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Si vous voyez le mashia juif, tuez-le Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 10-10-2019 00:41

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Asservissement, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Guerre, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Inquisition, Instant, Intérêt, Intérieur, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Magie, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pèlerin, Peur, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Silence, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï, Zéro

 
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Si vous voyez le mashia juif, tuez-le
ou tuez tout messie qui se présentera.
Le mashia ou messie n’est pas « quelqu’un »
et nul n’est le mashia ou le Buddha, le Tathâgata.
La nature du messie étant le Soi ou Instant,
Sa Nature est de ne pas en avoir (non-identifiable),
Il est Singularité, Idiotès, sans double, sans dualité.

Le mashia juif amplifiera l’A-VOIR ou les possessions,
il amplifiera les identités, il procèdera selon les
Juifs des Google-Transhumanistes siliconés
qui se veulent « éternels » ici-bas, soit
une société-fourmilière-grégarisme
d’êtres zéro-défaut à la « norme » façon du
film messianique transhumaniste Gattaca,
toujours cette dualité WINNERS-LOSERS ;
idem avec cette arrivée du SAVOIR en tout connecté,
ce nouveau cordon ombilical (1) du nouveau patriarcat :
le s’A-Voir du Pour-Voir (2) (la démence ou aliénation
du Big data) mécaniquement opposé à la Connaissance.
 
 
 
Messie ou Maitreya = ce qui apparaît dans le temps, à un certain âge ou époque, afin de « restaurer la pureté », comme une LESSIVE IL LAVERA PLUS BLANC QUE LE BLANC PRÉCÉDENT, DONC CONFORMÉMENT AU TOUJOURS PLUS COMMERCIAL OU CROISSANCE-ÉVOLUTIONNISME DANS L’EGO DU SPATIO-TEMPOREL.

Tathâ gata : Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ (Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante) « Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil est ainsi ». « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore » dit la devise alchimique. PAS DE « FIN DES TEMPS » OU DE MESSIE « AU BOUT » DE QUOI QUE CE SOIT GENRE « CIRCULEZ YA PLUS RIEN À VOIR ».
Donc Tathâ gata en premier : « allé ainsi », en second : « arrivé ainsi », le AINSI correspondant à l’AINSITÉ, l’état d’ÊTRE, c’est-à-dire en l’absence de toute détermination existentielle ; sinon, on est dans l’HOTC (Histoire-Opinion-Temps qui coule), on est chez le mashia des Juifs.

Arrivant dans le spatio-temporel, le mashia des Juifs sera condamné à s’exprimer à travers des mots et des concepts, soit des vérités de couverture social ou vérités de surface. Bref, seul le SILENCE peut être libérateur (comme la Nuit obscure et profonde) : RIEN DANS LE TOUT ET TOUT DANS LE RIEN : la vacuité en même temps d’être vide d’être, est aussi vide de non-être ! Ce n’est là qu’une DÉSIGNATION, pour reprendre la logique du Soûtra du Diamant), ou la logique de l’Xalemme.
Le mashia des Juifs apparaissant, il va DIVISER entre ceux qui y croient et ceux qui n’y croient pas. Tous les « sauveurs » et vendeurs des « Plus jamais ça » vendent leur « vie en rose évolution » en voulant « améliorer la condition humaine », PREUVE qu’ils ont généralement cessé depuis des millénaires de vouloir du « bien » à quiconque.

La Singularité comme le Vrai ne peut pas être identifiée ; si Elle l’est, elle devient aussitôt fausse, en devenant un double. La Singularité n’a pas de « nature propre » ou « Vraie Nature », Paradoxe fondamental de la Réalisation du Soi, mais ce n’est pas un problème pour les Réalisés vivants comme l’énonce Ramana Maharshi à l’entretien 28 du 4 février 1935 : « Le ‘Je’ [le Soi] rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la Réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ».

Tathâ gata : Gate gate pâragate… Image-ination, le Rien du Tout, l’existence elle-même, l’I-Réel : « Les choses sont faites de la même substance que les rêves », écrivait Shakespeare.

Tathâ gata : Gate gate pâragate…
correspond à une forme de CAROTTE appelée aussi NOUVEAUTÉ, laquelle fait tant fureur dans le capitalisme actuel. la nouveauté comme DES IMAGES QUI BOUGENT. I-MA-ge : apparition de la MAtrice par l’Axe I permettant le VOYAGE PAR VAISSEAU par MA-R-I-Age au I, dans le Pays du Rien du Tout où ne vivent que les Instant formant le Soi (Instant comme Universel ne prend pas de s).

Tathâ gata : Gate gate pâragate… du MOUVEMENT OU ÉVEIL : RIEN DE PAREIL À CHAQUE INSTANT.
Mouvement entre l’Origine et l’Ailleurs. Mais pas au sens évolutionniste actuel en dualité entre un abîme et son contraire le progrès ou croissance, soit simplement la dualité du dedans et du dehors… comme s’il fallait acquérir un winnerisme sur l’abîme ! L’être humain veut « s’envoyer en l’R » comme l’oiseau ou l’avion ou la recherche spatiale, d’où le succès phénoménal de l’économie des drogues, légales ou illégales c’est pareil. Avoir des AILES, FAIRE DU VENT, PROJETER DANS LE FUTUR OU BLEU DU CIEL.
Dans la haute Classe des Animaux bannis, avec la Salamandre, la Chauve-Souris tient une bonne place, Buffon en a fait un monstre qui vole « d’une manière gauche » (Sinistra ou Senester) ; la Chauve-Souris va avoir la compagnie de la Sainte Chimère, du Griffon, du Dragon que nombre de saints veulent tuer.
Comme le dedans et le dehors, l’oiseau du « dehors » vient du « dedans » le rampant Serpent (les oiseaux sortent des reptiles : des vols d’oiseaux continuent les rampements ou ondulations du Serpent).
Les humains qui se croient « libérés » avec leurs avions et recherches spatiales ont perdu le RÊVE ou l’IMAGINAIRE qui est remplacé par la pensée unique fabriquée par les usines d’Hollywood.
Surtout avec l’Ancien Testament et sa Genèse et les Chrétiens, le Serpent est lui aussi banni. Avec leur Genèse, les Hébreux-Juifs se comportent comme des Forgerons : du tordus ou de l’informe ILS FORMENT ET CONÇOIVENT DES NOMS-LES-FORMES, et c’est le drame en faisant dans la dualité du Tordu vers le Redressé et vers le Paradoxe de la Réalisation du Soi, comme si c’était de l’évolutionnisme en géométrie euclidienne de la ligne droite…

POURQUOI ? PARCE QUE L’ÊTRE HUMAIN N’A PAS ENCORE RÉALISÉ LE SOI OU MARIAGE DES CONTRAIRES.
Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux, dans sa lettre à Aimé Michel, le 4 juillet 1974, explique ce NON-MARIAGE ou cet état dans la dualité. Le voisin de Coulonval, un Mineur à Arras, n’admettait pas que la Terre soit une boule. « Il voyait autour de lui un horizon circulaire, et il pouvait bien déplacer le centre de cet horizon, c’est-à-dire ses pieds, il ne voyait jamais un horizon circulaire. Pourquoi aurait-il eu une fin ?  Le ver aussi pouvait dire : « Pourquoi la ligne droite aurait-elle une fin, puisque après un pas je peux en faire un autre ? ». Pour le mineur de Coulonval, la Terre était donc un camembert dont les bords se situaient à l’infini, au non-fini, à l’indéfini. Il ne lui venait pas à l’esprit qu’il fallait lui mettre concrètement un terme. « Il percevait les choses comme un paysan qui veut agrandir son champ, parcelle après parcelle, ‘j’en achèterai une autre, puis une autre, à l’infini’ il n’y a pas de raison que cela s’arrête. Il y a pourtant une raison pour que cela s’arrête : c’est que la Terre est une sphère dont la surface est finie. De la même façon que la ligne, en bouclant sur elle-même pour accomplir le cercle, se transforme d’in-finitude en finitude ; de la même façon que la circonférence est une ligne qui n’a pas de commencement assignable, la sphère est une surface qui n’a pas de centre géométrique assignable. Mais en perdant ce centre, elle réalise la sphère pleine, le volume sphérique, comme la circonférence a concrétisé la surface du cercle. Le diamètre du cercle inscrit dans la sphère peut définir une infinité de pôles. L’opposition polaire A B est identique à l’opposition B A, de sorte que chaque pôle est à la fois lui-même et son contraire.
C’est alors que se pose dans un troisième temps, après la ligne interminable du ver et la surface interminable de mon mineur, l’éternelle question de l’astronomie : « Monde clos ou Univers infini ? ».
On peut considérer la totalité du cosmos comme une collection d’étoiles, comme un total de billes dans le sac d’un gamin. On aurait alors l’analogue de ce qu’est la ligne pour le ver : une collection de pas, de petites distances accumulées, interminable. Ou l’analogie de ce qu’est la Terre pour mon Mineur : une collection de parcelles de terre qui s’ajoutent, indéfiniment. Or, le problème du ver est résolu par la circonférence. Le problème de mon Mineur est résolu par la sphère.
Tout le monde dira que mon Mineur était vraiment un crétin, un minus. Et pourtant ! Ceux qui tiennent l’Univers pour un total fini de sphère dans un volume fixe, même s’ils envisagent la possibilité d’ajouter indéfiniment des sphères à des sphères (comme un gamin qui gagne aux billes), même s’ils croient que leur imagination suffit à le faire gonfler, ceux-là ne sont pas moins crétins que mon Mineur ».

Bref, quoi et qui limite le camembert du Mineur ? Quoi et qui limite l’Univers sac-de-billes, en nombre fixe ou croissant, ou occupant un volume en expansion ? Vertige de travailleurs du chapeau….
Coulonval suppose que la géométrie de l’Univers n’est pas celle de la sphère.
« La question est de savoir s’il y a terminus ou pas terminus dans l’addition de surfaces planes, n’a plus aucun sens quand on considère la sphère, la question de savoir s’il y a terminus ou pas terminus dans l’addition de sphères à sphères, ou s’il faut allonger le rayon qu’on a la tentation d’assigner à la globalité cosmique, doit perdre tous sens intelligible dans la géométrie de l’Univers, de la Création. Elle doit réaliser l’identité des contraires du haut et du bas, du grand et du petit », écrit Coulonval abordant carrément en final le mariage alchimique ! Cependant Coulonval ne parle nullement du TORE……… Mais au moins Coulonval qui a vécu des moments de non-dualité SAIT que Dieu n’est pas double : une face Dieu, une face le fric ou « argent précaire et volatil », comme veut le faire croire Jacques Attali dans son livre : Les Juifs, le monde et l’argent

La Genèse des Hébreux-Juifs : le Redressé sort du Tordu (le Saint Chaos), alors vont sortir LES SACS DE NŒUDS OU PENSÉES : « Le mental est un faisceau de pensées. Icelles ne s’élèvent que parce qu’il y a un penseur. Le penseur est l’ego [c’est moi qui souligne] L’ego, en le recherchant, s’évanouira automatiquement. Le mental et l’ego sont une seul et même chose. L’ego est la « pensée-racine » de laquelle les autres pensées s’élèvent [l’ego-fractal] » (Ramana Maharshi, entretien 347 du 23 janvier 1937).
À l’entretien 345 : « En se concentrant sur une seule pensée, toutes les autres pensées disparaissent ; à la fin, cette pensée disparaîtra aussi. Il est nécessaire de garder toujours la conscience éveillée pendant qu’on contrôle ses pensées, sinon on s’endort ».
« Recherchez la source de la pensée ‘je’, qui s’élève de là où le souffle descend. Les deux s’élèvent et descendent ensemble. Quand ils descendent, simultanément un autre ‘Je’-‘Je’, lumineux et infini, se manifeste de façon continue et interrompue. Voilà le but. On lui donne des noms divers : Dieu, Soi, Conscience, etc. Lorsque vous tenterez cet effort, icelui vous conduira de lui-même au but ».

À l’entretien 344, même date : « Dès que le mental tend à s’extérioriser, tournez-le aussitôt vers l’intérieur. Il s’extériorise du fait de l’habitude de chercher le bonheur en dehors de soi-même [et tout est fait pour nous y pousser…] ; mais la connaissance que les objets extérieurs ne sont pas cause du bonheur le refrénera. C’est l’état sans passion [vairâgya]. Ce n’est qu’avec le parfait vairâgya que le mental devient stable. Le mental n’est qu’un mélange de connaissance et d’ignorance ou de sommeil et de veille ».
Même entretien : « Ce qui n’est pas est toujours perdu ; ce qui EST est à jamais présent, ici et maintenant [dans l’Instant]. C’est l’ordre éternel des choses. Rappelez-vous l’exemple de la femme qui pensais avoir perdu le collier qu’elle portait autour du cou ».

Pourquoi un mashia juif ou un messie ou un Maitreya ? « Il n’est pas vrai qu’il y ait au un temps où Je n’étais pas, ni toi, ni ces rois des hommes ; il n’est pas vrai non plus qu’aucun de nous doive jamais, dans l’avenir, cesser d’être » (Bhagavad-Gîtâ, chapitre 2, Verset 12).
Verset 16 : « Ce qui réellement existe ne peut cesser d’exister ; de même ce qui est non-existant ne peut commencer d’exister. La fin de cette opposition d’être et de non-être a été perçue par ceux qui voient les vérités essentielles ».
Verset 18 : « Les corps limités ont une fin, mais ce qui possède et emploie le corps est infini, illimitable, éternel, indestructible. Ainsi donc, lutte ô Bhârata, lutte ! ».

Inventer les mots « égalité » et « vivre ensemble » c’est amplifier les divisions. Dire que deux choses naissent ensemble c’est dire qu’elles sont séparés, ce qui sera naturel dans cette civilisation de la démocratie marchande du ‘je’ ego consommateur, et nourricier de l’oligarchie des banques de la City de Londres !
ÊTRE = SINGULARITÉ, SANS DOUBLE. Alors comment la Singularité pourrait-elle « vivre ensemble » avec d'autres puisqu’elle est séparée, Singularité, sans double, sans voisin ???
Le concept du social est cette nouvelle église du grégarisme née après 1789 ici en France, NOUS SOMMES TOUS DEVENUS DES PRODUITS MARCHANDS ET EN MARCHE PUISQUE « MONDE-HÔTEL » à la Jacques Attali, puisque l’argent n’a pas d’odeur et ainsi il est bien partout chez lui il n’est pas raciste !
De même pour le mot Réalité, qui tragiquement pour l’humain évoque une chose fixée, coagulée, normée, comme possédée par quelqu’un ou par un groupe de personnes (grégarisme-égrégore) qui vont façonner à leur convenance le reste de la masse des Terriens.
Ainsi tout ce qui se prétendra « OBJECTIF » SERA À FUIR.



Notes.
1. Ce n’est même plus un « cordon » ombilical mais une CHAÎNE dans la non-résolution de la dualité Moi-Collectif/Moi-Individuel. Le « lien social » est cette chaine très lourde du Grégarisme pire que celui que pouvait engendrer l’Église de Rome, car « Auparavant la religion catholique était publique, une affaire d’État, et la liberté de conscience une affaire privée. C’est désormais l’inverse : la religion est privée, et la liberté de conscience est publique, assurée par l’État. La laïcité est la lutte pour ce renversement de situation », écrit si justement Émile Poulat décrivant ce grégarisme dans La République française et la religion. Interview d’Émile Poulat sur la laïcité et la loi de 1905, après la catholicité.

2. Pouvoir ou Pour-Voir : ceux qui croient voir, qui sont des voyeurs, alors qu’il s’agit seulement de voir la Vraie Nature des êtres en ne les voyant pas, donc en ne les possédant pas par le regard engendrant la dualité, l’opinion, la croyance, la fixation, etc. « C’est en ne voyant pas qu’on accède au regard des Saints », dit un commentateur de Nagarjuna (Madhyamaka-karikas).
« C’est en ne voyant pas qu’on accède au regard des Saints » = l’Éveil énoncé par le Tathâ gata : Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ. Le toujours en Mouvement, le Courant, le Constant-Fluide, la Transparence.
 
 

Dernière mise à jour : 10-10-2019 01:25

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