAL :
- La saisie ou possession.
- La possession de quoi ?
- La saisie du triple monde [veille, rêve, sommeil profond].
- Comment arrêter cette possession ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable ou le sans but il n’y a pas de possession, pas de but à saisir, pas de messianisme, pas de salut.
- Qu’est-ce que l’introuvable, la Carotte ou le BESOIN qui fait avancer le monde ?
- LA FIN DU DUALISME.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- Conformément à Jabir, c’est la vision, ou Pour-Voir d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables ; tellement introuvables que le dedans actuel fait que la planète Terre est maintenant, presque, TOUTE BÉTONNÉE (urbanisée tôle-boulons-acier-verre-béton) le dehors ne sert plus qu’à la « vacance » (se mettre au vert, lequel est en train de brûler…. alors que ce devrait être le billet vert qui brûle).

VRAIE DROIT DE L’HUMAIN :
- La Félicité de vouloir écouter la loi qui est une source seulement quand elle fonctionne dans la Gratuité. C’est-à-dire que l’être doit avoir conscience qu’il n’est pas l’auteur de ses actions, mais seulement l’instrument d’un pouvoir qui lui est incompréhensible par nature de son mental.
- La Félicité d’honorer la communauté.
- La Félicité de se détacher de objets attirants (attirance renforcée par le pouvoir d’achat).
- La Félicité de tenir les cinq agrégats pour des brigands pleins de rancœur (les kalpas décroissants ou en fixisme en grumeaux).
- La Félicité de considérer la perception sensorielle comme un hameau du désert.
- La Félicité de suivre et de préserver le sens de l’Éveil.
- La Félicité d’être l’énergie gratuit pour tous les êtres.
- La Félicité d’être doux et patient
- La Félicité d’être parfaitement concentré.
- La Félicité de s’illuminer dans la Conscience infinie.
- La Félicité d’orner l’oreiller (1) de Pierre quintessentielle de l’Éveil.
- La Félicité de passer les trois Stargate de la Vraie Liberté au moment opportun (les trois Portes de la Libération : la Vacuité, le sans caractéristique, le sans-souhait).
- La Félicité de se trouver avec d’autres que ses condisciples sans éprouver la moindre gêne.
- La Félicité de protéger les amis (ou les terroristes) qui font le mal.
- La Félicité de fréquent les amis qui font le bien.
- La Félicité d’un Cœur joyeux et pur, parce que c’est son état naturel.
- La Félicité de s’exercer aux innombrables méthodes auxiliaires de l’Éveil (dont l’ALchimie).
(En référence au Soûtra de la Liberté inconcevable - Les enseignements de Vimalakirti).


Albert Einstein a tout de même écrit ou énoncé en 1950 ceci : « Il nous faut un mode de pensée essentiellement nouveau si l’humanité doit survivre ». J’espère seulement que son « nouveau » n’est pas la énième Carotte ou messianisme qui ne doit jamais advenir !!! Rien de « nouveau » sous le Soleil, il n’y a de « nouveau » que ce qui a été oublié, et comme il n’y a que de la Vacuité et de la non-Vacuité (Zéro indien)…………….
Bref, si l’humanité veut survivre, elle doit s’engager sur la voie du : « Je suis CE JE SUIS », en sortant de son « pouvoir d’achat » et son culte de l’ego, son culte de la possession ou culte du narcissisme, culte du ‘moi’ et du ‘mien’.
Le Christ-Jésus a dit : « Qui perd sa vie la gagne ». C’est anti-confort, anti-capitalisme par essence ! Évidemment il faudra bien un jour que cela ne soit plus vrai, comme dans l’ÂGE D’OR.
L’actuel culte du narcissisme se traduit pas le VÊTEMENT : voir dans l’urbain le déluge de boutiques de fringues, et l’économie numérique y afférent….. Parce que « vêtement = civilisation » (un « sauvage » est censé être nu). Voyez la pompe étatique : policiers, juges, médecins, militaires, les laïcs et uniformes de tous styles. HABIT, HABITUDE = PENSÉE UNIQUE OU UNIFORME, tant l’habit divise en montrant une APPARTENANCE à une société caractérisée : clergé, armée, police, marine, justice, etc. Ôter l’uniforme et on se retrouve nu comme un ver, SANS PAROISSE. L’animal n’ayant pas de main, tel un poisson rouge, il lui sera difficile de s’habiller tout seul ! Aussi, le poisson rouge a-t-il conscience de sa nudité ? Je n’en sais rien n’étant pas un poisson rouge….
Le vêtement est du même Thème que les médailles et diplômes : une méritocratie, un dualisme winners-losers.
Voir Actes de Thomas : Le chant de la perle : le fils de roi ou Élu (Nature divine) s’en va en Égypte (vu comme l’actuel monde matérialiste). Il ne tarde pas à oublier sa Vraie nature et échange ses vêtements royaux contre des vêtement sordides des Égyptiens (symbole de son enlisement dans le monde des accidents). Il ne les retirera avec horreur que lorsque lui apparaîtra un vêtement merveilleux, royal, fait à sa juste mesure à la Cour de son père. Dans ce vêtement, il reconnaît sa Vraie Nature, par delà les illusions trompeuses de ce monde de la dualité. Le vêtement ou le manteau du KHEZR, signe que l’on partage la même authentique Liberté : identification à l’Être spirituel du Khezr.

« En effet, les plus anciennes influences que l'on peut retracer dans le Chant de la Perle sont celles de l'Apocalyptique juive et du christianisme. L’Hymne qui est écrit à la première personne raconte que l'auteur vécut au Royaume de son Père. Alors qu'il était encore petit enfant, il fut envoyé à la recherche de la perle ; on le chargea de pierres précieuses, mais il dut se dévêtir de sa robe étincelante. On lui enjoint de descendre en Egypte rechercher la perle qui repose au fond de la mer, près de l'antre d'un serpent ou d'un dragon écumant ; s'il réussit à soustraire la perle à ce dernier, il sera autorisé à remettre la robe scintillante et à devenir l'héritier du Royaume avec son frère.
Le Petit Prince quitte donc le Royaume avec deux compagnons. Il traverse la Mésopotamie et arrive en Egypte, où ceux-là le quittent.
En Egypte, il rencontre un homme de sa race, un fils de nobles auquel il fait part de son « affaire ». Il s'habille comme les Egyptiens qui lui offrent même de leur nourriture, et, sous l'effet de la torpeur, il s'endort et oublie sa mission. Un plan est alors envisagé au Royaume de son Père, et on lui expédie une lettre : semblable à l'aigle, celle-ci vole vers lui et lui rappelle ses origines et sa mission, elle le réveille.
Le Prince ensorcelle le serpent et lui ravit la perle. Il rejette ses vêtements de faux Egyptien et retourne à son Père. La lettre le précède sur la route qui le conduit à nouveau à travers la Mésopotamie. La robe, qui lui avait été promise, lui est envoyée de la part de ses parents par la main des trésoriers. En elle, comme à travers un miroir, il se reconnaît, il s'en revêt et remonte vers son Père, et avec lui il apporte la perle au Roi ».
VÊTEMENT-MIROIR OU RE-TROUVER SA VRAIE NATURE.

Note.
1. Oreiller, oreille : Conscience infinie telle Vaishvanara (Univers-Homme, Homme-Univers). Oreille symbole de communication. Voir la FLÛTE DE PAN (LE TOUT). Oreille organe de la compréhension. La « lumière auriculaire » dans la Taoïcité. En Chine les oreilles longues sont signe de sagesse et d’immortalité : Lao-tseu avait les oreilles longues de sept pouces ; il était d’ailleurs surnommé « Longues oreilles ».
 
 

Dernière mise à jour : 25-08-2019 21:03

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